Arguer Argus

Publié le par imagiter.over-blog.com

Arguer Argus

Ou trouver des arguments argus…Nos désirs sont de pouvoir changer de regard. De voir vraiment différemment. De voyons voyager loin nos yeux. De transmuter nos images intérieures. Etc. Ces désirs sont sains lorsque Argus c’est celui qui voit tout, le «panoptès» de la vigilance. Sauf qu’il y a une autre voie très peu explorée : « le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux, de voir l’univers avec les yeux d’un autre, de cent autres, de voir les cent univers que chacun d’eux voit, que chacun d’eux est (p. 69 - Marcel Proust – La prisonnière, tome 2 ). » En effet, c’est traverser cet être…puisque le réalisme c’est, tout de même, de s’apercevoir que, devant la même situation, comme le même concentré d’images, eh bien …chacun-e va ressentir et vivre différemment cette situation. Ce qui, remet tant en cause les rigides politiques hyper autoritaristes qui supposent, bien trop naïvement, un individu unique, un mouton identique et identifié, qui réagirait et comprendrait, uniment.tous pareils, pareil !

 

Comme le pressentait Einstein beaucoup dépend du « point » de vue. Et nous avons expérimenté à quel point il est bénéfique…pour les autres, que nous apprenions à découvrir le cercle enchanté de l’intelligence (celui de tous les points de vues à l&a fois, celui de l’univers complet, celui où argue Argus). C’est bien l’angle d’approche qui se transmute entièrement. L’empathie qui, avec sympathie, partage ce pathos (de souffrir jusqu’à l’extrême pathologique ), de sun avec  et pathos, souffrir avec, mais, aussi, ressentir avec – qui prouve une forme de participation à l’autre. Comme de se glisser dans son vécu. Très simplement, c’est pas compliqué, en s’intéressant (par l’écoute mais autres moyens) à ce qui l’intéresse, le préoccupe, l’enflamme , le limite, le libère ou lui pèse, etc. Bref, c’est comme voir le monde par ses yeux. Plus par les nôtres. Sauf que cette sympathique sympathie nous permet de ressentir « l’être » de cet-te humain-e. Soit de trouver comme tout un territoire inconnu à découvrir. Dans ce cas, c’est plus que le regard qui est changé, c’est tout l’angle d’approche, la méthode de pensée, l’usage du vécu. La sensibilité vigilante augmente, accroît, clairement, notre intelligence. Nous passons à un niveau au-dessus, plus immense et plus accueillant de notre être. Il ne s’agit pas de dire supérieur mais bien d’admettre que ceci devient plus supérieurement efficace.

 

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C’est que, pour le plus grand nombre (et c’est bien dommage, mais nous ne pouvons demeurer à le ressasser), notre cerveau reste très dépendant de ses habitudes de pensées. En cela, il nous est en partie …étranger, venu d’ailleurs. Mais, à chaque fois que nous le visitons ou l’amenons dans un voyant voyage, il s’apprivoise, il se fond comme forgé dans nos propres points de vue. Points de vie, c’est cela. Or – comme nous le disons souvent –pour un système social, il doit y avoir le même temps consacré à vouloir mettre fin au très déficient système actuel qu’à mettre un autre à sa place. Critiquer sans construire, et pas à côté mais en plein dedans – ne conduit nulle part. Car que la résistance aux changements est donc forte du fait de cette si mauvaise habitude de tenir tellement à des habitudes de pensées, et jusqu’à en souffrir lourdement, au  point d’en arriver à tous les dénis possible. Donc de ne même pas s’agrandir de nouveaux ressentis en découvrant toutes les alternatives existantes, semble se comporter comme son propre ennemi. Bref, à la place, se demander à soi-même de changer les habitudes figées de ne plus penser, par de nouvelles innovations de ressentir.

 

Le but devient qu’il n’y ait plus de situations qui nous créent du malaise, qui nous coupent notre aisance. Vérifiant que d’avoir appris l’être nous récupérions, par la même occasion, le bien-être. Accès le plus proche, parvenir à faire ce que nous n’avions jamais fait auparavant. L’entrée la plus paisible c’est de commencer par penser en très grand. Ce qui accueille le plus d’humains. La liberté commence toujours par redécouvrir celle qui réside dans nos têtes.

