Pourquoi nous ne pouvons participer à la société ?

Le centre de la réponse est la…culture. Non libre et très faussée. Nous sommes figés à n’y rester que récepteurs passifs. Et ? L’art contemporain (qui n’est ni art ni contemporain) écarte 95 % des artistes. Qui sera édité, se décide à la…télé. Oui. Le show biz, depuis plus, de 30 ans étouffe tout ce qui serait libérateur. A l’université, n’est enseignée que l’économie néoclassique alors qu’elle est vraiment fausse ! Etc. Bref, nous pouvons lire ce qu’ils pensent vraiment dans « Dol » de Philippe Squarzoni, par exemple. Et, nous pouvons décrypter ce qu’ils font si nous avons les bonnes grilles : soit avoir transformé tout ce qui reste vive culture en…marchés (de l’art, de l’écriture vide, des médias menteurs, des savoirs falsifiés, etc.)…ce qui nous ouvre à fond le sens du comique. Cette fois-ci, nos rires vont les geler net. Plus, de vérifier les peurs qu’ils…cumulent. Dont la peur que nous comprenions tous en même temps le CONCRET (si, grâce au numérique, un CD ne coûte plus que moins de 0,50 €, pourquoi persister à le vendre au dessus de 15 € ? Etc.). Peur que nous percevions l’ampleur de leurs…parasitismes scandaleux. D’en déduire que tout, par conséquent, ne peut qu’aller bien mieux sans leurs impostures. Peur que nous nous détournions à jamais d’eux. Etc. Ainsi « feuillederouter » (encore du gros grotesque !), nous allons déjà compléter la partie culture (ici, arts truqués et éditions muselées). Et puis, nous suivrons par la réhabilitation salubre des savoirs véridiques, etc. Pour boucler par ce qui réussit le mieux  dans les pratiques (oui, en leur refilant les plus grandes patrouilles de trouilles !)…A l’horizon, une sacrée aventure garantie…Gooooooo…

>>> ** - L’art contemporain n’est ni art ni contemporain mais juste une escroquerie des fausses élites : l’irrespect complet envers toutes les valeurs, dont celles de l’art, qu’étalent ces voyous des sommets, se trouvait devant ce dilemme. Ne parlons que de peintures : des grands artistes « de la main » il y avait tellement peu « d’exemplaires » d’œuvres. Oui et alors ? Il faut trouver une productivité tellement plus grande, dopée, droguée à coups d’idéologie, afin de veeeendre. Pour ces déchus l’art ne les intéresse pas du tout -  seulement le « marché » de l’art. D’où 1)** les médias d’argent vont nous faire croire que l’art contemporain existe (le grand drame c’est que la nommée « gauche culturelle »(qui n’est ni à gauche ni culturelle), cette grave honte, aura soutenu aussi cette déchéance, (nous allons y revenir). Donc ce sont de claires infidélités de ce microcosme devant tout ce qui est objectivité, équité et probité…2) *** l’état (squattés par les ennemis de la réPublique) s’y accole à travers la Fnac, les Frac et la Fiac aux choix vraiment très illégitimes…3) *** – le marché exile, et plus qu’illégalement, tout ce qui n’est pas cet art véreux…sans art. Il ne reste que le marché…Ne reste qu’à prouver ce récit – nous allons le faire !

//// ** Les vidéos jointes illustrent vraiment très bien ces péripéties. Il manquait surtout le «récit-monde» complet. Qui est ? Qu’afin qu’un « marché » de l’art domine tout il fallait 1)*** que l’art authentique soit EXPULSÉ de tous les lieux qui extorquent la valeur truquée. Et les galeries se mirent à vendre ces taches hâtives, des escroqueries authentiques telles vendre une toile sans châssis et un châssis sans toile, etc. …même une vis, coûtant 5 € vendue 15 000 €, etc. Que du grotesque infini oui mais qui EMPÊCHE, en plus de ses autres pollutions, l’art véritable de pouvoir survivre. Des faits troublants démontrent bien qu’il y a entente entière entre tous ces tristes personnages : c’est le seul cas, en France, où il n’est pas possible de connaître le prix réel des œuvres achetées par l’argent des impôts. Le Conseil d’État en 1991 s’est permis d’entériner cette illégitimité. Et, le dit « secret des affaires », poussé à ce point, d’avouer la séquestration des biens publics par ce privé qui se permet de ne tenir aucun compte des secrets intimes du commun des mortels. Mais qui se monopolise un droit exorbitant au « secret trop massif ». Et ceci dans l’unique but de dépouiller 85 % au moins de la population…de ses droits comme de son patrimoine. L’art contemporain en est le plus vénéneux exemple !

