Les hors réel font semblant de nous diriger (2/2)
Le précédent constat incroyable de plus ils sont riches, moins ils sont capables de comprendre les autres, s’est très concrétisé. Plus ils ont moins ils sont, ayant même perdu leur humanité en route. Nul ne peut plus se laisser diriger par de tels aveuglements flagrants. Entièrement hors sol, ils sont vraiment coupés du réel au point de ne plus rien savoir de ce que vit au moins 85 % de l’Humanité. Leurs incapacités affectives et émotionnelles à piloter qui que ce soit (même plus eux-mêmes) nous les montre égarés dans leurs lubies, leurs compulsions dérisoires et leurs mono-maniaqueries suicidaires…Depuis 50 ans, eux ou leurs clones, n’ont pas bougé d’un millimètre. S’effondrant dans les incompétences au point de croire que la vie n’est qu’un plan com’, qu’il ne faille jamais être sincère, que penser aux autres c’est une perte de temps, etc. Leurs repères n’ont plus court et ils/elles en savent tellement moins que n’importe lequel d’entre nous sur notre…futur commun. Ce texte se voue à… 1) – ** nous les restituer dans leur vie intime avec ces bribes de pensées toujours plus malades…2) - ** à comprendre comment les contourner, nous passer complètement de leur ombre portée, bref, tourner la rage et vivre une plus que nouvelle civilisation. Sans eux et malgré eux ! Puisque nous n’avons strictement rien à voir avec ces vains fuyards !
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Démarrons par les percevoir en véritables étrangers sur Terre, furieusement irréalistes, et donc, comme de lourdes charges, coûtant une fortune aux autres. Tellement inadéquats et encore plus déphasés :
**1) – Le plus difficile à capter demeure que ces prétendues catégories supérieures demeurent, quelque part, les plus manipulées de toutes. C’est un effet systémique non un impactage de volontés disparates…Oui comme ceci ? « On a ensuite entrepris d’éduquer [[ la drue « révolution culturelle », en vrai, eh oui !]] à cette bien-pensance les classes supérieures, moins impactées par les injustices sociales [[« Même pas mal »…aux autres, se gavent ces non-civilisés !]]. Les invitant, ainsi, à concentrer leur tolérance [[ ils en ont tellement peu…]] dans des thématiques minoritaires choisies. Le tout pour qu'elles puissent plus facilement se donner bonne conscience et ne pas avoir à culpabiliser des conséquences que leur niveau de vivre provoque dans les étages inférieurs de la société. Ce que l'on appelle la « bien-pensance », aujourd'hui, est donc une façon de penser « à ne surtout pas penser » qui consiste, concrètement, à prôner la tolérance et l'anti-discrimination contre seulement certaines minorités. Et pas les autres ! Se voulant moralisatrice, humaniste (sic) [[sauf qu’elle se prend les pieds dans ses grossièretés contre les « droitsdelhommisme » tellement simples qu’elle en a affreusement peur (un humain naît, il a, automatiquement, LES DROITS d’avoir un toit, à manger, des soins, et de la culture…afin de pouvoir (simple non ?) remplir « ses devoirs de citoyen ». Trop simple pour la canaille des sommets sommées ]], elle souhaite « dicter » la diction de ce qu'il faut penser, préconise une censure « censitaire » qui interdit et pénalise principalement les propos racistes, homophobes, ou sexistes, mais jamais de jamais la stigmatisation des victimes de la paupérisation. Provoquant ainsi des procès en blasphème sur des thématiques choisies.
Robert-Reich-les-étasuniens-doivent-partager-la-richesse
Sous leurs faux airs de tollérance, les bien-pensants sont donc devenus, en réalité, une couche imperméable empêchant l'odeur de la misère sociale de se faire sentir auprès de cette France qui va bien [[ mais à quel prix ? A se sentir, parfois, dans Babylone finissante et ses sacrifices à Baal ]]. La rien-pensance tient fermement, et parfois sans s'en rendre compte, le couvercle de la cocote minute sociale pour éviter que celle-ci n'explose [[ mission devenue impossible !]]. Dans ce sens, et à l'inverse de ce que l'on souhaite nous faire croire, participer, donner son avis dans ce genre de débats de société, n'est donc pas une initiative intellectuelle, de débat dans la cité, mais juste une façon d’éviter tout débat [[ ce pourquoi la violence des riches est la plus insurpassable et brutale de toutes. Impossible de ressentir la moindre sympathie pour ces monstres devenus et leur si vulgaire « non-pensance »]].