 

« Bon, quelle est la solution, alors ? Parce que si ce que vous dites est vrai, plus on veut convaincre et moins on y parvient, c’est bien ça ? Alors on fait quoi au juste ? (p. 203 – Laurent GounelleLes dieux voyagent toujours incognito, avril 2012)…En effet, Quoi ? Bien que notre texte *** a prouvé que l’implacabilité de la loi action-réaction est bien moins grande que ce qui fut dit…puisqu’il y a très larges décalages dans le temps et le…langage. Le langage tel le plus grand voyage de tous les temps. Où cela n’arrive pas à la seconde et dans des dogmes à adorer sans les interRogatoires, si nous voulons ainsi brusquer la métaphore ? Donc, en gros, nous partons du « Pousse-le, il te repousse », qui demeure 80 % du schéma, aux 20 % (et plus, toujours plus à mesure de ce que nous le…ressentons et faisons l’apprentissage de ce qui est, ainsi, ressenti avec amplifications) oui 20 % de  ce qui reste sont nos marges de manœuvres. Ce que des mots malheureux (Machiavel étant du bon côté e la barrière – soit contre les princes abusifs et insensibles !) fut appelé « machiavéliques », et que nous préférons clamer aussi rusé(e)s que l’Histoire, ouais la vraie.  Donc ? Partir de « pousse-le, il te repousse » à « Tirer [[non pas pousser, quoiqu’il faille les 2, notamment pour faire émerger les …concepts nouveaux]], c’est partir de la position de l’autre, et petit à petit l’amener à soi (ibid.). » Soit comme une mise en synchronisation, s’adapter à l’univers de l’autre, cette fois-ci, afin de lui déblayer la route pour lui permettre de changer. Mais sans rien brusquer – et même, au comble de la dextérité artiste, sans qu’il/elle ne s’en aperçoive du tout. Pas mal non ?

 

*** 2018/04//- La-vie-vient-de-l'asymétrie

 

« Celui qui se conforme aux règles évite de réfléchir [[ réfléchir, lui étant diffamé, à l’oreille soufflé, comme une …déviance et non une condition de bonne santé mentale]]. Si tu raisonnes en restant dans le cadre, tu ne trouveras jamais de solution autre que celles auxquelles tout le monde a déjà pensé. Et échoué. Pour réussir, il faut sortir du cadre (p.321). » Les sentiers battus veut bien dire qu’ils ont perdu, ils ont été battus - et de se planquer dans la foule qui reFoule ou se défoule ne fait que piétiner le…meilleur de soi-même. Le meilleur de soi-même n’est jamais dans le cadre, bien trop étroit et mesquin, il a le visage souriant de l’anticonformisme et, en plus, il devient la santé triomphante (celle qui préférera la pauvreté non miséreuse au trop de richesses qui tue le meilleur de chaque humain…puisque : «  mais ça apporte quoi de savoir obtenir ce qu’on veut si par ailleurs on se coupe des autres ? On ne peut pas vivre que pour soi, sinon la vie n’a pas de sens? (p. 334). » Oui le développement personnel, voué à prolonger la grave perversité du capitalisme, aboutit au pire des ridicules ainsi qu’à sa propre inutilité sociale : certains se sont « développés » (sic) afin d‘obtenir ce qu’ils veulent mais transportent, cette obtention, à part, dans un coin, en solitaire, sans les autres, à pourrir dans sa cave de cave. Oui on obtient et on ne vit plus avec – jamais le séparatisme social des fausses élites n’a été aussi fort -  on ne vit plus parmi ces autres desquels on aurait tout obtenu. Où ça obtenu ? D’ici…ou d’ailleurs ? Un ailleurs extraterrestre en somme. Le très développé personnel (et sa liberté devient le personnel servile qui va s’attacher à empêcher toute sa…liberté émancipatrice) ne sait même pas pourquoi il va se développer !

 