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<<< *** >>> . INTRO : Ce que l’on désigne couramment par le vocable «d’Art contemporain» ne reflète surtout pas toute la production artistique véridique de notre époque, loin de là. C’est même la très petite partie qui INTERDIT la bien plus grande…L’appellation frauduleuse correspond à un label estampillant un courant parmi…d'autres de la création : l'art conceptuel. Il a été choisi, très illégalement, par le haut marché comme produit artistique à destination planétaire pour son caractère…sériel, reproductible, peu identitaire, carrément non humain. L'administration culturelle française en a fait l’art officiel de la réPublique, ainsi, sous nos yeux, clairement…privatisée, mais…clandestinement, comme ce qui ne peut supporter la lumière du grand jour. Ses « inspecteurs de la création », ses conservateurs et universitaires, plus qu’arbitrairement, décident de ce qui est de l’art et de ce qui n’en est pas, et ne distinguent plus très bien les frontières entre secteur public et secteur privé (toxicités extrêmes du secret des affaires allié aux conflits d’intérêts, etc. bref, la haute corruption qui ne va…jamais en prison. Faudra bien commencer un jour. Soit tout de suite…).  Autant dire que tout ce qui s’est déroulé durant ces années sombres DISQUALIFIE tous les intervenant-e-s et peut être considéré comme bien moins que zéro en ce qui concerne l’Art authentique. C’est juste à quel point le fric (livré à lui-même) rend juste crétin, vulgaire, immoral, inconscient, grossier, irresponsable, en un mot…absolument ringard ! La preuve étant amplement faite : la nouvelle civilisation disqualifiera entièrement l’argent qui rend si laid, si sali, si barbare et …si infréquentable !

*** Il est des histoires qui, une fois formulée, précipitent dans le néant les protagonistes de sa beuverie hideuse – tellement de la ressentir de toutes ses fibres soulève d’une répugnance existentielle complète…Bien ? Là, il s’agit de l’histoire d’un système très déshonoré : l’idéologie libérale-capitaliste qui n’aura fait que tout TRAHIR et souiller. Ses sources premières : le libéralisme libérateur n’existe plus sous cette défiguration autoritariste oui hyper…répressive (faut le faire !), plus étatiste que les socialismes (tout en osant qu’il est complètement contre l’État ! où cela donc ?), etc. Qui trahit, ensuite, tout ce qu’elle touche : les valeurs, les principes, la démocratie, la civilisation, l’honnêteté, la confiance, la culture, etc. Ainsi que chacun de leurs électeurs bernés en très grand. Pourquoi ? Ce système de haute corruption veut tout privatiser (soit se montrer à 100 % totalement antirépublicain, tout en usant du camouflage de la réPublique afin d’en faire la réPrivée)…donc  l’art est transformé (sous le manteau) en produit financier, porté par les prébendes publiques et la connivence de fonctionnaires des ministères, qui organisent des expositions dans des lieux historiques et qui promeuvent l’art officiel, au détriment…de tous les artistes traités en dissidents désormais dissimulés. L’art contemporain y devient une…complète imposture, car on désigne du terme art uniquement l’art officiel (privatisé de fait), soutenu d’illégitimes commandes publiques et abreuvé de subventions tout autant fraudées. Tout le reste n’ayant droit ni…au qualificatif d’art, ni à celui de…contemporain. Plus c’est gros plus cela devient grossier (nous nous croyons exactement chez les soviétiques doctrinaux !)…C’est ce scandale absolu que décrit  le concept de « L’Art caché » d’Aude de Kerros - depuis les 45 ans de la FIAC, cette insupportable mystification, le vrai art est …caché, celui de 95 % d’artistes décrétés dissidents (mais pas les 5 % du top down, des stop up !)...

Cet art à 100 truqué n’aura fonctionné que comme un produit financier, qui aurait pu s’effondrer en 2008, mais qui a été soutenu à bout de bras pour éviter son krach. Mais comme toute tromperie, il finira par disparaître, nous optimise Aude de Kerros. C’est qu’elle commence à avoir très raison. Cet incendie dans les cœurs va transformer toute la société. Puisque c‘est…déjà commencé !

