Ce qui a changé depuis les situationnistes ?

Beaucoup et peu. Mais encore ? Qui n’a pas beaucoup vécu (soit infiniment ressenti et écouté) ne peut accéder aux grilles de lectures efficaces. Et donc surfe à la surface et stationne à la superficielle superficie, sans jamais…vraiment comprendre. Soit, il n’y avait pas internet mais (témoignage) « Qu’est-ce qu’on pouvait photocopier à cette époque. Vrai ? Je le jure, ma vie à complètement changée lorsque m’ont été données ces « pauvres » photocopies de ronéotypes. Enfin, certaines m’ont carrément transmutée. Il n’y aurait pas eu le flot si bénévole, je ne les aurais pas reçues…Et aujourd’hui ? Alors qu’il y a un million de fois plus de possibilités d’envoyer partout des liens, ou même de photocopier rapidos et d’offrir au genre humain, ces bouquets de mots salubres, je me retrouve à faire le boulot de 200 ex-humains qui ne font RIEN. Ma gratitude d’avoir reçu ces pauvres papiers va durer toute la vie. Quelle est la leur alors ? »…Ouiiiii, le texte se structure déjà…le contexte des outils de production différait mais la production queue dalle – pareille …donc tu piges la production, tu « économises » 1 000 heures de maniérismes insensés où la majorité se fait passer pour ce qu’ils/elles ne sont surtout pas. Et toi tu es dans la…vie du sujet !

>>>1) – A l’âge situationniste c’est vachement de photocopies offertes partout de partout, multiplications des chaleurs et des présences…là, c’est carrément déprogrès et régressions par les froideurs. Bon, l’internet OFFRE tant à qui s’accroche. Car qui veut savoir « prouve » à quel point il/elle aime les autres. En général, nous ne savons pas que pour nous. S’affronter à comprendre c’est clairement motivé j’aime les autres. Refuser l’effort, malgré toutes ses frimes c’est frimas…non non tu les aimes pas tant que cela. Les connaissances c’est pour faire connaissance et basta. Et toi tu pourris dans ton néantisme aveuglé de ses « réjections »…Oui, possible de tout « reconstituer » (retrouver comme retrouvailles et trouvailles) à travers les actualités au sens le plus large possible (donc plus de 80 % ne passe jamais dans aucun média dominant)…Ainsi ? Voici le tout crucial qui pointe : qui « semblait » avoir plein d’amis va se retrouver à la disette. Et qui semblait abandonné-e, délaissé-e va recevoir une pluie de trop d’un coup. C’est que les masques tombent – les cheminements se montrent pour ce qu’ils sont. Impitoyable objectivité…

>>> 2) – Les situationnistes étaient très incomplets, ils ont loupé un paquet de trucs, mais ils avaient la bonne méthode et ne l’ont jamais perdue…Le raté ? En fait, il y avait peu de débats de fond, pas assez de remises en questions radicales, pas d’insolences et d’impertinences envers eux-mêmes, trop demeuraient à la porte des choses sans y entrer. Et cela « se sent » dans leurs archives…ils ont vécu peu de nuits folles à « faire le monde » (refaits qui ne le font pas – qui insulte, ainsi, aigrement les autres ne souille que lui-même. Souiller par un « refaire le monde, comme si c’était « obligatoirement » inférieur à l’existant » c’est donc ne salir que soi. Et tic)…La réussite éternelle grâce à la méthode ? Ils savaient d’où ça venait et où çà allait…et nous ramassons un témoignage… »Combien de pintes de rires, je me tape à voir ces égarés faire mumuse avec les reliquats figés de ce grand remuement intellectuel et existentiel. Alors que moi j’en ai rien à foutre de ce passé dépassé. Ce qui me brûle c’est le feu de l’exigence qui me fait capter d’où venait ce qu’ils disaient. Soit les distances intérieures parcourues afin de le formuler. Les sentiments de joie volcanisée qui les faisait entrer en éruption. Soit parvenant à toucher tous les murs de la journée tellement ils en devenaient géants. Ensuite, la manière dont ils visaient, la courbe balistique parfaite, dont ils lançaient les nouveaux concepts vibrant de toutes leurs voilures dans cette prise sur l’infaillibilité. Pas un défaut, rien à refaire, juste à imiter pour les prochains lancers. Oui ils avaient trouvé les moyens de vivre l’éternité le maximum de jours. Alors regarder de L’EXTÉRIEUR sans y entrer me parait d’une bêtise si vertigineuse que des rires salubres me tamtament le cœur de joies. Quels cons ; ils ont le Trésor et ils ne s’extasient que sur l’emballage…qui ne sert à rien. Donc, reprenons, l’âge situationniste (soir trouver les situations qui poussent la société entière à ne pouvoir faire autrement que de se transformer) qui offrait tellement de photocopies qu’il en A VRAIMENT CHANGÉ un pacson d’êtres humains. Internet, bilan, dans ce domaine c’est la grande misère sociale et humaine. L’avarice de grand standing…assis. Peu de partage concret. Que trop d’ahuri-e-s qui se prennent pour des sales majestés et refusent de partager 1) leur humanité 2) l’égalité foncière du genre humain 3) les moyens rapides d’accéder au max d’infos de prix « …C’est un point de vue fondé. En tout cas, ce blog tente de pallier ces immenses défauts mais ne peut tout…remplacer…par exemple, ces ex-humains qui ne bougent jamais de jamais…et se pavanent sur les vannes de l’émancipation collective… )