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Afin de se conformer ou de sortir de tous les conformismes ? Afin d’être vraiment soi ou de se déguiser sans cesse en ce que l’on n’est pas ? Etc. Conformismes : « Ouais j’ai appris le langage quand j’étais enfant…Alors, est-ce que cela signifie que ce qu’on apprend avant un certain âge fait partie de « nous » [[sera donc prétendu terriblement…génétique]], et que ce qui est appris après cet âge est artificiel et qu’on n’est plus soi-même en l’utilisant (p. 143). » Donc adolescent ou adulte nous sommes vraiment manipulés, sujets aux aliénations et l’enfant…non, pas du tout ? Quel étrange simplisme ? Qui roule pour la perversité cruelle de l’antisocial capitalisme ? Oui qui ? Pour nous, tous les déguisements (libertaires, affranchis, libérés, glamour, autres, etc.) ne valent rien, on s’en fout de ces foutaises, c’est l’existentiel (mentalités vraies et comportements en résonance ou non, en harmonie ou non, cohérents ou non) qui nous disent « qui est en face ». Clair…puisque « Quoi encore de la résistance au changement ! C’est la principale différence entre l’enfant et l’adulte : l’enfant a envie d’évoluer. L’adulte fait tout pour ne pas changer (p. 143 ). » Et…le piège se referme sur les tricheurs, les menteurs pervers : elles/ils qui veulent nous séparer de l’enfant. Ils nous interdisent carrément l’enfance…alors que toutes les preuves confirment que le vrai adulte, ouais le putainggg qu’a super réussi, c’est l’adulte hyper responsable et attentif aux autres qui a …protégé l’enfant en lui/elle. Qui n’a jamais trahi l’enfance et qui a gardé le lien merveilleux qui permet de démasquer les salauds et les pervers. Bien eux, les hideux supporters du capitalisme, cette concentration de toutes les blessantes perversités. Oui ou non ?

 

Et, ainsi, nous utilisons au mieux tout notre potentiel (sans stagner dans l’auto-admiratif développement personnel) afin de concrètement changer le monde. Mais ainsi, « changer les choses sans en blesser aucune » - ce qui reste tellement plus difficile mais carrément humian. Comme le Tao. C’est que chacun-e est un monde et le plus ardu est de garder intact le désir d’entrer dans ce monde. L’aiguillon le plus puissant demeure la curiosité. Cure de curieux qui entraîne à apprendre pour plus comprendre et s’éprendre prendre encore plus grand, plus large. Voir par le regard de l’autre c’est aussi, par intermittences, parvenir à deviner ce qu’il/elle pense…Lorsque deviner reste juste l’anagramme de devenir !

 

Et alors ? Pourquoi l’anti-communication semble pourrir l’ambiance ? C’est que pas assez d’humains sont parvenus au « connais-toi toi-même » complet et, à cause de ce déficit, maintiennent, à l’intérieur d’eux-mêmes, des obstacles aux autres. Obstacles qui taclent les autres. Mais absences d’obstacles qui permettent de ressentir la beauté et la grandeur de l’élévation de l’ensemblable, de nos semblables vraisemblables, d’un tous ensembles afin de mettre fin à cette société qui tombe toujours plus bas. Et de passer à une nouvelle infiniment plus humaine. Oui de cet aveuglement sur soi, nous ne voyons pas ce qui est si proche de nous. Qui est ? Pour que le courant « passe », il s’agit de demeurer dans le flot, oui d’apprendre à rester « dans » la vie et ses appels incessants. D’évoluer, parfois tel un parfait oiseau avec une infaillible vivacité, parfois plus pataudement. Mais en avançant, Mais d’évoluer où il y a un avant et un après et après c’est du mieux, du miel mieux. Ce n’est ni nous ni les autres qui importent en premier mais de toujours parvenir à la sensation de l’ensemble. C’est le tout qui guide non les parties du tout…Tel N.R.V. (Noir Rouge Vert) ou bien cette forge qui annule ce qu’il y a de mauvais dans chacune de ces 3 grands forces de l’Humanité. Et ne conjugue que leur meilleur. Rouge car l’individualisme dualisme n’a pas d’issue et qu’il faut de la collectivité pour réussir sa vie. Vert parce que ce n’est pas faire de la politique mais faire de la société, de l’associété, que nous devons entreprendre afin de rendre de nouveau saine la Nature abondante. Noir parce que la liberté met du jeu dans tous les mécanismes de l’immensité de tous et qu’il faut du jeu pour que le moteur démarre. Mais le mauvais du libertaire c’est le côté borné, figé à mettre ses dogmes avant la vie et à refuser toutes les solutions à notre portée, simplement en y raisonnant et résonnant. Et donc afin d’avancer, il faut bien que nous suivions ? Et que le Tout l’emporte sur les parties du tout. Le Noir est le 1/3, le tiers, de l’unité, il ne doit pas vouloir (non plus) prendre toute la place. Arguer pour les autres. Ses solutions sont rouges et vertes ! Le Tout nous dépasse vraiment : de quoi surpasser définitivement la politique, non ? , .

 

Et ? C’est exactement par ce genre d’expériences existentielles où nous sommes capté, ravi, séduit, emporté par le flash de comprendre qu’en nous nous avons tout l’éventail de toutes les réactions possible (et que le miteux système lui n’en a qu’une et une seule et sa triste rengaine) car « si l’autre a beaucoup de cordes à son arc, il pourra pas, par exemple, argumenter (argus) pour lui prouver qu’il a tort, ou tourner la critique en dérision par un trait d’humour, ou encore lui poser des questions gênantes pour l’obliger à justifier sa position. Aussi, se mettre à sa place, afin de remonter à l’origine de ce reproche, afin de pouvoir maintenir une bonne relation sans se trahir soi-même, etc. (p 55). » Ce qui effectivement fait de cet éventail un large éventaire. Et de ces pervers narcissiques, enfin contournés dans leur perversités, à nous figer dans des non-solutions, des pitres chapitres qui vont se dessécher dans le fait qu’ils/elles ne se sont jamais supporté ni aimé eux/elles- mêmes- eux. Et que les autres n’ont pas à supporter à ce point cet échec tonitruant.  Surtout lorsqu’il pousse à vouloir attirer à n’importe quel prix, donc toujours le pire, l’attention des autres

Et pourquoi ? « En quoi l’admiration des autres pourrait-elle compenser mon déficit d’estime de soi. Ce qui est extérieur à nous ne peut pas réparer ce qui est blessé à l’intérieur de nous-mêmes (p. 461)…» Nous seuls pouvons être notre propre médecin…ou non. Mais comment ? Avoir en soi les ressources pour prendre sa vie en main sans subir ce que les autres veulent nous imposer. Déjà en percevant le non-pourquoi dans cette compétition devenue à l’extrême perverse : le but n’est plus que de…faire perdre les autres, tous les autres ? Pas d’évoluer soi-même, de s’améliorer pour les autres…Pas question de participer à cette mêlée absurde. Et ? Si nous quittons tout de suite à la seconde la cruauté perverse de l’argent fou et…sale, nous ne nous laissons plus dicter quoi que ce soi. Et nous faisons tout « juste pour le plaisir de se sentir compétent, de maîtriser son art, de se surpasser oui mais pour les autres (p 347). » Le changement général devenant juste la somme de tous les élans, de toutes les bonnes volontés, de tous les cœurs attentifs allant dans le même sens (plus nous aimons laïquement les autres même athéistement), oui plus nous élargissons le futur commun, donc le nôtre aussi, ducon !

 

……………..……………………au point de larguer arguer ?

 

……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Héra récompense la fidélité du géant Argus en transférant ses multiples yeux sur les plumes du paon, son animal favori  un mâle argus.

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Arguer Argus
Scott Woodard

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King Kong Théorie – Virginie Despentes

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Arguer Argus
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Le monde du partage devra remplacer le partage du monde – Claude Lelouch

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DE L'INFINIMENT GRAND À L'INFINIMENT PETIT EN 44 IMAGES À LA PUISSANCE DE 10 Ce numéro spécial d'avril 2009 (Hors-série n°28 du 22 avril 2009) s'ouvre sur la plus grande image que l'on puisse imaginer : 10 milliards d'année lumière d'une extrémité à l'autre. 1026 mètres de côté. Cette image, c'est celle de l'univers dans son entier. Inutile de chercher plus grand, cela n'existe pas. Au bout du chemin, 44 puissances de 10 plus tard, nous parvenons aux portes de l'infiniment petit, là ou règnent les particules élémentaires.

Les dieux voyagent toujours incognito – Les mots semblent plutôt en désordre…sans doute est-ce « Les incognitos voyagent toujours en dieux ! » ?

Dans la mythologie grecque Argos avait reçu l’épithète de panoptès, celui qui voit tout, car il avait cent yeux, répartis sur toute la tête et tout le corps. Il y en a en permanence cinquante qui dorment et cinquante qui veillent de sorte qu’il soit impossible de tromper sa vigilance.

L’héritier d’arguer argus ? Un Paon bleu qui fait la roue à Vincennes.

Déconstruire la peur pour construire les ponts…c’est comme faire tampont aux torpeurs

La Philosophie de la praxis - Antonio Gramsci

Déconstruire, déconstruction, on entend souvent ces mots dans les milieux académiques ou militants…mais surtout afin de noyer cette méthode qui peut devenir très subversive !

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