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Comment cet art conceptuel s’est imposé dans le monde à partir des années 1960, répondant parfaitement aux nécessités frauduleuses de la société médiatique et mercantile (dite « spectaculaire-marchande », soit le comble de toutes les déchéances !). Contre toute logique, il est devenu en France le seul art dont les magazines, les médias dominants, la publicité intrusive, les discours politiques parlent. Dans les années 1980, Lang aura renforcé le dispositif en créant les FRAC (Fonds régionaux d'art contemporain) et le FNAC (Fonds national d'art contemporain) – tout ce qui n’est pas acheté par eux n’est pas de l’art. Tenant ainsi le crachoir au grand banditisme qu’est la spéculation (soit, selon Alexandre Dumas fils, « vivre sur l’argent des autres », comme des gangsters installés…Désinstallons-les !). Oui raconté en vrai…ceci parait tellement MONUMENTAL qu’il faudra s’y reprendre à plusieurs fois afin d’affiner les formulations…

…1) – Seuls des pervers  pouvaient concocter une telle haine du genre humain… Franck Lepage, dans sa talentueuse vidéo « L'art contemporain » nous offre des formulations…terrorisantes : "Si critiquer le fake art contemporain, c'est "être de droite", alors la gauche est foutue. Ça veut dire qu'à gauche, on ne peut plus critiquer la question de la culture, elle est incritiquable. C'est une religion, donc, c'est  sacraliser tout ce qui tromperie." Ceci est l’Histoire qui contient toutes ces sous-histoires. Dont une qui parle de la fake « gauche culturelle » qui persiste dans sa Dictature depuis encore plus longtemps. Gauche culturelle qui n’est ni de gauche ni culturelle mais qui aura infligé les pires CENSURES depuis que la civilisation européenne existe. C’est facile à …vérifier et nous y reviendrons…Auquel rajoute Franck : "Une idéologie est dominante si, et seulement si sa fonction idéologique ne peut pas être perçue." Car ? La culture étant la marchandise qui fait VENDRE toutes les autres, il ne peut y avoir que MONOPOLE complet, acariâtre, ridicule et très désagréable à approcher – si quelqu’un-e nous prouve le moindre début de concurrence dans la culture nous lui offrons des prunes carrées sur pilotis. Aucune concurrence, la mafieuse gueule de bois, un gang aliéné derrière. Comment donc ? A côté de ce si tricheur art contemporain, il y a l’édition. Oui l’écrit. Et ? Tous les auteurs « autorisés » (oui pire que sous Louis XIV, puisque la Hollande de la liberté d’expression aidée existe tellement moins !) le sont par la …télévision (le gang à 100 % anti-décentralisateur y est concentré – sa hiérarchie est peu transparente, mais très discernables ses 3 composantes : politiciens vendus aux lobbies, financiers fous et irresponsables et médias putschistes dans leur haute-direction et seulement elle – l’horreur est que le lumpen prolétariat de Marx y existe bien – pas un secteur d’activités qui soit plus maltraités que la culture concrète, pigistes pressurés, précaires, non payés ou mal, intermittents essorés, c’est la misère plus qu’injuste pour des humains de grands talents et avec un cœur plus que…oui qui mérite le détour ! Et leurs « supérieurs » surtout pas, plutôt un grand détour pour ne pas frôler ces échecs de vie…Bon, pause de nouveau : nous vous cernons bien l’évènement, avec tant de témoignages, d’expériences directes et d’émerveillements vécus (des kilomètres de kilomètres !)…c’est si énorme qu’il s’agit de ne pas rater la complète compréhension ! Comprendre c’est résister ! Avec « Dol » de Philippe Squarzoni, nous avons même la sensation de nous trouver dans la même pièce que ces voyous. Plus rien ne nous reste caché !

…2) – C’est un putsch  permanent contre la société entière. Qui nécessite donc un pilonnage incessant (d’où la si sale ambiance qui se dégage de tous les médias mainstream…si malsains et pesants…nous n’y respirons sainement… qu’ailleurs ! C’est que plus les mensonges sont gros, plus ils doivent être, jusqu’à la nausée, RÉPÉTÉS)…L’historique du putsch ?  Franck sur le pont ! «Au lendemain de la seconde guerre mondiale, les Étasuniens – s’ils sont la puissance économique dominante – ne sont pas encore la puissance culturelle dominante. Idéologiquement, ils ont un problème avec l’Europe : c’est que tous les grands intellectuels sont de gauche pour ne pas dire communistes. On va entrer dans la guerre froide et la grande astuce que va mener la CIA porte notamment sur les questions de l’art et de l’art contemporain. Je fais partie des gens qui pensent que l’art contemporain – dont il serait plus juste de dire que c’est un art de marché – a une histoire. Elle est inventée par les malsains USA à ce moment-là.

