Oui existent d’autres politiques ¿

Publié le par imagiter.over-blog.com

Oui existent d’autres politiques ¿

Ou bien émerge une nouvelle politique. Nous pouvons les faire naître. Sauf que, d’abord, il nous faut absolument sortir du cadre. Actuellement, un vortex extrêmement malsain pourrait se durcir. Et tout phagocyter. Dû à la conjonction d’un conservatisme égaré, si crispé sur Thatcher et Reagan. Alors que leurs échecs sont complets. Et de la complète symétrie absurde d’une opposition « centraliste » qui…renforce, sur le terrain, cet entêtement déraisonnable à avoir toujours plus tort. Le ni droite ni gauche donne, au concret, le conservatisme le plus archaïque qui soit. Avec un autoritarisme d’un autre temps. Rien d’adapté à notre époque présente. Au point qu’un commentaire parvient à élucider…un « nous le croyons jeune, en fait, c’est un vieux con pire que les autres». Il y a bien une erreur collective d’orientation !

Donc cette opposition n’est certainement pas la bonne.  D’autres politiques existent…Il s’agit de s’insoumettre à cette soumission au centralisme suicidaire qui se prétend insoumission. Qu’est-ce à dire sinon qu’il faille reprendre…toutes les analyses, les rendre radicales (qui descendent jusqu’aux racines). Tout d’abord, il s’agit de s’adosser sur la remunicipalisation intégrale – les communes (et leurs communautés de communes) comme bases de résistances au…centralisme devenu la mort des pays. La fédération des communes et la fédération européenne (puis internationale) des fédérations de communes. Le tout sur la trace de l’anti autoritarisme.  Anti-autoritarisme qui n’a jamais été aussi fécond qu’organisé (songeons à Seattle et sa victoire contre la fausse globalisation, la sur-hiérarchique et hyper centralisée, donc sans les peuples et les pays !). Pourquoi cet anti autoritarisme ? Les pulsions rigides de l’écologie « centralisatrice » (tout taxer comme solution et tout interdire comme plan B) n’ont toujours pas compris qu’il faut surtout tout INVERSER. Partir du terrain, des myriades d’initiatives locales (les victoires de la permaculture viennent à 100 % de là) et les faire remonter anti-autoritairement. Mais par consensus de dissensus successifs. Anti-autoritarisme qu’ont complètement raté les libertaires. Crispés absurdement sur un antiétatisme obsolète. Antiétatisme tristement dogmatique qui aura permis au privé de se monopoliser le monde entier, de saboter les états et leurs élections par les lobbies et les multinationales (aides tout à fait…anormales non ?). Alors que la vraie formule n’est pas « à bas l’état »mais « à bas la main mise du privé sur l’état. En conséquence, à bas le coup d’état permanent du privé ». Donc pas « à bas l’état » mais bien « à bas le coup d’État ». Et les privatisations frauduleuses auront été largement facilitées par ce mauvais état d’esprit libertaire (les privatisations c’est bien puisque cela nuit à l’état honni !). Alors que d’analyser l’état-service-public comme une coquille vide dont les communes et communautés de communes peuvent utiliser tout différemment les logistiques et moyens. Entre autres…Un exemple ? La fiscalité est prélevée par les départements qui, ensuite, transvasent au centre du centralisme–à-sens-unique. Qui se retourne (alors) contre le pays dans une monstrueuse arrogance en osant « octroyer, faire un cadeau, subventionner, financer, mesurer sa condescendance » à redonner, toujours plus avare, à chaque région ce qui lui appartient en tout premier. Plus de cet intermédiaire parasitaire : les péréquations agissantes permettent de tout répartir sur place. Gain de tout. Supra-économies garanties. Et ? Le bunker Bercy si opaque n’existerait donc plus. La bêtise libertaire (car le capitalisme libéral s’est déguisé en anarchiste pour mieux voler les états et les retourner rendus hyper répressifs, hyper autoritaires, hyper interventionnistes et hyper intrusifs (nouveaux curés de nos consciences). Le tout matraqué contre les immense majorités volées de leurs votes-choix (voir l’Italie qui ne peut avoir un gouvernement représentatif de ses résultats de vote…il parait que ce sont les marchés si corrompus qui « corrigent les votes »))…oui ce sont ces intrusions abusées qu’il s’agissait de libérer non de rester dans des généralités hors concret !

Donc cette faute grave des libertaires (refuser toute organisation fédéralisée décentralisée – le meilleur moyen de résister concrètement aux centralismes) de bloquer oui bloquer (par inerties reconduites) les leaders culturels, qui seraient révocables du fait des diminutions des diffusions. Et actuellement ? AUCUN oui aucun des leaders naturels dont nous avons un besoin vital ne sont diffusés normalement et naturellement. Ceux/celles qui le sont n’ont pas les idées et les solutions à la taille de ce qu’il faut dire (même s’ils y contribuent). Et ? N.R.V. (Noir Rouge Vert unis et rendus plus forts l’un de l’autre) contribuerait triplement à dompter les pulsions suicidaires des libertaires (plutôt avoir tort que de perdre la pureté (sic) doctrinale (resic). Comme s’il pouvait exister un corps de slogans « obligatoires » et si figés ?). Plutôt empêcher tout le monde de se défendre plutôt que d’entrer dans des débats de fond, etc. Par exemple, en devant guider l’écologie de terrain, là où leur fonctionnement anti-hiérarchique ferait merveille. Mais où leur « idéologie » (à partir du moment où il existe un ensemble de slogans indiscutables c’est une idéologie. Il peut être dit pas de drapeau mais l’idéologie figée est pire qu’un drapeau ou son absence…). Donc la rencontre musclée des 3 mentalités - la rouge aussi (et ses blocages insupportables sur le productivisme, l’inimportance portée sur la défense de la nature ou le…centralisme démocratique (sic), aboutira à une forge terrestre qui nous offrira le meilleur…et les meilleurs. Des trois ! Et nous sortira du vortex insensé…que le centralisme d’un hyper conservatisme obsolète et d’une opposition complètement dépassée si elle entre dans cet agenda sans issue (ce n’est pas d’une réPublique même sixième dont nous avons urgent besoin, mais d’une démocratie très…décentralisée…et fédérée directement au…monde entier !) Exactement comme ceci :

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Les grands moments qui font encore rêver : Seattle et 1995 furent de l’anti-autoritarisme organisé. Seattle avait été très préparé par les altermondialistes. Et les « coordinations » de 1995, anti partis et syndicats, se remettaient en question chaque jour en A.G.. Refuser de s’organiser c’est donc aider les absurdes pouvoirs en place. Lorsque les positions durcies ne conduisent qu’au trop entêté immobilisme qui n’arrange « que » les pouvoirs. Et surtout nul autre. Contre quoi dire antiautoritaire s’il n’y a pas d’organisations derrière ? Antiautoritaire c’est contre les hiérarchies non le fait de s’organiser. Sinon, ne rien faire devient bien n’en avoir rien à faire. Surtout des autres. L’enfermement dans la bulle dite « individualiste » pour égoïstes ne mène nulle part vu qu’elle ne part même pas ! Bulle toujours plus dure que tout qui ne veut plus rien écouter, rien vérifier, rien réfléchir, rien mutualiser.

Le spontanéisme qui déresponsabilise attend que tout vienne tout seul. Mais butte très vite sur comment le faire surgir ? Par exemple, ce seront les violences dans les manifestations qui seront perçues  afin « d’amorcer » le mouvement spontané – qui ne sera plus, alors, vraiment spontané. Ceci n’arrive que lorsque la saine spontanéité dégénère en un malsain spontanéisme qui ne peut plus s’affirmer que de manière très négative : toujours dire non à tout, dire non sans écouter ni regarder. Débattre. Mais alors pourquoi ce non ? C’est pour aller où et faire quoi ? Où se situent les oui qui motivent ces non ? Eh bien, justement, à force, il n’y a plus de oui. Que systématiques refus et rejets…Refus des personnalités, à quelques très exceptions près. D’où les débats s’éteignent sauf cas toujours plus rares. Rejet de toute organisation – ce qui devient gravissime – mais, se rajoute à des mono-maniaqueries procédurières qui dessinent bien comme une…organisation unilatérale. Oui, il y aucune organisation chez ces refuseurs d’organisations mais organisation en filigrane uniquement contre…Toujours, toujours contre, à saboter toutes les naissances, les nouvelles idées, les pratiques qui fonctionnent, etc. et pour …rien de concret. Pas de projets collectifs. D’actions à mener ensembles. Les méfiances devraient plutôt se tourner contre ces congélations de tous les futurs possibles. A qui profite les dénis encore et toujours reconduits ? Tant de forces gaspillées à dire non et à tout refuser qui pourraient mouvementer les convergences d’élans, de volontés, d’actions et d’initiatives.

Oui organisations (tout de même) de tas de normes implicites (à origines très dissimulées) autorisant toutes sortes de…sectarismes. Depuis qu’il n’y plus de leaders et de mouvements – quelles pluies et avalanches de …règles et d’interdits ! Les divisions partout, l’unité nulle part. Sous le prétexte de la « convergence des luttes » (que seules des formes formulées telles des « coordinations » peuvent faire converger), ces spontanéistes auto-bloqués vont infiniment rester isolé-e-s des différents groupes du public et du privé, des agriculteurs, des luttes de terrain, des autres syndicats les moins centralistes. Le spontanéisme est révolutionnaire dans les propos et les attitudes mais très conformiste par son individualisme qui abuse de son exclusivité absolue (comme une dictature) dans les non-prises de décisions…non-décisions expansionnistes même pour les autres. Vraiment à leur place…Il porte en lui l’échec reconductible à chaque fois. Echecs (qui sacrifient tant de millions de vies souffrantes et démunies) pour une pureté posturale qui ne va demeurer que dans des mots abstraits. Le mouvement qui veut mouvementer le monde entier – en parvenant à son apothéose d’une Grande marche promise sur la Terre Tenue – le mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert) est le seul qui parvient à ramener l’anarchie au tiers (1/3) des 3 grands courants dont la forge peut, seule, forger la nouvelle civilisation. Au lieu de prendre toute la place pour l’immobilisme intégral que crée l’absurdité de briser tout élan…par des pas d’organisation pas de leader pas de mouvement mondial, rien d’autre qu’une posture stérile, etc. Et qui fait s’échouer le bon côté, la nécessité saine du libertaire dans tout mouvement qui veut…aboutir ! Comme nous le voyons ce n’est pas une critique… négative du libertaire c’est la tentative d’en extraire le meilleur : le vitalement nécessaire à une époque où tout est bloquée par l’obsolescence si passéiste et inadéquate des hauts (les pouvoirs et ces oppositions « dans les normes » !).

Tout en étalant que les anarchistes seraient à la tête de toutes les conquêtes sociales. Mais comment sont-ils parvenus à de telles réussites ? Sans participer, sans s’unir autour de ce but commun, sans initier un mouvement social, sans s’organiser temporairement, sans laisser les leaders culturels révocables clarifier les énergies, etc. ? Sans RIEN de tout ceci – juste en se crispant à dire stupidement non et non à tout. Pendant que les anarchistes capitalistes utilisent toujours plus l’état (tout en prêchant qu’ils sont contre) afin d’éteindre toutes les paroles publiques, de détruire toutes les conditions matérielles de grandes unifications des volontés. Ce pourquoi les restes des vieilles organisations ne font plus que…simuler l’unité. Sans la désirer ardemment. Sans ne pas tout faire pour. Juste, on se le demande parfois, pour arranger les pouvoirs en place…qui leur offrent, en échange, un peu de médias si…IMMOBILISATEURS ?  

Il/elle irait même jusqu’à se prétendre individualiste- non collectif alors que la politique ne peut devenir…effective que dans une forme (neuve ici, mais neuve…comme existante enfin) d’organisation formulée. Des organisations antiautoritaires sont tout de même des organisations dans le sens positif. De multiplier chacun-e par tous les autres. Et surtout pas dans le sens négatif de hiérarchiques et donc autobloquantes. Sans plus de symboliques sinon…le non systématique (qui fait donc système, qui s’impose comme une organisation très pressante à dire nulle organisation). Et, surtout, sans incarnations par lesquelles les projets peuvent se réaliser. Après les palabres qui, par étapes traçables, amènent aux consensus. Les dissensus nécessaires suivant les mêmes voies. Ces conflits se médiatisent (non par des médias mais à travers tous les participants à l’anti-autoritarisme qui en arrivent toujours à (se) décider).

Le-privé-ne-peut-vraiment-rien-diriger-de-collectif

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Politiques alors introuvables ? Comment faire de la politique de manière radicalement différente des trop disqualifiés politiciens ? Pour nous c’est le mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert) qui parvient seul à contrer le négatif immobilisateur de chacune de ces forces essentielles. En les fécondant du meilleur des deux autres. Trois comme la dialectique qui fonctionne plus avec tout le corps qu’intellectuellement.

…………Bref, la production complète d’un nouveau récit du tout 

 

…..………(à suivre) et @poursuivre

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Oui existent d’autres politiques ¿
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où est l'anomalie prise en flagrant délit ?

