La guerre sainte du capital ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La guerre sainte du capital ?

Parce qu’il est IMPENSABLE de comprendre que toutes les décisions sociales et politiques ont été prises à partir de la théorie des marchés Fausse. Théorie Fausse qui sert, ensuite, d’alibi et de justification à ces politiques qui n’ont donc aucun fondement dans la réalité. Sont les piteux nuages lunatiques de personnages complètement coupés de la réalité. Qui ont, de la sorte, dépassé tous les plafonds de l’incompétence alliée à l’irresponsabilité la plus épaisse qui soit. Et ? En 3 textes (2 après celui-ci) nous espérons pouvoir convaincre de la réalité de la plus immense escroquerie organisée du genre humain : imposer partout (médias, universités, politiques et organismes dont l’administration) une fausse théorie – et appuyer des politiques très antisociales et vraiment inhumaines sur cette très fausse théorie. Du jamais vu. Pas de modèle antérieur. Seuls des anticonformistes pourront venir à bout de cette monstruosité.

Quels autres obstacles ? Les obstacles sont surtout qu’il y ait toujours moins d’esprits de synthèse. Or le talent de synthèses vient de savoir garder tous les détails des analyses en même temps dans son corps. Et plus le corps aime plus il garde et regarde bien l’ensemble. Et synthétise dans tout dans le même élan. Après la synthèse, ce qui vient c’est de visualiser les immenses perspectives (et la stratégie-qui-ne-se-dit-jamais qui en découle)…Donc moins de bonnes synthèses par les manques d’amour et de sociabilités (qui tentent de se faire passer pour du glamour et de l’hyper progrès), alliés à des têtes trop creuses, trop folles et qui sont parvenues à gober que moins nous utilisons nos têtes branchées cœurs plus l’intelligence collective peut se surpasser…alors qu’elle ne sous-passe même plus ! Et donc ? Les ouvrages de Steve Keen que nous joignons aux nôtres peuvent pulvériser cet ensemble – fausse théorie et fausse contestation qui pisse même pas jusqu’à la Fontaine de Duchamp…C’est une immense chance collective. Sauf qu’il s’agit de transmuter les raisonnements impeccables qui foutent K.O. en…expressions de tous les jours. La simplicité d’expression exige un travail gigantesque. De parler « compliqué » absolument aucun…Vous relevez le défi au lieu de vous laisser entuber par tout ce qui défit tous les défis ?

>>>> ***** /// Et nous voici avec le capital qui se définit comme la justice divine sur Terre. La perfection incarnée : vous vous rendez compte, il fait marcher tout seul toute l’économie. En plus, sûr qu’il ne prend pas plus que sa part, qu’il surestime tellement pourtant. Et qu’il fait semblant de répartir les gains de tous selon le principe, apparemment honnête, de « A chacun selon sa contribution »…Sauf que notre texte « Personne ne reçoit ce qu’il mérite ! »*** prouve à quel point certain-e-s en reçoivent beaucoup trop et d’autres vraiment pas assez. Et que ceci n’a rien à voir avec les…réelles contributions. La théorie néoclassique, dite vulgairement « l’économie de marchés » (les laisser faire car ils savent plus que tout sur tout, ils en sont infaillibles et omniscients…rien que ça !), a tout faux en ce qui concerne les justifications de ne…pas attribuer au travail ses justes et équitables rétributions (les mots éclaircissent contribution = rétribution, selon une attribution qui ne peut que satisfaire tout le monde)…nous allons donc voir, côté capital, ce que dit l’évaporée théorie de l’économie de marché et si elle a quoi que ce soit de…vrai ! ?

***            Personne-ne-reçoit-ce-qu'il/elle-mérite

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Afin de se maintenir dans son compte de fées, le capitalisme accepte très vite tous les simplismes : les fausses courbes, les schémas fléchés, les histogrammes tronqués…mais pas de bol pour lui : il ne veut pas comprendre (et ne peut admettre) que l’intelligence puisse déjouer tous ses jeux (c’est écrit dedans), démanteler ses ententes (pourquoi a-t-il donc tant et si stupidement…attiré les attentions sur le mot « complot » ? C’est que, sans aucune doute, il détient une immense peur que soient découverts, compris et dénoués ceux-ci (vous remarquez que nous n’utilisons jamais le mot complot devenu…..uniquement ententes illicites, ouais comme dans la loi)), et donc le faire tomber sans ne…rien faire que d’attiser ses mégalomanies et démontrer graves ses élans de cupidités ! Comment ? Comme ceci … « le demi-cercle qui va des usines vers les ménages [[à cause du simplisme capitaliste qui n’est pas apte à ne pas voir plus dans la société qu’entreprises et ménages (sic)]] est raisonnable [[oui le demi-cercle]] : les usines peuvent transformer des inputs de capital et de travail en biens. Pour compléter le circuit, les ménages doivent métamorphoser les biens issus des usines en facteurs de production (travail et capital) (p. 282 - Steve Keen – « L’imposture économique », septembre 2017). » Voilà, baisés, piégés…pas long n’est-ce pas. Ces ménages sont donc plus forts que les marchés, ils savent tout plus vite, plus grand et mieux que lui. Mais, M’sieur c’est de la théorie, un schéma…sauf que ces multiples schémas, trop simplistes pour demeurer réalistes, et cette théorie JUSTIFIENT, par leur seules présences, le capitalisme. Sont ses fondations juridiques, ses assises scientifiques…et que si elles ont tout faux, ce capitalisme perd toute légalité. Et doit rembourser tout, toutes ses externalités, soit les fraudes massives du « hors bilan » et autant d’autres trop…perçus. Sans omettre la Nature qui offre A TOUS ses biens gratuits et que, frauduleusement, il s’est monopolisé (sans même aucun respect des concurrences basiques)…tous ces services gratuits pour les revendre (usurier complet) très, trop cher. Avec des mains crochues qu’il ne peut plus cacher. Et donc ? Joignant nos œuvres à celles de Steve Keen nous dénonçons l’Imposture économique, imposture donc avec ententes illicites (circonstances nettement aggravantes) et désirons que le capitalisme soit traité comme du grand banditisme. Car ?

Plaidoirie sans plaid : le texte « Personne ne reçoit ce qu’il mérite ! » usait du piège où l’économie de marché était carrément tombée…si la Travail est une marchandise comme les autres c’est donc qu’une marchandise produit des marchandises…et cela même l’intelligence artificielle (nouvelle escroquerie ?) ne le pourrait pas. Ce qui annule toute possibilité que chacun-e reçoivent les revenus qu’elle/il…méritent. Car ? Que, même pour les marchés (qui ignore le rapport revenu et travail – et donc refuse inhumainement toute redistribution), « les théories économiques du prix et de la distribution du revenu ne sont pas valides (p. 287) »…et puis ? Que les pauvres sont très largement volés. Au moins par deux bouts. Et comme producteurs d’activités qui créent de la valeur…ajoutée (sinon par qui ajoutée, tout de même ?). Et comme consommateur qui subit des prix monopolistiques…carrément illégaux.

Voilà où mène ce que nous lisons dans les écrits truqués et faussés du capitalisme : ses forces forcenés afin d’expulser l’humain de tout. Du partage équitable ( équitable qui veut dire égalitaire, avant tout) Soit ? Tous les êtres humains dépossédés, et la travail ne doit plus être rémunéré, juste bénévole tout leur appartient mais sans aucun motif, sans document légal ni argumentation juridique.  Rien. Juste le si nu slogan de 1750 « Tout pour moi et rien pour les autres ». Ce hurlement antisocial, cette vocifération inhumaine ne peuvent être tolérés : ils détruisent toute possibilité de société d’associés, d’associété…donc un délire où des marchandises produisent des marchandises (alors qu’elles n’ont ni sexualité, ni organes reproducteurs, ni lieux de reproduction) ne laisse aucun doute sur l’état mental de qui divague ainsi. A moins que ce ne soit qu’un immense MENSONGE, prémédité en plus – afin de faire croire à la fable des profits, des profits mérités, des profits autofécondés, des profits extra terrestres puisque jamais en contact avec rien de terrestre, soit le travail spolié dans ses rendements mêmes, le profit coût pour les autres et pas une création réelle. Prouvant qu’ils ne prennent rien à personne mais ajoutent à tout le monde. Alors que clair qu’ils…retirent de partout. Un profit d’un = des pertes de plusieurs autres, parfois de beaucoup d’autres.

Piero Sraffa « Production de marchandise par des marchandises : prélude à une critique de la théorie économique », 1977. Aux marchandises (le travail marchandise comme les autres) qui produit des marchandises – s’ajoute le consommateur qui, comme en dormant, « devient » une usine à lui tout seul. Et ceci uniquement afin de rafistoler la pseudo légalité d’une possession complète des « moyens de productions » (qui appartiennent, aussi, à ceux qui en font usage, les « mettent en valeur » ‘(ce n’est pas en dormant qu’ils vont augmenter leur mise et remise de valeur) - ce qui est la propriété d’usage)…donc de « faire croire » que les trop hauts revenus sont  « mérités » (et la méritocratie capitaliste, soi-disant si juste, si attentionnée avec les êtres…n’existe donc pas…le libéralisme n’organise pas la société : il la désorganise au contraire !). Ce qu’ils ne sont pas du tout – mérités ces exorbitants et abusifs revenus. Ainsi que la possession abusive du patrimoine. Dont 80 % de gelés afin de réparer la Nature que ces dangereux excités ont tant détruit se ferait avec le maximum de douceur possible. 

C’est qu’à force d’avoir les cupidités plus grosses que toutes les raisons – ils se sont foutus eux-mêmes dans « leur » merdier. Leurs si minces fables ne tiennent plus ni l’écran ni la route, ni la crédibilité ni l’expression verbale…les « facteurs de production » témoignent au tribunal du bon sens contre eux. Comme il leur faut cacher tous les COMMENT se font les profits, leurs traçabilités (par exemple, pour les banques, les dettes sont des…actifs, donc des…profits – plus de bête cynisme est-ce possible – les banques corruptrices  qui poussent au maximum de dettes ? Puisque le prétendu endetté devient, alors, le débiteur qui permet les profits et le …créditeur qui…doit les encaisser !)… Eh oui, tout cela parce que le plus que scandaleux capitalisme reste lardé de métaphysiques d’irrationalités superstitieuses et de mysticismes plus qu’aberrants. Et pourquoi ? Parce, que selon Karl Popper, il appartient aux savoirs « non falsifiables », soit qui ne peuvent démontrer ni leur véracité ni leur fausseté à partir de leurs prémisses. Et qui ont toujours besoin, pour s’en tirer, d’un tiers (ici la trop stupide main invisible inapte à se montrer dans l’infaillibilité autoproclamée des marchés…ils la proclament et ne savent même pas prédire une crise. Ces dieux prédateurs ne savent que bafouiller, misérablement « nous n’avons rien vu venir »…et acceptent (contre toutes les règles de la décence et de l’honneur) d’encore diriger des institutions qu’ils ont fait ruiner tant d’humains qui ne…le méritaient absolument pas. Au lieu, par exemple, de les rembourser scrupuleusement …).

Le profit qui ne reflète absolument pas la productivité marginale du capital perd donc toute légitimité. Et qu’il n’aille pas se cacher derrière le capital fixe « puisque cela n’a pas de sens d’imaginer que la machinerie soit variable et le travail fixe (p. 283) »… en effet…suffit de suivre la démonstration (pp.284-287) où « la variation du profit se voit en deux parties : le taux de profit multiplié par la variation du capital et le capital multiplié par la variation du taux de profit »…Pourquoi ceci ? Afin d’éviter l’agrégation initiale du capital et contourner son mensonge central comme ceci « plutôt que de dire que les facteurs de production produisent des biens, d’affirmer solennellement que les biens, associés au travail produisent des biens (p. 287). » Ce qui rend l’ensemble traçable, remet le capital bien à sa juste place (tellement plus minime) ainsi que montre ses spoliations à la fois sur les biens et les activités. Sraffa annonce très bien « ni offre ni demande mais des…conditions de production (p.289). » Pourquoi sinon parce rien ne peut être produit sans travail, et que de le dire dans ce contexte « porte le coup de grâce à la théorie économique de la distribution des revenus (p. 291). » Qui ne reste que sur le papier puisque, dans la réalité, il n’y a pas de distributions mais accaparements, captations et autres gracieusetés. Les facteurs de production n’ayant pas de rémunération …juste et équitablement calculée…puisque nos méthodes de vérifications aboutissent à la mise en clarté de… « la relation linéaire entre le salaire et le taux de profit comme élément essentiel de cette analyse (p. 295). » Ce qui voulait être expulsé ;, malhonnêtement, de la démonstration y revient en force. Et en crédibilité haute !

Ce qui signifie qu’il y a un rapport et que ce rapport n’est pas favorable au capital qui ne respecte même pas les…lois du marché ! Oui ? Oui le travail est volé et très bien volé il reçoit tellement moins que sa contribution réelle : ceci est un fait qui ne peut plus être nié, renié ou dénié…« Il n’existe donc aucune relation cohérente entre la productivité d’un facteur et son revenu. Au contraire la distribution du revenu entre salaires et profits est largement indépendante du système de production. C’est un phénomène social (p. 299). » Et la société s’organise afin de voler institutionnellement les pauvres, de « profiter de leur activités (et le profit « profite » comme le verbe le souligne, s’il profite il sort bien de tous les clous, brûle tous les feux rouges et entre en insoumission face à tout état de Droit).  Le capital ne pouvant pas être « une masse amorphe qui peut être déplacée sans coût d’une production à l’autre, son rendement alors ne reflète pas sa productivité marginale et on ne peut pas l’agréger en additionnant les prix multipliés par les quantités (p. 300). » Aussi pataud que de multiplier des chaussettes par des carottes - c’est qui obtient l’appellation du total des chaurottes ou des cassettes ?  Voilà ce qu’il en est lorsque l’absurdité des hypothèses affichées dans la démonstration même de la théorie sont prétendues  n’avoir aucune importance. « Que seuls importe et l’accord entre les prédictions de la théorie et la réalité (ibid.) » …Prédictions toujours plus absentes ou plus fausses…Ce qui, selon Karl Popper, rend une théorie non scientifique : la théorie des marchés, matraquée partout, n’est pas une science. Juste une absurde idéologie. Le capitalisme n’a donc aucune fondation dans la réalité : de ce fait, de l’abolir ne causera aucun dommage. Que du sain soulagement !  

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Les-plus-riches-font-progresser-l'intérêt-général-où-cela-donc-?

Puisque débarquent de nouveaux sophismes qui mentent effrontément…les trop riches ne se préoccuperaient que de l’intérêt général !...mais comme ceci : « Dès que vous dépassez les 400 000 dollars de revenus annuels, vous entrez dans la fameuse catégorie des 1 %. Et quand vous gagnez plus de 10 millions de dollars par an, vous faites partie des 1 % les plus aisés des 1 %. Pourtant, rares sont ceux qui se disent scandalisés par ses revenus. Pourquoi ? [[ archi faux : beaucoup se scandalisent énormément, mais les médias du cynisme miteux ne diffusent jamais ces indignations…en très gros, dès que vous êtes face à quelqu’un qui « ne soigne » que les apparences, vous « savez » que c’est un truqueur, un tricheur, un sophiste voire un voleur….]].

Mais les acteurs et les sportifs ne forment pas la totalité des rangs des riches. La plupart de ceux qui gagnent énormément d’argent amassent leur fortune d’une façon beaucoup moins transparente aux yeux de l’opinion [[et il faut la connivence des politiciens illégitimes afin de parvenir à la dissimuler ]]. Prenons l’exemple des grands patrons. Les chefs de grandes entreprises sont, sans aucun doute, extrêmement bien payés et, au fil des années, leur rémunération a énormément augmenté relativement à celle du travailleur moyen [[ donc un intérêt général qui ne se sert qu’en premier et avec une avidité sans bornes, ne ressemble qu’à un intérêt trop…particulier. Même très anti-intérêt pour les autres !]]. En 2012, la rémunération médiane des patrons des entreprises de l’indice Standard & Poor’s 500 frisait les dix millions de dollars. Les méritaient-ils ? L’explication la plus naturelle de ces rémunérations importantes est que la valeur d’un bon dirigeant d’entreprise est extraordinairement élevée ! »…Et toc, pris la main dans le sac de la désinformation. Ce n’est que tautologie, auto-affirmation qui n’a de véracité que dans la répétition non…démontrée. Donc nulle part. Rien d’extraordinaire (le capital veut se faire passer pour infaillible donc divin) et pas élevée du tout (nous avons vu à quel point la théorie est fausse et ne peut « justifier » ces bien trop revenus. Qui en deviennent…du flagrant délit de vols à la société ainsi dévalisée). Ici, n’a eu lieu qu’un bas sophisme : si un dirigeant d’entreprise prélève beaucoup c’est que sa valeur est élevée. Alors que la logique nous loge que si sa valeur est réelle il prélèvera beaucoup moins : les meilleurs étant ceux qui sont les plus emplis de bonté, jamais ils ne s’abaissent à la cupidité, mais demeurent très ambitieux …pour les autres. Que la prospérité soit pour toutes et tous – et que la fausse richesse oligarchique, que pour très peu, disparaisse….

Ce sophisme s’écrou(l)e facilement – avec son background fascisant d’une « explication naturelle » (aussi corrompue que le « la vérité n’est qu’une version alternative »…alternative à quoi ? A la non-vérité qui prédominerait ? Où cela ? Les preuves ? Ah oui ! Que de vils sophismes ! La vérité est que seule la mienne prédomine et que j’interdis la vérité rationnelle, démontrable, factuelle, scientifique, etc. pour tous les autres…le capitalisme libéral est une anti-nature, tous ses arguments en sont spécieux, son système de pensée demeure irrationnel et n’a rein à voir avec aucune science : il se montre, par conséquent, plus qu’infondé à décréter quoi que ce soit de « naturel » ou non : c’est même un domaine (la Nature qui nous est, si évidemment, supérieure, notamment dans les régulations et l’absence complète de monnaie dans tout l’univers…) où le sophiste ne connaît absolument rien…et ne « mérite » donc pas d’en parler ! La guerre sainte des capitalistes aura donc prouvé que ce sont eux…les infidèles ! (rires dans la salle…). 

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« Une « formation » classique en économie ignore tout simplement ces complexités et explique le profit comme elle explique les salaires : le paiement du capital représente sa productivité marginale. Une entreprise maximisatrice loue du capital jusqu’au point où la contribution marginale du capital à la production égale le coût de location du capital. Ce coût est le taux d’intérêt, et sa contribution marginale le taux de profit. A l’équilibre [[ce qui n’arrive jamais – donc toutes les assertions qui dépendent de cet équilibre sont erronées…]], les deux sont égaux, et la courbe de demande pour le capital est décroissante, comme toute autre courbe de demande reflétant ainsi l’augmentation de la demande pour le capital quand son coût diminue (p.283). » Ce qui ne va pas ? Justement c’est l’analyse à L’ ÉQUILIBRE de l’intersection des courbes d’offre et de demande – l’équilibre à l’intersection devenant seulement magique, « extraordinairement » magique mais…n’existant pas dans la réalité comme sa …main invisible et toutes ses…superstitions irrecevables. Oui tout, dans ce capitalisme déchu, n’est que métaphysiques hors réel terre à terre et l’infaillibilité braillée du capitalisme en devient plus que nulle. Ce sont des esprits si enfantins. Devant lesquels  Steve Keen  appelle sa démonstration « L’imposture économique » parce que justement toutes ces affirmations (apprises de force par cet étudiant basique …mais utilisées par tous les dirigeants de la planète afin de prendre leurs si mauvaises décisions) sont fausses. Et sues fausses puisque les économistes alternatifs l’ont largement prouvé : donc faussetés devenues impostures. Et que la prouesse de Keen c’est de les avoir rassemblées et très améliorées dans un livre, vraiment essentiel …et que, malgré tout, ces dirigeants économiques, politiques ou médiatiques complètement discrédités…se maintiennent en dépit de toute raison. Et persistent donc à rester des imposteurs. Qu’il s’agit bien de démettre de leurs exactions. Nos ouvrages qui joignent toutes les sciences humaines et sociales dans l’élucidation de l’escroquerie capitaliste et ses conséquences renforcent ce dispositif, devenu exhaustif…Le capitalisme est passible du droit commun ainsi que des Assises.