Ils vont réussir, à faire de l’ingérence politique, oui à modifier la politique interne des pays {{et la France reste leur plus belle réussite…]], en finançant des formes d’art qui ne désignent aucuns rapports sociaux. C'est-à-dire des formes d’art qui ne parlent pas des gens, qui ne parlent pas du réel, qui ne parlent que d'elles, de leur vide évident, un jeu de formes plastiques esthétique sans arrière plan ou intention politiques. Ils vont réussir ARTIFICIELLEMENT à opposer deux conceptions de l’art, dont l’une serait une conception prétendue démocratique, et l’autre, une conception totalitaire [[alors que la plus « totalitaire » des deux se démasque l’étasunienne – l’état actuel du monde en reste la preuve ! Et avoir les grilles de lectures fiables discrédite à 100 % ces U.S.A. qui n’auront fait que semer le désordre le plus corrompu dans le monde…]]. Ils vont réussir ce coup de maître d’opposer l’art contemporain d’un côté et le Réalisme socialiste de l’autre. Pour caricaturer à l’extrême, on a d’un côté un art complètement ridicule, pesant, où on peint des ouvriers en train d’extraire le charbon avec une pelle, et de l’autre un art dit faussement libre [[oui mais avec de faux rebelles, de faux jetons, des traîtres absolument intégraux !]] qui manifeste de la liberté précisément en le fait qu’il n’y a plus aucune censure sur son contenu…puisque ce contenu est absolument inexistant ; on peut donc faire tout et n’importe quoi [[ alors que c’est rien, nonsense et pas pour n’importe quoi…]], c’est de l’art non-libre [[puisque ses règles hideuses sont terriblement oppressantes pour qui s’y laisse…prendre !]] et c’est de l’art anti-démocratique [[ qui n’admet pas la moindre concurrence, alternative ou dissidence…juste son monopole tyrannique…]]. De là à dire que la démocratie c’est ça et pas autre chose, le pas est franchi assez rapidement. Ce « ça » devient de la très fausse liberté d’expression totalement encadré par l’argent hurlant ses ordres [[ d’où sont exclus lulu 95 % des artistes…mais (aussi) les musiciens de talents, les vrais écrivains ou les authentiques penseurs – citons donc un seul de ces héros de l’époque qui « passe » à la télévision – le centre significatif de cette tyrannie dans les faits ? Nous le verrons en 3 ) ! ]]. Tout ceci jamais référé à un enjeu concret. Si c’est rattaché à un enjeu réel, ça devient totalitaire, politique, ça devient instrumenté. » Très éclairant ce Franck clair ?

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[[ Bon, tout ceci est très dur à digérer en une bouchée…mais nous avons des milliers et plus de preuves et le déroulement chronologique, que toutes et tous peuvent nourrir ]]… « La culture est une formidable démonstration politique de quelque chose de facile à gesticuler. Le théâtre, ça consiste à faire semblant. La culture, ça consiste à faire pour de vrai. (...) Si je voulais vous faire comprendre théâtralement que je fais pipi, je ferais un truc comme ça [il mime], vous auriez tous compris : « ah, il fait pipi ». Mais je ne le ferais pas vraiment, vous voyez, et vous auriez compris quand même. Ça serait du théâtre. (...) Alors que si je la sortais et si je me mettais à uriner devant vous, alors je pourrais demander des subventions à la FRAC, je pourrais demander de l'argent au ministère de la culture truquée, parce que ça serait une formidable prise de risque artistique [[complètement falsifiée aussi ]], et que ce ministère est là maintenant depuis une cinquantaine d'années pour encourager les fausses prises de risque artistique. Je veux dire, on ne va quand même pas donner de l'argent public à des gens qui font semblant [[et pourtant si…sinon pas de société du spectacle, celle qui fait sans cesse semblant ! Pour que nous la payons et très grassement pour qu’elle continue à…faire semblant !]]. D'accord ?