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Oui existent d’autres politiques ¿
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« Mais ce qui est encore plus vrai, c’est qu’on est obligé de vous forcer la main, puisque vous n’avez aucune conscience écologie. Rien, nada. Pas même un soupçon. Vous ne me croyez pas ? Souvenez-vous, déjà à l’école : combien d’entre vous qui jetiez des papiers, des stylos, des déchets divers et variés par terre, sur la table ou à la face de vos camarades ? Et si jamais on osait vous faire la remarque, quelle était votre réaction ? « Y a une femme de ménage, elle est payée pour ça ! » Vous pouviez même rajouter : « sans des gens comme moi, elle serait au chômage ! »...et autres étalages d'aliénations volontaires...

« Mais ce qui est encore plus vrai, c’est qu’on est obligé de vous forcer la main, puisque vous n’avez aucune conscience écologie. Rien, nada. Pas même un soupçon. Vous ne me croyez pas ? Souvenez-vous, déjà à l’école : combien d’entre vous qui jetiez des papiers, des stylos, des déchets divers et variés par terre, sur la table ou à la face de vos camarades ? Et si jamais on osait vous faire la remarque, quelle était votre réaction ? « Y a une femme de ménage, elle est payée pour ça ! » Vous pouviez même rajouter : « sans des gens comme moi, elle serait au chômage ! »...et autres étalages d'aliénations volontaires...

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Procrastination en politique

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l'état se met profond...

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Pourrait-on dire que la géographie est une discipline anarchiste ? Si je me considère comme géographe libertaire, ou géographe anarchiste, je conteste en revanche l’idée d’une géographie libertaire en tant que discipline. C’est un objet de discussion entre nous au sein du Réseau des géographes libertaires. La finalité et l’usage qu’on fait de cette géographie est libertaire — elle essaie de l’être, en tout cas. Mais comme la plupart des savoirs, d’un point de vue épistémologique et méthodologique, elle a un fond disciplinaire utilisable par tous. Imagine-t-on une chimie marxiste ? Cela n’aurait pas de sens. Ceux qui ont essayé la génétique marxiste, Lyssenko et compagnie, se sont plantés. Ce qui veut dire qu’il y existe aussi le risque de sur-idéologiser le savoir. C’est une vraie question, pas facile, car on sait bien qu’il y a de l’idéologie partout… Par exemple la question de l’objectivité/subjectivité — qui est une vieille tarte à la crème : je préfère parler d’honnêteté/malhonnêteté. On peut affirmer des convictions, un cadre ou un héritage sans toutefois être dans la fermeture automatique. Penser librement, c’est cela. Si on revient à la géographie faite par les géographes libertaires, cela veut dire qu’il peut parfaitement y avoir des choses qui nous déplaisent, sur un plan historico-politique, mais il nous faut et surtout en parler. Parler et fédérer...

Pourrait-on dire que la géographie est une discipline anarchiste ? Si je me considère comme géographe libertaire, ou géographe anarchiste, je conteste en revanche l’idée d’une géographie libertaire en tant que discipline. C’est un objet de discussion entre nous au sein du Réseau des géographes libertaires. La finalité et l’usage qu’on fait de cette géographie est libertaire — elle essaie de l’être, en tout cas. Mais comme la plupart des savoirs, d’un point de vue épistémologique et méthodologique, elle a un fond disciplinaire utilisable par tous. Imagine-t-on une chimie marxiste ? Cela n’aurait pas de sens. Ceux qui ont essayé la génétique marxiste, Lyssenko et compagnie, se sont plantés. Ce qui veut dire qu’il y existe aussi le risque de sur-idéologiser le savoir. C’est une vraie question, pas facile, car on sait bien qu’il y a de l’idéologie partout… Par exemple la question de l’objectivité/subjectivité — qui est une vieille tarte à la crème : je préfère parler d’honnêteté/malhonnêteté. On peut affirmer des convictions, un cadre ou un héritage sans toutefois être dans la fermeture automatique. Penser librement, c’est cela. Si on revient à la géographie faite par les géographes libertaires, cela veut dire qu’il peut parfaitement y avoir des choses qui nous déplaisent, sur un plan historico-politique, mais il nous faut et surtout en parler. Parler et fédérer...

Nous ne pouvons plus exprimer l'ombre du début d'un sentiment différent sans être ringardisé

François Ruffin : "La honte de la gauche critique »

parti unique ¿

Quand le capitalisme échoue dans l’allégresse : L’utopie façon Cory Doctorow - Tracks ARTE…lorsque les beuveries à l’argent augmente : c’est à ce jour la drogue la plus dure connue (l’argent fou). Pas un de ces prétendus dirigeants n’a échappé à l’implosion mentale. Est-ce bien à nous de les placer en cures de désintoxications (il en faudra plus d’une) ?

Vous avez dit démocratie ? — TEASER "Démocratie(s) ?" #DATAGUEULE 81

Publié dans et le futur ?

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