…………………………..........**********************************

>>> 3)***Nous pouvons seulement aider qui en fait l’effort concret. Situationnistes même méthode. Pas d’avancées – pourtant si, si, qui daigne aller VIVRE tous leurs apports à notre portée. Regarder sans pénétrer c’est du pipi de chat. Trop d’odeurs cuisantes. Ne pas vivre corporellement les concepts c’est entendre une langue étrangère. Ne pas reformuler 2018 c’est se permettre de ne pas respecter les avancées très réelles. Situationnisme (faut vivre ave tout son corps les idées)…et ça ne se met pas entre parenthèses. Et ? Tout ne peut vibrer que dans la pensée unitaire (qui ne dit pas une seule fois « unitaire » n’a rien capté et ne dira donc que…rien ) où il n’y pas de DISCIPLINES intellectuelles séparées, pas de spécialisations genre droit, économie, astronomie mais tout est lié et relié, ces cloisons étanches sont pulvérisées…tu argumentes tout transdisciplinaire car tu veux transFormer toutes les formes. T’es dans la forge, d’autres crétins disaient l’enfer, t’es dans le moteur nucléaire de la société. Et ? Tu te goures tu te fais oui très mal. C’est par pour jouer comme les absurdes hédonistes s’enlisent. C’est pour avoir toutes les manettes en main…Et les plaisantins de conformistes (dire toujours pareil qu’hier pour faire croire qu’ion est dans le « coup ») n’y survivent pas un jour. Car ? Nous ne savons pas ce que nous allons dire. Ressentir d’abord. Vivre à ras bord. Sentir les concepts se tordre, descendre le torrent et prendre formes peu à peu ; sortant du brouillard. Comme rien n’est séparé, rien n’est que spécialisé dans son coin dans la tête, dans la vie également : à chaque seconde, nous devons tenir tout notre potentiel uni dans la main. Soit ? Parfois c’est raté…Témoignage ? « J’ai inventé le concept de solutions à notre portée car c’est l’urgence. Offrir tout ce qui fonctionne immédiatement, qui n’a pas besoin d’attendre. A mon idée, les situationnistes avec le « conseillisme » - soit les Conseils de soldats et d’ouvriers de 1918 – n’ont offert que des esquisses sommaires, trop lointaines et n’ont pas mis la réorganisation sociale à notre portée. Mais il y avait tellement à déblayer. Leurs apports demeurent majeurs …leurs écrits ne pouvaient qu’avoir cette forme difficile…moi-même j’ai dû relire un paquet de fois avant d’arriver…derrière. Derrière quoi ? Cette attention tendue aux mécanismes saisissables par tout le monde. Mais qui ne pouvaient – en toute fidélité- qu’être transmis par cette forme si objective. Donc difficile. Donc pas toujours achevée…En 2018, nous pouvons (comme ils l’ont fait), aller au plus loin, en reprenant les « actualités » où elles ne sont pas analysées et en les reformulant très autrement – bref en les détournant ou retournant – nous pouvons apporter l’accessibilité la plus proche à tout le monde. Pourquoi peu le font ? La morgue de s’auto-croire supérieurs dans leurs vies vraiment pas folichonnes mais qui ne veulent pas s’admettre telles ?  Merci donc à vous de le tenter dans la difficulté qui reste tellement moindre qu’en 1967. L’obstacle plus grand ? C’est l’égoïsme bestial et crétin de parties de la majorité qui n’ont jamais si mal perçu leur vrai intérêt. Le pire ennemi en soi ? C’est de se mentir à soi-même ! »…Il est vrai que si nous approchons ce témoignage du texte d’hier *** la fécondité abonde…ça tilte et retilte à tous les étages. Nous complétons en offrant le meilleur document sur le conseillisme, joignant des documents d’époque avec des analyses fournis, en « Ni parlement ni syndicats : les Conseils ouvrier (1918, 1922) », présenté par Denis Authier et Gilles Dauvé, mai 2003.

