Comment socialiser les avantages de la monnaie ?
Pour le moment, le capitalisme si arriéré monopolise cette socialisation mais en ne semant que des crises. Il empêche le plein essor de toutes les intelligences déployées. Les réduisant à 20 % de leur potentiel. Bref, très vite nous pouvons passer à une nouvelle civilisation. Nous pouvons utiliser à fond tout ce que le libéralisme, se prétendant «bottom-up », ne peut comprendre. « Un modèle monétaire du capitalisme », chapitre XIV de « L’imposture économique » de Steve Keen, septembre 2017 – nous permet de décoller de la planète. Fusons avec la fusée !
Après avoir vérifié que personne ne reçoit le revenu qu’il mérite (soit vraiment insuffisamment soit bien trop), que les sources du profit en dont bien trop occultées (la fausse guerre sainte du capital) – nous allons parcourir le si pitoyable modèle monétaire du capitalisme. Pour la théorie néoclassique, afin de comprendre l’offre et la demande, le modèle unique est l’agent isolé…dont les comportements et les choix sont, ensuite, agrégés pour permettre de parvenir ces courbes de demande et d’offre se croisant – schématisme très approximatif qui n’existe pas dans la réalité. Réalité qui ne connaît que des groupes et non un seul agent isolé. Pourquoi un tel irréalisme ? Les économistes de marchés ne parlent pas de classes du fait que la régression néoclassique ne parle que de microéconomie et vit uniquement dans des préjugés immatures tels la péjorativité du mot classe. Or ce système divise tout et donc CRÉE des classes. Qu’il cesse d’en créer et l’utilisation du mot ne sera plus nécessaire. Faisons remarquer que le mot « groupe » peut remplacer le mot classe. Mais les marchés mentent sur tout donc sur les mots et le mot « groupe » (donc du collectif unitaire) ne va pas aller non avec l’individualisme fou du Tout pour moi et rien pour les autres…Obstinément, il se tient à l’agent isolé et sa microéconomie qui fait des entreprises la divination sur Terre. Ce qui va, pour l’immense système monétaire, aller avec le simplisme abusif de la théorie des marchés, être modélisé en troc.
Oui le modèle de base du capitalisme est le TROC… « les absurdités qu’ont ajoutées par la suite les économistes néoclassiques – que ce soit l’erreur de la courbe de demande horizontale ou bien l’escroquerie intellectuelle de l’agent représentatif du tout - sont le résultat de la volonté de s’accrocher coûte que coûte à ces paraboles, en dépit des recherches poussées qui les ont contredites (p 622 - Steve Keen – « L’imposture économique », septembre 2017). » Cet entêtement aveugle à nier et dénier le réel vient de l’erreur Centrale « par commodité plutôt que par le fait d’une volonté délibérée, les père fondateurs de la théorie néoclassique au XIX ème siècle, ont supposé que tous les processus économiques se déroulent à l’équilibre de telle sorte qu’ils pouvaient modéliser l’économie en utilisant la statique comparative [[ du 19 ème siècle ]] plutôt que les équations différentielles dynamiques (p.622 – ibidem). » Rien ne bouge, tout se conserve et sans évolution : puisque ces aveuglés ont leurs profits immérités, ils s’en foutent du reste. Ce reste qui est nos vies quotidiennes entièrement emprisonnées dans une théorie fausse. Et qui nous est apposée tel un fer rouge. Aucune solution ne se trouve à vouloir réformer ces erreurs agrégées : il faut sortir entièrement du faux !
Puisque ? Les calculs qui voudraient sous-tendre l’économie actuelle datent de…1870. Il n’y a eu aucune véritable actualisation depuis – une telle stagnation dans les têtes si têtues ne trouve aucune raison valable. C’est du vrai sabotage que de corseter la vie collective dans une théorie plus qu’archaïque. Dépassée. Et qui ne répond à aucune des interrogations brûlantes de notre 2018 et, ainsi, « a été écartée la question de la monnaie et a été modélisé à la place le mécanisme simpliste du troc (ibidem). » Ces évitements qui éloignent tout ce qui gêne la fainéantise intellectuelle grave de ces fausses élites et qui les montrent dans de ridicules bricolages jamais à la hauteur des questions posées – ne peut éviter de les dévoiler en train de consacrer toutes leurs énergies à censurer toutes les intelligences qui veulent - et avec raison - mettre fin à ce sommet d’incompétences. Vu qu’aucune répartition rationnelle des revenus n‘est toujours faite, que les stupides inégalités demeurent toujours plus illégales, que les profits sont hautement abusifs et que les salaires sont sous-payés…et tout cela sans motif. Sans raison à agir ainsi. Sinon l’ampleur de la désorganisation sociale à laquelle aboutit une telle théorie fausse. Ce qui contraint à y mettre fin au plus vite. Et réparer le gigantisme des injustices !
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« Il y a deux routes qu’on pourrait suivre pour construire les modèles de la nouvelle macroéconomie des phénomènes émergents : l’approche « bottom-up », la dominante qui échoue, ou l’approche « top-down » caractéristique des travaux de Marx, Schumpeter, Keynes et Minsky (p. 624). » Ce top-down très sérieux ( à la différence de l’irresponsable bottom-up) ne connaît que les agrégats (et non le modèle de l’agent unique qui, magiquement, veut se faire passer pour l’ensemble de la société) qui répondent aux variations évolutionnaires, aux classes sociales, aux productions agrégées et ainsi de suite. Et ce ? En reconnaissant l’échec de l’expérience néoclassique ; son réductionnisme fort est une erreur. [[ voie que prend le si simpliste gouvernement actuel]]. Puisque ? « Les phénomènes macroéconomiques [[dissimulés afin de les faire entrer dans l’idéologie microéconomique où seules les entreprises, prétendues omniscientes, peuvent diriger le monde sans votes ni consensus…tellement elles sauraient toujours tout !]] résultent de propriétés émergentes de la dynamique, et d’interactions hors équilibre entre les individus et les groupes sociaux au sein d’un environnement non prévisible à partir de comportements d’individus isolés (p.623). » Et donc le modèle capitaliste a « besoin » d’une théorie et ses modélisations qu’il…renie, censure et n’essaie même pas de comprendre. Avec de tels personnages nous sommes dans de beaux draps. Vu que nous sommes tellement désarmés face à « l’instabilité inhérente au capitalisme [[où rien n’est jamais à l’équilibre – mais comme « la » théorie l’a dit tout reste à l’équilibre (pour eux et leurs politiciens égarés) même lorsque tous les faits prouvent l’inverse !]] – instabilité amplifiée par la bêtise d’un secteur financier toujours occupé à bâtir des pyramides de Ponzi (p. 623). » La Bourse telle une escroquerie sans cesse reconduite lorsque la crise des subprimes se résume, si piteusement, au gigantisme d’un pyramide de Ponzi, elle, carrément illégale ?
Comment tant d’enfantillages sont possibles ? C’est la vulgarité de cœur des capitalistes trop empressés à ne voir en tout que des marchandises - qui en est la cause. Or, nous avons vu dans « Personne ne reçoit ce qu’il mérite » que le travail ne peut être traité comme une marchandise. Car il ne l’est pas. Et que de le comprendre en tant que non-marchandise nous dévoile le scandale caché dans ce que sont les profits. Oui ? Sur ce même mécanisme non compris, la même erreur du capitalisme se reproduit par rapport à la monnaie (oui il ne…comprend rien à la monnaie) : c’est de traiter les banques comme des…marchandises (son réductionnisme ahumain est vraiment terrifiant ). La fable pour immatures est que les entreprises produisent des biens et des services pour la vente, en combinant du travail et d’autres marchandises équivalentes dans un processus de production qui nécessite du temps et dans efforts. Dans ce modèle bisounours les banques génèrent et honorent des promesses de paiements, utilisées par des tierces parties afin de faciliter la vente de biens. Et c’est tout : une description si superficielle qui ne démontre jamais rien. Ne fait que répéter et répéter sa description, un coup comme explication, un coup comme vérification (sic) de sa prétendue explication. L’erreur qui annule toutes ces niaiseries ? « Les banques et les entreprises doivent être regardées comme deux types d’agents distincts et ne peuvent être agrégées au sein d’un secteur unique (p. 629). » Tout cela parce que l’humain doit être expulsé de partout, les sentiments et les émotions sont de la peste pour ces fainéants cyniques. Oui ? Et faire passer les banques pour ce qu’elles ne sont pas, les placer dans un compagnonnage qui n’est pas le leur fait rater quoi ?
