Nous sommes plus intelligents que l’on nous laisse le croire ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Nous sommes plus intelligents que l’on nous laisse le croire ?

Mais pas du tout selon les faux dogmes des médias mainstream. Mais telle une accusation très ferme contre les propagandes des hauts de la société. Et contre le système éducatif global qui, si illégitimement, étouffe les enfants. Au lieu de les élever, oui élever, mettre plus haut, les respecter infiniment et leur demeurer serviables. La vraie intelligence reste donc combattue par les prétendus dirigeants. Pas de bol pour eux – ils ont déjà perdu. Comment cela donc ? Comme ceci…

 

>>>> - L’éducation s’avoue nuisible déjà par la non transmission fidèle de la totalité du langage, avec ou sans francophonie, tel que nous fait comprendre Jean-Michel Delacomptée :  « Une langue, c’est une énergie. Et la nôtre se dévitalise. Comme la poésie, dont elle est l’organe, son destin est celui de la marginalisation [[ et comment allons nous communiquer comme uniques ?]]. Aujourd’hui, un roman où les phrases dépassent quatre mots, on le dit incompréhensible. [[ alors que demeurent absolument incompréhensibles tous les régressifs si nocifs qui osent de telles balivernes. Se mettant a dos, en une seconde, tous les génies du passé et du…présent]]. Ainsi, le langage se déstructure, s’appauvrit [[ en clair, les médiocrates, celles et ceux qui censurent tout ce qu’ils ne comprennent pas, soit quasiment tout, oui ceux-là sont en train de…détruire la société et de saboter tous les trésors de l’Humanité. Seraient-ce eux/elles les grands délinquants dont toutes les analyses parlent sans les nommer ?]]. »

 

Un-langage-qui-se-déstructure-c'est-une-pensée-qui-s'amollit

C’est ce que vous pensez aussi de ce que vous appelez le « langage standard »… : En effet, même la langue du quotidien, pragmatique, utilitaire, se déstructure. Or, un langage qui se déstructure, c’est une pensée qui s’amollit, qui branle dans le manche. Uniformisation. Castration symbolique. La correction politique [[ qui jamais ne se corrige elle-même, c’est dire son peu d’universalité ]] agit comme un véritable carcan qui la prive de spontanéité. La radio et, surtout, la télé conjuguant l’aplatissement. Le verbe nous insuffle. Il nous traverse, il nous fait être. Or ce souffle-là s’éloigne de notre langue, il s’abolit. » Et la responsabilité flagrante en vient à qui donc ? Parcourez les livres qui paraissent, quasiment plus aucuns écrivain-e-s n’y figurent, les vrais écrivains sont même censurés…ne demeurent que des écritures frustres pour de toutes autres raisons que de manier à la perfection toute la langue. La déperdition ne peut être qu’énorme. Un peu comme si tous les grands musiciens étaient chassés et que nous soyons limités aux seuls chanteurs/ses de karaoké – cela procurerait un très insupportable effet. C’est ce qui se produit avec la lecture. Une anachronie permanente, une impression de sabotage gigantesque, un rabaissement vers la médiocrité insensible et indifférente. Impossible de s’exprimer avec des phrases qui ne « doivent pas dépasser les 4 mots » (comme l’osent, stupidement, les trop incultes médiocrates qui réprouvent tout ce qu’ils ne comprennent pas, soit vraiment beaucoup beaucoup). C’est ainsi. On ne peut avoir le leurre et l’argent du leurre. L’édition, complètement aplatie devant l’argent sourd et aveugle, en plus d’être fou, a été bien trop loin dans la soumission volontaire. Il n’en est arrivé que le pire pour le langage. Ce qui ne permet pas de comprendre à quel point l’intelligence sensible échappe, actuellement, à tous les pouvoirs. On dirait bien des ploucs lourdauds égarés dans des magasins de porcelaine. Tout ce qu’ils disent est dissonant. Tout ce qu’ils montrent se prouve d’un mauvais goût accompli. Et ils/elles osent encore s’auto-nommer « élites » : où cela donc ?

>>>> - Mais pas de chance pour ces nuisibles : les parades à leurs destructions vont même plus loin que les solutions. Des esprits (branchés cœur), bien plus intelligents qu’ils prévoyaient, et surtout pas de la manière tordue qu’ils envisageaient, -…émergent. Et se reconnaissent entre eux…

 

Les-sept-langues-du-français-du-disruptif-au-croquignolesque

 

Ainsi, il est dit que nous en sommes encore à l’âge de Galilée pour le cerveau ? Sauf que des écrivains, penseurs transversaux, découvreurs de la pensée en actes n’ont pas attendu ce constat …Ils se sont nettement avancés et ont ressenti et vécu énormément de nouveautés authentiques avec leur « télescopes  augmentés ». Et ont pris une incroyable avance sur les scotchés au néant fainéant…C’est que lire c’est avoir déjà un cerveau augmenté. Lire beaucoup et bien l’augmente d’autant plus. Et les grands lecteurs alors ? 2 cerveaux augmentés ? Et la lecture rapide ? Et les langues prétendues étrangères (pourquoi pas extraterrestres ?) ? Et la spatialisation « dirigée » (sensuelle « et » sensée) des pensées ? Et le langage utilisé comme la plus immense métaphore spatio-temporelle possible ? Oui. A croire qu’une démarche telle la diction du dictionnaire aurait un millénaire (ou plus ?) d’avance devant ce glacis cloaqueux de la non-pensance. Qui jamais de toute sa vie ne va faire l’effort de…s’exprimer authentiquement !

 

Nous sommes bien plus intelligents que l’on nous laisse le croire ? Mais pas dans l’immobilité, dans le spectacle congelé de soi-même, dans le refus de participer par sa gratitude sans faille à l’immensité de la vie. Non par un mouvement qui nous humanise et socialise, par un mouvement mouvementé qui nous ouvre au désir de devenir un cœur aussi grand que la Terre…Le cerveau se montre encore plus intelligent que la non-pensance ne peut le ressentir ? Oui, sauf que la formulation demeure…inachevée. C’est…à condition de l’expérimenter, de l’éprouver, d’y être sensible, de le pratiquer en grand. Et donc le 1° d’angle au départ s’avère un 80 °, 120 ° ou plus, bien après. L’intelligence s’avère un bain de jouvence mental, un paradis para-dis (tout à côté de ce que tu dis, paradire !), une merveille qui veille à sa propre continuation. Bref, une extase sans effets secondaires, une extase qui dure durablement. Découvrons, d’abord, ce qui est dit abstraitement. Et ajoutons-y tout le sensuel « et » sensé du sens. Par tous les faits, de plus en plus y parviennent par où elles et ils viennent…Soit ?

 

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Le-cerveau-est-encore-plus-intelligent-qu'on-ne-le-pense

 

« On connaissait déjà la « boîte aux lettres » du cerveau : une région de notre hémisphère gauche spécialisée dans la reconnaissance des mots, et donc essentielle à nos capacités de lecture. Mais des chercheurs du CEA, du CNRS et du Collège de France ont exploré plus en détail ce qui se tramait dans le cerveau lorsqu’on apprend à lire. Leurs travaux, publiés le 6 mars dans la revue Plos Biology, établissent que cette boîte aux lettres se développe dans une zone « libre », précédemment non spécialisée du cerveau, mais qu’elle bloque au passage le développement de la zone dédiée à la reconnaissance des visages. Au sein du centre de recherche du CEA NeuroSpin, dirigé par Stanislas Dehaene, président du nouveau Conseil scientifique de l’Éducation nationale, ils ont observé pendant un an, grâce à l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), l’évolution du cerveau de dix enfants en cours préparatoire pour décortiquer comment réagissait leurs cerveaux à la vue d’objets, de visages et de mots. Nous avons discuté avec Ghislaine Dehaene-Lambertz, auteure principale de l’étude, de la plasticité du cerveau, des progrès des neurosciences et de la notion de « cerveau augmenté ».

Que nous dit l’apprentissage de la lecture sur le fonctionnement du cerveau ? : D’abord, notre cerveau n’a pas évolué pour apprendre à lire ; c’est une acquisition culturelle qu’il a fallu insérer dans des réseaux de neurones a priori pas prévus pour ça. Le système du langage oral existe, lui, depuis tout bébé dans le cerveau, dans une région située au-dessus de l’oreille. La reconnaissance des formes visuelles, elle, se fait dans l’occiput, dans l’arrière de la tête. Le cerveau doit donc trouver un moyen de spécialiser cette région visuelle. Et on constate que quelle que soit la langue ou le système d’écriture, même pour les idéogrammes chinois, c’est toujours la même zone qui se spécialise dans la reconnaissance des mots. La question est : pourquoi est-ce systématiquement cette zone particulière qui est utilisée ?

Et vous avez la réponse ? Des hypothèses seulement. Contrairement à un ordinateur, le cerveau est un objet spatial : transmettre une information ne doit pas se faire entre deux zones trop éloignées si l’on ne veut pas que ça prenne trop de temps. Il est donc logique que la zone de reconnaissance des mots émerge dans une région proche de celle du langage oral. Nous avons établi que l’apprentissage de la lecture se faisait dans une zone qui ne faisait jusque là pas grand chose. Mais des études passées sur des personnes illettrées ont montré qu'avec le temps, cette même région devenait spécialisée dans la reconnaissance des visages. On bloque cette spécialisation en apprenant à lire, et les personnes lettrées ont une zone pour la reconnaissance des visages beaucoup plus développée dans l’hémisphère droit. Mais on ne sait pas si cette migration forcée a des conséquences.

Cette spécialisation « culturelle » du cerveau est-elle réversible ? Peut-on imaginer optimiser la plasticité du cerveau en comprenant mieux ces mécanismes ? Le cerveau semble plus plastique à 6-7 ans que chez l’adulte, qui est déjà spécialisé. C’est intéressant de constater, en discutant avec nos collègues archéologues, que l’apprentissage de la lecture s’est toujours fait vers cet âge là. Chez les Égyptiens, on aurait pu penser que la lecture, qui revêt un aspect un peu sacré, réservé à l’élite, aux prêtres, était transmise plus tard, à l’adolescence, avec l’accès à la fonction. Mais non, l’enseignement s’est toujours fait très tôt, peut-être pour profiter de la plasticité propre à cet âge.

Sur nos images, on ne voit pas de changement de fonction une fois que les neurones sont spécialisés. Mais ça ne veut pas dire que ça ne peut pas être le cas à plus petite échelle. Avec la résolution actuelle des instruments, chaque voxel - l’équivalent des pixel mais en volume - représente des milliers de neurones. On ne sait pas ce qui se passe au sein de ces groupes de milliers de neurones. Les neurosciences en sont encore à l’étape des premiers télescopes grossiers de Galilée au XVIIe siècle

La comparaison laisse entendre que de vastes découvertes attendent encore d’être à portée de « télescope ». Pour l’étude présente, nous avons utilisé un scanner IRM à 3 Tesla. NeuroSpin a reçu une machine à plus de 11 Tesla qui va nous permettre d’avoir une résolution bien plus fine. Mais il ne s’agit pas juste de mieux voir, il faut aussi avoir de meilleurs modèles. On est un peu comme la physique du début du XXe siècle, avant Einstein, Bohr et tous ces gens… On n’a pas la théorie pour expliquer comment les cellules créent de la pensée. On attend un peu le Einstein des neurosciences.

Cet Einstein peut-il être l’intelligence artificielle ? L’IA apporte beaucoup à la recherche. Elle peut donner des pistes mais il faut l’imagination humaine pour créer de nouveaux modèles. Il existe des modèles neuronaux qui imitent plus ou moins le cerveau, mais ils ont besoin de beaucoup trop de mémoire. Un bébé est capable d’apprendre sans la quantité de mémoire d’AlphaGo. Mais d’ici vingt ans, en cumulant de meilleures résolutions et des réseaux de neurones en silicone, on aura probablement beaucoup avancé.

Augmenter le cerveau sans le comprendre semble un peu dangereux, non ? C’est à la société de répondre à cette question et de savoir ce qu’elle veut faire. Mais, vous savez, savoir lire, c’est déjà avoir un cerveau augmenté. Étonnamment, lire améliore la mémoire verbale. On a aussi découvert que les lettrés avaient une meilleure capacité à comprendre ce qu’ils entendaient dans un environnement bruyant que les illettrés [[ ceci se nomme lire entre les lignes même si c’est à l’écoute – de même, le vacarme des idéologies peut « sidérer » la rapidité de discernement à la lecture et nous pouvons nous sentir comme dépassés par la lourdeur de la tâche de démêler le vrai du faux, et ces nuisibles idéologies de nous vaincre…un certain temps !]].

Finalement, le champ des neurosciences semble encore contenir largement plus de mystères que de connaissances. C’est une des sciences qui bouge le plus aujourd’hui. Elle change énormément et c’est l'une des raisons qui explique qu’elle fasse beaucoup le buzz en ce moment. Mais les choses sont probablement très grossières par rapport à ce qu’on fera dans 50 ans. Nous en sommes au même stade que la génétique avant la découverte de la double hélice. Il existe des milliers de types de neurones différents et des milliards de milliards de connexions possibles entre neurones. Sans parler de la glie, qui n’est finalement pas qu’un tissu de soutien des neurones mais intervient sûrement aussi dans les calculs [[ qu’il est doux de voir les hypothèses se déplier puisqu’elles nous font, sensuellement, accoster aux rives les plus ébréchées des savoirs. Ce que le silence dogmatique ne peut offrir évidemment ]]... » Sommeil dogmatique qui bloque la société depuis combien d’années déjà ?

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Quel serait le plus exact contraire de cette intelligence sensible, très sous-utilisée pour la plupart, qui ne veut plus que galoper à grandes lampées, se déployer de tous les poids d’injustices et de censures, qui se sait bien plus infinie que de prétendus maîtres de ce monde le laissaient entendre ? Oui le précis opposé ? Ce qui ne pense plus, qui rétrécit son rayon d’attention, qui ne se préoccupe, plus, qui ne s’interroge plus, qui ne raisonne plus, qui ne tente guère de vérifier et de rester précautionneux avec autrui ? Oui, tout le contraire de ce vivre en bonne intelligence ? Ce sera ce qui est si mal nommé la « Bien-pensance » (alors, qu’à l’usage évident, c’est de la « mal-pensance » !) – soit la tyrannie ultra-libérale du faux bon sentiment mais…surtout abstrait et qui ne doit jamais se frotter à la vraie vie. Qui n’a donc de « sentiment » que la fausse étiquette. Le lien, bien conçu, nous en offre tout le détail.