*** « le texte d’hier »…. Pourquoi-nous-ne-pouvons-participer-à-la-société

A notre avis cependant, face aux centralismes financiers (qui se prétendent la mondialisation horizontale avec bottom up, alors qu’il y en a aucun), face au centralisme des médis et des moyens d’anti-communication (séparer tout le monde de tout le monde), et les centralisations politiques (L’Europe sans les peuples et l’étranglement de la culture, en France, par exemple), le « communalisme » (celui de la Commune de 1870) et tous ses développement depuis, nous parait plus…à notre portée. De toute façon il est possible de panacher. N.R.V. (Noir Rouge Vert) existe. Les 2 seuls nécessités à ne pas oublier « si nous ne voulons pas régner pourquoi nous diviser ». Donc tout ce qui n’est pas unitaire n’est pas normal voir est insalubre. Le futur doit être vécu par tous, non par des leaders. Seule la culture si défigurée et non reconnaissable a besoin de leaders. Car ? Le très grand changement depuis les situationnistes est que le lumpen prolétariat de Marx existe toujours mais plus chez les ouvriers (qui ne désirent plus transformer grand-chose) – mais dans toutes les activités qui tournent autour de la culture, de la sociabilité et des soins aux autres ( là, il y a puissant désir de transformer la société). Et une désinformation intense : pas un secteur d’activités qui soit plus maltraité que la culture concrète, pigistes pressurés, précaires exploités, intermittents essorés, c’est la misère plus qu’injuste pour des humains de grands talents et avec un cœur plus grand que…oui qui mérite le détour ! Et leurs « supérieurs » surtout pas, plutôt un grand détour pour ne pas frôler ces échecs de vie…Bon, pause de nouveau : nous vous cernons bien l’évènement, avec tant de témoignages, d’expériences directes et d’émerveillements vécus (des kilomètres de kilomètres !)…c’est si énorme qu’il s’agit de ne pas rater la complète compréhension ! Comprendre c’est résister ! Avec « Dol » de Philippe Squarzoni, nous avons même la sensation de nous trouver dans la même pièce que ces voyous. Plus rien ne nous reste caché !

