Le prix n’est jamais le bon ?
La Bourse est supposée donner le prix parfait de toute chose. Soit rien de moins que d’être « l’égal de Dieu». Or, elle ne le fait pas du tout…il serait temps de s’interroger sur ce qui est plus qu’une légende urbaine – un fake dogme mondial. La fable commence lorsqu’il est affirmé que « les marchés boursiers fixent avec précision les prix des actifs sur la base de leurs gains futurs inconnus (p. 483– Steve Keen – « L’imposture économique », septembre 2017). » Ce qui se démontre complètement faux. La panoplie afin de parvenir à cette infaillibilité c’est d’admettre une convergence de toutes les anticipations, qu’elles soient toujours correctes (circularité auto-prophétique) et que chaque investisseur ait un égal et illimité accès aux informations. Pourquoi ? Anticiper si divinement c’est faire advenir tout ce que contiennent les informations dans l’apothéose d’un gain parfait. Mais comment peuvent-ils devenir aussi irrationnels tous en même temps ? Ils inventent, à chaque fois, une nouvelle ère d’expansion illimitée (grâce à l’internet et puis sera-ce l’intelligence artificielle ?) qui « justifie des évaluations élevées », qui voient (sans qu’il soit même besoin de réfléchir) s’envoler les actions (soit la part de l’investissement dans l’invention). Ce qui suppose (les hypothèses l’emportent toujours sur les faits) que les dividendes soient réinvestis (et ne donnent lieu à aucun partage – ce qui n’est pas vraiment le cas) que le marché soit solvable à tout instant (avec le fait latent d’avoir tout le temps immensément tort lorsque les contribuables doivent rembourser ces trop puérils délires) et que les risques soient prétendus, eux, bien estimés…or, cette infaillibilité extra terrestre du marché contraint à ce qu’il soit toujours et infiniment…à l’équilibre. Parce que les cours ne montent ni ne descendent : ils sont toujours à l’équilibre. Tant d’hallucinations laisse pantois ! Ce qui est perçu n’existe pas – seul le dogme a le droit d’émerger à la conscience.
Alors que « de nouvelles perturbations, d’origine humaine, interviennent, de telle sorte que, dans les faits réels, toute variable soit toujours au-dessus ou en dessous de l’équilibre idéal (p 495 – ibid.).» Mais pas ce qui se trouve en plein centre des déséquilibres, comme ces paniques si peu rationnelles, et encore moins bien informées (que de vagues rumeurs, à chaque fois), dues à la vente d’actifs en détresse et à des prix fortement réduits. Ce qui fait contagion. Ensuite se nouent des faillites, se réduisent les profits, les investissements, les productions et les emplois. Ce qui rétrécit encore plus l’activité, etc. (en boucle)…Ceci sont les faits …qui, traduits en « langage aliéné », deviennent non une visible baisse mais une « saine » ( ?) correction des fondamentaux afin de retrouver – automatiquement - l’expansion de l’équilibre (et inversement). Cela se fait tout seul. Sans nous mais pour…nous. Afin de nous rendre service, enfin aux élus – pas à tout le monde loin s’en faut…et cette impossible « sélectivité » de la réalité afin de servir « ses grands prêtres » ( réalité qui nous ferait passer un concours) n’interroge même pas ces têtes superficielles qui…savent – parce que leur savoir ne sait…rien !).
