Des biens qui font du bien ?
Car, pour enchérir il faut d’abord chérir ! Voyons. Partageons-nous une part de tarte ? Chacun va en recevoir un dixième ou un quart. Puis plus…rien. Partageons-nous une idée, un sentiment ? Là, chacun en reçoit le quadruple, le centuple, le…jusqu’à l’infini. Et puis encore plus. Un bien qui fait du bien c’est donc la multiplication des seuls biens qui augmentent à mesure que nous les partageons : les biens sociaux, les biens d’humanité, les biens de générosités qui sont impulsés par le cœur qui pense…oui qui pense mais aux autres !
Qu’est-ce qui a donc transmuté ? Par « biens » il n’était plus entendu que les richesses, les avoirs, les possessions, etc. (comme y sonne peu ce qui fait du bien par simplicité)…Alors que TOUS les mots de l’économie de la Nature, qui demeure la seule à être « rationnelle », viennent du soin, de la médecine, de l’art de demeurer attentionnés. Bénéfices…bénéfiques, qui font le bien. Économiser c’est épargner la vie comme dans l’épargne qui prend soin des humains et du futur, etc. Et autres que vous aurez un plaisir immense à découvrir. Donc comment démasquer les salauds ? Ne plus parler que des biens qui font du bien selon vos voeux…leurs cœurs sales n’y pourront se faufiler, se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Le filet protecteur de la bonté vous sera déployé. Oui ? C’est comme s’entretenir les entretiens. Nul ne peut entretenir tout seul…mais ne peut que « s’ » entretenir. Grâce aux autres. Les biens qui font du bien ne permettent pas l’intrusion de ceux qui n’adorent que la possession, mais à part, cachée, solitaire, antisociale et que pour un seul. Seul qui ne peut que se dessécher non arrosé d’aucun collectif.
Puisque ce bien qui fait du bien n’est pas, non plus, l’impasse du confort. Confort qui est extérieur et exclut. Confort donc sans réConfort, le seul qui soit digne des êtres humains. Puisque ces biens sont à l’intérieur, dans le cœur, sis dans les émotions et les sentiments du bien-être. Qui s’accroissent toujours à mesure qu’ils se propagent dans la collectivité. Bien-être : apprendre à bien être ensembles ? Cela la coupe hein : si loin du corps agressif et guerrier de l’hérissé du costard-cravate. La vêture irrespectueuse des haineux qui préparent toujours des guerres immotivées en douce.
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Comment trouver le moyen de brûler les étapes ? Soit de dire sans démonstration intermédiaire ? Si la formation d’une oligarchie constitue un danger c’est aussi, quelque part, une forme de chance puisque s’y trouve la solution qui englobe plus. Oui, comme le disait Albert Tshibangu-Wa-Mulumba dans “Mon expérience afro-occidentale », novembre 1980, nous venons « de traverser la phase dangereuse mondiale, puisque nous avons compris ceci : Pour réel qu’il soit, le danger peut être entièrement jugulé par la force du cœur d’un seul individu (p. 69). » Oui, vous le pouvez. Toi, de même, tu le peux. Ce paradoxe qui n’en est pas un se complète par cela : «Agir sur le monde, l’ambition est de toujours. Babel, Icare, Archimède d’une part, Nsang’a lubangu…d’autre part, en sont les mémorables vestiges. Application après application, à travers les âges, l’humain découvre aujourd’hui la portée universelle des efforts jadis dispersés, solitaires, tâtonnants. James Dewar inventant la bouteille thermos était loin de se préoccuper de garder son café au chaud (p. 66). » Les précurseurs, les découvreurs majeurs étaient toujours très loin de s’enkyster dans le vain « utilitarisme » bourgeois. C’est même pour cela que le bourgeois peut se fossiliser vivant dans son confort si antisocial. Et, sur le fond, non mérité. Parce qu’il y a eu des humains de la trempe de ces précurseurs il y eût ce confort usurpé. Oui héritage bourgeois = zéro, néant, ces fainéants cyniques n’apportent jamais aucun bien qui fait du bien !