>> *** 4) – Bon, alors, comment présenter à qui ne connaît pas du tout le situationnisme et ce qui a changé depuis ? Afin que cet assaut de la vraie vie cesse de rester un vil objet de musée ? L’I.S. précise que « la participation et la créativité des gens dépendent d’un projet collectif qui concerne explicitement tous les aspects du vécu ». Excellent résumé. La critique de la séparation ajoute qu’il ne peut exister une séparation de la critique. Nous ne pouvons vivre que si nous ne désirons rien d’autre que la vie : pas la hiérarchie qui bloque tout élan vivant, pas la propriété séparée puisque tous et toute participent à mon enrichissement et qu’une répartition ne serait qu’une partition impossible, pas de rôle toujours antisocial, pas d’hypocrisie, etc. Le fond n’est pas intellectuel mais bien de tout vivre et tout ressentir. En étant sûrs que cette façon « d’être » ne peut que tout transformer. La non intervention filigranée dans le spectacle ne peut exister non plus : nous ne pouvons qu’intervenir…Venir à intervenir. Croire qu’il ne faut pas vivre la culture avec les moyens à notre disposition c’est de rester spectateur figé et antithétique (refusant de faire partie de ce dont il est une partie, donc une possibilité de transformer le monde en dégainant son grain de sable)…Pas de compétition en cela mais une collectivisation de ce qui, dans nos vies, appartient à la production. Pas une parcelle de la production (culture, sens, langage, amour social, biens, ressources, nature, partages de l’ensemble) qu’il nous soit permis d’ignorer, d’éviter ou de bâcler. Puisque le but humain demeure de comment parvenir à une communication directe ? Sans aucun filtre ni intermédiaire ? Sans experts ni flicards pour nous en empêcher…Ceci est notre synthèse actuelle qui répond à la question : « comment faire le maximum concrètement en omettant le minimum de théorie ? ». Pour le reste le mouvement unitaire qui mouvemente tout, N.R.V. (Noir Rouge Vert) ne peut que vous apprendre beaucoup !

………………………….....********************************************

>> *** 5) Sur le fond c’est le petit nombre qui fait le plus gros de l’œuvre (synthétiser c’est du labeur, tracter à portée aussi)….quéquette blues pour les évolutions …sauf que la vivacité du vivace augmente. Les bonds vers tout ce qui « brille de vie» (sauter vers tout ce qui ressemble à de la vie et extraire les trésors pour le plus grand nombre…multiple pas 40 ou 400 les résultats par rapport à 1967…), oui « augmenter » son instinct sur internet se développe grand V (au point que tout le monde s’en fiche, désormais, de la réalité « augmentée »). Un témoignage nous parle des deux aveuglements « J’ai vu la pièce ex-de théâtre d’un anticonformiste qui la transportait (seul à tout jouer) dans tous les lieux possibles. Et te la jouant au quart de seconde. Son thème répétitif c’était les «pousseurs» qui par insistance changent toute la société. Comme des suites modifications imperceptibles sur le moment. Ils poussent partout…faut vraiment pas pousser ! Mais tellement bien dit que tu te prends une vache de tendresse pour ces pousseurs et un sacré refroidissement pour les faiseurs. Cela m’a rappelé la taupe des transformations que les imposteurs conformistes harcèlent tant qu’ils/elles peuvent ; mais se foutent à glorifier dès que cela perce…Pareil, sauf que cette fois-çi (les rires salubres ont trop attendus – il faut que les burlesques si empotés dans leurs minables égoïsmes « fassent «  péter de rire à fond les manettes), doit aider aux surections…le démasquage des conformistes si antihumains (ayant tant fait de mal, à répétitions, à leurs sœurs et frères humains). Qu’ils soient comme les points d’appuis pour décoller de la planète »...Purée, grâce aux pousseurs qui se vouent à leur labeur ingrat pendant que les minables qui s’ennuiiiiient nous volent toute la parole Publique, oui grâce aux pousseurs nous sommes en train…d’émerger dru. Et ? Voyons le comment de la densité du rire des situationnistes en 1968 (soit la position de voir tout le film parce que l’on a participé de tout son corps à sa confection) et nous pressentons que le paradire est proche. Le paradis appartient à toi quand tu dis et para-dis pile ce qui n’avait jamais été dit. Et qui n’attendait que toi…et le tout multiplié…

………………par les quasis 6 MILLIARDS d’N.R.V. (Noir Rouge Vert)

………La plus longue conversation de l’Humanité…commence déjà !

