Personne ne peut créer notre bonheur à notre place
Puisque personne ne peut vivre à notre place. Ce qui montre l‘inversion du spectacle en ce «nous pouvons vivre la vie des autres» telle la pire des perversités. Combien ne parviennent pas à arracher ce venin de pubs d’eux ? Au lieu de ressentir une grande gratitude envers qui offre de son temps et de sa peine afin de nous transmettre ses émerveillantes expériences ou celles d’autres ? Sur tous supports ! Afin de tenter de réparer ces dommages, nous avons des témoignages et des opinions à faire rentrer dans la danse. Non, ces gogobeurs vont préférer croire que nous pouvons vivre la vie des autres en…achetant. Toujours plus, parce que là c’était pas au point ou, maladroits comme vous êtes, vous avez raté le bon processus, faut recommencer, acheter encore, acheter. Mais plus maladroits pour sortir la monnaie. Or, c’est tout faux et arnaques puisque l’argent n’achète rien d’essentiel. Que du matériel, du très extérieur, les emballages sans rien dedans, les images pas la vie vécue, les apparences abstraites. Et le revers non-dit, refoulé, occulté du si je peux vivre la vie des autres – quelqu’un peut vivre la mienne à ma place. Me soulager du poids de vivre. Entrer en mon moi secret et y semer toutes les solutions qui m’enlèvent mon originalité complète (le bon et le mauvais entrelacés). Et donc, de fait, c’est une bonne nouvelle. Puisque, délestés des vénéneux mensonges du consumérisme – nous pouvons offrir des témoignages des diverses façons d’aider les autres. Aider à ce qu’ils/elles vivent leurs vies !
« En première ligne des toutes les misères morales (dont la plus grande partie sont dues aux explosions des inégalités qui causent tant de catastrophes intérieures) j’ai effectivement (écoutes téléphoniques et accueils) rencontré ces personnages qui veulent que vous viviez à leur place. Vous sentez tout leur poids s’abandonner sur vous. Se coller au rocher que vous représentez. Et attendre plus que des prodiges. C’est bien simple, vous n’existez qu’afin de les aider. 24 H sur 24 et pas une seconde pour vous. Eux/elles et personne d’autre. Esclavagiste total, qui veut que viviez à sa place, il agit en dictateur intégral. Nietzsche s’est trompé le ressentiment ne tire pas vers le bas, mais vide les aidant-e-s de leurs substances de vie, tout en faisant semblant de brailler qu’il/elle ne fait vraiment rien pour elle/lui. Peut tout pomper…Sauf si vous connaissez le scénario et prenez à chaque fois le temps de zoomer sur cet essentiel : « je ne peux pas vivre ta vie à ta place », tu dois assumer cette responsabilité à fond, pas fuir ni te désister. Respecter oui respecter ma position qui permet de dénouer tous les embrouillaminis. Puisque, par contre, je peux faire bien mieux que ces chimères : t’offrir des expériences réussies, des démarches qui ont abouti, des solutions qui ont fonctionné. Il te suffit de les reformuler avec des mots très personnels. De les vivre avec les particularités les plus fidèles…En effet, ces personnalités peuvent être dangereuses (vous dites que la corruption extrême vient du consumérisme et je suis plutôt d’accord) – mais nous pouvons les aider en nous maintenant fermes sur le trésor de toutes les expériences communes du milieu associatif. »...Face à la contamination des médias corrupteurs (qui souillent les cœurs) nous pouvons donc aider les englué-e-s dans le piège. Mais pas en entrant dans leurs caprices et le langage qui va avec – mais en maintenant sans faiblir le but de retrouver la santé de ses…sentiments. Propres dans soi vaut un milliard de fois mieux qu’un…propres sur soi. Tous les grands pervers sont toujours très propres sur eux. Plus que la moyenne. Les résultats en sont d’autant plus désastreux…
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Autre témoignage : de qui pense, par sa propre transformation intérieure, transmuter les autres. Ce qui offre le très inattendu… « C’est que nous vivons l’alchimie qui n’est pas « pour » soi–même, surtout pas [[voir la diction du dictionnaire pour la définition très inattendue pp. 296 à 299 http://www.freethewords.org/ en cliquant sur l’onglet 2]].