Oui, là où les prédictions seront, de nouveau, infaillibles (et ils entendent de nouveau des voix qui disent que les valeurs monteront jusqu’à l’infini…comme cela sans raison ni de réponse au quoi ça rime…), où « l’action reflète complètement l’information » : les variations des prix étant les variations dans l’information – comme il se doit en magie « hors réel »…puisque, dans tout ce descriptif, demeure ce où peuvent donc se trouver les impacts des interventions humaines, où seraient leur conséquences sur les autres humains ? Ah oui effacées, épongées, remis à l’équilibre (qui… parvient à produire qu’il n’y a jamais la moindre crise mais juste que ces « sélectionnés » gagnent toujours de l’argent dans un miracle renouvelé. Ce microcosme qui se veut « rationnel » mais qui ne se montre jamais rationnel dit alors, tel une machine, que c’est la rencontre de l’offre et de la demande. Rencontre qui ne peut avoir lieu puisque la courbe ne l’offre n’existe pas (n’a jamais été démontrée mais juste dessinée sur le papier) et que la courbe de la demande peut prendre n’importe quelle forme. Et que celle où elle « rencontrerait » celle de l’offre ne peut être qu’un complet hasard dans ses milliers de formes (dessinées mais jamais prouvées. Et jamais le résultat de calculs rationnels qui offrent le…bon prix. Donc pas de bon prix ! Du moins dans cette économie folle à force de tricher !). Oui ils en sont là…Et il faut en « acheter » des médias (dits médias…vendus) afin qu’ils continuent à distiller cette très fausse théorie (jamais démontrée mais juste martelée sans cesse et partout). Telle « la loi implacable des marché » - elle aurait du mal à être implacable puisqu’il n’y a pas de loi, la théorie des marchés (qui se résume à les marchés ont toujours raison, eux seuls savent tout et il faut les…laisser faire – ce qui amène à de terrifiantes crises. Terrifiantes puisque aucun de ces personnages creux ne sait rien sur les véridiques mécanismes. Donc ne connaissant rien au moteur de cette économie globale, ils ne peuvent surtout pas le réparer), oui l’erronée théorie des marchés ne fait que rêvasser un fantôme de théorie qui est tout le contraire d’une science puisque, à l’imitation des médecins de Molière, elle va se contenter de scander des phrases rendues hermétiques (mais sans le moindre contenu) en tant que droits…de ces propriétaires de l’argent des… autres, oui tout l’argent du monde, de droit divin leur appartient. Cela ne se discute pas. Ceci n’est pas de la folie douce mais bien ultra furieuse…et la loi implacable du marché (loi uniquement des lunatiques qui brandissent cette…imposture) va créer – concrètement - ruines, licenciements, crises, spoliations, vols des contribuables forcés de réparer les dégâts puisqu’un marché à l’équilibre « n’a jamais de pertes » !…Quoi de plus qu’affolant que d’entrer dans ces têtes gavées d’irrationnels, de contes de fées et d’incapacités à raisonner de ces boursiers…infaillibles, qui se plantent tout le temps ! Sauf à asséner la loi implacable du marché, celle qui contraint à ne jamais discuter, à ne jamais la discuter cette soi-disant loi, et à étendre au monde entier le monologue clos de partout de véridiques incapables. Incapables qui croient à ce qui n’existe pas. Et rendent quasi invivable la vie de la majorité des humains à cause de leur dystopie (l’utopie qui vire au cauchemar). Et n’ont qu’un conseil d’action pour les gouvernements…plongez tout le monde dans l’austérité toujours reconduite…sauf nous. Oui, trop anormal une crise qui ne…finit jamais. Une crise qui est devenue permanente et qui va « tout excuser ». Sauf que la connexion présente de la Bourse et des Crises reconduites est trop flagrante. Ainsi que l’esprit pratique qui va avec : plus de Bourse = plus de crises. Aussi simple que cela…plus de Bouses, plus d’austérités si injustes !