Alors, ça n'a pas toujours été comme ça. On va évoquer ce soir ce moment où c'est devenu ça [[et donc le moment où cela va CESSER d’être comme ça]]. Le moment dans notre histoire, en France, où quelque chose a basculé, au tournant des années soixante. Où ce qui n'était que du théâtre, de la danse, de la peinture, est devenu autre chose, c'est à dire une formidable démonstration politique permanente de quelque chose. Le moment où le pouvoir, plus que sournois, a compris l'intérêt qu'il y avait à souffler à l'oreille de quelques peintres, quelques danseurs, quelques modistes et (surtout) quelques journalistes (le message pour eux : les écrivains ne servent à rien, prenez leur place – sauf que là le ratage retentit encooooooooore !)…qu'ils faisaient beaucoup plus que de la danse, qu'ils faisaient un acte de création, qu'ils étaient des créateurs. Jusque là, ce mot était réservé au vocabulaire religieux [[ et les éditeurs ont entériné la mégalomanie des journalistes en ce dogme « on ne publie pas les génies », fleuri dans les années 1980,…donc ne sont plus publiés que des journalistes qui ne pourront jamais être des génies…Et toc : le ridicule complet, en fait. L’arroseur arrosé, et l’escroc trop démasqué]]. (...) Et le pouvoir a compris un truc hyper pervers, c'est que vous ne pouvez pas critiquer une création, c'est impossible. Vous pouvez critiquer du théâtre, de la peinture, de la danse, ça sert à ça, on appelle ça de l'esthétique, ça sert à être jugé. Alors que si c'est une création, et si vous la critiquez, ça fait de vous immédiatement un fasciste. (...)…pareil que le coup frauduleux de l’antisémitisme, en fait !

Vous allez me dire : c'est complètement idiot de donner de l'argent public, de donner des subventions vertigineuses, pour faire pipi par terre. Mais ce n'est pas idiot du tout. C'est même remarquablement machiavélique. Parce que ça nous prouve quelque chose, ça nous démontre quelque chose, j'ai envie de dire : ça nous fait croire quelque chose. Ça prouve de la liberté d'expression…artificielle [[ sauf que c’est dans une nursery séparée de la société réelle – une mise en spectacle comme l’on dit une mise en abyme…bref, un trucage énorme ! mais suintant tellement de puérilités qu’avec un peu d’apprentissage tout le monde peut le discerner…et hurler « Au voleur ! », aux voleurs…]]…Ça vous ferait croire à la démocratie sous emballage. Mais une démocratie à bon compte [[ puisque ce n’est qu’un simulacre permanent…un grossier quidam qui « fait semblant » de transgresser les règles…antidémocratiques, alors que, traître intégral, il ne fait que les…renforcer.]]. Si vous pensez que la démocratie, c'est plus compliqué que ça, non, pour le spectacle nul, ça consiste à prendre de vrais risques contre des…institutions, vous avez perdu « notre » temps : il suffisait d'ouvrir votre braguette, ça faisait de vous un démocrate…immédiatement. Pas de preuves requises…Par exemple si vous voulez déclamer au milieu de la cour d'honneur du palais des papes à Avignon que l'office public des hlm du Vaucluse a une politique d'attribution des logements aux familles algériennes qui les cantonne tous en-dehors des remparts dans des ghettos, vous ne pourriez pas demander de subventions au FNAC et au ministère de la culture pour ça. Ça ne serait pas considéré comme de la liberté d'expression. Puisque l’aire de cette fausse liberté  « autorisée entre les repas » est très très…restreinte …puisque c’est…pour faire semblant, un cagibi suffit…

Et donc c'est vachement minable, parce que ce ministère est là depuis une cinquantaine d'années maintenant pour nous faire croire à la démocratie, et en réalité pour nous faire adhérer au…capitalisme si ennemi de toute…démocratie comme de toute décentralisation concrète. Si vous voulez le dire ainsi, à Moscou, au Bolchoï, elles ne se pissent pas dans le tutu : c'est donc un pays totalitaire, vous voyez. Si nous pouvons payer des sommes astronomiques à des gens pour pisser par terre, nous sommes en démocratie. [[ L’artificielle…Celle de la pisse hautière !]]