Nos sources se situent, ainsi, partout sur Terre. Puisque, si elles s’avèrent imparfaites, le texte qui les entoure leur sert d’écrin de perfectionnement. Et ? « L’on n’accepte l’insulte que dans un total dénuement. Les deux tiers des créatures humaines se trouvent dans cet état [[d’où la brutalité cynique du « Tiers Monde » par qui sait qu’ils représentent les 2/3 de l’Humanité. Et la fuite, depuis, devant l’utilisation de cette expression qui dessert si bien ces salauds !]]. Et l’histoire de gronder de plus en plus tangiblement du fond de notre sensibilité :
« Sachez-le, souverains et vassaux
éminences et mendiants,
Personne n’aura droit au surplus
Tant qu’un seul manquera du
Strict nécessaire. » (Salvador Díaz Mirón)
Plus que le surplus, il y a gaspillage de celui-ci. Faut-il ou non le transférer ? » (p. 65) ? » Facile : laissons les gaspillages aux mains des nécessiteux de leur grande nécessité. Laissons-les gérer les scandaleux gaspillages du encore plus scandaleux capitalisme. Et nous verrons leur efficacité nécessaire battre à plate coutures toutes les incompétences mondiales si radicales de la…régression capitaliste.
Régression capitaliste ? « La faim et la violence couronnent piteusement des siècles d’évolution [[ évolution que la trahison du néolibéralisme aura tant sabotée]]. De partout fusent des cris d’angoisse et de peur (p. 63) ». Oui Albert Tshibangu-Wa-Mulumba nous aura permis d’éviter tous les intermédiaires réputés pour être des…filtres. Soit des pertes de temps. Donc des empêcheurs d’informer avec droiture. Mais qui est Albert Tshibangu-Wa-Mulumba ? Un professeur qui aura été dans l’entourage de Léopold Senghor mais sans vraiment avoir été mis en valeur. D’où son goût du paradoxe afin de…raccourcir les délais. Ainsi a-t-il intitulé un document « Hommage à la colonisation », ce qui lui permet d’aller encore plus loin dans la dénonciation. Vu ce passage : « Jusques à quand supporterons-nous encore le dur verdict de l’histoire toujours présente : « Impassibles égoïstes qui pensez que ces convulsions du désespoir passeront d’autant plus rapidement qu’elles seront plus violentes, êtes-vous bien sûrs que tant d’hommes sans pain vous laisseront tranquillement savourer des mets dont vous n’aurez voulu diminuer ni le nombre ni la délicatesse ? Non, vous en périrez » (Mirabeau). »…Ce qui ne parait pas du tout être un éloge du colonisateur. Le procédé « d’aller, rhétoriquement seulement, dans le sens de ce que nous voulons combattre », dans la démonstration rendue ansi plus logique, parvient à « économiser » certaines démonstrations ( genre il dit ci, nous disons ça, ce qui entraine cela, puis…et…encore, etc.). Puisque ? En poussant à bout certains arguments fallacieux des colonisateurs, d’eux-mêmes, ils se pètent la gueule - bien en évidence. Et pas englués, et pas noyés dans un circuit de démonstration trop prenant. Ce qui ? Ce qui nous conduit à sa conclusion où ce colonisateur ne peut que vivre ceci : « Par là seront secoués tant d’hommes encore trop tournés vers eux-mêmes, ne voulant ni se sentir concernés par l’autre ni appartenir à l’ensemble humain. » Puisque, le faisant …ils auraient déjà aboli depuis longtemps la barbarie capitaliste. Ce si honteux programme ne peut être vanté et soutenu que par la lie de l’Humanité. Lie que de citer un auteur peu cité (en le sertissant dans un contexte valorisant) , nous aura permis de démasquer encore plus vite. Et en faisant claquer plus gaillardement toute la syntaxe !
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Et voilà (chaque thème et, surtout, l’angle d’approche) crée sa propre méthode. Ici – nous devons reprendre de force ce que l’économie, cannibale des libidos vitale, nous avait volé. Comment ? Elle n’a pas pu effacer les mots et vocables qui servaient à l’ancien récit-monde. Et, avec un instinct intraitable, nous pouvons retrouver les traces vibrantes de la spoliation. Pour faire abrupt, l’argent vient de chérir. Oui chérir car pour enchérir il faut d’abord chérir. Les sentiments précèdent de tellement loin les affaires, les grosses empotées de leur adolescence mal vécue Tout un monde de mots désoclé de son but « naturel » s’est posé uniquement dans des objets morts et entre nous et les autres, séparant tous les humains des humains. Ces vrais semblables semblabes, ces ensemblables. Ces en-semble qui semblent tellement fort et fort qu’ils devinrent réel à bloc. Des mots comme caresse qui vient autant du caritas de la pré-carité que du carus de chérir, du cher chérir. Et ? Afin d’enchérir (ce très fort chérir), il faut le/la sentir cher, très cher, très charnellement touchant. Et ainsi cherté vient de chérir. L’argent ne fait jamais rien de lui-même : c’est « ce qui est cher » qui enchère. Le cœur peur reprendre tout le pouvoir. Pas de chéri(e), pas d’enchéris. Ce pourquoi économie qui est économiser, protéger, prendre soin, ne pas heurter, faire attention, ne pas nuire, ne pas perdre le vrai trésor, ne pas le gaspiller oule saloper avait un visage solaire de générosité…oui, donner, abonder et ne pas restreindre, ne pas rester censeur de son cœur, avare de ses attentions, ne pas se flétrir en ces « on dits » disant disettes. Avares comme avaries…Puisque le temps n’est surtout pas de l’argent, puisqu’il reste la liberté, la liberté grandissante qui chante l’être humain.
« Dans ce contexte, la naissance, à Dakar, de l’«université des mutants », fruit de la rencontre d’hommes aux cultures tellement diverses, voire antagonistes, laissait déjà présager comme la décision d’une civilisation mondiale (p. 3).» Les grandes décisions ne se prennent pas où il est prétendu. En fait les si ploucs médias occidentaux ne connaissent Rien du vrai monde…Tant une civilisation (digne de ce nom) ne peut qu’avoir toutes couleurs, recevoir toutes les soi-disant races qui n’en sont pas puisqu’il n’existe qu’un et une seule « espèce «humaine». La sagesse contredit toujours l’économie bourgeoise, la folle du logis. Car c’est la bonne utilisation des biens et des êtres, des être-biens qui supplante leur possession. La « bonne utilisation » qui est la véridique signification du concept « économie » (vouée à permettre aux biens à faire du bien !)…Sinon ? ll y a soit des inflammations de trop et des contractions de pas assez. Trop riche c’est le malaise, trop pauvre c’est le grand malaise. Mourir de trop de biens mal compris. En parallèles avec pas assez de liens mal entendus. Les confusions ne viennent pas des évènements (l’usage sain et soin de l’économie) ou des phénomènes (la qualité économique) mais l’entêtement plus que retentissant de certains humains à tout faire de travers. Les bourgeois sont bien des échecs et en tout. Oui ? L’économie des biens : où toutes les ressources renouvelables des liens sociaux (inépuisables), et de leurs talents, enrichiraient chacun-e de tous les autres. Tant les circonstances (facilitées par les convergences des bonnes volontés) viendraient à la rencontre des intentions esquissées. Soit ? Réussir le monde, réunir l’Humanité. Réunir le monde, réussir l’Humanité.
Ce pourquoi, sans équivoque, nous pouvons finaliser ces biens qui font du bien.
Soit si s’avéraient, ces biens, mal acquis, seul le mal sera vraiment acquis. Nous reprenons, en conséquence, tous les biens….
……... Trop destinés à faire beaucoup de bien. Bien, on y va ?
…….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Même si c’est formulé puérilement (méchants, bons) c’est très vrai…Comme nous pratiquons le détournement comme retournement ce qui compte n’est pas « d’où est dite » la formule de départ, mais jusqu‘où nous l’avons…déplacé…Ce qui, dit autrement, fait que nous ne nous sentions pas responsbles de placer tel ou tel dans « le fil » de nos textes. Mais complètement, oui de ce que nous en faisons.
Ce qui aboutit à que des biens qui ne font pas de bien…
Peuple Luba, toutes les migrations depuis “Nsang’a lubangu”, au nord de Kinshasa par le mythique roi llunga Mbibi.
