Des avantages d’un regard droit ?
Témoignages : Affublé, par certaines stars, de dons que je n’avais pas, ce qui omettait des dons que j’avais – je me suis très préoccupé pendant trop de temps de ce qu’elles pouvaient bien attendre ou espérer de moi ? Cette attention à leur égard venait de ce que je leur prêtais une clairvoyance supérieure puisque si elles me voyaient comme cela, c’est que j’avais tort et elles raison. D’où tout ce temps voué à deviner leurs pas. Ce n’est qu’après que j’ai ressenti à quel point être connu(e) ne confère guère de lucidité particulière. Mais, au contraire, peut enfermer dans de courtes vues. Et comment ? C’est ce que vous appelez « le regard droit » qui m’a permis de m’extirper de ces attentes renouvelées et, dans lesquelles je ne démêlai rien de clair et possédant un chemin afin d’y accéder. Et, j’en, ai déduit qu’elles voient tout le monde à leur image (tout le monde voulant, également, être connu(e) à n’importe quel prix et faire ce qu’il faut pour – ce qui est loin d’être une opinion majoritaire). Et leurs approches serpentines, louvoyées ou tordues (à mon égard) se voient déjouées par ce simple « regard droit ».
Je ne suppose rien de personne, reçoit quiconque tel qu’il/elle est et ne désire surtout pas changer de force les gens. Seulement convaincre, par l’argumentation et la conviction, changer certaines mentalités, transmuter les comportements. Qui me semblent les vraies sources des malheurs publics. Trop entier et trop simple, sans doute, pour être bien perçu par nombre de pervers narcissiques de notre époque... Oui, oui, ce personnage qui ne parle pas comme les déchus médias, nous expliquait que, dans sa vie, il a toujours avancé sans jamais devoir rebrousser chemin pour s’être trompé de route (ce qui devient le cas de trop d’entre nous) – ce qui lui semble le travers « pourtant évitable » de beaucoup de nos contemporains. Ce qui nous a permis, après décantations des récits, de percevoir le regard droit spontané qui trace bien la route la plus assurée possible. Un regard droit, une voie plus droite ! Ce qui semble, concrètement, un immense bénéfice de vie - et un inconvénient seulement dans les ambiances gavées d’hypocrisies et de faux semblants. Celles dont nous pouvons vivre sans…
Seconde étape (puisque nos collectes de témoignages ont fait se dessiner ces structures après coup, seulement !)…les avantages pour penser, réfléchir, inclure, raisonner du « regard droit ». Puisque pour ressentir, vivre son instinct, ne jamais perdre sa direction de vie, éclaircir les autres, c’est déjà très visible…La voie le plus difficile – la vérification par les faits ? Soit…ce qui est le plus hors de notre contrôle (donc éloigne toute possibilité de fraude) parait comme ce qui est le plus contre nous. Et qui, par la seule force de notre pensée et nos comportements, doit se montrer convaincu de nous. Ce qui renforce nettement la valeur de ce que nous démontrons et prouvons ! Des perles.
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Violence, agressivité, atteinte à l'ordre moral, criminalité, terrorisme [[auxquels s’adonnent trop les pouvoirs et leurs prétendus « sommets » ]]...Tous ces comportements déviants auraient-ils leur origine dans le cerveau ? Pour le savoir, la méthode de choix serait-elle l'imagerie par IRM qui permet désormais de voir le cerveau en fonctionnement, sans avoir à ouvrir la boîte crânienne ? Certes les neurosciences apportent leur concours avec de nouveaux outils de diagnostic thérapeutique, notamment avec les interfaces cerveau ordinateur…mais comment mesurer les aptitudes morales ?