« (…) le revenu annuel dans cet exemple est donc de TROIS FOIS la quantité de monnaie qui circule dans le modèle, et précisément de QUATRE FOIS la quantité de monnaie présente sur les comptes des entreprises (p. 636). » Ce qui change tout : s’armer de la vélocité de la circulation monétaire au lieu de s’enliser dans des généralités nous fait découvrir 1)*** - que les banques détiennent un pouvoir dont elles n’ont pas conscience et qui obtient (grâce à la « vitesse de rotation » de Karl Marx) un renouvellement rapide de la monnaie …qui peut se renouveler plusieurs fois dans l’année. Et qui, si pour la rotation elle concerne les profits et les salaires, voit les profits carrément voler ces salaires (dans nos livres nous avons détaillé ce phénomène en « système des rotations » (qui fait des profits des effets de système et non le résultat d’intelligences de quidams isolés – ce qui permet de socialiser à TOUT LE MONDE ces rotations qui profitent !). oui «système des rotations» tellement plus précis que le trop vague « coefficient multiplicateur des banques », et qui ouvre tant de compréhensions neuves…et 2) *** - que ces circuits circulants demeurent cachés au public qui les finance pourtant. Ces mécanismes occultés par la présence opacifiante de l’inutilisable théorie des marchés rabâchés devant chaque fait. Dont elle en obstrue les explications bien…concrètes. Dont ? Qu’il soit est préférable de donner aux libres citoyens et même aux entreprises les aides de l’état. Qu’elles leur aillent directement plutôt que d’embourber la circulation en aidant inefficacement…les banques. Le retard est d’au moins un cycle. Mais cycle de quoi ?
Marx disait que « le circuit du capital » prend du temps. Du temps pourquoi ? Chacune de ses opérations séparées : trouver de la monnaie, l’utiliser pour achats et embauches, les introduire dans le circuit productif, distribuer et vendre… ce décalage temporel, Marx le nomme « période de rotation » qui peut être courte, de l’ordre d’un mois. D’où le même capital peut être employé plusieurs fois dans l’année [[nos comptes bancaires, pareillement, aussi]]. Et ? Les valeurs numériques, qu’il énonçait, étaient extrêmes et un peu erronées, mais son idée de base est restée correcte : « une somme donnée de monnaie peut se renouveler plusieurs fois en une année (p. 637). » Ce qui fait que les profits (qui mettent illégalement les salaires hors du coup !) profitent 3 à 4 fois de cette manne due à la circulation globale de l’économie. Et pas du tout à leurs talents particuliers qui «ne méritent pas » des revenus si exorbitants Ce qui nous fait comprendre déjà tous les hurlements inadaptés des capitalistes contre Marx, les immenses diffamations, les défigurations cupides de sa théorie si clairvoyante. Marx a raison pas les capitalistes*** – ses moyens matériels réduits explique qu’il faille affiner les données matérielles de ses démonstrations et pas la structure de sa théorie. Le capitalisme a eu tort de le diffamer. Il doit tout rembourser. Keen et nous, en modélisant le concret de la vraie théorie « top-down » (alors que le bottom up est une impasse irresponsable) montrons que TOUT PEUT CHANGER : socialiser les rotations, les introduire dans notre compte bancaire ferait que « la vitesse de rotation » de Marx ajoutée à nos « systèmes de rotations » profiterait à…tout le monde. Comprendre c’est vraiment résister (il n’y pas de vrais résistant ailleurs). Et la compréhension du système monétaire CONCRET permet de semer de la justice partout. Ce qui montre « pourquoi » la théorie des marchés si fausse est maintenue contre tout. Grâce à elle, les solutions aussi évidentes ne sont pas perçues (tant que nous restons dans son cadre de…réformisettes). Enfin Keen et nous désensablons le futur. Nous POUVONS accéder à cela tout de suite…Oui. Et selon le principe « le capitaliste est le seul anarchiste qui a réussi » il faut bien voir que les libertaires qui ne sont pas devenus N.R.V. (Noir Rouge Vert) pataugent dans des idées économiques incohérentes, qui desservent tant leur entourage…et qui se montrent aussi erronées que celle du capitalisme. L’écologie complètement décentralisée et le collectif qui socialise les profits systémiques peuvent les guérir de leurs inerties mentales et affectives !
