Comment le privé veut prendre la place de l’état ?
Le fait que l’économie de marché repose sur une théorie fausse a des conséquences inaperçues. Comme cette contre-vérité que l’État doive être géré comme une entreprise. Comprendre c’est résister, et démêler cet imbroglio va augmenter nos libertés et nos espaces de manœuvres. C’est que les pouvoirs tentent, sans cesse, d’égarer dans des routines mentales et nous leurrent seulement si nous nous laissons faire. Le moyen rapide d’échapper à la déchéance conformiste est de n’avoir absolument plus rien des dirigeants dans nos têtes et nos cœurs. Commençons par le prouver en montrant à quel point une contre-vérité peut pourrir de cœurs ! Le capitalisme, afin de se servir au maximum et, à terme, de prendre tous les pouvoirs étatiques, a besoin de faire croire cette stupidité. Puisque si l’État est une entreprise, il doit en distribuer les dividendes aux citoyen-ne-s. Or tel n’est pas du tout le cas. Tout simplement parce que les buts divergent complètement. En effet, l’État fonctionne sans bilan avec…bénéficiaires lorsque tout le monde doit rester bénéficiaire - l’état démocratique (pas celui non libre et complètement faussé du capitalisme libéral) ne doit surtout pas être géré comme un entreprise. Soit à buts lucratifs (de lucre, avidité). Aussi, les services publics ne peuvent surtout pas être traités comme des entreprises puisqu’ils défendent les intérêts de tout le monde. Pas d’un seul. Que ces intérêts ne sont ni expansionnistes, ni agressifs, lorsqu’ils sont des accès non empêchés à tous les services. Auxquels le privé impose, illégalement, des guichets privatisés qui viennent tant fausser la gratuité naturelle. Et ce sans aucune nécessité structurelle. Constitutionnellement, les impôts sont destinés à payer les services publics. Pas à financer les intérêts trop particuliers. Et, d’ailleurs, le privé, dans tous ses atermoiements sinueux, démontre à quel point il est le vassal, le grand dépendant, le vrai assisté du public. Vu qu’il fait rembourser – très illégalement encore – ses dettes par les impôts de tous. Ainsi, 59 % de la dette mondiale sont prouvés venir de …fraudes et de dénis de justice en ces privilèges de non-paiements fiscaux (mais que d’autres doivent payer…). Et ?
Dans l'hypothèse où les services où l'éducation nationale, les services de santé, et autres entreprises de la fonction publique deviendraient …rentables, alors pourquoi continuerions-nous à payer des impôts remplacés par ces profits ? Tel que notre texte l’a démontré… Est-ce-que-les-faux-dirigeants-sont-courtois-?
…l’irrespect est dans les comportements et décisions et aucune parole ne peut l’effacer ! C’est justement de cette corruption du privé dont nous devons nous libérer – corruption causée par son double face qui le montre, à la fois, se dire zéro État mais 100 % d’état lorsque c’est pour lui. Pour les intérêts trop sourds et aveugles d’une mince caste…Pire ? Lorsque ces technocrates viennent désorganiser la société entière : au départ, ils font semblant de s’afficher anti-étatistes mais, très vite, ils deviennent…pires qu’étatistes. Autoritaristes, acariâtres et colériques comme des rombières. Car ? Au lieu de défendre les intérêts d’absolument toutes et tous, ils ne défendent plus que les intérêts « indéfendables » de marginaux. Marginaux capitalistes vivant en dehors de la société – utilisant, cependant, au maximum les infrastructures payées par tous mais sur-utilisées par eux. Le tout en ne payant ni d’impôts locaux, ni régionaux, ni nationaux – oui juste de bas profiteurs détournant l’état au point qu’il aurait dû se détourner d’eux depuis longtemps, etc. Ce pourquoi cet autoritarisme n’existe que parce que ses porteurs ont TORT à 100 %. Sinon pourquoi s’énerver si l’on persiste à défendre les intérêts de tous soit à ne privilégier, si injustement, aucun ? C’est le fait de PRIVILÉGIER les marginaux capitalistes qui…enrage les discours et rend tous les comportements carrément…discourtois. Certitude de la première étape : dire que l’état doive être géré comme une entreprise appartient à la haute corruption. Et n’est surtout pas recevable en réPublique. Qui dit l’état doit être géré comme une entreprise signe à quel point elle/il est totalement antirépublicain…
La fausse théorie des marchés est supposée avoir démontré l’implacable supériorité du privé sur le public. Ce privé est chargé de tellement de qualités divines lorsque le public fait tout mal. Le privé doit donc tout apprendre à ce grand nul. Comme de glisser dans la mentalité de se laisser convaincre du préJugé qu’étant si inférieur, il doive copier tout du privé, et déjà adopter sa comptabilité totalement inadaptée pour un organisme qui ne veut pas faire de profits, etc. Et, ainsi, l’état devient juste une prolongation de ses avidités – comme sa grande succursale. Ce qui fait bien venir le dogme de l’état géré comme une entreprise de la…corruption le plus voulue. Et il s’agit d’entendre corruption telle…détérioration, dégringolade, déchéance, déclin et décrépitude. Rien de reluisant, tout de dégradé, déqualifié, dévalorisé, dévalué oui très déprécié. Ce pourquoi ce concept reste tant à double tranchant : et peut se retourner tout net contre ses initiateurs. Et ceux qui se cachent derrière afin de tant gaver leurs viles cupidités…. Comme cela.