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…3) – Enfin, c’est archi minoritaire et défendu uniquement par des …nihilistes qui veulent donc la destruction de l’Humanité (soit les plus grands voyous que contient le monde)…Comment cette infamie se poursuit ? « Saviez-vous que 95 % des artistes plasticiens actuels n’ont pas le droit au qualificatif officiel de « contemporains »  et sont, de ce fait, interdits d’achat par les FRAC ? Nous venons en effet d’assister au plus énorme hold-up sémantique du siècle et même de l’histoire de l’art tout entière, à un stupéfiant détournement lexical qui permet donc de réserver le mot et le label « contemporain » à l’usage exclusif des seules productions de l’appareil bureaucratico-financier en place depuis plus de quarante ans et pour désigner les seules œuvres d’ordre conceptualo-postural à haute discursivité [[ ce qui ne permet pas justement d’en parler…]], échappant à tous les critères esthétiques connus… et que ne connaissent justement pas les farouches défenseurs de ce label, formant une caste de plus en plus fermée sur elle-même et n’échappant pas à cette dégénérescence liée à la consanguinité [[ quel soulagement universel lorsque cette lie ahumaine va disparaître !]]. Ainsi, cette flore artistique sauvage constituant 95 % de la création actuelle, est-elle totalement ignorée ou méprisée par les tarés endogames, sbires du système institutionnel et spéculatif, alors qu’elle n’a jamais été aussi belle, abondante et variée. Comment pourriez-vous définir ou décrire les œuvres de l’art officiel ? [[ tiens une entrevue entrevue d’Aude de Kerros ]].

Cet art officiel dit contemporain est un art de « système », totalement démontable, sans nécessité intérieure, sans accroche sensible, sans mystère ni poésie, sans contenu. Il ne peut être ni viable, ni durable, ni partageable, ni transmissible aux générations futures. Ce produit de la spéculation, intellectuelle ou conceptuelle, et financière, détruit l’art comme l’économie virtuelle détruit l’économie réelle et comme la spéculation sur les céréales et la viande détruit les sols et empoisonne les agriculteurs. [[ et après cela, il y a encire des imposteurs qui s’enfoncent dans le…la spéculation c’est pas grave, tout le monde a le droit de spéculer – sauf qu’est oublié ce « tout le monde a le droit de ne pas être pollué par le désastre des spéculations » ]]. C’est un art de la disparition du contenu sensible, charnel et vivant (comme le sol de l’agriculture « contemporaine » se vide de ses organismes vivants) au profit du contenant le plus spectaculaire et provocateur possible ; au profit du discours d’enrobage et d’endoctrinement à la malbouffe artistique, au profit du discours du rien à dire mais « j’occupe » l’espace public ; au profit d’un bourrage médiatique destiné à combler son absence d’objet et sa vacuité ontologique; bref, au profit de ce verbe qui, comme chacun sait, fabrique de l’argent et du pouvoir en-soi et pour soi et en vit [[ sauf que l’argent ne s’auto-reproduit pas, ne se féconde pas, ne fait pas des petits, ne connaît pas de générations spontanées…mais vit…en parasite sur le travail réel et bien concret des autres…le capitalisme cette grossièreté la plus discourtoise du monde qui « se monopolise » toutes les plus-values collectives – eh oui, tout se tient…et la nasse se referme sur les escrocs désormais sur les crocs…Apprenez à rester polis, messieurs les capitalistes et Remboursez tous les gigantesques…trop perçus ! Tu vois bien mamie qu’ils n’ont jamais été polis de leur vie. Ce sont eux les vrais voyous…]].

C’est donc un art de la communication à vide, de la posture, de la frime, du bidon sonore, du n’importe quoi fabriqué et imposé par des gens qui ne comprennent pas l’art, qui ne l’aiment pas et sont qualifiés, payés et fonctionnarisés [[ pas de pires fonctionnaires que la Bourse qui ose socialiser, nationaliser, donc fonctionnariser, toutes ses pertes – les prendre au mot c’est les conduire direct en taule !]] pour ça, et pour en dégoûter un maximum de citoyens, comme on dégoûte les gens de la bonne nourriture moins rentable que la malbouffe. C’est un art destiné à générer l’ébahissement des foules et l’incompréhension culpabilisante devant la sophistication et l’inextricabilité langagière qui l’enrobe et qui fonctionne comme une logorrhée hypnotique et incantatoire. C’est un instrument très puissant d’exercice pervers du pouvoir, par sa capacité à la crétinisation, à la radicalisation sectaire de ses agents, au décervelage ubuesque des populations ! C’est un outil d’aliénation, d’inféodation des médias et de la critique d’art à la finance internationale ; un outil d’asservissement du bon peuple, par le caractère terrorisant, donc terroriste, des prêches de ses ayatollahs, par ses provocations, son non-sens, son cynisme, ses répugnantes fainéantises, ses fausses transgressions faussement spectaculaires et par l’énormité étourdissante du prix des œuvres du Show-art-business [[ aussi hideux que le show business musical qui aura étouffé toute véritable créativité depuis une petite quarantaine d’années. Solutions ? Que le public responsable et conscient leur IMPOSE les vrais musicos …en boycottant toute l’offre qui ne convient pas…et en réclamant par tous moyens les trop injustement censuré-e-s …dont nous avons, énergétiquement, tant BESOIN !]]. Pourquoi l’État français encourage-t-il cet art-là, celui de la frime, de la vacuité, de la destruction du sens ? Qui en sont les agents, pourquoi acceptent-ils?