Littératures, langues et ethnicités : le pluriel " MondesFrancophones.com
La question principale d'antiques " Royaumes " en Afrique n'a pas encore trouvé une réponse adéquate. Elle est d'ailleurs souvent posée en des termes qui ne correspondent nullement aux circonst...
https://mondesfrancophones.com/espaces/afriques/litteratures-langues-et-ethnicites-le-pluriel/
La citation qui fait référence (après Babel, Icare, Archimède) à Nsang’a lubangu s’explique ainsi : « Ils sont venus de Nsang'a Lubangu. Les traditions orales désignent généralement la région comprise entre le Haut-Lomami et le Haut-Lualaba, au niveau des lacs Kisale et Upemba, comme le lieu d'origine des ancêtres des…Luba. » Car ? Moitié réel, moitié légendes : « Des compatriotes « choisis par le Ciel » risquent d’induire plusieurs humains en erreur au nom du privilège qu’ils accordent à un seul « domaine du monde commun », « le domaine (magique) spirituel », afin qu’il colonise les autre domaines (matériel, politique, économique, culturel, social, etc.). »
L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité !
LA DÉMOCRATIE EN NOIRE ET LES 5 ÉTAPES DE LA LIBERTÉ SELON NELSON MANDELA
Les « biens de consommation » (sic) mieux considérés que les…consommateurs ?
Les besoins, les biens, les services : les besoins des nécessiteux pour qui ces besoins sont primordiaux sont tellement moins…considérés que les faux besoins des chochotes trop riches. La déduction c’est que ce système mécanique (du fait de la zombification inadmissible de ses prétendus dirigeants) ne veut le bien de personne. Mais, sans même y prêter attention, fait du mal à tout le monde.
Le délire de considérer que de faire accèder un bien commun à une « valeur marchande » est une consécration incroyable. Hého, c’est souvent une piteuse déchéance. Puisqu’elle fait écho à la grave diffamation que les humains, entre eux, sont « incapables de gérer les biens communs sans les détruire » - ce pourquoi les bourgeois, après blettes réflexions, bondirent en clamant que « les biens communs n’existaient plus ». Faux, les deux. Retour de la vérité ? Le privé cupide, lui, gaspille et souille absolument tout…il n’est donc pas capable de gérer les biens collectifs sans tout polluer. Sa crédibilité est donc de…moins 1 000 sur…10. L’économie de marché…c’est fini !
Un bien qui fait du bien ne peut émerger que s’il maintient sa neutralité et demeure – au maximum – gratuit…Neutralité, j'écris ton nom - #DATAGUEULE 23. Bizarre, tout de même, ces bourgeois qui doivent toujours « intervenir » pour notre bien. N’arrivant pas à comprendre que ne pas intervenir c’est…mieux. Donc pour l’économie et le respect des biens des autres c’est « laisser-faire » mais pour l’exercice de la liberté c’est « ne pas laisser-faire ». C’est ainsi que la pitoyable hypocrisie du « laisser-faire, laisser-passer » s’effondre à force de mentir et mentir…
Oui ? C’est comme s’entretenir les entretiens. Nul ne peut entretenir tout seul…mais ne peut que « s’ » entretenir. Grâce aux autres. Les biens qui font du bien ne permettent pas, et simplement par structure, l’intrusion de ceux qui n’adorent que la possession, à part, cachée, solitaire, antisociale et que pour un seul. Seul, qui ne peut que se dessécher non arrosé d’aucun collectif.
ALBERT TSHIBANGU WA MULUMBA : Parle de la tribu ''BA LUBA'' ''Bakwa kalonji''…très décalant. Donc nous n’étions pas si calés ?
Vraiment pas de bol : faire du bien fait du bien. La percussion fait répercussion. L’écho logique amplifie même les logis d’effloraisons. Le résultat (ça fait du bien) est dans l’action (faire du bien). Ce qui rythme avoir atteint le vrai Tao. Bigre ! La santé et le bien-être y trouvent trop d’épanouissements. Toujours face au verdict récurrent : le mal finit mal car il fait tout mal.