Ainsi la vitesse de rotation (ou de circulation) où « la vélocité de la monnaie est la valeur des salaires et des profits », et leurs participations à la consommation générale. Ce qui offre des mesures précises comme « le PIB divisé par l’offre totale de monnaie, la somme des montants de compte de dépôts, celle du second coffre fort » [[ce qui nous accélère les socialisations des bénéfices systémiques ]], etc. ce qui permet de saisir à quel point le Quantitive Easing I de Bernanke a pu être si inefficace car il ne s’est adressé qu’aux banques et pas à l’ensemble des citoyens. Obama a eu tellement tort de vouloir sauver les banques plutôt que le public. « Où est notre plan de sauvetage ? La vérité est qu’un dollar supplémentaire de capital dans une banque s’écoulera bien plus lentement dans les artères obstruées de notre système financier sclérosé qu’un même dollar offert aux familles et aux entreprises, qui entrera plus vite en circulation (p. 640). » Splendide démonstration ? Que la majorité des esprits/cœurs ne soit jamais dans le concret mais divaguent dans des généralités. Du haut desquelles ils/elles pontifient contre le…concret, montre à quel point, ils demeurent des alliés inattendus de ce capitalisme. Le Concret ne peut que faire abolir le capitalisme libéral !
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A cause de la si fausse théorie des marchés la planète semble si enlisée. Puisqu’elle n’a pu recevoir l’explication qualitative du credit crunch (trop déformé par les incultes médias transformant en « crise de la dette » ce qui aura été « le ralentissement des deux ».) De cette vitesse de circulation enfin apparue plus réaliste que les verbiages trop généraux. Soit en détail ? « La constante de temps pour le prêt des banques chute alors de ½ à ¼ - de telle sorte que les sommes du coffre se renouvellent 2 fois plus lentement, c’est-à-dire en 4 ans non 2 – alors que le remboursement de la dette passe de 1/10 à 1/5 – de telle sorte que les prêts sont remboursés tous les 5 ans plutôt que tous les 10 ans (p. 638). » Bingo, nous voilà en plein « dans » le krach, dans son concret charnel…et donc aussi « dans » les solutions !
>>> Et foutues K.O. toutes les foutaises drainées par les médias au pied telles que de ne jamais dire :
***1) - que les banques, qui font du profit par la dette sont prêtes à encourager follement la dette et …à décourager leurs remboursements. Ce qui éclaire tant d’actualités si peu explicitées d’un jour bien crucial. « Ce pourquoi il est peu judicieux de laisser au secteur financier la gestion du niveau de création des dettes (p.643). » et souligne la bêtise crasse des politiciens qui se précipitent toujours dans le pire par haines stupides des grandes majorités (eux toujours les très minoritaires !).
** 2) - que les prêts connaissent une reprise plus rapide lorsque ce sont les dits débiteurs (les citoyens et les entreprises – les 2 et pas seulement les entreprises) qui reçoivent l’aide. Et non les banques. Par exemple le chômage grimpe lorsque ce sont les banques et s’inverse lorsque se sont les dits débiteurs. Toute monnaie qui renforce l’investissement contre les spéculations correspond au modèle de Minsky de la supériorité du top-down sur le bottom-up seulement corrupteur.
*** 3) – qu’il reste si MINABLE de se vanter de l’effet de système de la vitesse de rotation et d’en profiter au détriment de tout le monde. Le capitaliste « profite » mais dans le sens le plus disqualifiant du mot. Oui rien de glorieux dans sa sordidité. Ce sera d’autant plus facile de se passer de son parasitisme…d’intermédiaire. Vivons tout en direct !
*** 4) - à force de caresser les seuls escrocs, la distinction entre emprunts faits pour investissement et emprunts pour spéculation n’est jamais finalisée. Ce qui parvient aux aberrations des casseurs par les dividendes : 2,6 fois plus de dividendes que d’investissements. Et ? Les dividendes « accordées » (ce ne sont pas des droits acquis, ce ne sont pas des salaires fixes pour fonctionnaires du parasitisme sur le travail des autres, ce ne sont pas des …dus) doivent toujours rester INFÉRIEURS à l’investissement. Toujours. Le bordel foutu par la fausse théorie des marchés est tel qu’il reste de difficile d’expliquer profondément en juxtaposant les solutions en même temps. Sauf avec du…génie. Pour cela, il faut s’armer de déterminations dont celle d’abolir le scandale antisocial capitaliste au plus vite. Ce sont eux les vrais casseurs, les émeutiers de la vérité collective.