Pourquoi ? Puisque quels seraient, alors, les conditions afin de pouvoir transformer les choses (c’est-à-dire de transmuer les obstacles en facilitateurs …mais les résultats ne concernent, au trop premier regard, que soi, la vectrice, le vecteur (normal, lorsque nous ne pouvons contraindre les autres à changer contre leurs vouloirs – ce pourquoi les médiocrates, ne sachant pas vivre, vont sauter oui mais ce n’est que « pour soi ». Faux ! Tout le contraire…)…ne seraient que narcissiques. C’est, plutôt, faire apparaître les toutes les conditions alchimiques des changements. Si possible. Vu qu’il faut déjà s’être profondément changé afin de savoir « où se trouve » l’alchimie et que donc ce n’est pas par elle que nous créons cette transformation de nous qui s’est produite…avant elle ! Condition préalable… Donc, vies genèses, vécus des primitifs, existentialités chamaniques, envols dans les airs, tant de prodiges, etc. Ensuite, livres pour transmettre selon les…niveaux atteints par chaque lecteur dé-lecté. Puis, blog quotidien afin de « crocher dedans » et d’utiliser (aussi) la méthode erreurs /essais afin de peaufiner la meilleure transmission possible. Avec comme stade de « synthèses » finales : le détournement des…actualités (ce qui dépasse bien les détournements situationnistes) et qui peut être perçu (à grand tort) comme asservissement aux actualités propagandées…Non, ce serait afin de provoquer les chocs comme ceux de Lautréamont, les mises en abymes, les étincelles iskra de « l’entrisme », etc.…Et ? Stade actuel : nous devenons vraiment tous les changements dont nous parlons. L’incarnation s’est faite (passage du noir au rouge – l’incarnat) en même temps que le renouvellement corporel (évidemment il ne rajeunit pas, le corps, sauf ses circulations internes qui se vélocent et surmontent les obstacles d’hier – la vie intérieure danse 100 fois plus que lors la période du noir dans le rouge et le vert). Etc. Voici – en une « unité » de vie dense - nous sommes, désormais, aussi volcans que l’époque en a besoin. »…Se replier ainsi sur soi (pendant un temps bref) afin d’accumuler de l’énergie, dans le but d’aider les autres, n’est pas du narcissisme. Surtout pas, mais de plonger tout entier dans l’expérience qu’il faut bien assumer…l’expérience ou la vie indomptable qui vibre en nous !