Montant sur ses grands chevaux, le capital se drape, alors, dans des vêtements qui ne sont pas les siens, ne l’ont jamais été, dans des raisonnements qu’il reste indigne de tant défigurer, ne pouvant même pas prendre ses responsabilités…de s’auto-dissoudre. Pour que l’Évolution puisse, enfin, revenir !

Nous montrant, chaque jour (voir l’article de journal paillasse), son infantilisme théorique…

puisque, avec la grille de lecture, il n’en reste qu’un grotesque tas de foutaises !

 

 

 

………….……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Ne s’affirment-ils pas trustés de dieu (god trust us) ? Leur société d’inhumanités est donc comme une guerre sainte…

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sauf qu’elle ressemble plutôt à tout ceci…

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cannibalisme capitalisme

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capitalisme de connivence, capitalisme d’actionnaires : cela colle de moins en moins…

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mais lorsque tout n’est plus que dérives…

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La démonstration d’évidence a encore plus prouvé sa vérité : rien n’est fait CONTRE le chômage, aucune politique. Mais tout afin qu’il demeure maintenu et…progresse dans les faits ! Ce scandale inhumain est une des multiples raisons qui concluent que c’est le pire des systèmes possibles ! Le maintenir c’est participer, sans nécessité aucune, à la folie…

La démonstration d’évidence a encore plus prouvé sa vérité : rien n’est fait CONTRE le chômage, aucune politique. Mais tout afin qu’il demeure maintenu et…progresse dans les faits ! Ce scandale inhumain est une des multiples raisons qui concluent que c’est le pire des systèmes possibles ! Le maintenir c’est participer, sans nécessité aucune, à la folie…

l'aveuglement insupportable qui rend fanatique...

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La guerre sainte du capital ?
le grand provocateur de grandes crises...

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Bref, nous en revenons à « Comment  devenir un(e) athé(e) du capitalisme » qui précède de loin ces documents trop clamés hérétiques. Athée du capitalisme cela englobe tous les hérétiques intra muros du capitalisme…Et donc fait mieux qu'eux !

Bref, nous en revenons à « Comment devenir un(e) athé(e) du capitalisme » qui précède de loin ces documents trop clamés hérétiques. Athée du capitalisme cela englobe tous les hérétiques intra muros du capitalisme…Et donc fait mieux qu'eux !

« À chacun selon sa contribution au bien commun » : égalité proportionnelle et “redevabilité” dans la pensée communautarienne

« À chacun selon sa contribution au bien commun » : égalité proportionnelle et “redevabilité” dans la pensée communautarienne

Il faut bien aider la méritocratie, sinon elle n’y arrivera pas toute seule…(principe du tiers exclu 1/3). 1/3 exclu qui rit abondamment puisque ce sont les exploiteurs qui commettent l’exploit de se faire perdre eux-mêmes (sans aucune aide) en…excluant le principe qui permettrait leur survie…et, qui vu leurs agissement immensément injustes, ne pourra jamais accepter de contribuer à ce qu’ils ne soient pas abolis…

Il faut bien aider la méritocratie, sinon elle n’y arrivera pas toute seule…(principe du tiers exclu 1/3). 1/3 exclu qui rit abondamment puisque ce sont les exploiteurs qui commettent l’exploit de se faire perdre eux-mêmes (sans aucune aide) en…excluant le principe qui permettrait leur survie…et, qui vu leurs agissement immensément injustes, ne pourra jamais accepter de contribuer à ce qu’ils ne soient pas abolis…

€ 10 ans après

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Il n’y a pire que pirouette

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Le capitalisme n'aura su que foutre le bordel partout : après lui tout le monde semble terriblement plus seul !

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Prolétaires de tous le pays unissez vous

Appel des Appels, Précaires et en voie de précarisation dans l'art et la culture.

"L'imposture économique", table-ronde Steve Keen, Gaël Giraud et Claude Simon, ESCP, Paris

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