*** 5) - l’absence (apparente) d’une théorie qui remplace l’Imposture (soit macroéconomique financière et monétaire) .qui nous montre le CONCRET de la monnaie, sait l’expliquer et enfin sortir du foutoir causé par les « casseurs » par l’explosion des inégalités. Cette fois-ci, définitivement assez des illégaux casseurs du sommet.
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La rencontre entre les apports si incroyables de Keen et nos efforts continus devient un bienfait pour tout le monde. La densité des solutions immédiatement à notre portée perce tous les murs. Oui, la récolte immense est :
** 1) – Le commerce est un sous-système d’incompréhension de l’ensemble global. Oui, s’il y a des personnages qui ne comprennent rien aux affaires (collectives) ce sont bien ces prétendus hommes d’affaires. « Si le modèle monétaire est le troc sa valeur commerciale na pas de sens : car l’argent ne peut, non plus, être considéré comme une marchandise (p.627 ). » Lui qui idolâtre trop l’argent, il doit bien le connaître ? Pas du tout. Il le méconnaît tout le temps, incapable d’affronter la moindre réalité…nue.
** 2) – Pourquoi insister que la monnaie ne « serait » que troc ? Augusto Graziani dans sa « Théorie du circuit de l’argent » donne la réponse qui démasque le fait que si la monnaie est symbole universel elle doive remplir 2 conditions préalables. Qui sont ? qu’elle doive « être acceptées comme l’accomplissement final de la transaction (sinon, il s’agirait de crédit et non de monnaie)…[[et l’immense essentiel]] la monnaie ne doit accorder de privilège de seigneuriage à aucun agent réalisant un paiement (p. 3). » Universel veut dire « égalitaire » et les apparatchiks occidentaux actuels ne sont plus dans la course voulant établir une oligarchie arriérée et ne comprenant plus rien à rien. Émettre de la monnaie inclut de ne…pas en profiter. Seuls de vils médiocrates ne pensent qu’à profiter au lieu d’assumer leurs responsabilités. Donc des irresponsables incapables majeurs ? A placer sous tutelle ? Il y a de ça ? Ce pourquoi « tout paiement monétaire doit donc relever d’une transaction triangulaire, impliquant au moins 3 agents : le payeur, le payé et la banque. »
** 3) – Toutes les solutions « se trouvent » dans la fausseté de la théorie des marchés. L’étourderie fainéante de prendre la monnaie pour troc, nous…offre les solutions cachées…dedans. Parfois c’est Keen l’apport qui fait basculer. Parfois nous. Là, c’est nous…mais, sans les démonstrations claires de Keen, l’explication eût été bien plus longue…Comment rétablir une société qui « socialise » tous les bénéfices de ses talents (selon Adam Smith la « vraie » richesses des pays !) ? Facile : plus d’états qui doivent s’endetter devant des banques sans aucune stature morale, sans sens des responsabilités prenant en compte tout le monde. Mais – inversion des obéissances – avec « achat des effets publics d’une valeur équivalente à leur émission initiale de monnaie (p 652 ). » des banques qui se soumettent aux biens communs. Plus le droit d’émettre de la monnaie. Seuls les services publics à buts non lucratifs le peuvent. Le privé s’est montré trop cupide pour ne pas être traité comme un capricieux immature qui ne peut assumer aucune fonction impliquant la responsabilité de tous. Et, enfin, séparation des banques e dépôts et des banques d’investissement : l’investissement doit rester supérieur aux versements des dividendes (par respect des générations futures) et la spéculation délinquante n’est surtout pas le but prioritaire de la société. Mais bien la distribution équitable des richesses collectives. L’imposture économique qu’est le capitalisme casino doit être enfin sanctionnée : le privé ne peut plus diriger le monde, seulement y contribuer.