**** ///// ***** Puisque - vu autrement, une telle déshumanisation des regards c’est qu’ils ne recherchent jamais la Valeur, en fait, ils ne pensent jamais au bon prix des choses, mais vivent dans un perpétuel bordel de grands et cruels capricieux. Qui se racontent être dans une compétition sportive (qui n’est plus un « jeu » mais un délire) qui consiste à trouver le passage entre le risque et le rendement (ce qui demeure parfaitement « aléatoire », mais il ne faut pas s’inquiéter c’est la main invisible qui travaille oui pour notre bien unique, puisque nous sommes ses élus (pourquoi élus ? il ne faut pas trop en demander à ces grands irrationnels !). Milton Friedman dira que « les hypothèses ne comptent pas » et d’autres, à sa suite, illustrent que « la réalité ne compte pas aussi ». Sauf que pour que la théorie extra-terrestre fonctionne (soit l’économie de marché qui n’a donc aucune…théorie, juste les exactions de ses grands délirants), il faut que toutes les…hypothèses fonctionnent (non, il n’est pas toujours possible de se défiler ou bien il y a un point où se défiler n’est plus possible !)…Bon – il n’est pas possible de discuter de la loi implacable du marché, juste la subir avec un grand contentement…et il ne peut être vérifié la loi qui serait si implacable puisque pas d’hypothèses, pas de démonstrations à se mettre sous les raisonnements et le tout figé par un « faut laisser les marchés » (soit faire n’importe quoi ? Sans contrôles ? Sans garanties ? Sans obligations des résultats ? Sans sanctions jamais ?)…Ce qui spolie les entreprises (qui exigent de se faire spolier en « entrant » en Bouse) n’est même pas une entreprise, une organisation sérieuse qui s’assure afin de ne pas nuire aux autres…mais présente toutes les extériorités d’une vague secte (dans son fonctionnement, c’est bien secte)? Puisque ce savoir divin du marché ne rassemble qu’une suite de tautologies, ces formules fermées des antisciences (je dis et vous ne pouvez prouver l’inverse de ce que je dis – ce qui, selon Karl Popper prouve la non scientificité. La science peut sans cesse être remise en cause mais par des arguments solides et, elle, répond pareillement avec un argumentaire costaud – pour les marchés et la théorie néoclassique ce n’est pas le cas ! Ils ne sont fondés sur aucune science – ce ne sont donc que…des superstitions…) qui vont jusqu’aux très graves contre-vérités. Telles « les investisseurs sont au maximum de leur rationalité et ils ont tous la même information rationnelle »…qui nous les montre sans cesse enivrés par des pulsions irrationnelles, dans un manque d’autocontrôle minimum (ce qui la fout mal dans le meilleur des systèmes…prétendu autorégulé) et qui s’effondrent même à devenir…les sur-assistés de la société, les fous dont il faut sans cesse réparer les désastres. A peine remis, reprendrait la rengaine ? Quelle rengaine - mais qu’il ne faut pas…énerver les marchés, les grandes chochotes, car la Bourse perd ses nerfs, est malade, entre en dépression (et…ils dirigent l’économie mondiale vous savez…comment ces détraqués ? C’est pour cela qu’il ne faut pas…les réveiller ! Pas d’accord…il suffit de les mettre en cellules de dégrisement, non ?), etc. oui mais ceci (sur le papier, dans les médias vendus) demeure le sommet de la rationalité. Celui qui nous trouve le « bon prix » de chaque chose. Oui ? De deux choses l’une – soit ils ne vont pas bien du tout soit ce serait nous ? Nous avons tendance à croire que ce n’est pas nous !
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L’étrange est, alors (dans les maigres descriptifs que nous pouvons trouver du « monde rêvé de l’argent magique qui s’auto-reproduit à l’infini»), que tout soit unidirectionnel su simpliste, si grossier : pas d’effet en retour de l’évaluation du marché des actions sur la perception des investisseurs, aucun feedback qui nourrit l’information d’elle-même. Rien n’est jamais multifactoriel (comme la vraie réalité), il n’y a qu’un seul mécanisme : le retour « automatique » à l’équilibre. Car les marchés s’autorégulent : où cela et comment ? Impossible de trouver la plus infime information sur ce miracle toujours renouvelé. A coup de dogmes (et les autres doivent payer pour ces beuveries d’irrationnels et maintenir la fiction de haute rationalité), les crises seraient effacées (c’est le marché qui s’auto-corrige : n’intervenez jamais !), l’équilibre (enfin que sur le papier) est décrété par…la mise en austérité de tout le monde (sauf eux, ces infaillibles)…austérités à cause de ces lubies….Car ? Pourquoi le prix de la Bourse n’est jamais le BON (s’il y avait au moins cela…mais non, même pas !) ? Oui, c’est que leur « information » principale reste « mais que font les autres ? »…Le niveau de rationalité se montre donc incroyablement élevé (suivre les moutons, faut vraiment cogiter dur). Surtout que le délire veut que tous les investisseurs soient d’accord sur toutes les estimations (comment ? Par pure transmissions de pensées ?). Comme cela aucun moyen de vérifier « comment est la réalité de l’imposture». L’enfermement mental maximum.
Quoi qu’il se passe, le tout baigne dans l’irresponsabilité et « la théorie est ainsi enseignée aux étudiants et ingurgitée telle quelle par les agents de change et les spéculateurs (p. 505 – – Steve Keen – « L’imposture économique »). » Avec aucun entraînement aux débats, aucun apprentissage à se remettre en question, aucune interrogation jamais - comme une chapelle routinisée par les rituels abrutissants. Ainsi, « ce qui y est supposé être la norme est en fait impossible (p. 514). » Et « dés lors, le marché boursier est gouverné non par l’analyse dépassionnée, mais par l’euphorie, la peur, l’incertitude et le doute (p. 513). » Puisque, s’il y avait analyses, il apparaîtrait que toute la théorie est de bout en bout Fausse. Indémontrée puisqu’indémontrable…aussi les dogmes farfelus remplacent le calcul rationnel telle « il vaut mieux pour sa réputation échouer avec les conventions que réussir contre elles »… John Searle a nommé ceci « l’art de devenir fous ensembles ». Et, en tout cas, il est clair que ce n’est pas le Bon prix, qui, pas une seule seconde n’est recherché. La théorie ressassée n’est mise en devanture que, afin que derrière, ils dansent leurs graves folies…puisque : « on a donc enseigné à une génération entière d’économistes une théorie sur la finance qui suppose que les gens peuvent prédire le futur, sans que cela ne soit reconnu dans les manuels où, au contraire, des affirmations « non falsifiables » ( dont on ne peut démontrer le contraire !) pontifient des euphémismes tels que « les investisseurs font usage de toute l’information disponible » (p. 518 ). ». Aussi « évident » qu’ils fassent aussi usage de leur respiration, de leurs yeux et oreilles comme de leur main afin de tourner la… page. Parler autant dans le vide, et recevoir tous les honneurs plus qu’immérités est-ce toujours possible ?
Puisque la question majeure demeure bien : « comment est-il possible qu’une théorie si évidemment erronée génère néanmoins au sujet du comportement du marché boursier des prédictions qui, dans l’ensemble, paraissent justes ? (ibidem). » Oui, uniquement dans les routines, lorsque rien ne se passe…mais dès qu’une crise s’annonce, ils ne « voient jamais rien venir ». Eux supposés rester des dieux qui prédisent l’avenir – ils ne le prévoient pas du tout. Le voient encore moins. Ce qui fait que les comportements qui fonctionnent bien le font…indépendamment de toute leur théorie. Juste des observations pragmatico-empiriques qui ont une chance sur deux de fonctionner (1 sur 2 pas très précis pour un juste prix !). Mais comme il y a 16 chapitres à « L’imposture économique », de Steve Keen – nous trouverons bien –
………..avec quelques autres textes supplémentaires,
………………………………la réponse complète à ce vaste questionnement !
>>>>>> --- D’ors et déjà, la très bonne nouvelle est que comme le capitalisme et sa théorie absolument erronée ne reflètent pas du tout la réalité – les quitter ne procurera aucun dommage, ni le plus léger malaise. Ce n’est pas comme si nous devions douloureusement nous déplanter. Ces impostures n’ont aucune racine dans le réel et ses financiers fous s’effondreront…sans nous ! Nous, enfin restitués à la santé et à la beauté infinie d’avoir le cœur sur la main…
Du capitalisme ne restera derrière qu’un tas incroyable de superstitions grotesques.