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Vivre à l’écart, refuser tout modernisme, se limiter matériellement – avec faces plus solaires et fertiles de la permaculture, de l’économie symbiotique et circulaire, de l’agro-foresterie ou des biomimétismes (qui ne sont pas rejet de la modernité mais filtrages et décantations afin de n’en retenir que l’essentiel vital – et de refuser absolument tout le reste tel le transhumanisme, etc.)…cette voie peut se montrer très prolifique lorsqu’elle renouvelle le communalisme de la Commune de 1871, la municipalisations comme influences sur l’international, le fédéralisme qui permet des résistances tellement plus globales…et donc un terrain déjà prêt pour une toute nouvelle organisation énergétique, l’installation des biens communs et le retour des services publics (services publics qui permettront de transmuter l’état en des autogestions généralisées par utilisations de toute la logistique déjà existante). Oui, de nouveaux élans du fait de 2 points d’avenir dans ces services publics de réPublique…leur structure qui ne demande qu’une décentralisation maximale…et, 2) le fait essentiel de demeurer à buts non lucratifs (afin de rendre des services à tous non de spolier autrui par des profits abusifs). Voici, bien résumé – l’essentiel de cette vie qui ne nécessite pas que d’autres vivent à notre place. Mais avancent dans la même direction que nous (nous allons détailler comment)
A-l'écart-des-grandes-villes,-ils-refusent-radicalement-la-modernité
Pour sûr, en parallèles, nous avons les grandes augmentations des solitudes du fait des invasions consuméristes qui ont «besoin» que tout le monde soit «isolé » (donc seul-e) afin de…vendre les mêmes produits au maximum d’humains. Mais, là aussi, des démarches « transversales » et anticonformistes ont réussi à trouver des sorties qui nous secourent. Afin de passer à travers il semble intelligent de traverser, d’entraverser…
>>>> - Tous les potentiels de vie se montrent donc disponibles dès que nous ne nous corsetons plus dans un rôle tellement rigide. Mais en étant juste nous-mêmes nous pouvons en déplier toutes les facettes. Facettes qui ne sont plus rôles mais pistes de décollages. Un seul exemple ? Nous pouvons sauter dans n’importe quel transport en commun sans intention définie. Aborder qui nous chante mais sans sélection particulière (les parfaits inconnus). Ce qui arrive alors se montre presque toujours surprenant (avec un peu de risques mais peu en fin de compte – et le jeu rn vaut la chandelle)…Nous pouvons nous réenjouvencer ainsi. Nous faire la machine à laver les blocages inconscients. Nous propulser au-dessus de nos possibilités usuelles afin de chercher à les atteindre ensuite. Même un peu. L’ampleur du possible n’a que la taille de nos imaginations, tailles qui répondent à notre respect envers nous-mêmes. Respect qui a comme autre face, l’amour ! Ce qui nous fait, enfin, bien cadrer la problématique : quel est donc le choix du choix ? Choisir n’est pas accepter le choix qui aurait été fait à ma place…mais pour moi (où est mon choix dans ce qui n’est pas « mon » choix ?)…Nul ne peut vivre nos vies à notre place.
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Enfin soit « se retrouver » comme dans le social. Social avec un gigantesque potentiel collectif à peine entamé. Oui c’en est ce point. Nous allons, d’ailleurs, en dérouler la démonstration. Pourquoi à peine entamé ? A cause d’une obsession tellement ridicule qu’il va falloir un témoignage afin d’en dénouer tous les fils absurdes « J’étais ado avancé pour 1981 et ses élections. Une affiche m’y frappa : « il faut un président pour la France ». Lorsque mon cerveau lut à la seconde « il fut un président pour la France ». Je le racontai à divers amis enchantés de la co-Incidence. Et quelques jours plus tard, sur l’autoroute, à l’arrière d’une voiture puisque nous allions en bande à une fête, j’eus la surprise de voir la banderole en travers du pont surplombant l’autoroute. Et puis encore deux autres fois. Puis dans les villes, des affiches avec un carré noir sur le A. Bon, l’aire géographique dépassait la région mais l’échéance était assez proche. Avec plus de temps, le tout ce serait bien plus développé…Cela m’est revenu lorsque nous parlions du blocage collectif débile qui décrète « pas d’organisations et pas de leaders ». Cet exemple montre, bien au contraire, qu’il y a des possibilités de s’agencer autrement, d’agir très différemment. Qu’organisation n’implique pas rigidement hiérarchique…puisqu’il y a des organisations anti-autoritaires. Mais que ces rapides bouches à oreilles et autres supports ont bien eu des résultats évidents que nul n’a cherché ni à contrôler ni à comptabiliser. Comme si archiver la vie était plus important que de la vivre complètement !