« Dans une publication de la revue médicale "The Lancet" (Feuillet 2007), un cas exceptionnel a été décrit par des médecins français concernant un patient venu en consultation à l'hôpital de la Timone à Marseille. Cet homme de quarante-quatre ans, marié, père de deux enfants et menant une vie professionnelle normale, se plaignait d'une sciatique. L'imagerie cérébrale par IRM a révélé que son crâne était essentiellement rempli de liquide intracrânien (céphalorachidien) et que son cerveau formait une mince couche aplatie sur les parois du crâne. Il s'est avéré que ce patient souffrait d'hydrocéphalie à la naissance. Cette anomalie est classiquement soignée par la pose d'un drain qui permet d'évacuer le liquide en excès. Or le drain s'est bouché et progressivement la pression du liquide a fini par refouler le cerveau sur les parois de la boîte crânienne. Le tout s'est passé sans aucune conséquence dans la vie du patient qui ne s'est jamais douté de rien !
Dans l’état actuel de nos connaissances, les neurobiologistes sont bien en peine d’expliquer comment un cerveau largement déformé est capable d’assurer toutes les fonctions d’un cerveau normal. On est bien loin de la vision classique d’un cerveau divisé en territoires, chacun spécialisé dans une fonction. Le cas du patient hydrocéphale est particulièrement révélateur de la " plasticité cérébrale " qui permet au cerveau humain de s'adapter aux évènements de l'environnement (May 2011, Vidal 2010, 2015). Il apporte aussi la démonstration que les capacités mentales ne dépendent pas directement de la forme du cerveau, ni de l'épaisseur du cortex. Il s'agit d'un résultat fondamental qui montre que la présence de particularités anatomiques dans le cerveau ne permet pas de prédire le devenir d'un sujet, qu'il soit jeune ou adulte. Nul doute que si les images du cerveau du patient hydrocéphale avaient été connues dans son enfance, il aurait reçu l’étiquette de futur handicapé mental avec les conséquences néfastes de stigmatisation [[ de plus en plus de stigmatisations s’avèrent sans fondement – ce sont bien les stigmatisateurs qu’il faut engueuler dru : il y en a bien trop aux sommets !]] que l’on peut imaginer (Giampino et Vidal 2009).
A la recherche des neurones du sens moral : La question des relations entre la structure et le fonctionnement du cerveau revêt une importance particulière dans le contexte actuel où les neurosciences sont de plus en plus convoquées pour expliquer les comportements humains et leurs "déviations" [[en évitant beaucoup de parler des sommets où il semble y avoir un nombre significatif de déviants qui prennent des décisions qui nuisent aux majorités. Sans parler des lobbies illégitimes partout !]]. La démarche n'est pas nouvelle. Au XIXe siècle, Cesare Lombroso fondait la criminologie scientifique. Il prétendait repérer les criminels à partir des traits anatomiques du visage et du crâne. La science venait au secours de la justice... (Gould 1997). Où en est-on au XXIe siècle ? La même quête anime toujours certains chercheurs, en particulier aux États-Unis où la lutte contre la délinquance et le terrorisme est une priorité nationale [[ mais en limitant le champ d’investigation au bas de la société – ce qui n’est plus scientifique du tout : mais affreusement idéologique]]. Certes, le vocabulaire et les méthodes ont changé. On ne parle plus de criminalité mais de psychopathie antisociale, tandis que l'imagerie cérébrale a remplacé l'analyse des faciès et des bosses du crâne. Tous les comportements déviants auraient-ils leur origine dans le cerveau ? D'après les neuroscientifiques américains spécialistes du "syndrome antisocial", la réponse est oui. Leur conviction s'appuie sur des travaux consacrés à la recherche des zones cérébrales impliquées dans le jugement moral (Moll 2005). Le but est d'identifier les circuits de neurones qui sous-tendent l'évaluation du bien et du mal et de là, les attitudes pro- et antisociales. Pour ce faire, les chercheurs ont recours à l'imagerie cérébrale par IRM. Mais comment s'y prendre pratiquement pour mesurer les aptitudes morales ?