…..Qu’il est donc sain et prolifique de rester athé(e)s du fumiste capitalisme…
….……….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Échec de la privatisation : revenons à l'alternative publique
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61 articles : AGRICULTURE * ALIMENTATION (Économie et politique alimentaires) * ANTITRUST * BANQUE * BANQUES CENTRALES * BOYCOTTAGE * CAPITALISME * CHANGE * COMMERCE * COMMERCE INTERNATIONAL * ...
L’utopie capitaliste si désastreuse se base sur de terribles simplifications qui ne peuvent tout simplement pas exister : la concurrence parfaite c’est l’absence de concurrences…donc le monopole.
Steve Keen, l'un des rares économistes ayant anticipé le dernier crash financier, montre pourquoi les experts auto-déclarés, enfermés dans leurs ornières idéologiques, n’avaient rien vu venir. Il explique surtout qu’une autre crise financière serait presque inévitable… À moins que les hommes et femmes politiques ne s'attaquent aux dynamiques réelles qui sont à la base de l’instabilité financière, générée principalement par l’explosion des inégalités et la volonté démente des prétendus dirigeants d’amplifier encore ces inégalités. Mais sans aucun plan d’avenir commun pour l’espèce humaine. Et abandonnant toujours plus la…majorité des populations.
" La bourse ne s'insère nulle part dans la théorie économie. Elle est à part, une sorte de casino qui ne va pas avec le reste. En termes d'économie, les firmes y maximisent leurs profits et c'...
Qui ne veut pas nommer clairement les faits avoue être un grand voleur.
Lorsque l’information dite rationnelle des investisseurs est : Nos soi-disant choix sont les choix des autres ! Qui, eux-mêmes, etc.
Quand on parle de « prospérité partagée », le chiffre 40 est incontournable
Joseph Stiglitz : "Les politiques qui ont mené à la crise dominent toujours". Et sont toujours au pouvoir les mêmes dangereux fauteurs de troubles mondiaux…
L’auto-croyance : TROUVER LE BON PRIX D'ENTRÉE LORS DE VOTRE PRISE DE POSITION EN DAY TRADING!
Action : quel est le juste prix ?
Lad'une action est fonction de la valeur de la société dont elle représente une part du capital. Différentes méthodes sont proposées pour estimer la valeur d'une société, toutefois on ne pe...
https://www.bforbank.com/mag/impots/action--quel-est-le-juste-prix.html
L’alignement de tautologies qui ne prouvent rien… »Le prix des actions « serait » déterminé par l’offre et de la demande. Ce cours de l’action déterminé par le marché est DONC le « juste » prix »…La preuve que non et immense NON. La « raison sociale » de la Bourse n’existe plus – il faut l’abolir !
qui paraîtra le 23 février 2017 en librairie (coédité par les Éditions de l'Atelier et l'Agence Française de Développement (AFD)) est la traduction d'un livre qui a " choisi les vertus de la...
http://www.boursica.com/informations-communiques-bourse/lire-depeche.php2/news/208990/dep_isin/
' Au-delà du marché. Vers une nouvelle pensée économique ' de Kaushik BASU, Banque mondiale…
L'imposture économique de Steve Keen PDF
Economy is going to bounce back (rebondir de nouveau), says Kaushik Basu. Oui? mais pour qui exactement ? Clair que l’absence de réponses à ces questions ne présage jamais une sincérité de partages équitables !
« J’essaie dans cette vidéo de montrer que le mécanisme de l'offre et de la demande ne nous a pas été présenté comme il se doit mais enrober de manière à nous faire accepter l’inacceptable. »
Le monde selon Stiglitz