Ne pas rire entre les repas ?

La nouvelle civilisation ? Facile. Il serait dit d’un homme: il fait beau Exactement comme le temps. Magnifique, oui il fait beau magnifique, puisque ce n’est pas un rôle mais un être complet. Et que tout le monde jubile de célébrer le retour de l’Humanité. Mais par où commencer ? Par le plus bas afin de s’élever. Toujours plus haut. Or, le plus bas ce sont les trop riches, les dopés à l’argent fou, les fanatiques de ce qu’aucune sonde spatiale ni aucun télescope n’ont pu détecter dans l’univers : l’argent symbole trop abstrait. Mais qui, concrètement, semble bien rabaisser, bien trop rabaisser tous ceux qui s’en droguent. Voir notre texte d’hier…

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…en tout cas Jailbook c’est pas l’évasion…Ainsi tout commence ainsi ? « Malgré les apparences logiques, aimer l’argent par-dessus tout, c’est se montrer fort épris de ce qui nous donne accès à tout, et c’est n’être en réalité attiré par rien (p.110 - Alain Deneault – La médiocratie, novembre 2017). » Trop riche c’est une grave perte en soi de l’essentiel : on peut en devenir sous-humain ! Le grave perdant du trop d’argent est donc le leurré maximum, le cocu pas magnifique, l’entubé de première, le benêt de la farce qui préfère la carte au territoire, les instruments de mesures à ce qui mesuré, le reflet à la valeur, la proie pour l’ombre. Cette ombre de lui-même ne peut plus que faire tordre de rire tellement son air emprunté sur la solennité se montre…loin de tout, spectral, zombifié, à serrer du vide dans ses mains poisseuses de sueur. Non mais, quand vont-ils apprendre à vivre ?

Pas tout de suite…enfin pour ceux tordus comme des avares, le visage ravagé de rictus, bavant et reniflant qui …contemplent leur montagne d’or pendant que leurs entourages pas très lointains sont malades et affamés. « On les voit dans des États endettés et au milieu de populations appauvries, fomenter de nouveaux coups tordus pour faire toujours augmenter en valeur leur portefeuille d’actions, patrimoine immobilier et autres titres obscurs consignés offshore. Indifférents à la misère du monde, que les catégories comptables auxquelles leur conscience se borne font tomber dans les oubliettes des « externalités ». Comme si les chiffres, loin de traduire des cris et des souffrances, valaient désormais en eux-mêmes et ressortaient exclusivement d’un jeu (p. 115). » Soit des cerveaux cramés jusqu’à le vide en eux qui a supprimé toute la population mondiale – des monstres qui se mangent eux-mêmes et qui s’auto-suffisent au point où leurs yeux hallucinés ne voient plus qu’eux dans des milliers de miroirs ne reflétant plus que leur solitude gelée qui les a déjà rendus cent fois fous ! Ces sinistres personnages retombés dans l’idiotie vitreuse de prendre les humains pour des jouets ou la vie des autres pour un jeu – ne peuvent plus que devenir toujours plus monstrueux. Prenant pour des « externalités » leurs propres dettes (et 59 % de la dette prétendue mondiale n’est que celle de quelques milliardaires – Facile à vérifier lorsque les chiffres des 2 colonnes sont concordants ! ) – et permettant au reste de l’Humanité de devenir plus que surhumaine, des héros qui ne sont entrés dans aucun imaginaire. De doivent-ils/elles pas intérioriser, internaliser ces trop vastes « externalités » ? Pourquoi ? A faire entrer ces externalités dans les bilans, nous fait percevoir que ce « non-payé », ce dû légal, la part collective de leur accaparements, etc.…oui le total de ces montants dépassent de loin celui de leurs prétendus…profits. En résumé, ils NOUS DOIVENT LEURS PROFITS. Ce sont infiniment plus les nôtres que les leurs – vu que nous avions internalisé leurs externalités. Ce sont les plus gros perdants jamais vu. De quoi rire pendant un millénaire, non ?

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Toujours plus facile et rapide de lire dans leurs magouilles ? « Les attaques sociales en cours et en préparation doivent dégager des centaines de milliards d’euros sur le dos des travailleurs et les transférer vers la bourgeoisie, l’armée et les préparatifs de guerre [[n’y aurait-il pas comme le début de la pointe extrême d’un abus dans ces comportements qui veulent tenir tête aux vraies grandes majorités ?]].

Prétextant-les-échauffourées-du-1er-mai-à-paris-le-droit-de-grève-serait-supprimé-?

50 ans après la grève générale de Mai 1968, la bourgeoisie est consternée par la montée de la contestation sociale [[ que ses agissements de voyous ont seuls provoqué…une contestation c’est contre, c’est outrée et indignée qu’elle émerge…qui sont les casseurs de la société ? qui méritent d’être houspillés ?]] en France et à travers le monde, qui bouscule ses projets. Craignant une convergence internationale des luttes contre l’austérité et la guerre, [[qu’ils sont en train de créer par leurs agitations peu recommandables…]] alors qu’un large mouvement de grève se développe également parmi les travailleurs américains, elle s’inquiète beaucoup moins des dégâts provoqués par les échauffourées mardi que par la montée des grèves [[Et ?]]…Pour les travailleurs et les étudiants en lutte, c’est un avertissement de la nécessité de prendre leurs propres luttes en main [[Comme en 1995 et ses très efficaces « coordinations » - dixit la vraie histoire]]. S’ils ne s’organisent pas indépendamment des appareils syndicaux et de leurs alliés politiques dans les partis pro-guerre de pseudo gauche, tels que le Nouveau parti anticapitaliste, ceux-ci travailleront avec le gouvernement pour étrangler la grève des cheminots et en général l’opposition des travailleurs [[c’est vraiment pas une raison de rire dans les rangs rangés. Que la vérité sur tous affleure en un seul jour…tous dans la même saccade !]].

C’est pourquoi le gouvernement met l’accent nôon [[nous mettons l’accent aussi soit nôn]] pas sur les fouilles de manifestants [[et des menottes aux petites menottes ]], mais sur la collaboration avec les appareils syndicaux et la dissolution d’organisations politiques [[et donc c’est en détournant « leurs » actualités « présumées béton » ET en les croisant avec des analyses au ras des pontons de débarquement que nous pulvérisons ce « d’où tu sors ces foutaises et qu’est-ce tu foutais avec ces foutaises ? »…la théorie et les livres bien  chiadés c’est le second pilier inébranlable de cette lutte de fond. Se priver d’un seul c’est ne vraiment…pas aimer les autres…pour qu’on s’en sorte toutes et tous, bordel de purée de merde. Clair ?]]. Quelques exemples chaud devant ?

>>>>>- *** Et comment poursuivre ce on ne rit pas entre les repas (c’est qu’on ne se goinfre plus, nous, monsieur…) ? Dans le marketing qui escalade le grotesque ? « Procède-t-on au développement d’une région en la détruisant ? Il semble que oui, tant que du point de vue imaginaire (sic) la représentation est sauve. The show must not go on. On parle d’un « eldorado haïtien » pour continuer de faire rêver plutôt qu’à faire penser. Le marketing oblitère le caractère contreproductif d’un tel saccage et détourne l’attention de l’usage malavisé de l’eau par l’industrie (p. 128 - Alain Deneault – La médiocratie, novembre 2017). » Comment pouvoir être fiers d’exercer un anti-métier autant à gerber ? A part nuire (et se nuire) il reste impossible d’y trouver un milligramme de bienfait. La preuve ? Ils n’arrivent même pas à faire rire. Aussi joyeux que des grincements de porte !

>>>>> - Les trop riches comme grands aventuriers ? Oui calfeutrés derrière leurs ordinateurs dans leurs bureaux trop feutrés, ils…« exposent cette fois les autres au pire, mettant en péril des vies et des écosystèmes qui ne sont pas du tout les leurs (p. 124 - ibidem). » Et ajoutant à ces graves couardises,  que ce ne sont plus eux qui prennent les risques (ça risque pas !) – mais les autres, sans même en être averti-e-s. Et donc ? Tous les véridiques héros sont ces autres et surtout pas ces faux preneurs de risques. « Ce ne sont plus vraiment eux qui se lancent dans des conquêtes, mais leurs lobbyistes, leurs avocats, leurs ingénieurs, leurs comptables, leurs communicants, leurs intermédiaires locaux et leurs milices (ibid - - Alain Deneault – La médiocratie). » et ainsi à la question…méritent-ils leurs revenus ? La réponse est Nooooonnn ! Mille fois nôôôn… Remboursez, remboursez tous vos trop perçus. Et il serait malvenu que vous rissiez ! Rissiez durant l’opération de salubrité publique de reprendre tous vos biens mal…acquis. Mal à qui, à vous seulement ! Le rire va devenir l’aiguillon de vos fuites permanentes…