L’absurdité et la dangerosité de l’intervention de l’État, viennent de ce que l’État est d’abord un appareil, avec une logique d’appareil qui détourne les bonnes intentions qui mettent en place les structures. La machine diabolique échappe à ses concepteurs et devient incontrôlable. Il faudrait là aussi rétablir des circuits courts et de proximité [[ la solution rapide c’est coopératives de conceptions, productions et diffusions partout entre transmetteurs juste dédommagés et publics qui ne veulent plus « être que ça » et qui PARTICIPENT à 100 %  à la coopératisation de tout…plus de festivaux estivals mais des autonomies créatrices régionales qui propagent la Fête en invitant les autres Régions etc…jusqu’à la grande marche de l’Humanité autour du monde…ceci est le vrai Récit et nul-le n’y peut plus rien contre…]]. Il faudrait que le politique reprenne les rênes de cette fumisterie d’usine à gaz bureaucratique complètements dérégulée, de ce bulldozer sans queue ni tête qui écrase et dévaste la flore naturelle. Il faudrait bien évidemment lui couper son alimentation en carburant, c’est-à-dire sa perfusion d’argent public. Ce serait le plus simple et le plus efficace, mais ce serait aller contre des lobbies et puissants réseaux d’intérêts devenus consubstantiels au système [[ et cela on s’en tape carrément – pas un ou une de ces minables qui mérite un geste, le détour que nos cœurs aillent les voir de près…plus ils dégageront, plus les vrais humains vont flamboyer et nous réchauffer de leur gigantesque tendresse humaine…]]. Il serait temps, je crois, que les écologistes s’en préoccupent [[ de la culture..concrète]]… »…Quelle noblesse de caractère. Les temps neufs se démontrent par ces formulations si…grandioses !

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…4) *** – Comment cette infamie s’auto-nuit désormais à fond ? L’Art contemporain, se voit qualifié d’arnaque de vocabulaire si ce n'est d'arnaque tout court. Selon ce principe maintes fois vérifié que les mots ne font pas que traduire la pensée, mais qu’ils l’induisent, ce que les publicitaires et communicateurs [[ à qui sont déjà dédiés 22 000 ans de prison !]] en tous genres ont bien compris, il nous rappelle que le terme « contemporain » ne signifie nullement que cet art est « d’aujourd’hui », mais qu’il est un art de « marché » et qu’il est donc finançable juste pour cette…déchéance. Ce que cette expression implique, à savoir que « c’est comme ça qu’on défait de l’art aujourd'hui » permet simplement d'empêcher toute opposition en excluant des milliers d'autres artistes. [[« leur » démocratie truquée c’est 1 CONTRE 9 999 !]] Il est pourtant évident, pour prendre un exemple, que n’importe quel dessin de n’importe quel illustrateur, quel que soit son talent ou sa notoriété, venant de paraître, est par définition de l’art contemporain. Or il n'aura jamais droit à ce titre, ne serait-ce que parce qu'il est beaucoup trop accessible au grand public. [[ en musique, le show biz et les médias frauduleux auront juste Séparés les transmetteurs de la fusion publique, utilisées les stars séquestrées pour cogner sur ce public et vécu en parasites vérolés sur ces 2 parties divisées. Que les ex-stars paraissent en avant de la marche irrésistible de l’Humanité (sur la Terre tenue) et toutes ces puériles pitreries s’effondrent… ]]