L'expérimentation en IRM impose en effet que le sujet reste strictement immobile dans la machine, avec la tête enserrée dans un casque muni d'un écran vidéo, le tout dans un environnement sonore proche du marteau piqueur... Joshua Greene, un leader dans le domaine, a développé des tests spécialement adaptés à l'IRM. Dans un article fameux publié dans la revue "Science" (Greene 2002), Greene nous décrit son expérience princeps sur le "Dilemme du Trolley". Le sujet allongé dans la machine voit le film vidéo d'un trolley incontrôlé qui, s'il continue sa route, va écraser cinq personnes présentes en aval sur la voie de chemin de fer. Dans la situation A, le sujet peut virtuellement agir sur un aiguillage pour dévier le trolley sur une voie où se trouve une seule personne qui sera immanquablement écrasée. Dans la situation B, le sujet peut lui-même pousser une personne sur la voie pour stopper à temps le trolley et sauver les cinq autres situées en aval de la voie. Que se passe-t-il donc dans le cerveau du sujet soumis à un tel dilemme ? Pour la situation A, moralement acceptable, on voit s'activer les régions cérébrales impliquées dans le raisonnement cognitif. Mais s'agissant de la situation B, déclarée par le sujet contraire à sa morale, ce sont les zones de l'émotion qui s'activent davantage.
Greene conclue que son expérience (réalisée en tout sur 9 personnes) apporte la démonstration d'une base neuronale associant cognition et émotion dans le jugement moral. Pour lui, l'être humain serait doté d'un "instinct moral affectif qui aurait été sélectionnée au cours de l'évolution pour limiter la violence interpersonnelle" [[ et il en faut des propagandes immorales venues des sommets, des consumérismes et autres corruptions morales afin d’anéantir ce joyau venu du fond des âges ]]. Et si cette capacité cérébrale est défaillante (pour des raisons génétiques par exemple) le risque est sérieux de voir le sujet adopter un comportement antisocial, ouvrant la voie à la délinquance »...
Et ? Ce récit semble bien trop sommaire pour correspondre à la réalité qui est complexe. C’est une idéologie utilitariste (basée sur l’amoralité) qui permet à de prétendus dirigeants de trop réprimer le bas de la société (reconnue pour se prouver bien moins antisociale que les sommets) et d’euphémiser sans cesse les graves torts de ces classes autoproclamées supérieures (et qui le sont si peu – sinon, il y a belle lurette qu’elles auraient jugulé les inégalités si destructrices de la société…au lieu de les aggraver !). Ces euphémisations des méfaits des trop riches, repérées d’abord par Michel Foucault fonctionnent ainsi : à chaque fois qu’un sommet commet une lourde exaction c’est toujours les « C’est pas grave ! C’est une petite faute d(inattention ! Nous n’allons pas y passer le réveillon ! » qui fait que quasiment aucun riche ne va dans les prisons qu’il mérite bien plus que les pauvres ( car, pas de circonstance atténuantes pour ces riches !). Tandis, qu’à l’opposé, il y a d’exorbitantes exagérations pour les pauvres : ils volent un pain et la société est un immense danger. Résultats scandaleux ? Il y deux formes de résultats de nuisances antisociales. Le volume (le nombre d’actes concrets) et la valeur (les montants financiers des préjudices concrets pour la société). Et l’injustice au regard non droit pointe déjà : les médias menteurs, d’argent sale, ne citent que le…volume. Or en valeur c’est 90 % de la délinquance c’est les trop riches. Oui 90 % ! Et le nombre d’actes nombreux des pauvres, mais sans valeur financière, ne totalisent jamais les trop graves préjudices, que causent à la société ces riches hyper délinquants. Ce pourquoi l’hypocrisie inadmissible de « l’optimisation fiscale » est bien une fraude fiscale avec circonstance aggravante qui veut maquiller le délit. Tout n’est-il pas clair ? Des réflexions logiques, pétries de justesses et de justice, de pondération et de prise en compte de la réalité…et leurs gros sabots d’empotés embarrassés de leurs lourdeurs (si incapables de bien manier une science !). Et leurs inadmissibles conclusions hyper unilatérales et séparatistes, et donc non…universelles, qui veulent « juste » fourguer les responsabilités de tout sur les pauvres. Pauvres qui ne font que subir ces déviances antisociales que d’être trop riches dans un monde dévié de trop d’inégalités financières. Ils se paient de mots nous leur rendons chaque monnaie de leurs pièces. Ils ont tort et causent tant de torts ! Avec circonstances aggravantes de tenter de maquiller leurs méfaits par de la fausse science et fausse bonne conscience ! Comment retrouver la véridique bonne conscience alors ?