A savoir, que cette idée paradigmatique a mûri ensuite mais c’est un peu long à tout expliquer. J’en parlerai une autre fois si vous voulez bien. Ce qu’il faut bien saisir c’est que censurer, interdire, faire le blocus sur l’idée même d’organisation dessert bien tout le monde. Fait perdre les immenses majorités. Les livre pieds et poings liés. Et ne renforce que les marginaux trop riches jusqu’à leur permettre leur séparatisme social actuel ! »…En effet, l’autoritarisme extrêmement raide derrière cette mise en tabou n’est pas NORMALE. L’exemple si parlant de masquer une seule lettre afin de faire signifier à une affiche tout son contraire a bien connu des tas d’autres exemples. Eux moins suivis. Et que dans ce cas précis (l’efficacité collective de vraiment changer de société) la décentralisation la plus complète alliée à un tissu organisationnel non hiérarchique est bien le processus transitoire. Mais où chacun-e peut devenir, très temporairement, leader collectif d’idées et de concepts pour le mouvement – nous ferons un texte complet sur ce thème – ce qui peut voir une diffusion immense et ultra rapide grâce…à une organisation minimum. Dont nul ne peut tirer le moindre bénéfice, qui ne peut servir à aucun culte de personnalité, qui peut ne jamais être signé ou par des tags changeant sans cesse. Se priver de tout cela non c’est vraiment…inexcusable. Ceci ne peut appartenir qu’à ceux qui gobent que nous puissions vivre la vie des autres, de certains autres. Puisqu’il vaut mieux ne jamais vivre la nôtre. De perdre toute initiative, tout élan, toute spontanéité, toute créativité (tout en chantonnant résister c’est créer oui mais après ôté toute créativité !). Et le tout dévoilant des spectateurs passifs en train de se regarder dans l’inertie complète, tout en clamant « à bas le spectacle »…sans jamais faire le si simple geste qui y met fin…oui s’en…détourner, du spectacle, de tout son corps, s’en détourner totalement, lui tourner le dos, lui tourner la page.
Tellement ridicule et lamentable que ce ne soit pas déjà accompli…
………………………………………………..ce simple geste décisif.
………….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les manipulations ne peuvent plus avoir d’effets à partir du moment où leur existence est montrée…Il n’en reste que le maigre sillage de nuisances !
Quel est donc le choix du choix ? Choisir n’est pas accepter le choix qui aurait été fait à ma place…mais pour moi (où est mon choix dans ce qui n’est pas « mon » choix ?)…Nul ne peut vivre nos vies à notre place.
A force de ne pas vouloir vivre sa vie, il ne va plus vivre de vie du tout
Merde au travail, par James Livingston - Blog de Paul Jorion
Ouvert aux commentaires. Merci à Ronald Grandpey pour sa traduction ! Merde au travail © Aeon.co Les économistes croient au plein emploi. Les Américains considèrent que le travail forge le ...
https://www.pauljorion.com/blog/2017/08/08/merde-au-travail-par-james-livingstone/
comme ceci aussi ?
En Allemagne le champion toutes catégories de l’antisocialité au pouvoir (les banquiers après avoir pillé, inhumainement, le Sud de l’Europe s’en prennent à leur population, toujours aussi barbarement). Allemagne perdue c’est tout de même 2 fois plus pire qu’en France : 70,8 % contre 38,4 %…et il faudrait IMITER cela ? Pas question. Suivre les anglo-saxons et l’Allemagne bornée dans sa rengaine inchangée depuis 50 ans a…ruiné la France. Foutre à la poubelle ses ex-modèles et écouter le vrai pays a toute chance de nous sortir du bourbier…
Vivre de façon autonome mythe ou réalité
Comment vivre heureux (même sans argent)
Je refuse le dit confort moderne !
Il plaque tout et va vivre dans les Pyrénées
juste oser…
Ne pas laisser sa vie en autopilotage : à quoi sert de vivre à moitié endormi-e ?
alchimie naturelle
alchimies archivées...
Le choix des possibles : quitter tout ce dont ne sommes pas responsables, que nous subissons, les contextes de nos naissances, soit notre vie…avant nous ! Tout commence lorsque nous sommes nous-mêmes !