Concernant un nombre très limité d’artistes, de marchands et de milliardaires spéculateurs, [[ ceux-ci au moins 13 000 ans de prisons incompressibles]] mais largement soutenu par le ministère de la culture, ce mouvement laisse froid, dans le meilleur des cas, une immense majorité de la population, dont je suis. Et cependant il ne saurait être publiquement remis en cause, tous ceux, qui, dans la sphère culturelle, osent critiquer ouvertement une œuvre dite contemporaine étant invariablement traités de réactionnaires, voire de fascistes. [[ceci est l’œuvre désastreuse de cette toxique « gauche culturelle » qui se vante que 2 personnes seulement peuvent « censurer tous les manuscrits », dont les revues, les magazines ne font que prouver la caste fermée…qui aura plus censuré que oui l’Inquisition. Celle qui ne s’ouvre que sur le seul mot « J’adore l’argent comme un dieu »…si ce n’est dit, aucun génie, même le plus gigantesque qui soit ne passera – eh oui, jamais ces faux éditeurs NE LISENT les livres…Et donc ? Les trésors fabuleux que leurs folies ont stockés…c’est les 40 voleurs n’ont jamais su les Trésors (et Ali nous laisse babas) qu’ils avaient et le copyleft nous déverse les plus beaux livres jusqu’à la fin des temps…]] Quant au grand public, il est inculte, cela va de soi. Le caractère totalement obscur, indéchiffrable, des discours indignes entourant la moindre de ces fausses "créations", et ils sont nombreux, entretient soigneusement la mise à l'écart de toute population étrangère à ladite sphère qui, en dépit de financements publics non négligeables, est finalement très privée [[et pour cela nuit tant à l’avenir de l’Humanité, ne comprend rien à rien, et a perdu tout sens pratique, comme tout sens des réalités…de vrais dangers…publics !]].

« Dans cette autre vidéo, celle de sa conférence "Inculture(s)", Franck Lepage nous explique (déjà) que les prétendues audaces et "prises de risques" de ces artistes « dérangeants » quoique subventionnés n’ont d’autre but, à travers le scandale qu’elles suscitent encore (d’ailleurs soigneusement médiatisé [[donc il « ne peut »y avoir danger]], si ce n’est orchestré, la plupart du temps) que de nous faire adhérer à l'illusion de la sacro-sainte mais souvent trompeuse liberté d’expression, indispensable pour accréditer cette idée que nous sommes bien en démocratie, à laquelle nous sommes priés de croire aveuglément. Si, comme moi, vous avez la conviction que l’art c’est tout autre chose, et si les spectacles indigestes que l’on nous vend comme des provocations nécessaires, qui ne provoquent plus grand-chose, vous horripilent, mais que vous n’osez pas trop le dire, regardez ces vidéos, vous vous sentirez moins seuls. Vous pouvez aussi avoir une idée plus générale du passionnant travail de désintoxication de Franck de la si grave beuverie capitaliste [[ et des ses hédonistes sans joie intérieure qui ne savent que se goinfrer de quantités perdant – à jamais- les qualités. Donc RATANT leurs vies comme leurs plaisirs artificiels…]] en allant sur le site de la scop LePave. »

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Soit ? «Mais où naît l’idée qu’en montrant des œuvres d’art aux pauvres on va les aider à s’élever dans l’échelle sociale, ce qui est une pure escroquerie», s’insurge le toujours animateur Franck. N’y tenant plus, il quitte Paris avec sa compagne d’alors pour la Bretagne et la précarité. Avec quelques comparses, il y fonde la «coopérative d’éducation populaire» le Pavé [[ on se demande pour qui ?]]. Cette Scop, est devenue le creuset formateur de nouveaux conférenciers gesticulants. Des personnes souvent issues du secteur social (éducateurs, agents d’insertion…) mais pas que. La plupart mettent en scène un mix original d’expériences personnelles, professionnelles et de critique sociale. «Au lieu d’apporter d’en haut la culture aux gens, on est parti du constat que chacun d’entre nous était rempli de savoirs et de cultures à partager», souligne Franck  qui entend stimuler rien moins que «du temps de cerveau disponible pour la révolution». Ironie de l’histoire, on vient juste de lui sucrer ses cachets d’intermittent, au prétexte que ses «spectacles» n’en étaient pas vraiment. Comme quoi, dans ce pays, l’alliage de la culture et de la politique pose décidément problème. »…ne sortira jamais de ses fausses déLibération cette serviette discréditée par Dol.

Car ?  Ce constat que chacun d’entre nous est rempli de savoirs et de cultures à partager …Ouais, ouais, Qu’est-ce qui manque ?…ouais,

…………ben, de le PARTAGER en très Grand.

…………………………Voici qui inaugure le jour 1 de la vraie Démocratie.

…….……(à suivre)

…......(et répare tout comme promis…)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu