Se formaliser ?
Lorsque « se formaliser » devient le contraire de l’informel, nous commençons à nous poser les bonnes questions. Trop de formel épais, pas assez de formidables élans. Oui, se formaliser, au sens ultime de se…déformer, de changer de formes et de couleurs, en quelque sorte. Se formaliser donc avec formalisation accablante ? Se formaliser, oui se piquer à la drogue forme, s’en enduire et induire tout l’intérieur de causalités intruses. Lorsque les bonnes interrogations deviennent des interrogatoires (et que le lâche questionneur échappe à ce qu’il inflige aux autres – se mettant en trop déloyal surplomb…). Oui il nous faut nous formaliser afin que plus jamais nous nous formalisions (chutions dans les apparences et leurs mortes formalités hypocrites).
>>> - Nous découvrons – comme si tout se vivait pour la première fois – que rien de plus prolifique que D’ALLIER une écoute ardente des mots tels qu’ils sont – et une attention renouvelée aux autres, à tous les autres (ce qui permet de trouver que Nul n’est nul, soit que tout le monde a un trésor caché dedans…or tout est or – donc les négativités infertiles voient leur viralités…interrompues, leurs néfastes robinets fermés net !). Le langage prolixe prolifique en somme. Que, si très simplement, les mots si incroyables de précision par eux-mêmes, nous agrandissent et nous offrent une densité de vécus prodigieuse…si, et si seulement si, nous maintenons une sociabilité énorme. Soit un vécu intérieur tourné massivement vers les autres. Et une vie sociale (dans ces temps de corruptions virales par les fausses élites et les prétendus dirigeants qui ne sont que des antisociaux ! ) qui ne va qu’à l’essentiel. Donc rien pour le look, rien pour les réseaux de réputations mercenaires, rien pour les frimas des frimes, rien pour les médias vendus, oui rien pour ces soi-disant vies « réussies » qui…lorsque coulissent les coulisses ne nous montrent que des vies réellement « ratées ». Une vie avec (aussi mais pas que cela) tant de gratitude envers le langage et d’efforts de sociabilités authentiques sont bien de ces vies « réussies » par les temps qui ne courent ni ne recours plus ! Ils vont donc s’en formaliser ? Et comment ! Et comme comment comme cela…
…………………….....**********************************
*** <<<>>> *** Nous sommes formels : c’est, alors, prendre les formes qui informent du mauvais bout. N’en rester qu’à la surface qui surfe hors sujet, ne demeurer qu’à la couverture, ne jamais ouvrir le livre complet…Puisque si nous remontons le temps, nous pouvons tout aussi bien le descendre et redescendre. Puisque nous prévoyons avant de le voir. Et parlons même au nom de quelqu’un que nous ne sommes pas encore. Qu’on s’en fiche fâche. Et fauche la tranquillité de l’entre-soi. Entre nous et les autres il n’y aura plus que des barbelés, barbes rarement épluchées. A l’évidence, les autres ne reçoivent pas vraiment ce que nous pensions leur donner. Qu’est-ce qui ne se transforme pas bien ? Afin d’y répondre hautement attentifs, changeons de regard…Les battements de cœur de notre environnement ? Les avons-nous seulement une fois écoutés ces battements ? Notre terre vibre et vibre de vie et nous avons oublié ce fait essentiel. Nous l’avons laissée se faire dissimuler sous des tonnes de paperasses, toutes ces lois peu légitimes et ces règlements peu universels qui ne la concernent absolument pas. Nous avons mis la barre avant les œufs, les charres avant les vœux et les chariots avant les bœufs. Bref – nous l’avons formalisée. En lui susurrant (un stupide soupçon d’anthropomorphisme…) de ne pas…se formaliser ! Faudrait savoir. 100 % de contradiction pour nous.
Le-bornage-sans-formalités-pourquoi-se-formaliser-?
Le bornage sans formalités, Pourquoi se formaliser ! Pourquoi s’engluer sur les formes, pourquoi nous phagocyteraient-elles (c’est donc que, dans certaines circonstances, elles nous phagocytent ?) ?
………………….….**********************************************
Se formaliser de plus en plus, se formoliser oui – trop encerclés de formalités…au point de ressentir violemment ceci : n’être plus vu-e que comme une fonction et non une personne complète. Une humaine personne avec toutes ses facettes. Ce qui implique ? Que ce système, qui tourne à la démence, ne fonctionne plus « qu’en fonction » d’un passé figé et inhumain (la fonction) - dont une bonne partie des humains sont tant agis et tressautés. Pas terrible comme désorganisation sociale. Et ses réformettes suraiguës. Tandis que, si cette organisation sociale se régénère par des lois telle « l’égoïsme est désormais un délit »…le challenge collectif va faire naître un immense amour sur cette Terre. Puisque plus des formes hypnotiques pour se formaliser, se piquer, drogues dures, à la forme…mais bien des formes qui transforment, transmutent, bouleversent, convertissent, changent. Ce seront les humains qui passionneront le plus pour le potentiel imprévisible dont ils demeurent les irremplaçables détenteurs…Il y avait de quoi se formaliser !
Une seule transformation sensuelle ? Un seul exemple qui les résume ? Il s’agit de se prendre sa propre épaule, de se lover dans le bras replié, de s’épouser le bien-être, de trouver le corps et son écrin ajusté où tout notre physique est en contact avec notre physique. Où nous nous sentons tellement arrosés de tendresse animale ! Où nous respirons à pleins sens, gavés d’odeurs, les mains d’humains confirmés…Le Sens est sensuel « et » sensé – afin de nous permettre de mieux résister, la conscience toute déployée.
…..………………..*****************************************************
De résister à quoi ? « D’ailleurs, le but du parti médiatique est de détruire tous les autres « émetteurs » de pensée : parti, syndicat, autorité morale de quelque nature qu’elle soit. Tout est bon alors pour atteindre ce but. Tout. C’est un pur effet de système. Le moindre journal comporte au moins chaque jour une « révélation », incontrôlable, destinée à salir quelqu’un vivant ou mort. La méthode est ample. Pas un jour une information qui donne la pêche, rend confiant dans l’humanité, fait croire au futur. La peur et le dégoût comme nourriture quotidienne, c’est le terreau du pouvoir médiatique qui vous « révèle » ce que personne ne veut que vous sachiez. Le pouvoir médiatique est d’essence complotiste [[ les pauvres, enlisés dans leurs seules lubies gourbis, eux seuls voient des grands hommes verts partout…]].»…N’empêche que ces dégoûts, sournoisement instillés et distillés à largeur de journées, oui ces dégoûts font perdre le goût des choses. Et nous ne devrions pas nous formaliser ? Baliser, à la place ?
La télé interdit donc les rapports humains ? « Ce qu’il y a de délétère dans ce média tient, selon Günther Anders, à ce qu’il présente un monde toujours déjà pensé, des assertions toujours déjà réfléchies. « La télévision fait oublier qu’elle est un jugement déjà effectué. (…) Le jugement transformé en image renonce à la forme de jugement afin de faire croire au consommateur [[cet ermite de masse !]] qu’on ne veut rien lui faire croire (p. 172 - Alain Deneault - La médiocratie, novembre 2017). »…Rien que cela ? Nul-le ne peut avaler une telle couleuvre à l’œuvre…Gober quoi ? Que le réel lui serait ainsi offert, par pure bonté d’âme et de désinteressement. Or, un œil sur les coulisses qui coulissent fait voir tout…l’inverse qui verse dans l’autre sens. De quoi s’en offusquer lourdement, de quoi se fâcher fâcheusement, de quoi prendre la forme oui se formaliser en toute armure.
Autres lubies fourbies ? “Les oligarques doivent disposer du temps et du monde afin de gouverner [[écoutons-les parler…cela dérape grave en…]]. Son entreprise est au service d’une classe sociale qui considère que le moins de choses possibles doivent résister à leur volonté d’être là où ils croient devoir être, pour dialoguer illico avec ceux qu’ils disent le devoir, afin de mener les activités qu’ils jugent devoir mener. Cela a un colossal coût toujours omis (p. 100 – ibidem). » Ce n’est plus du tout la moindre des choses c’est le vraiment le plus de choses. Insupportables : ces irréalistes si dommageables nous courent sur le système (le vôtre aussi) …puisque leurs exactions ce font « afin de transformer l’appareil d’État en machine à engranger du capital, public au départ, pour les seuls oligarques industriels et financiers. Aucune de ces réalisations ne se voit soumise au débat (p. 105 – ibid.) »…voici qui hérisse le poil et horripile pile le système pileux. Mais ce n’est pas tout - dans leur pathologie avérée de loufoques sinistres, ils ne considèrent jamais ce qu’il en coûte à l’État pour continuer à maintenir leurs lubies…soit, là où ça fait très mal, l’extraction telle la pire des dévastations. En réalité il s’agit « de polluer 2 500 m3 d’eau à l’heure dans une région où 20 % des humains ont un accès très difficile à l’eau potable. L’activité extractive suppose le traitement au cyanure de 24 000 tonnes de matière extraire par jour (p. 126 – ibid.) »…et lorsque l’on sait que leurs engagements d’ivrognes à l’argent fou de tout remettre en état à la fin de l’extraction ne sont quasiment jamais tenu (l’appareil répressif étant, illégalement mobilisé contre les pauvres, ces volés, ces fraudés et ces spoliés – ne peut se trouver…là où il est vraiment besoin de lui…). Tout ce que fait cette caste sinistre se montre infiniment nuisible, néfaste, nocif. Pourquoi n’en est-il jamais parlé ?
Est-ce tout ? « Ces cloisons hypocrites permettent ainsi à un homme d’être à la fois responsable de presse, de la téléphonie mobile, d’un stade de sport et « d’industries culturelles » tout en occupant une fonction publique de premier plan, sans que jamais la principale question qui fâche ne soit même effleurée : comment une société peut-elle admettre une telle concentration d’actifs et de pouvoir non seulement en la personne d’un représentant politique, mais en celle de tout citoyen ? ( p. 107 – ibid.). » Les faux experts en techniques de gouvernance ne vont faire qu’outrepasser toute question, mais ils outrepassent leurs droits, ils outrepassent nos patiences et ils outrepassent que cela ne se passera plus…ainsi ! Nous nous sommes formalisé-e-s, les formalités sont en cours !
En voici de formidables formes ; **** - Ils se disaient que la personne, à qui ils avaient pris la nourriture, en avait peut-être vraiment besoin, alors ils essayaient de ne pas se formaliser. Nous oui - et plus qu’énormément
*** - Il ne semble pas trop se formaliser des inconvénients qu'il crée pour les agriculteurs. Les agriculteurs, eux, oui et vraiment immensément. | |
*** - Habituellement, lors de la présentation d'un projet semblable de durée déterminée, le gouvernement n'a pas à se formaliser de se présenter devant les électrices et électeurs. A moins qu’il ne vive qu’en séparatisme intégral, caché dans un bunker d’autarcie et tous ses canons braqués et prêts à tirer ? | |
*** - Je ne suis pas sûr qu'il faille formaliser cette situation, étant donné qu'elle prévaut déjà. Justement elle ne vaut pas si elle prévaut ! Il va s’agir de formaliser dru : ce n’est pas amender la Constitution qui reste nécessaire. C’est d’en écrire une autre, complètement neuve. | |
*** - Le gouvernement, désireux d'éviter des alliances contraignantes, ne voulait pas formaliser ce rapprochement. Comme pour la République française, les lobbies sont illégaux, il faut, tout au contraire, formaliser qu’ils ne peuvent s’introduire dans nulle décision politique. Sous peine expresse que cette décision soit annulée. Assez des lobbies-dérisions par rapport aux vraies décisions !