…………………..******************************************************

………>>>>>>>>>>>>>> -  ANNEXES  -  CULTURE -  <<<<<<<<<<<<<<

Comment demeure incompris que le véritable prolétariat actuel (celui qui « peut » faire changer) se situe dans  les activités qui tournent autour de la culture, de la sociabilité et des soins. Des bribes d’actualités afin de faire saisir au bond… Tous les festivals de l'été sont visés et l'équilibre de ce secteur saisonnier risque d'en pâtir sérieusement. La grogne est générale. Même les directeurs de festivals, pourtant mis à mal par cette agitation, se déclarent pour la plupart solidaires du mouvement. Aucune des manifestations de l'été ne pourrait se dérouler sans le travail des intermittents. Trois cents cinéastes ont signé une pétition pour soutenir leurs revendications. Des tournées, des tournages, des productions risquent de s'arrêter pour une durée indéterminée. Au-delà de l'aspect strictement technique de ce conflit qui concerne 135 000 humains, c'est le recours à cette forme de plus en plus développée de travail précaire et d'intérim qui est mis en accusation. Dans le collimateur, les chaînes de télévision et les sociétés de production qui font massivement appel à ce salariat instable. Si le mouvement venait à prendre de l'ampleur, il pourrait servir de relais à un soulèvement social qui n'attendrait pas l'automne pour trouver un second souffle.

Et le public dans tout cela ? Comme le rappelle très bien François Cheval sur le point de quitter le musée Nicéphore Niepce de Chalon-sur-Saône, dans l’interview qu’il vient d’accorder au journal Suisse Le Temps : « Les institutions ont oublié pour qui elles travaillaient. Plus de 50% de la population ne trouve aucun intérêt aux propositions culturelles (aussi non représentatives que la faussée offre politique !), la démocratisation ne s’est pas faite. Nous avons œuvré pour la bourgeoise locale, pour les convaincus, alors que l’argent mis dans la culture était un investissement énorme de la part des autorités. Ce n’est pas un hasard si le vote Front national atteint aujourd’hui de telles proportions. Ces électeurs cherchent des boucs émissaires et des solutions faciles. Or la culture est une quête de complexité, une analyse critique. On assiste à un recul et à une droitisation « incitée et instrumentalisée » de la pensée. ».

Lorsque-le-fric-veut-remplacer-l'art-il-n'y-réussit-pas

« Dès lors, les acteurs culturels se transforment en représentants avec leurs petits dossiers sous le bras et des arguments promotionnels choisis puisque l’institution préfère le clientélisme. (soit les Privilèges d’Ancien Régime). Une forme de solidarité entre les grands lieux de création ou programmation et les petites mains n’est même pas à l’ordre du jour. L’eut-elle été un jour ? En bas de cette échelle sociale inversée, les artistes et les techniciens subissent cette précarité organisée et doivent trouver eux même leurs propres solutions de survie. Survie toujours plus difficile ! Si les répétitions ne peuvent être prises en charge, c’est vers Pôle Emploi qu’il faut regarder, car les artistes non rémunérés pour le travail qu’ils font pourtant, utilisent leurs droits à l’intermittence. Du coup, afin d’obtenir le renouvellement du régime, il leur faut multiplier le nombre de collaborations avec les compagnies créatrices et multiplier le nombre de spectacles à jouer dans une même période. Chapeau l’artiste qui dans la même semaine passe d’une comédie de Boulevard, à un classique de Shakespeare tout en faisant une lecture ou un atelier d’éducation dans un lycée. L’aboutissement suprême de ce dumping social est visible chaque année au festival off d’Avignon où nombre de compagnies sont prêtes à tout, jusqu’à la faillite pour que les programmateurs venus faire leur marché (soit la foire aux esclaves) les repèrent. Le pire c’est que l’ensemble des acteurs culturels, artistes, techniciens, organisateurs, producteurs et institutions, acceptent, mais que en apparence, ce fonctionnement sans jamais le remettre en cause et Pôle Emploi devient ainsi le principal financeur de la culture mais il ne faut surtout pas l’admettre car ce serait faire injure aux institutions qui n’assument plus leurs responsabilités. ». Qui peuvent donc être abolies ou transformées très aisément, la valeur d’usage s’étant évaporée… le terrain des grands changements se situe plus là qu’ailleurs !

..…….…….……(à suivre)

…........……..………………**********************************

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu