NOUS

Publié le par imagiter.over-blog.com

NOUS

Et si tous les malheurs actuels du monde venait de ce que nous ne savons plus le sens du Nous ? Que les fausses élites se sont paumées dans l’indivis dualisme, ce dualisme irréconciliable (indivis) ? Et ? Qui ont eu la chance d’avoir été exclus des médias auront tissé tout l’océan pendant que les arriérés médiatiques se disputent pour de vaines vagues ? Exactement. Le futur c’est de voir se noyer dans le toujours plus burlesques les impostures des stars des médias et revenir, peigné d’une Joie indescriptible l’immense océan des Nous enfin en fête. Ceci se passe déjà ainsi :

«Le français désigne sous une forme unique, NOUS, les relations aussi différentes du point de vue de la réalité extra-linguistique que : moi et toi, moi et vous tous, moi et vous deux, moi et lui, moi et eux deux, moi et eux tous, nous deux et toi, nous deux et vous deux, nous deux et vous tous, nous deux et lui, nous deux et eux, nous deux et eux deux, etc. Si l’on ajoute à cette liste : moi une femme et toi une femme, moi un homme et toi un homme, moi une femme et toi un homme, et….on aura compris où je veux en venir. Sans que nous y voyons conscients le moins du monde, lorsque nous disons nous, ce Nous peut avoir une infinité de référents possibles. Beaucoup de langue possèdent plusieurs pronoms là où n’en avons qu’un rendant compte de certaines des distinctions que je viens d’évoquer (malgache, langues amérindiennes, philippines, certaines langues asiatiques, etc.). En particulier, beaucoup de langues distinguent un nous « inclusif » (incluant l’interlocuteur) et un nous exclusif (excluant l’interlocuteur mais incluant un tiers absent). D’autres langues font des distinctions de sexes (…) le francophone (…) un concept unique : Nous = groupe de personnes indéterminé quant au nombre ou au sexe incluant le locuteur ( Marina Yaguello – Alice au pays du langage).» Le français souffre terriblement de ce manque de nous en toutes ses diversités, ses possibles, en toutes ses dispositions de positions. Énormément d’échecs de communications viennent de là. Il reste remarquable que ce soit des langues du Tiers monde qui sachent le mieux vivre le collectif, la pudeur et le tact de savoir placer les mots justes. D’encore retrouver cette enfilade qui, du Tiers monde exclu, se capitalise en ces incroyables phrases « Nous avons déjà raté Y », c’est-à dire un créateur, un maître.

Ce nous qui englobe-t-il alors ? les franciliens ? les terriens? Ou un infime cénacle très capitalisé? Ce « nous » à gonflement universel trébuche, immédiatement, sur la logique. Nous avions raté : on voit d’ici l’importance, l’aveuglement égoïste. Et ceux qui ont été raté, alors ? L’indifférence campe totale, les cœurs insensibles insensés. Même le principe logique que SANS EUX (les créateurs bafoués siècle après siècle) il eût été strictement impossible qu’ils soient ratés. Les créateurs n’existent pas, uniquement ceux qui les ratent. Et s’enflent d’un nous d’universalité. Dans le « nous avions raté » seul le « nous » prévaut, importe. C’est le nous exclusif puisqu’il exclut radicalement le créateur qui aura été ainsi, méthodiquement, méconnu. Pour la société française il semble bien, qu’à part les écrivains, les associatifs, les penseurs cohérents, la majorité écrasée n’utilise qu’un nous qui exclut, aboie, mord. Le nous inclusif qui materne, respecte, fait éclore, naître, reste la nuance d’une minorité. Pour les autres, ce « nous » qui ne sait jamais, ne connaît pas le poids des mots. A proprement parler il ne sait pas de quoi il parle. L’écrivain, minorité absolue, a seul parcouru la valeur de ce mot. Sinon où aboutit ce nous, dont nous venons de voir (le lecteur respecté, parce qu’il se voit inclus dans une démarche exigeante et irréductible, qui fait tout le nous) toute l’inconsciente mais dévastatrice prédation ? Non seulement, le créatif est piétiné par la censure, mais lorsqu’il est reconnu c’est encore une exclusion. Comme l’élucida Artaud nul n’apprend à vivre, à respecter, à aimer, à deviner ; nul n’essaie de se mettre à la portée, à la ténacité du créateur : ne restent que les brutales scories de nécrophagie où le capitalisme culturel n’est qu’un cannibalisme.

……………………………….******************************************

Le son des mots dévoile tout l’inconscient : le « nous avons raté Y » dénote une satisfaction écœurante et absolument aucun regret. La preuve ? Ils persistent et, demain, recommenceront tout pareil. L’histoire peut être décrite comme le sempiternel pillage et massacre des meilleurs de l’humanité : à ce sujet ils ne les ratent jamais ! Et n’en ratent pas une d’ailleurs. Tel que nous le révéla « le complexe du sommet », le nous exclusif (c’est que pour nous et pas pour les autres : donc le nous « sélectionneur » y perd tout sens !) les aveugle absolument. La métaphore dessine la France n’est rien, paris est tout puisqu’on y monte. C’est le NO – US in english, le nous non nôtre. La province seule indifférenciée par indifférence et « ignorance », demeure passible du nous dont les limites ne finissent jamais. La démocratie ne pourra exister, ici, mais c’est partout ailleurs, c’en est d’ailleurs la démonstration, que lorsque un respectera tous mais que tous respecterons un. La naissance du nous. Les capitales capitalisent ce manque à vivre de toute la société. Le Nous devient ainsi le terme à élucider. Pour le moment, il tangue entre le nous autres (racisme) et le nous-mêmes (indifférence), ce qui, étrangement, se transmute en illumination : nous autres c’est donc que nous soyons tout…autre, cette reconnaissance de notre différence ne peut donc, logiquement, qu’empêcher tout racisme ; nous-mêmes cette indifférence à la différence devrait conduire à l’attention passionnée puisqu’il suffit d’être soi-même pour respecter et aider les autres. Le « nous » concentre toutes les qualités de rejet, d’expulsion, d’écartement, d’évitement, il repousse, il exclut. Son retournement comme un gant devient, alors, le centre de la transmutation. La position en surplomb de « complexe du sommet » qui le fait se déséquilibrer de tout (c’est-à-dire que lui ne se voit pas ainsi et n’arrête pas de le pérorer sur tous médias, qu’il se monopolise, en articulant, d’ailleurs, toujours ce faux « nous », mais cette vision n’importe pas, seule la démarche de réalité compte) : cette position en surplomb dessine un échec surabondant. Ce point de vue empêchera toujours la prononciation exacte du nous. Comme la logique cadre que l’on ne voit les autres que par le filtre de  ce que nous avons vécu, senti et connu : ainsi, ce n’est pas le fait d’être contemporain d’un grand homme qui nous rejaillit dessus, nous grandit, mais uniquement notre attitude la plus intègre et cohérente possible à son égard. Deux personnes peuvent visiter Einstein, selon le vécu et le savoir possédés, aucune des deux ne le comprendra, ressentira pareillement. Et ce n’est pas la faute à Einstein : il est lui-même. Cette méconnaissance de la base de l’apprentissage du social produit que si un être est méconnu ce n’est guère de sa faute, jamais, mais de tous ceux/celles qui font tout pour le méconnaître. Tournant le dos au Progrès et à l’évolution et s’affublant des oripeaux de la soi-disant modernité, alors que le moderne reste toujours ce qui va devenir, jamais ce qui se ressasse. Si donc un être est méconnu c’est par la méconnaissance du fait que l’on ne sait les autres « que » par le prisme déformé de ce que l’on a vécu et comment on l’a vécu et tout ce que nous en savons. Le « nous » avions raté devient bien le (à son égard) nous avons tout raté ; et la dette collective face aux grands hommes augmente tellement qu’elle comprend toute l’économie.

Le N du nous sait, désormais se prononcer. Le O c’est l’indien, l’amérindien qui nous l’élucida, il n’est que de ressentir son regard, son cœur, et son esprit pour vivre et savoir que pour lui nous étions des Barbares incohérents et aveugles – afin de vivre enfin l’exact poids du mot Nous, ce vocable à maternité. Maternité qui ne sera vraiment comprise que lorsque sera entièrement élucidée cette TERNITÉ, ce ternaire qui fonctionne ce mot à plein, et le fait participer à l’étoile de sens pa-ternité, fra-ternité, é-ternité. Pourquoi Trois dans maternité, nous pouvons le deviner, mais dans fraternité ou éternité ? Le chemin qui est le mien est celui des moissons inextinguibles, inépuisables. Pour que vous en savouriez tout le goût – il vous faudra passer par la porte du « vrai » nous. Le sens de la globalité ouvre à la globalité du sens. Nous sommes devient une somme, une totalité et toute totalité commence par une addition. Nous-mêmes pour le miroir se voit ajouté à nous autres pour la réception adéquate et équitable des…autres, avec eux, incluant eux (toutes les phrases spatialement décrivaient déjà toute la marche de la démarche) parvient au total qui peut, enfin, se dire. Nous. Les mots savent tout et mieux que nous. L’humilité de vouloir les écouter reste si peu partagée qu’il faille vivre dans une minorité, c’est à-dire subir l’exclusion à son maximum pour recevoir ce trésor sans fin. Seul(e) qui a vécu cela sait, et de toutes ses fibres, ce que parler veut dire. Et ce qu’écrire implique. Qui est bien que qui s’hypnotisait que la « Réussite » individualiste (qui n’a rien mais rien à voir avec la subjectivité radicale !) s’est entièrement trompée de route. Pour sûr que son « complexe du sommet », son surplomb de plomb immuable, l’a rendu aveugle et sourd, et dans son « nihilisme » qui, vous vous souvenez, fait voir les autres Comme l’on a vécu et comme l’on est, et non comme ils sont en vrai – le vit saupoudrer de son néant toutes choses et partout. Ainsi, jamais l’écrivain vrai n’est contestataire, protestataire de quoi que soit ; il reste sans cesse à la recherche des racines du réel. La dépréciation, dévalorisation prédatrice du « complexe du sommet » a toujours « ignoré », dédaigné…

…(obscurantistes eux seuls le sont !) - le gigantesque trésor des mots !  

………le Nous ne devrait-il pas englober absolument TOUT LE MONDE ?

…….………(à suivre)

……………..………………**********************************

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Le monde qui nous somme ? et que nous ne sommes pas, nous les ensemblables.

Le monde qui nous somme ? et que nous ne sommes pas, nous les ensemblables.

Nous et...l'unité : qui n'est pas nous ne peut devenir uni ni unitaire, mais qui n'est pas le vrai nous ne peut que tout disperser...

Nous et...l'unité : qui n'est pas nous ne peut devenir uni ni unitaire, mais qui n'est pas le vrai nous ne peut que tout disperser...

Marina Yaguello Alice au pays du langage

Marina Yaguello Alice au pays du langage

le Son des mots n'a pas de Sens ?

le Son des mots n'a pas de Sens ?

NOUS
Sourions, ils ne pourront jamais filmer la beauté du monde...sur leurs vains films il n'y a que le masque de leur hideur !

Sourions, ils ne pourront jamais filmer la beauté du monde...sur leurs vains films il n'y a que le masque de leur hideur !

Comment osent-ils faire le Séparatisme du Nous...les voyous au sommet ?

Comment osent-ils faire le Séparatisme du Nous...les voyous au sommet ?

NOUS
L’atome Nous - En el ventrículo izquierdo del corazón, mora el átomo principal; el diminuto modelo al cual el cuerpo físico debe, con el tiempo, amoldarse en su progreso. Es un cuerpo giratorio que vive en su propia atmósfera; se le llama el Maestro Constructor, porque tiene a su cargo todos los principios constructivos de nuestro cuerpo físico.

L’atome Nous - En el ventrículo izquierdo del corazón, mora el átomo principal; el diminuto modelo al cual el cuerpo físico debe, con el tiempo, amoldarse en su progreso. Es un cuerpo giratorio que vive en su propia atmósfera; se le llama el Maestro Constructor, porque tiene a su cargo todos los principios constructivos de nuestro cuerpo físico.

D’où venons-Nous ?

D’où venons-Nous ?

NOUS
ESCALIERS qui spiralent pour arriver « Chez nous », enfin chez eux ; eux qui veulent nous attirer jusqu’à ce que chez eux/ noue noueux !

ESCALIERS qui spiralent pour arriver « Chez nous », enfin chez eux ; eux qui veulent nous attirer jusqu’à ce que chez eux/ noue noueux !

Comme nous avons tous les mêmes ancêtres, nous devons les « mutualiser », les partager avec tout le monde. Aucuns ciseaux ne pourront changer cette réalité…Nous c'est les ancêtres...en commun !

Comme nous avons tous les mêmes ancêtres, nous devons les « mutualiser », les partager avec tout le monde. Aucuns ciseaux ne pourront changer cette réalité…Nous c'est les ancêtres...en commun !

Les cordes sont aussi celles qui sauvent, les cordes cordiales. Tous les liens n’enserrent pas, tous, il y a ceux qui libèrent !

Les cordes sont aussi celles qui sauvent, les cordes cordiales. Tous les liens n’enserrent pas, tous, il y a ceux qui libèrent !

Le « hein » est un mot retrouvé dans toutes les langues : des chercheurs de l'Institut Max-Planck de psycholinguistique ont étudié les langues à travers le monde et constaté que toutes ont un mot avec un son quasi-identique pour signifier le terme "hein?". Ceci est remarquable car en général, les mots dans des langues non apparentées sonnent complètement différemment. "HEIN ?" que dites-vous ? Il pourrait sembler futile d'effectuer des recherches scientifiques sur un mot comme "hein ?". Pourtant cette petite interjection est un outil indispensable dans la communication humaine. Les « petites » choses ont, souvent, un immense impacte, hein !

Croire en nous

En nous ? Ce qui nous rend méchant

Ce corps qui nous contient plus grand que nous ?

Selon les désirs, un livre vraiment INSOLENT…Télécharger « Alice au pays du langage ». Pour comprendre la linguistique PDF...flamant rose c'est Pink Floyd, en anglais...

Apprendre à penser par soi-même mais avec les autres

je n’existe pas et Nous existe

Nous-mêmes ? Même nous ?

Ma langue dans ta poche...

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article