*** - Il serait regrettable qu'après tant d'années de travaux et de délibérations intensives la République réPublique ne parvienne pas à formaliser sa supériorité législative sur les abusives intrusions du privé dans un proche avenir. Etc. etc. | |
….…………………..******************************************* Ce qui nous offre, au final, tant de facettes. Facettes qui ne formalisent que celles et ceux qui ne vivent pas dans l’universel ; l’universel, ce qui nous unit si fort, ce qui nous unit vers et ce qui nous rend immenses univers ! *** 1 ) - Les riches sont bien punis, ils sont obligés de vivre avec les riches. Pourquoi se formaliseraient-ils donc ? *** 2) - Pour qu’ils/elles se voient, avec une gigantesque paix intérieure, tels qu’ils sont. Qui ? Les spoliés, les fraudés. Ainsi, s’il y a fraudes énormes ce sont encore les fraudeurs qui reçoivent tous les éloges des médias d’argent sale. S’il y a fraude qui est donc fraudé, qui subit la fraude, qui en devient un dégât plus que collatéral ? De ces pauvres, les ultra fraudés, pas un mot, pas une plainte – strictement aucun respect humain. Qui est donc accusé cette fois-ci ? Que la couverture chômage ne soit plus…universelle (plus « d'assurance chômage pour tous" malgré les dites promesses de campagne), voici qui est un déni et une insulte à l’état de Droit pour qui l’universel reste le fondement de son fonctionnement…Les parachutes dorés paraissent, soudain, encore plus qu’illégaux !
**** 3) – Nous avons, ainsi, formalisé ce qui va tant nous formaliser …Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. …..Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer… ………suffit de regarder très attentivement ! Là-dessus nous sommes formels.
….……(à suivre)
…………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!! Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale *** trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2. Résistances au changement Impliquent changement de résistances Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie. La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ! Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative Le spectacle est une misère pas une conspiration Le si rare moment de la jubilation La façon d’écrire se nomme infini respect Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation. Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous ! Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !) Trouver ce que nous ne cherchons pas ? ……………………… Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu |
Rwanda, Formaliser le commerce informel transfrontalier Selon le rapport de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, l’Afrique perd 42 % de son son PIB chaque année dans le commerce informel transfrontalier. Ce secteur emploie plus de 70 % de la population des pays d’Afrique subsaharienne et est dominé par des femmes travaillant dans des conditions difficiles. Les pays comme le Rwanda se montrent modèles en matière de formalisations de ce secteur mais beaucoup restent encore à faire. Nous nous en formalisons…
« On ne sait pas où est la légalité... » : formaliser ou non la protection d'un proche ?
Premier incubateur féminin: les détentrices de projets aidées à « mieux se formaliser »
Phagocytoses
L'ordre des offusqués
Ethique : l'alternative originelle - Philosophie
Etre sujet, c'est avoir à être sujet, et par conséquent c'est l'être déjà : on n'est sujet qu'à produire pour soi-même une existence de sujet, mais on ne peut le faire qu'à avoir déjà ad...
Alernative ? --- 1° Succession de deux choses qui reviennent tour à tour ---- 2° Option entre deux choses, entre deux propositions. On dit quelquefois choisir entre deux alternatives, prendre la première, la seconde alternative ; cela est faux. Il n'y a jamais qu'une alternative composée de…deux éléments entre lesquels il faut se décider (pas 2 éléments, pas d’alternative). Poussés à bout, attaqués dans nos derniers retranchements, s'il ne reste qu'un parti à prendre, il n'y a pas…d'alternative. On propose une alternative à quelqu'un. On choisit dans une alternative ; mais on ne se décide pas…pour une alternative, puisque l'alternative elle-même est… l'option entre deux issues, deux moyens. Dire qu’il n’y a pas…d’alternative est donc philosophiquemet et scientifiquement irrecevable. A vouloir mentir sur tout – on finit par se prendre les pieds dans ses propres mensonges. C’est ce qui …arrive actuellement. Pour seulement l’oligarchie à l’abolition si annoncée ! Elle ne s’en formalisera pas, vous savez…
La questiologie ou l'art de poser les bonnes questions: Frederic Falisse at TEDxPantheonSorbonne…Oui ? Peut-on s'imaginer que nous utilisions moins de 20 % des questions…disponibles, alors que le fait de choisir la bonne question nous donne un formidable avantage dans la résolution de problèmes ou bien pour développer sa créativité ? Poser la bonne question est un art que Frédéric Falisse se propose de nous apprendre tout en nous démontrant les impacts de son utilisation perspicace.