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Renart-Léveillé.com/-Lettre-a-toi-cerveau/
« Salut à toi et ton cerveau, je t’avertis, je vais commencer raide. Comme tout le monde, ça doit t’arriver de te tromper? Si ta réponse est non, t’es peut-être un cas perdu. Tu peux soit arrêter ta lecture et faire autre chose, ou continuer, à tes risques… Donc, ça t’est déjà arrivé de te tromper parce que t’as mal figuré un problème ? Pense à n’importe quel genre de problème. Un problème pratique ou même un problème avec tes relations amicales, familiales ou amoureuses. Avec n’importe quoi qui demande un minimum de calcul ? Pis, si on t’explique que t’es dans le champ pour telle ou telle raison, tu fais quoi? T’avoues que tu t’es trompé ou t’essayes de trouver le moyen de dire que c’est pas de ta faute ou même de continuer à dire que t’as raison ?
Le pire, c’est que je te demande ça, mais y’a de grosses chances que tu t’en rends même pas compte quand ça t’arrive. Parce que ton cerveau est, comment dire, paresseux… S’il a le choix entre travailler plus fort en se concentrant ou utiliser ses réflexes, son « intuition », il a tendance à choisir ce qui lui coûte le moins d’énergie (et ce qui lui donne de bonnes émotions [[ mais si émoussées, imbuvables – mieux vaut des émotions de grand vent, de pleine mer. Bref celle d’un regard droit !]], peut-être même pour calmer ses mauvaises émotions…). Donc, il va choisir d’aller au plus simple. Dans un sens, il contourne le problème [[ ce qui n’est pas le résoudre]]. En langage spécialisé, on dit que c’est un biais cognitif.
Mais inquiète-toi pas. C’est pratiquement pareil pour tout le monde. Même d’ailleurs pour les spécialistes dans un domaine quelconque. Il y a des résultats d’études qui le prouvent. Des mathématiciens se sont fait presque autant pogner que des personnes ordinaires avec des problèmes mathématiques. Le genre de problème qui a l’air simple sur le coup, mais qui demande un effort (ou un entraînement quelconque) parce que le cerveau, comme je t’ai dit plus haut, est parfois paresseux et douillet… Dans le langage spécialisé, on dit que ce problème est un paradoxe. Un problème paradoxal. Faque, tout ça pour te dire que j’ai mis voilà pas si longtemps sur mon compte FB un problème paradoxal que j’ai trouvé dans le livre que je lis en ce moment. (Je vais le mettre à la fin si tu veux le voir et même l’essayer, mais c’est pas super important…) Donc, c’était écrit dans ce livre qu’avec ce problème-là, qui servait pour une étude, en majorité, ceux qui ont participé ont eu une mauvaise réponse en particulier. J’ai eu beaucoup de tentatives de réponses et c’était ça aussi. La majorité des gens ont donné la même mauvaise réponse. Et en plus, il y en a eu plusieurs qui ont essayé de défendre cette mauvaise réponse avec des arguments très logiques. J’avais beau leur expliquer avec d’autres comment arriver à la bonne réponse, y’avait rien à faire, ils voulaient avoir raison ! [[en ayant tort…d’où la transmutante expérience que décrit si bien le roman « Je ne parle plus à qui a raison » !]].
Et ça m’a fait réfléchir, j’suis comme ça, qu’est-ce tu veux… J’ai fait un lien avec toutes les chicanes qu’on a encore plus depuis qu’on peut s’obstiner avec des inconnus sur le web. Et si la plupart de ces chicanes – sinon toutes! – reposaient sur des erreurs de jugement, parfois des deux côtés? Et encore plus, sur la tendance à vouloir toujours avoir raison? Par simple orgueil ou par trop-plein de certitudes ? Pour régler le problème, je me suis dit qu’il faudrait peut-être que le monde s’entraîne à devenir plus humble [[ ce qui veut dire apprendre en très Grand !]]. Tu sais, l’humilité… Prendre son trou. Prendre ses opinions un peu plus à la légère… et avoir plus de doutes [[donc redoute]]. Et pour y arriver, je pense qu’il faudrait que tout le monde ait le plus possible en tête que leur cerveau a un problème de paresse à la base. Pis que c’est pas grave. Et que le but de discuter, c’est pas d’avoir raison, pour faire plaisir à son égo, à son amour-propre, à son sentiment agréable envers sa personne. On a tous un cerveau, on devrait bien pouvoir s’en servir ensemble pour avancer ! Selon moi, ça devrait être ça le but [[ et d’avoir vécu tant de conversations de cet ordre les rend INOUBLIABLES…par exemple, une d’entre elle, autour d’une table en bon bois, m’a permis de ressentir une puissante ellipse d’énergie courir entre tous les corps assis. Unis entre eux – c’était plus que magique !]].
Mais bon, pour arriver à comprendre ce que je veux dire, il faut déjà un minimum remarquer que le monde a tendance à se raconter des histoires et à y croire. Et à rejeter ce qui ne va pas dans le sens de ces histoires. Ça s’appelle des fausses croyances. Alors en gros, on a des biais cognitifs qui encouragent nos fausses croyances, parce que notre cerveau veut pas gaspiller d’énergie. Pis on s’obstine comme des épais pour avoir raison, parce qu’on veut se sentir bien en rejetant de toutes nos forces ce qui égratigne notre orgueil [[ la solution est de n’avoir plus du tout d’orgueil mais, comme les amérindiens, de la fierté. De la fierté paisible qui fait respirer à fond et sentir la sève du monde monter en soi. Et nous offre, dans la bouche, la simple fierté d’être un être humain]]…Tu trouves que c’est super intelligent pour des animaux supposément plus intelligents que les autres? [[ sauf que la plupart sont des insensibles insensés…c’est la sensibilité qui déploie la bonne intelligence. Sans, cela moisit en boite…]]
Le problème paradoxal en question : Il y a trois cartes. Une dont les deux côtés sont rouges. Une dont les deux côtés sont blancs. Une qui a un côté rouge et un côté blanc. Après avoir bien mélangé les cartes dans mon dos, au hasard, je te présente seulement une carte. Le côté que tu vois est rouge. Quelle est la probabilité que l’autre côté soit aussi rouge? Penses-y quelques secondes avant de donner ta réponse finale…Un indice : la mauvaise réponse la plus populaire selon l’étude dont il est question et selon ce que j’ai pu constater sur mon FB était 1/2 ou 50%… Et en passant, pendant que tu y repenses si tu n’as pas encore trouvé la réponse, moi-même, je ne suis même pas certain que je l’aurais trouvée. J’ai lu la réponse dans mon livre avant même d’avoir pris le temps d’y penser. J’ai même l’impression que je n’aurais pas eu la bonne réponse. Mais je suis pas mal certain que je n’aurais pas essayé de la défendre. Parce qu’après avoir su que la bonne réponse est deux sur trois, j’ai tout de suite compris où mon cerveau aurait pu s’égarer.
Et parce que je m’entraîne depuis assez longtemps pour ne plus faire reposer mon estime de moi-même sur les capacités de mon cerveau. Encore plus, parce que j’ai un trouble de déficit d’attention. Donc, j’ai deux bonnes raisons d’essayer de seulement faire reposer mon estime de moi-même…
…. sur les efforts que je peux mettre pour déjouer mon cerveau. De tout cœur, je te souhaite de faire pareil. »
L’avantage de faire côtoyer plusieurs voix en « harmoniques » survient de la préoccupation principale qui veut vouer toute sa joie au dé-lecté lecteur. Le principe (si ancré qu’il en est devenu une seconde nature !) de ne lui créer que…
………………….…des surprises, oui mais toujours de surprenantes !
…….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Tant de logements somptuaires vides et tant de misères qui ne diminuent surtout pas. Pourquoi ne pas qualifier de « délits » les rétentions d’aides aux nécessiteux de leur nécessité ? Et de récompenser qui fait la jonction locaux vides-humains sans logement (un toit ? un des 4 droits définitivement « fondamentaux » de l’l’humain). Car ? Ne pas respecter ces droits de l’humain c’est se positionner, clairement, comme un peu appétissant antirépublicain (ce qui devrait ôter tout droit à faire de la politique en réPublique !)…
Le problème de l'incapacité d'émancipation intergénérationnelle par la droiture ? - Quand la masse critique de gens en galère aura atteint sont seuil critique il faudra bien leur filer un coup de main pour qu'ils ne se détruisent pas entre eux ( ce que le pouvoir cherche...) , mais comprennent et change de direction avec la conviction que l'émancipation par la droiture soit la voie pour rebâtir ensemble une société digne d'humains à la hauteur de leur condition d'hommes libres.
Comment le regard droit s'est corrompu dans l'utilitariste corrupteur de Justice "droit de regard" ?
Ce sont toujours les espions et les fouilleurs illégaux de la vie des autres qui sont sales. Toujours le leur montrer. Ce sont eux les coupables et surtout pas nous !
La Terre vue du cœur…l’originalité c’est que de grands médiatiques formulent « il y a des consciences et des énergies qui réveillent les choses » sans se désigner eux-mêmes. Ce qui veut dire que ce qui peut sauver les conditions de survie de l’espèce humaine ne se trouve pas inclus dans …les médias. Médias intermédiaires qui sont plutôt des retardateurs de prises de conscience, des empêcheurs de cœurs de parler à d’autres cœurs…les nouvelles élites ne sont jamais invitées par les médias. Ce qui disqualifie dru ces médias…
car...
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La technocratie est en train de tuer les ministères
Temps de lecture: 3 min L'élection d'Emmanuel Macron a renforcé certains fondamentaux du régime de 1958. Le président de la République est, plus que jamais, la clé de voûte de la V e Républ...
Et ?...et, ils sont asséchés – leurs déviances unilatéralistes n’ont plus de futur..
Spécimen - Je suis moral et c’est pas si mal !
Faire preuve de morale correspond souvent à sacrifier ses intérêts personnels. Mais comment de tels actes moraux ont-ils pu survivre à la sélection naturelle (si faussée par le scandaleux libéralisme) ? C'est la question que Stéphane Debove, docteur en psychologie évolutionnaire, s'est posé pendant sa thèse.
L’incroyable plasticité cérébrale du cerveau humain | Philippe Fait
Socialité – antisocialité : où est la différence ? en…une minute !
Le double regard c’est le net refus du droit de regard ?
Le top 5 des études de psychologie sociale qui vous feront requestionner les choses sur la vraie socialité : *** d'où, les récompenses pleuvent sur les...pauvres !
Soy un caballo – la droiture.
La biologie évolutionnaire travaille sur la question, et Stéphane Debove qui a fait sa thèse sur le sens de l'équité vient nous dire ce que la science sait de la nature et des origines de notre sens de la morale.