La-fausse-bien-pensance-expliquée-à-cette-France-qui-la-subit

« Face à l'agressivité de ses faux débats à sens unique, aux opinions intolérantes et stigmatisantes que provoque l'appel à expurger sa souffrance sociale dans la haine des fausses minorités [[vu que les pauvres très majoritaires sont inclus dans cette liste…d’exclusions !]], la bien-pensance vient donc contrôler ce qu'il peut ou non se dire dans le cercle-prison médiatique, contrôler les débordements et stigmatiser les porteurs d'opinions diffamées d’extrêmes, sans chercher à en comprendre les causes. » Pire curés Tartuffe qu’eux/elles, impossible, ces inquisiteurs-bourreaux s’octroient tous les droits dont ils dépouillent les ennemis que leurs caprices déraisonnables décrètent, oui ces dépourvus de morale et de compassion, ces anti-humains desséchés, non, rien d’attrayants à trouver dans ces juges unilatéraux, rien - vu le taux de souffrances qu’ils répandent autour d’eux/ elles. Le pire de l’époque se concentre dans ces non-pensants, véritablement malfaisants de leur trop évidente « mal-pensance ». Une preuve ? Dans leur censure qui interdit et pénalise certains propos jamais ne le sont ceux de la stigmatisation des victimes de la paupérisation. Bien au contraire, et très cruellement, « leurs » médias d’argent vont ridiculiser les plus pauvres notamment, leurs maux. Le but incachable est bien le musellement de cette France (de ce monde) qui souffre. Faut pas déranger, surtout, pas ces seigneuries, n’est-ce pas ? Strictement aucune dignité humaine dans ces hideux comportements !

Quel gigantesque soulagement que de n’être pas cela – lorsque le cœur, si en friche, n’est plus à la hauteur des pensées qui tournent à vide. Et que tout s’égare dans des déserts antisociaux. Parce que jamais une fois dans leur vie morte…ils/elles n’auront une parole sincère, un élan spontané, un seul partage, la preuve que le meilleur d’eux-mêmes puisse exister…

C’est donc un devoir même que d’utiliser à fond toute cette intelligence sensible énorme en nous…

………………    ………et qui nous avait été tant dissimulée !

 

…….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Nous sommes plus intelligents que l’on nous laisse le croire ?
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L’effort d’apprendre à lire se voit – les aires visuelles sont sollicitées pour autre chose que la vue directe, ce qui justifie l’effort

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En couverture : « Les neurones sont des petites piles électriques. Ils émettent un signal électrique et, au bout, un neurotransmetteur propage l'information au neurone suivant », résume Ghislaine Dehaene-Lambertz. On estime le nombre de neurones dans le cerveau humain à 100 milliards de cellules. © Shutterstock

En couverture : « Les neurones sont des petites piles électriques. Ils émettent un signal électrique et, au bout, un neurotransmetteur propage l'information au neurone suivant », résume Ghislaine Dehaene-Lambertz. On estime le nombre de neurones dans le cerveau humain à 100 milliards de cellules. © Shutterstock

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Rapports voxel (3 D)-pixel (2D)…

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Le tesla mesure le champ magnétique. Une force s'exerce sur un fil parcouru par un courant et s'exprime alors en newtons. Un tesla serait alors un newton par ampère et par mètre

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Les obstacles que l'imprévue (dans l'Evolution) lecture a dû surmonter ?

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Nous sommes plus intelligents que l’on nous laisse le croire ?
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Trop rares les humains qui sont conscients de leur vrai potentiel et qui peuvent commencer à le vivre – nous sommes bien trop rabougris par ces pouvoirs incultes et sans grandeur.

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Rendre le langage médiocrate ? C’est ruiner toute sa vigueur. Qu’en abandonnant la quête d’exigence et de beauté qui a fait sa force, nous le privons de tout son pouvoir émancipateur. Et que, si nous continuons à le saccager de bassesses, nous détruirons avec lui non seulement l’idéal républicain et notre culture, mais notre civilisation elle-même. Les mots sont un structurant social, l’argent fou un destructeur de la société. Nous ne pouvons être des 2 camps à la fois.

Rendre le langage médiocrate ? C’est ruiner toute sa vigueur. Qu’en abandonnant la quête d’exigence et de beauté qui a fait sa force, nous le privons de tout son pouvoir émancipateur. Et que, si nous continuons à le saccager de bassesses, nous détruirons avec lui non seulement l’idéal républicain et notre culture, mais notre civilisation elle-même. Les mots sont un structurant social, l’argent fou un destructeur de la société. Nous ne pouvons être des 2 camps à la fois.

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