** 4) – Enfin, Steve Keen s’est construit des modélisations à la taille des gigantesques enjeux communs. Ici de flux financiers. Selon des programmes de dynamique destinés à l’ingénierie. Et utilisant des « câbles » afin de relier les variables l’une à l’autre. Ce qui est très approprié pour des processus physiques, l’est beaucoup moins pour des flux financiers. Où… « le même terme peut réapparaître à 3 reprises dans le diagramme : une fois sur le compte à la source du transfert monétaire, une fois sur sa destination, et une fois dans l’enregistrement sur le livre des prêts (p. 649 ). » Ce qui s’améliore par l’utilisation de la comptabilité en parties doubles. Et par des judicieses simulations que Keen a baptisé Quesnay Economic Dynamic, QED téléchargeable sur son blog avec le lien : www.debtdeflation.com/blogs/qed/. Son but de vérifier le grave délire , nommé théorie des marchés, théoriquement et pratiquement par des modélisations sophistiquées est donc rempli. Ce qui lui permet d’affirmer avec la certitude que nous avons découverte à quel point la théorie des marchés peut être fausse.
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Nos livres (trouvables sur freethewords.org) ont contourné ces obstacles de pervers
.....et nous montrent, sans filtre, toutes les solutions vraiment à notre portée...
………….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
le bottom up semble joli sur le dessin – mais ne peut être mis en pratique à cause des monopole, ententes, conflits d’intérêts, fraudes et corruptions, etc. – bref tout ce que favorisent les gouvernements occidentaux ! De plus, il n’explique rien du fonctionnement réel du capitalisme concret.
Donc analyses top-down et solutions mises en pratiques par une vraie démocratie proportionnelle. Soit sans plus jamais de gouvernements si minoritaires…par un bottom-up qui a évincé les…intermédiaires qui parasitent les communications et les bénéfices collectifs.
L’économie doit venir du bas – car le ruissellement (trickle) magique venu du haut n’est parvenu à aucune amélioration …
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Inégalités économiques : " Un danger de capture des leviers de pouvoir par les plus riches "
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Les inégalités peuvent créer de l'oligarchie ? Ah bon, nous n'étions pas au courant...Oui ? Faire semblant de prévoir sans pouvoir expliquer le capitalisme fait partie de la presse paillasse : toujours mettre de déloyaux obstacles aux solutions pour toutes et tous
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Le Livre Noir du Capitalisme - Sylvain Chauveau [Full Album]
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Steve Keen et Gaël Giraud : " L'économie est semblable à l'astronomie d'avant Copernic " Dans "l'Imposture économique" (éditions de l'Atelier), ouvrage préfacé par Gaël Giraud, l'austra...
Avec des vidéos très complète si intéressé(e)s. « L’économie est semblable à l’astronomie d’avant Copernic ».>>> Pour quelle alternative plaidez-vous chacun ? <<>>> Steve Keen : Je pense que nous devons adopter les méthodes d’analyse des systèmes complexes, et les utiliser pour concevoir un modèle de non-équilibre et une approche monétaires basée sur les traditions de Marx, Schumpeter, Fisher, Keynes, Goodwin et Minsky. La dynamique non linéaire moderne est conçue pour modéliser les phénomènes complexes d’équilibre, et ce sont les bases de ce qu’est l’économie elle-même. Nous devons rattraper la fin du XXe siècle en économie, plutôt que de rester embourbés dans les techniques et les débats du XIXe siècle. ***>> Gaël Giraud : Il y a au moins deux niveaux qui émergent des travaux de Steve Keen et des miens. D’une part, la nécessité d’une refonte assez radicale de l’économie comme telle. Pour prendre un exemple, le travail de Thomas Piketty est important en ceci qu’il dénonce à juste titre l’explosion des inégalités de revenus et de patrimoine. Mais la théorie sous-jacente au travail de Piketty est la bonne vieille économie néolibérale. Rien d’étonnant, dès lors, s’il se contente de proposer un impôt mondial, dont il sait très bien la portée utopique, lequel ne fait que corriger ex post les inégalités sans aucunement intervenir sur le mode primaire de distribution des richesses. Il faut donc aller beaucoup plus loin, et pour cela repenser l’économie comme telle. Keen y contribue de manière décisive. Ensuite, des mesures de politique économique peuvent être prises dès à présent sans attendre la refonte que j’évoquais à l’instant : un seul exemple, amorcer à fond la transition énergétique. Ce dernier chantier est immense, créateur d’activités, d’autogestions neuves, permet de réduire notre dépendance aux énergies fossiles et nos émissions de gaz à effet de serre. Il constitue à mes yeux un authentique projet de société pour aujourd’hui et demain
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