La-bien-pensance-expliquée-à-cette-France-qui-la-subit
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** 2) - Comment ceux qui mentent sur les réformes toujours faites « pour le progrès» se révèlent les pires des…conservateurs. Donc très antiprogrès. Mais avec une tare en plus : celle de nier et renier la réalité. Comme cela… « La société étasunienne [[donc de l’égaré libéralisme français]] est redevenue fondamentalement conservatrice. Regardons les trois arguments clés du « meilleur des systèmes possibles ». Grand un : « Le capitalisme crée des inégalités, mais les revenus des plus pauvres augmentent toujours sur le long terme. » Ce n'est manifestement plus le cas. *** Deux : « Le capitalisme assure une certaine stabilité politique. » Il faudrait être aveugle pour ne pas voir que les crises politiques se multiplient sur tous les continents. Et trois : « Les progrès technologiques sont un moteur extraordinaire pour un monde meilleur. » Il ne reste plus qu'à prouver que le monde s'est amélioré moralement. Joli bulletin de notes !
Inégalité-pour-tous=-croissance-pour-personne-un-ex-ministre-de-bill-Clinton-se-met-au-documentaire
« Les 400 personnes les plus fortunées des États-Unis possèdent autant de richesses que les 150 millions d'étasuniens les plus pauvres, et cela pose un problème très grave. » Pas tant d'un point de vue moral, puisque son rayon, c'est l'économie. Lorsque les inégalités atteignent de tels sommets, explique Robert Reich, un cercle vicieux s'installe : les salaires stagnent, les salariés consomment moins, les sociétés réduisent leurs effectifs, les recettes fiscales diminuent, l'Etat fédéral restreint les budgets, les salariés sont moins bien formés, le chômage augmente, etc. » D’où :
>>> - ** a) – « Le capitalisme ne fera pas mieux que le socialisme en matière de règlements et de paperasse — fût-elle électronique ? [[ non il fait bien pire. Le capitalisme c’est LA plus grande des BUREAUCRATIES !]].
L'objection la plus commune adressée au modèle socialiste, c'est sa dimension utopique. Les marxistes imaginent une version idéalisée de la vie et demandent aux êtres humains d'être à la hauteur de cet idéal ! Obstinés, les régimes socialistes imposent des règles de conduite à la population. Quand des individus y dérogent, plutôt que de reconnaître que les règles sont mauvaises, le régime déclare que tout le mal vient des hommes et les envoie au goulag. Méchant défaut dans la cuirasse du projet socialiste... Mais voyez à quel point, dans le système capitaliste, l'hiatus n'est pas si différent : la dernière fois que j'ai regardé les résultats de la première banque du monde (ou presque), J.P. Morgan, j'ai découvert que 75 à 80 % de leurs profits venaient des frais de gestion de compte et des agios imposés aux clients endettés. Ces banques émettent elles aussi des règles «idéales» ; et à chaque fois que nous sommes pris en défaut, elles nous ponctionnent.[[ plutôt que de reconnaître que leurs règles sont mauvaises , elles vont, soviétiquement, oser que tout le mal vient des hommes. Non d’elles ! ]]
David-Graeber-la-bureaucratie-permet-au-capitalisme-de-s'enrichir-sans-fin
Comment se fait-il que personne ne réagisse ? Quelqu'un a réussi à faire croire à tout le monde que la bureaucratie était un fléau du secteur public, alors que c'est un modèle qui transcende la séparation public/privé. Au début du siècle dernier, tout le monde savait que la bureaucratie de l'administration et celle des entreprises, c'était pareil. "A chaque fois que des règles existantes créent une situation ubuesque, le système capitaliste promet une solution... en inventant de nouvelles règles !" [[ Pas très doués ces dérégulés (mais pour leur seule…marginalité, pas pour le sort commun, ces faux jetons, déguisés en faux libéraux, sont encore plus directifs, autoritaristes et pondeurs d’une avalanche de règles que toutes les autres formes politiques]]. »
S'il-n'y-avait-pas-d'évasion-fiscale-il-n'y-aurait-de-problème-d'équilibre-des-finances-publiques
L’évasion fiscale représente 80 milliards d’euros par an en France et 1 000 milliards d’euros par an en Europe. Pour la France, cela représente le coût du déficit public, ce qui revient à dire que sans évasion fiscale, pas de déficit public.
Revue-Regards-Croisés-sur-l'économie
Pourquoi les pauvres n’exproprient-ils pas les riches en démocratie ? La réponse trop banale est l’argument marxiste de l’aliénation : les pauvres ne voient pas quel est leur intérêt réel, et votent contre leur intérêt. Ceci peut s’exprimer dans une démocratie par l’apparition d’un nouvel enjeu non économique, qui fait « diversion ». Nous allons ici présenter brièvement l’idée du modèle de Roemer qui reprend cette question dans le langage de l’économie contemporaine, Roemer dont on qualifie parfois les travaux de « marxisme analytique », et comment on arrive à un résultat surprenant : sous certaines conditions, il est possible qu’un parti même composé de citoyens pauvres et cherchant à les représenter soit conduit à proposer un taux de taxation de 0 % pour les trop riches !
>>>> ** b) - Perte de toute logique, de tout bon sens, voire de rationalité. D'une part, le public est de plus en plus organisé comme un business et, d'autre part, le marché privé se réfère, centralement, à des règles émises par les gouvernements. Mais surtout, aux États-Unis, les lois définissant les règles du marché sont toutes le résultat d'un lobbying exercé par les entreprises sur les députés. Mon banquier a donc tort de se plaindre : il est coresponsable, vrai complice, de mes problèmes de bureaucratie – [[mais, en plus, se comporte comme un sale gosse teigneux, un irresponsable mythomane, et un très lâche tricheur sans le moindre honneur (la vérité est que « ce » privé est trop subventionné par le public, un pesant sur-assisté) Ce sont les impôts de toutes et tous qui « réparent » toujours leurs erreurs…]].» Ce genre de raisonnements très charpentés et nourris de faits quotidiens, nous conduisent tellement loin des ronrons ompiumisés des graves aliénations dirigeantes que tout reprend sens sensé. Et que, en parodiant ces dangereux immatures, c’est nous qui tenons et conduisons le récit désormais. C’est qu’ils s'archaïsent à la vitesse V ces hors sol. Qui font semblant de diriger les autres ( oui semblant puisqu’ils en ont aucune des capacités !).
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Le-capitalisme-intégré-est-une-économie-dont-le-lieu-n'est-pas-sur-Terre-Francois-Meyronnis
** c) - « Proclamer veut dire « crier en avant ». Le choix de ce mot est ainsi la métaphore d'un discours que je voudrais prophétique. Je ne suis pas économiste, je n'ai aucune autorité en la matière, mais je suis un écrivain et par conséquent attentif aux signes. A partir de ce qu'il entend, l'écrivain voit ce que les autres délaissent, l'envisage sous un angle inattendu. Par cette « proclamation », je m'efforce d'interrompre le sommeil général, une sorte de léthargie entretenue par la confusion des discours relayés par les médias [[…je clame donc réclame !]].
Et pourquoi la « vraie » crise ? Parce qu'on se limite en général à la crise au sens économique du terme. Il ne s'agit évidemment pas d'en méconnaître l'importance, celle-ci est considérable. A l'automne 2008, la crise financière nous a fait entrevoir le gouffre et la prochaine pourrait être pire car les États, déjà surendettés, ne pourraient plus rien endiguer. Mais la crise que nous vivons est beaucoup plus ample, et d'une certaine manière le discours économique en recouvre la « vraie » nature. Ce qu'il faut bien voir, en effet, c'est la coïncidence, au début des années 1980, de deux révolutions. Celle de la finance, dont la dérégulation a fortement bouleversé la vie des gens d'un bout à l'autre de la planète. Et celle du numérique qui en démultiplie les effets. Sans doute n'a-t-on pas pris tout de suite la mesure de ce qui est en jeu. A savoir que l'économie réelle est aujourd'hui entièrement déterminée depuis une instance en apesanteur : le virtuel, en surplomb, l'emporte sur la réalité. Démultipliant les connexions à l'envi, irradiant en tous lieux, les réseaux numériques – processus faits d'algorithmes – combinent des branchements, recroisent des liaisons, et accouchent d'un véritable monde parallèle, capable de satelliser le nôtre. Ainsi peut-on concevoir que la finance n'est plus au service de la production et du commerce, mais le contraire. Les mouvements de capitaux, réduits à des impulsions électroniques, traversent les continents en quelques nanosecondes. La sphère virtuelle dicte aux grandes firmes leur stratégie. Le monde, d'une certaine manière, est sans arrêt reconfiguré pour créer de la valeur chiffrée. Il n'y a plus que cela qui importe. »
Ce0 pourquoi il EXPORTE tout le reste (dont nous, toute la civilisation et la biodiversité, etc.) – les faux dirigeants, ayant perdu toute raison, vivent tous en PROTECTIONNISTES concrets (leur importe seul ce qu’ils décrètent importer – pas de plus nuisibles séparatistes qu’eux, c’est très sûr !)…
Ce pourquoi ils ne sont QUE des fardeaux pour les vrais adultes. Et que le monde ira bien mieux…
………………… lorsqu’il comprendra qu’il ne faut plus les écouter du tout !
…… (à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
…inégalités pour tous de Robert Reich…ce qui est le monde le plus à l’envers possible : la grimace ratée de l’égalité pour tous en perd tus les avantages et ne récupère que tous les malheurs à la fois. Les inégalités pour toutes et tous c’est vraiment le TOUS PAREILS, la grisaille du conformisme le plus aliéné !
L’occident cupide pris la main sale dans le sac ? Il ne recouvre tout que de son déloyal monologue où il parle pour les autres, notamment afin de faire passer toutes ses exactions pour « naturelles »…mais où est donc « son » acte de propriété et de priorité sur l’Afrique ? Tiens, nulle par, il n’a même jamais existé. Alors ?
La croissance des salaires et la croissance de la productivité : elles se suivaient gentiment jusqu’à la fin des années 70, puis elles se sont séparées.
Où sont les règles ? Que nous devons toujours payer pour les dégâts de ces enfants attardés ? Mais pourquoi accepter cette fausse règle ?
Le « fake » (faux) assouplissement du marché du travail (puisqu’il n’est qu’unilatéral, dans un sens unique) favorise les…inégalités et une croissance non partagée n’est pas… favorable aux pays. Une étude émanant du Fmi nie, fermement, que le « ruissellement » puisse exister. Et ouvre les judicieux commentaires suivants que le gouvernement Macron s’entête à « ignorer ». Au détriment intégral du pays « légal »
Et jamais aux dirigeants qui ont, pourtant, cent mille fois plus de moyens de tout concrétiser. Prouesses, surpassements humains, et donc prodiges, ne sont réclamés et exigés que des ...
Comment les miracles du changement instantané ne sont exigés que des...démunis.
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LA SURVIE DE L'ESPÈCE SELON FRANÇOIS RODDIER - Blog de Paul Jorion
Vendredi dernier, à Lausanne, j'ai eu l'occasion de discuter avec Oil Man qui, comme son nom l'indique, est un super-héros. Son alter ego dans la société civile (non, ce n'est pas Peter Parker)...
https://www.pauljorion.com/blog/2014/06/10/la-survie-de-lespece-selon-francois-roddier/
Oui "imposer" - Comment se fait-il qu’une doctrine qui ne veut pas d’état devienne la plus interventionniste, autoritariste, répressive, étatolâtre, intrusive et donneuse de leçons qui soit ?
inégalités pour tous de Robert Reich – Le « Tous pareils » qui semble si grotesque face à l’égalité, si rationnelle…
Laurent Alexandre : «Il faut qu’on se réveille… Nous devons vite changer d’élite»…L’évidence saute aux yeux ! La fausse élite qui a tout figé et immobilisé depuis plus de 40 ans ne repose que sur un putsch complètement illégal et une incompétence radicale à emplir sa démente prétention…
États-Unis : des infrastructures obsolètes. Ce qui relie les plus les hommes aux hommes est carrément foutu à la poubelle par des fake dirigeants devenant plus nocifs chaque jour !
En quête de sens….Film autour des incohérences illogiques des multinationales
Nicole Ferroni : "La méchanceté sans fin" . Le méchant = le mal tombé, le très mal tombé. Dont la chance chancèle…
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Apparemment tout est fait pour que ceci ne puisse pas être. Qu'il n'aide pas. Et que le trop riche ne fasse que nuire à toute la société. L'amenant vers la rupture. Les bénéfices des plus ric...
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Partout les nantis ont la même absence de stratégie, soit éviter les pauvres ( qui avoue bien leur lâcheté absolue face aux conséquences de leurs comportements inadmissibles !). Il y a tellement d’autres possibles. Il faut vraiment vivre hors du réel, hors sol et hors raison pour ne pas le savoir…Les riches antisociaux, à ce point, ne doivent pas gouverner.
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Les inégalités ont un impact négatif sur la croissance
Les inégalités ont un impact négatif sur la croissance Rapport L'OCDE montre que le creusement entre riches et pauvres pèse sur la croissance La qualité de l'éducation pour les plus pauvres a...
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Le rapport L’OCDE montre que le creusement entre riches et pauvres pèse durement sur la croissance. L’accroissement des inégalités a un impact très négatif sur la croissance et c’est le creusement des écarts entre les 40 % des familles les plus modestes et le reste de la société qui pèse le plus lourdement dans cette dynamique. «Les pays qui promeuvent une égalité des chances dès le départ sont ceux qui vont croître et prospérer», a commenté à ce sujet Angel Gurria, secrétaire général de l’OCDE.
L’inexcusable crime capitaliste, incompris par ceux qui en profitent.