>>>>> - Le « rôle » de l’argent pour Goerg Simmel ?... « avant tout un rôle social et culturel dans sa modernité, soit celui d’agir avant la lettre comme un ordinateur capable de réaliser dans les esprits la comparabilité, la compatibilité et la comptabilité de toutes choses entre elles en ce qui regarde leur potentiel de valeur (p. 109 ).» Car ? Comme le précisa Rosa Luxembourg que « nul n’est révolutionnaire par amour de la crise et de la catastrophe mais par appréhension de la crise et de la catastrophe vers laquelle nous mène le régime instauré de l’époque (p. 180). » Ce sont eux les coupables, ce sont eux les responsables. S’ils ne déclenchaient pas, la clenche n’aurait pas sauté de la porte. Que les décisions politiques soient donc plus respectueuses, ils/elles ,’ont qu’à s’en prendre qu’à eux et leurs sourires en coin. La lecture d’autant de sagesse réunie désigne donc comme véridiques fauteurs de troubles et casseurs de la société ces régimes qui ne savent que créer crises et catastrophes. Véridique. Pas encore « assez » convaincus ? Que font ces désignés de révolutionnaires sinon « de sauver le capital de lui-même, de ses propensions à la crise folle, en absorbant les conséquences provoquées par les apprentis sorciers de la gestion privée (ibidem). » Rappelons que leur coup d’État 1980 aura été de faire passer la macroéconomie (s’occuper de tout le monde) pour un sous-système de la microéconomie ( cette délirante folie de prétendre que les entreprises savent tout et que les états doivent être conduits comme des entreprises )…ce qui ne crée que dégâts sur dégâts. Les services publics, voués à l’autogestion afin d’empêcher toute main mise émeutière des intérêts privés en éternels conflits, leur sont supérieurs en tout.). Eux qui foirent tellement dans leur sorcellerie au point de transparaître comme de ridicules cancres, tels de pitoyables mauvais élèves Lagaffe qui ne commettent que bévues sur bévues…au point d’être à la source (prouvable) de toutes les crises. Ce dont ne peuvent se voir affublés les prétendus révolutionnaires (appellation non contrôlée) et qui paraissent infiniment plus protéger la civilisation que les trop frénétiques fauteurs de…crises. Là, ils pourraient carrément rire d’eux-mêmes. Il serait même sérieusement temps…

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Toujours à prendre des messies pour des sauternes ? Ou bien, encore,  en vue de tenter de conclure ? Lubies ? “Les oligarques doivent disposer du temps et du monde afin de gouverner [[écoutons-les parler…cela dérape grave en…]]. Son entreprise est au service d’une classe sociale qui considère que le moins de choses possibles doivent résister [[ ce qui rend si irrésistible de leur résister ]] à leur volonté d’être là où ils croient devoir voir, pour dialoguer illico avec ceux qu’ils disent devoir afin de mener les activités qu’ils jugent devoir mener. Cela a un coût toujours omis (p. 100 – ibidem). » Ce n’est plus la moindre des choses c’est le vraiment le plus de choses : ces irréalistes si dommageables nous courent sur le système (le vôtre aussi) …puisque leurs exactions (actions aussi…) ce sont « afin de transformer l’appareil d’État en machine à engranger du capital public, au départ, pour les oligarques industriels et financiers. Aucune de ces réalisations ne se voit soumise au débat (p. 105 – La médiocratie). »…voici qui hérisse le poil. Mais ce n’est pas tout  - dans la pathologie où l’économie de ces loufoques sinistres ne considère jamais ce qu’il va en coûter à l’État (et l’état c’est chacun-e de nous) pour continuer leurs lubies…soit, l’extraction comme la pire des dévastations qui soit « de polluer 2 500 m3 à l’heure dans une région où 20  % des gens ont un accès très difficile à l’eau potable. L’activité extractive suppose le traitement au cyanure de 24 000 tonnes de matière extraite par jour (p. 126) »…et lorsque l’on sait que leurs engagements de tout remettre en état à la fin de l’extraction n’est quasiment jamais tenu (l’appareil répressif étant absurdement mobilisé contre les pauvres, ces volés, ces fraudés et ces spoliés – ne peut se trouver…là où il est vraiment besoin de lui…les « casseurs » ne sont jamais ceux/celles qu’il nous est fait croire !). Ici, nous avons bien des ex tracteurs plus que destructeurs de biens communs ! Ne pas rire entre les repas ?

Est-ce tout ? « ces cloisons hypocrites permettent ainsi à un homme d’être à la fois responsable de presse, de la téléphonie mobile, d’un stade de sport et « d’industries culturelles » (sic) tout en occupant une fonction publique de premier plan, sans que jamais la principale question qui fâche ne soit même effleurée [[ mais la question non soulevée fâche qand même, ce qui reste très fâcheux, ben, tiens donc !]]  : comment une société peut-elle admettre une telle concentration d’actifs et de pouvoir non seulement en la personne d’un représentant politique, mais en celle de tout citoyen ? ( p. 107). » C’est qu’elle ne l’admet pas du tout, mais alors pas du tout…une démocratie où tout les rouages de bottom up sont coincés et empêchés ne peut parvenir à l’auto-élucidation permananente d’elle-même. Ce qui est la santé placée dans le fonctionnement démocratique. La salubrité publique. Et qui n’est pas pour un fonctionnement démocratique aussi…légal ?

Les faux experts en techniques de gouvernance (cette insulte putschiste à la démocratie) parviennent...

…. à outrepasser toute question ! En faisant de toute non-réponse un bastion !

………………..Lorsque pas question = pas réponse !

…………………Pourquoi ce ne pas rire entre les repas ? Dis donc !

…......………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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