Gérer-l'état-comme-une-entreprise
..……………….……….......….…***************************
Si l'état devient une entreprise comme une autre il ne peut demander (ou forcer) les « autres » entreprises à arrêter la destruction de la Nature, à ne plus tout polluer, air, eau et sols, à ne plus rendre les humains malades, à installer partout des monopoles impératifs, auprés desquels ceux de l’ancien état paraitront sympathiques. Si l'état devient une entreprise comme une autre, il ne peut contraindre les exploiteurs à ne plus maltraiter et spolier les humains, les fraudeurs de faire payer leurs impôts par les autres, et ces « autres » entreprises de se glisser partout afin d’écrire des lois que des politiciens « élus » (sic) font semblant de voter. Si l'état devient une entreprise comme une autre – ce sont ces entreprises qui gouvernent en sous-main. Et tout le vacarme que nous subissons et les désorganisations qui nous paraissent aberrantes – prennent sens, se font comprendre, entrent dans des raisonnements. Et montrent les prises par lesquelles nous pouvons inverser ces graves désordres au sommet. Clair, que ce que font ces lobbies est carrément illégal. Nous représentons la légalité et devons en user pleinement. Déjà, en voyant la réalité telle qu’elle est : en réPublique les privatisations sont clairement illégales…et le cheval de Troie du capitalisme au cœur de l’État à bien pris tous les traits que nous venons de décrire.
La-gestion-publique-n'est-pas-comparable-à-la-gestion-privée-des-entreprises
« En France, la rationalisation des choix budgétaires (RCB) est mise en place expérimentalement en 1968 au ministère de la défense et au ministère de l’équipement, avant d’être généralisée à tout l’espace gouvernemental en 1970. La démarche est, d’une part, très abstraite et, d’autre part, très éloignée des mœurs administratives. De plus, elle maintient les structures budgétaires dans une stricte logique de moyens. Cela explique l’échec de la RCB qui cesse progressivement d’être utilisée. On peut considérer qu’elle est complètement et définitivement abandonnée en 1980.
Toujours est-il qu’elle fait figure de précurseur des dispositifs plus récents de la nouvelle gouvernance [[ dès que mot « gouvernance » est prononcé – entendons dictature insidieuse du privé ]] financière publique trop inspirée du management privé : la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), la révision générale des politiques publiques (RGPP) puis la modernisation de l’action publique (MAP)»… constituent le dispositif par lequel le capitalisme libéral voudrait prendre possession de tous les biens publics. Aussi, le bilan de cette grave erreur publique (dont, étrangement, aucun média dominant n’a jamais parlé ! A croire qu’ils ne parlent jamais de…l’actualité !) est que la RGPP est un fiasco. Déjà par toutes ses dérives de corruptions qu’elle aura ouverte : un seul exemple, confier les audits faits très bien et gratuitement par les services publics au privé qui surfacture, ne montre ni objectivité ni exhaustivité et bâcle donc le travail – faut tout refaire derrière lui – coûte très cher au pays. Et les « révélations » du Canard enchaîné ne peuvent exister que parce que ce désastre du privé s’est abattu sur le public. Seul le privé y est décrété « sérieux » et donc tout ce qui « peut rapporter » sera réservé à l’unique privé si sérieux. Tout se tient donc et dès que nous tenons la théorie la plus proche du réel, nous éclairons nombre de pans de celle-ci. Laissés encore dans l’ombre. Par exemple, un des buts de la sinistre gouvernance reste de : « Toujours réserver le mauvais rôle à l’instance publique (l’état) »…l’actualité remplit abondamment les témoignages que ceci est vrai. Gouvernance ? Oui ce sommet de corruptions où les règles ne sont plus écrites, mais rendues implicites par cooptations des « médiocrates » et, ainsi, de proche en proche, s’imposerait la dictature du privé. Celui se substituant à l’état. Notamment pour tout…privatiser. Afin de mieux rançonner, ensuite, « ses » clients corvéables et manipulables à merci. Fort heureusement, les balourdises de la gouvernance permettent de la contrer à temps. Dont l’étourderie énorme de son imposture économique, oui de se fonder sur la théorie des marchés complètement fausse. Ce qui permet, armés de la logique et du sens des mots (entre autres), de démasquer ces dangereux fauteurs de troubles, ces putschistes absolument inadmissibles, oui ces vrais ennemis de la société.
Fort heureusement, aussi, l’administration n’a pas été gérée comme une entreprise, ce qui nous sauve toutes et tous…Les ennemis de la politique objective et désintéressée comme des non privilèges républicains mettront du temps avant de saccager ce patrimoine collectif. Et leurs agissements désordonnés paraîtront, à un moment ou un autre, comme ceux des trop avides…rivaux des pays ! Qui faisaient juste semblant de les gouverner !
………………………..****************************************
Dans le concept de haute corruption, la « Gouvernance », si bien déconstruite par Alain Deneault, novembre 2017…nous trouvons, ainsi, toutes les touches qui, peu à peu, transformeraient la réalité en …idéologie extrêmement nuisible : nous allons en articuler les majeures… >>> ** « Restreindre l’État à une entité privée (p. 206). » Ce pourquoi le libéralisme carrément contre l’état le rend hyper interventionniste, sans neutralité ni limite, et hyper autoritariste…dès qu’il s’agit de ses intérêts indéfendables (face à la survie de nos vies). Pour les capitalistes, ces postures de grands écarts ont toujours décelé de graves escroqueries. Preuve de flagrant délit : « Postuler un « citoyen » réduit à lui-même (p. 210) »…de ce qui est l’expression du meilleur universalisme. De celui de rien de plus solide que le solidaire. De la sororité et de la fraternité indissolubles. Souiller en un anti-citoyen « privé », hyper égoïste, hyper insensé et devenu plus qu’irresponsable – clair que cette « gouvernance » est la pire ennemie de la République et doit…être chassée de toutes les institutions. Ainsi que ses véreux porteurs et colporteurs.
« Réduire la politique à une technique (p. 204) » est le pire des affronts « calculés » qui puisse être fait aux institutions républicaines. Qu’elles ne le prennent pas ainsi dénonce, avec percussions, leurs suspectes tiédeurs citoyennes. Ainsi, la politique pourrait se rétrécir à une gestion COMMERCIALE ? Sauf que qui est corrompu ne pourra plus rompre de corrompre les autres…car ? « Rendre la partie (l’organisation déficiente privée) plus grande que le tout (l’État) (p. 217) » signe le clair complot contre l’état, le putsch illégal de la cupidité sur ce qu’elle ne pourra jamais posséder (l’intérêt de tous)…puisque tout ne se passerait plus que par « privatiser en privant (soit en expulsant, privant de droits, spoliant) » et « avoir intérêt à défendre des intérêts »...soit de claires tentatives de corruptibilités de citoyens. De destructions de la société par assauts d’égoïsmes fous et de cupidités illimitées. Seuls des ennemis du genre humain peuvent agir ainsi
Encore un assaut de corruption : « privatiser les projets de société (p. 233). » Comme si des cœurs aussi pourris pouvaient se hausser à se faite prendre pour des autorités morales ? A assumer un si fort sens des responsabilités, une attention aussi soutenue au sort de chacune et chacun. A tant d’oubli de soi qui permet de devenir très ambitieux oui mais pour…les autres (pas pour soi)…toutes qualités qui n’appartiennent pas au privé. Désintéressé qu’il serait ? Privé qui se veut donc usurpateur de ce qu’il n’est pas. L’indécidabilité de la gouvernance (nul-le ne sait bien ou si…ou cela, sauf dans leurs rares écrits extrêmement ennemis de la société), oui cette indécidabilité place la gouvernance parmi les « casseurs » de la civilisateurs. D’ailleurs n’avouent-elle pas cette gouvernance de casseurs (p.241) de vouloir « privatiser les prérogatives gouvernementales » ? Ce qui se traduit comme faire un coup d’État. Ou, plutôt, pour ces si sordides personnages de pratiquer un immense…braquage contre les institutions publiques. D’où gouvernance = direct prison ? On le dirait bien ! Autre preuve que ce privé est un voyou complet ? « Toujours réserver le mauvais rôle à l’instance publique (l’état) (p.243). » Ce que Joseph Stiglitz a parfaitement noté comme la schizophrénie d’immoralité de ces gugusses allant dans son bureau du FMI. Soit pour exiger… 1)** des prébendes très illégales…en chuchotant qu’il ne faut pas généraliser ces avantages aux autres…2) *** soit en pérorant si minablement qu’il faille « restreindre sans cesse l’État » (sauf pour eux selon toute évidence où il faut l’agrandir au maximum). Et donc ? L’argent sale achète les médias qui salissent (par cet argent sale) les États dont ils obtiennent, pourtant, tous les privilèges illégaux. Pourquoi agir ainsi ? Afin de détourner au maximum d’un acte bien simple ? Que les citoyens-ne-s se saisissent des bâtiments et mécanismes, les personnels étant franchement pour, afin de retourner les structures des services publics contre les grands délinquants capitalistes. Faire passer cet état pour un grand méchant loup (dont on se détourne si bêtement) RETARDE l’inéluctabilité de cette prise de conscience. Qui est ? L’état est seulement l’usage qui en est fait. C’est donc une coquille vide qui peut être utilisée à 100 % différemment de ce qu’elle fut. L’erreur de la Commune de 1870-1871 c’est de ne l’avoir compris qu’à moitié. Et de n’avoir investi qu’une partie des institutions (manquait, entre autres, toute la culture et la Banque de France qui aurait cédé à leurs ordres s’ils les …avaient seulement donné !).
>>> « étriquer les mots et leur choix (p 250) ». Ce blog semble le plus en avance afin de l’empêcher. Puisque le but caché de la scandaleuse gouvernance (qui se présente comme neutre (sic)) demeure de masquer toutes les conditions matérielles de l’enrichissement des trop riches (ce qui avoue, pour eux, à quel point la plupart sont des…gangsters). Surtout le moins possible de CONCRET (facile de le vérifier dans les médias vendus – que du verbiage à ce sujet, pas un seul fait sensé !). Oui ? « Passer outre l’histoire et les conditions d’enrichissement des puissants (p 255) »…ce pourquoi la déchéance des capitalistes y est maximum. Trafiquant tous les faits, son irrespect monstrueux envers la vérité (donc l’honnêteté) y est maximal. Or pas de plus fort irrespect que de ne pas respecter les faits (donc les êtres). Que les politicards du capitalisme aient les comportements les plus discourtois (alliés à des paroles fielleuses qui soulèvent de nausées) n’est plus à démontrer. Ainsi ? Tous les agissements du centralisme trop hiérarchique et bureaucratique (c’est sa bureaucratie qui enrichit tant le capitalisme) sont de très hautes corruptions ; soit « enfermer les états dans la compétitivité fiscale (p 262). »
Soit les faire chuter dans sa sordidité. Renverser la nette hiérarchie des valeurs ; soit que les intérêts du plus vénal et du pourri prévalent sur celui des braves gens et des honnêtes humains. Quel que soit l’organisme qui « accepte » ces…pots de vins - au lieu de contraindre ces multinationales à payer leurs impôts (sous menaces claires d’expulsions des territoires avec saisies des biens) il fonde l’économie de bakchich. Oui qui acceptent si stupidement ces corruptions se rend complice et « receleur » des biens volés …car « Proscrire toute conclusion (p. 288) » donc toute décision décisive …que toute décision ne puisse définitivement statuer sur le sort de ces graves ennemis du genre humain. Ce qui n’est que sidérations et hypnoses puisqu’il suffit de « passer outre » (ce qui reste inscrit dans la loi…du seul fait de sa jurisprudence et du fait que la Justice en ait plus que marre de la destruction de la séparatibilité des pouvoirs par un exécutif qui peut se voir, immédiatement, condamné pour ses milliers d’abus…très cumulés).
« élaborer des « normes » privées d’inspiration impérialiste (p 294). » Deux exemples ? « Oublier toute fiscalité comme sa raison d’être »…et « se montrer compatible offshore »…soit au lieu de limiter les enfers fiscaux (ce qui transforment les fraudes en grand banditisme avec le proche délit d’optimisation fiscale » (cette expression est bien insulte à magistrat puisqu’il crache que frauder rapporte énormément – et donc ? Que le magistrat « optimise » (lui aussi) en « fraudant » par une saisie des patrimoines (ceci se nomme faire rentrer les trop cupides dans les terriers qu’ils n’auraient jamais dû quitter)…d’ailleurs ? Le « Déterminer par l’argent l’accès au droit public (306) »…ce qui est le pire des délits avec préméditation puisque, clairement, il est affirmé : C’est l’Argent qui fait la loi et les magistrats n’ont qu’à se laisser acheter sinon nous les aboliront. Pas de plus grand braquage que celui où les braqueurs foutent en prison leurs juges. Oui ou non ? Ah non alors pas question que l’état soit géré comme une entreprise…la politique à « la Al Capone » n’est pas recevable. Qui est ?
***1)- Séparer tout le monde de tout le monde, soit détruire tous les liens sociaux, tous les services publics, toute force publique d’interposition…***2) ensuite - racketter en grand chacun-e ainsi isolé-e et rendu-e sans…défense (facile de retrouver ces grandes lignes dans le Al Capone voulant faire de la politique. Et exposant ses vues afin de se faire intégrer dans le « big business »)…
….………………..*****************************************************
Si l’État n’est « qu’une » entreprise, les « relais » des entreprises ne peuvent trouver que « normal » les fraudes et les privilèges. Puisqu'en pour ces cœurs à l’envers ce sont les petites économies, les économistes (oui ceux faisant des…économies) ne nuisant à personne, les serviables, les partageurs, les libérés, etc.…qui fraudent ? Fraudent quoi ? Eh bien les bénéfices que ces marginaux se destinent à être les seuls à pouvoir amasser. Par contre, qui, afin de développer ses soi-disant activités triche, ment, dissimule des informations, détruit toute confiance…tout cela c’est bien. Cela va de mieux en mieux…Et ? D’où leur mépris plus que décalé pour l’État, cette vache à lait, qui n’existe qu’afin ils se servent à fond. Mais c’est au détriment des majorités réelles. On s’en fout des majorités réelles. C’est cela l’entreprise. Nous comprenons à quel point la décomposition est entrée dans des cœurs qui ont promis ( mais que verbalement) de servir l’état. Mais c’était afin de le desservir au maximum. Et le mépris de concupiscent pour le public se reflète dans l’angle aveugle dont ils/elles traitent des fonctions de services si nécessaires aux grandes majorités. A quel point « ce n’est pas gênant » de spolier des secteurs entiers d’activités…puisque ce n’est pas contre eux/elles mais…pour l’entreprise dictatoriale. Et tous leurs mots en deviennent viciés, et tous leurs concepts en sont gâtés, toutes les attitudes se montrent altérées comme les sociabilités putréfiées. Les conséquences de cette contre-vérité semblent bien être incalculables, incommensurables. La plus grande fouteuse de merdre, le plus grand bouleversement civilisation…c’est même le début du chemin vers la complète barbarie.
Il faudra encore un texte afin de prouver ce qui, ici, a pu sembler affirmations hâtives. Cependant, le plus gros de l’élucidation est accompli. Et obtient une double grande victoire. Montrer que seule la « pensée unitaire » peut accéder à une théorie qui nous explique tout ce qui se passe…
…comme de prouver les gains de temps collectifs vraiment gigantesques…que représente de seulement accepter d’assumer les actualités…
(mais toutes, pas que ces 20 % dans lesquels se calfeutrent les médias menteurs) !
……….……(à suivre)
……………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Dès que le lucre avide surgit il n’y a plus que contradictions. Par exemple le« L’État doit gérer en bon père de famille »…donc ne surtout rien faire comme le privé. Encore moins la Bourse.
Très grave absurdité donc du : «Gérons la collectivité comme on gère une entreprise»…Les services publics restent à buts non lucratifs et ne peuvent faire de profits. Les comptes de résultats n’y servent à rien – sauf à qui voudrait en dérober…les résultats. Ah, c’est donc cela ?
L' État ne peut pas et ne doit pas être géré comme une entreprise
L’état n’a pas à démarrer (to start) puisqu’il est un état (cet étant permanent) déjà là. N’ayant pas besoin…de surgir de but en blanc
L’État n’est pas une entreprise similaire aux autres – puisqu’il n’est pas une entreprise tout simplement. Mais une organisation publique à but non lucratif.
Pas de passerelles « naturelles » - les seules qui peuvent se faufiler sont donc les… conflits d’intérêts. Et les cumuls de conflits d’intérêts.
Conflits d’intérêts : Depuis les années 1990, de plus en plus d’États connaissent une transformation majeure de leur système de comptabilité : ils passent d’une comptabilité publique spécifique destinée à contrôler la régularité de l’emploi des fonds publics à une comptabilité privée, d’entreprise, permettant d’évaluer un patrimoine et calculer un résultat. C’est le cas de la France depuis le 1er janvier 2006. Marx, Sombart et Weber ont montré que ce type de comptabilité était un des fondements de l’entreprise capitaliste et une des conditions de possibilité du développement du capitalisme moderne. Alors que viennent faire ces fondements et conditions du capitalisme au cœur des États contemporains ? Si ce n'est trahisons et corruptions c’est quoi ?
Dérives d’un état qui ne serait que de profits. Contre qui alors ? "Cela a du sens parce que tout balancer au privé ça a des surcoûts. Je l’ai vu dans ma ville en étant président de copropriété. En travaillant en régie (c'est à dire être prestataire chez un client le temps d'une mission), il est possible de faire des économies grâce à du personnel". Le privé c’est bien gaspillages partout !
Écraser un conflit dans l'entreprise ? Les services publics ne cherchent à faire gagner personne…donc, structurellement, ils ne sont pas générateurs d’injustices…
Rien à voir avec les exigences ingrates d’un état…qui doit tout assumer et ne pas trier – irresponsablement – ce qui est « rentable » (avec l’aveuglement du court-terme qui, en général, ne comprend rien).
C’est parce que le privé est si intrusif qu’il est refusé. Sans écoute possible – il ne cherche qu’à imposer son monologue obsédé !
1 - La preuve que la France est de plus en plus libérale ?
"L'État de connivence", un capitalisme à la française ?
Que signifie pour la France de vivre dans un monde et une Europe durablement en excès d’épargne ? D’être piégée notamment, au cœur d’un espace de vieillissement et de déclin démographique que forment l’Allemagne, mais aussi la péninsule ibérique et l’Italie ? Cette configuration a des implications sur la manière de penser nos ajustements sur le long terme. Elle nous conduit notamment à penser des politiques structurelles ne se réduisant pas au moins disant social et salarial...Bref à considérer le libéralisme comme le stade infantile de l’Humanité.
3 - La preuve que la dépense publique finance les investissements d'avenir! Et pas le privé…
L’auteure explique comment les dépôts bancaires, cotisations sociales et avantages sociaux des Français sont massivement volés par les banques avec la complicité absolue des politiques. Et pour illustrer son propos, Eloïse Benhammou démontre comment le RSI, le régime social des indépendants, détourne l’argent des travailleurs pour l’investir sur des placements financiers de plusieurs milliards d’euros. Une situation qui conduit les entrepreneurs au suicide.
La mondialisation à degré variable ...
La majorité des français s'estiment bien protégés de la mondialisation par le gouvernement. Avec des millions de chômeurs, ce ne doit pas être ceux là qui ont été " sondés "... Partie pre...
https://lesmoutonsenrages.fr/2018/04/23/la-mondialisation-a-degre-variable/
L'exécutif va s'attaquer aux " petites taxes "
L'Etat va consacrer quelque 200 millions d'euros dans le projet de loi de finances pour 2019 afin de compenser les suppressions. Haro sur les " petites taxes ". Le gouvernement envisage de supprimer
la manière de scruter les micros taxes ne ressemble plus guère à une vaste vision de la République…
" Nous voulons un pacte girondin entre l'Etat et nos territoires "
Dans une tribune au " Monde ", quinze présidents de région de droite comme de gauche appellent le président de la République à tourner la page du jacobinisme et à s'appuyer sur les territoire...
Il y a une contradiction totale entre le discours girondin ouvert aux libertés locales et à la différenciation des territoires du président de la République et de son gouvernement, et leur comportement centralisateur. Ceci c’est croire naïvement qu’en déguisant de mots il est possible de faire « oublier le contenu hyper centralisateur».
La kleptocratie française