Personne ne reçoit ce qu’il mérite !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Personne ne reçoit ce qu’il mérite !

Nous parlons ici de la théorie de la distribution des revenus dissimulée derrière sa…méritocratie. Soit la fable opiumisante du «à chacun sa contribution», son rendement, sa productivité. Or, dans le réel, c’est toujours pas assez ou trop de revenus. Et la responsabilité entière en vient à la théorie dominante qui est fausse d’un bout à l’autre. Ce que nous prouvons ici. La non distribution des revenus c’est bien à cause du totem de 2 lignes de demande et d’offre qui se croiseraient. Le salaire, au centre de ces 2 lignes, est, alors, prétendu toujours juste. Les profits aussi. Les formules tautologiques évitent toutes démonstrations et preuves. Ces 2 lignes, juste dessinées jamais objets de calculs vérifiables et contrôlables, permettent toutes les exploitations et les spoliations en direct. Ce qui, une fois déshabillées de ses fausses excuses, nous montrent des classes autoproclamées supérieures, telles ce qui a de plus bas dans l’Humanité. Sujettes aux seuls comportements les plus avares, les plus injustes et les plus malsains. La bonne nouvelle ? Que toute ces tautologies qui affirment en boucle n’appartiennent qu’à un monologue qui se peut interrompre, à une déraison qui peut recevoir une douche glacée. Et à un délire qui peut trouver sa cure et son dégrisement accéléré.

La théorie effondrée de l’économie de marché se présente toujours telle des affirmations auto-réalisatrices qui ne démontrent jamais rien. Des tautologies qui se radotent. Du langage performatif qui cherche à se faire passer pour des preuves juridiques – mais va se faire percevoir, à un moment ou un autre, comme très…illégal, au contraire. Ou, encore, des non-raisonnements qui voudraient être perçus comme scientifiques. Bref, des lois (juridiques) et des lois (scientifiques) qui veulent fermer toute discussion, clouer les becs. Et ainsi ? La théorie non-économique néoclassique a toutes les caractéristiques d’un ALIÉNATION. D’une folie à plusieurs. Autoproclamée – elle nous permet de concevoir le nouveau concept …celui de « l’auto NOMME »….

« Une fois encore, l’argumentation repose lourdement sur des idées que nous avons déjà discréditées : la productivité par travailleur chute quand on embauche davantage ; les courbes de demandes sont nécessairement décroissantes ; le prix mesure le bénéfice marginal de la société ; les courbes d’offre individuelles sont croissantes et peuvent être aisément agrégées (p. 260 - Steve Keen – « L’imposture économique », septembre 2017). » Rappelons que ces hypothèses sont complètement erronées, même si nous les avons souvent entendues…mais demeurent la base de la plupart des décisions politiques – surtout les néolibérales. Sont les seules enseignées dans les universités, et diffusées sur les médias. Ce qui n’est pas rien. Ce pourquoi les INJUSTICES des rétributions=contributions sont à leur maximum dès que la si fausse théorie des marchés piétine les immenses majorités…

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Il est dit les marchés décident le taux des rétributions et des chômages (et cela au nom de quoi ? Parce qu’ils savent, qu’ils savent tout et que tout ce qu’ils savent est bon pour le monde entier – or ILS NE SAVENT RIEN ! Ce qui change tous les points de vue). Donc tous leurs taux – et de revenus et de chômages sont très injustes et très injustifiés. A cause d’eux toutes les iniquités sont sur multipliées. En effet***1) le salaire n’est pas la rencontre du milieu de la croix offre demande (puisqu’elle n’existe pas sauf sur le papier de ces cyniques feignants)...***2) que les appellations « demandeurs d’emplois » et offreurs sont falsifiées donc frauduleuses…**3) que 6 problèmes majeurs dénoncent cette fausse « méritocratie » (les meilleurs revenus aux meilleurs humains…or il s’avère que ce sont, trop souvent, les…pires ! ce qui signale une inversion très nocive par rapport aux meilleurs)…4) le pire de tout  c’est que « la théorie d’offre et de demande  ne peut fonctionner que si une « autorité centrale bienveillante », soit une véritable dictature, redistribue, avant ce travail même, le revenu afin de maintenir égale la valeur éthique du dollar marginal [[ mais de toutes les monnaies]] de chaque individu (p 273 ). »

Ce n’est donc pas le travail, traité tel une marchandise comme les autres, qui distribue le revenu. Car… « il pourrait y avoir plus d’un équilibre pour le taux de salaire, et qui pourrait dire alors lequel serait effectif (p.267). » Ce qui signifie que, dans l’hypothèse que nous savons fausse, du salaire comme équilibre parfait entre les 2 courbes, il peut y avoir de multiples points d’équilibres – donc pleins de possibles salaires…à la fois. Ce qui est, ainsi, nommé « marché du travail » est donc le PIRE des traitements pour l’organisation de toutes les activités (le travail n’étant pas une marchandise). C’est vraiment semer le bordel pour qu’une poignée de « non méritants » en extorque bien plus que leur part équitable. Oui c’est détruire une montagne entière pour ne « récupérer » (mot qui désigne toujours des ambitieux fous qui ne récoltent que le dix- millième de ce permet un…partage équitable) oui ne récupérer qu’un rocher. Toute la montagne sacrifiée pour si peu… Et ?... « Les conseils de politiques économiques devraient s’appuyer sur des fondements empiriques et intellectuels robustes, plutôt que sur les fragiles soubassements de pures affabulations. Les économistes néoclassiques sont enclins à discréditer, sur cette base, toute perspective alternative par les politiques du marché du travail, alors que les fondements théoriques et empiriques leur font gravement défaut (p. 268). »

Par exemple, le refus borné de ce qu’un salaire minimum allié à un revenu maximal (un plafond puisqu’il y a un plancher) ferait vraiment décroitre les souffrances du chômage. Tout simplement parce que les biens trop hauts revenus VOLENT  directement trop de très petits revenus. Facile à calculer. Et la frauduleuse théorie de l’économie de marché (qui n’est donc pas l’économie réelle) ne sert qu’à cela : dévaliser au maximum toute la société…et ? « Comme les marchés de sont jamais parfaitement concurrentiels, les travailleurs ne reçoivent pas, en général la valeur de leur contribution exacte à la production (p. 269). » ils sont très dévalisés : leurs basses rétributions restent très imméritées comme…injustifiables les trop grandes attributions aux managers et actionnaires…le marché ne fout que le désordre et n’y connaît rien à ce qu’il…faudrait faire ! La faute à l’offre ?, Mais il est « oublié » qu’il n’y a qu’un seul…vendeur de travail ; les syndicats agissant comme unique vendeur de travail. Et donc que le traitement « politique » du travail (niquer les syndicats) est le pire acte à entreprendre contre la collectivité lorsque ne …peut exister qu’un marché du travail. Ceci est l’apport de Piero Sraffa dans « Production de marchandise par des marchandises : prélude à une critique de la théorie économique », 1977…Ce que Sraffa traduit par des « marchandises qui produisent des marchandises ». Qui, entre autres, pulvérise l’idée même que le travailleur fait son « libre » (sic) choix entre le travail comme peine et le loisir comme plaisir : tout simplement parce que comment quelqu’un peut profiter d’un temps de loisir sans revenu ? Ce qui nous permet de comprendre à fond l’insistance anachronique de tant d’attaques contre le Code du travail (voulant en fait transformer celui-ci en code de la féodalité et de la corvéabilité sans limites des humains, les oligarques devenant ces nobles de droit divins gavés de droits…exorbitants – mais, une fois de plus, comme ces délires malsains n’ont aucun écho dans la vraie réalité, ils ne pourront jamais tenir indéfiniment : un souffle de saine colère balaiera ces rideaux de poussières, ces stupides enfumages).

Oui ? L’idée véreuse est que les employables (pas encore employés…et l’emploi ne peut faire que de ployés employés) sont D’ACCORD avec les contrats non libres et complètement faussés. Tout comme ils signent bon pour accord envers leurs rétributions largement dépouillées. Ce pourquoi les accords collectifs ne voient que la fuite des capitalistes : afin de voler un par un, les citoyen-ne-s, il doit uniquement procéder par contrat …individuel (et tout corrompre d’individualisme). En cognant dur, même à coups de répressions policières, afin que soit maintenue (coûte que coûte) la…fiction que tous les employés ont signé …volontairement (avec tout le désordre social comme révolver sur la tempe) le contrat qui « autorise » l’illégale propriété des « moyens de productions » qui ne peuvent être que collectifs.

Pas de bol pour ces escrocs (qui vont toujours trop loin dans leurs arrogances méprisantes) les…merveilleux mots sont toujours contre eux. Ainsi (leur têtes de linottes ne supportant pas la position de demandeur qu’ils ne voient qu’en …quémandeurs ou mendiants !), ils ont commis la faute d’étourderie de décréter l’employable (pas encore mal employé) comme « demandeur d’emploi » alors qu’il en est…l’offreur. Et lui- même comme offreur de travail (quelle générosité) alors qu’il reste en demande de travail. Et que je te commande et recommande toute demande…ce qui aboutit à une MARCHANDISE INVERSÉE (là, les efforts de Keen rejoignent à 100% les nôtres). Cette inversion est grave puisque « l’alibi » de la croix d’offre et demande y est complètement sabotée (par ses profiteurs même)…ou bien, lu autrement, la frauduleuse économie de marché ne « peut faire autrement » que de décréter demandeur d’emploi qui offre son…employabilité et offreur qui ne peut que recevoir l’employabilité des autres…non l’offrir, tas de cloches qui n’attendent plus que le…battant ! Et le « demandeur d’emploi » s’auto-demande sa propre employabilité…sans jamais pouvoir l’extérioriser, l’offrir clairement… Ce qui, en plus du ridicule bien grotesque, ajoute ceci : « en outre, à l’inverse des autres marchandises, le travail n’est pas produit pour le profit – il n’existe pas « d’usines de travail » fabriquant des travailleurs pré-emballés en fonction de la demande, et l’on ne peut pas dire que l’offre de travail [[donc des…employeurs d’employabilités]] est sujette à la loi des rendements décroissants »…(p 261). Les salaires ( maltraités par les marchés) n’ayant rien à voir avec les rendements. Donc avec une « juste » rétribution veillant surtout à bien mesurer la « contribution » précise. Elle ne repose sur aucune modernité mathématique ni aucun impressionnant savoir avec tous ses chromes scintillants : ces décisions sordides sont aussi ternes que de…caprices. Oui, toute cette foutaise, qui fait souffrir illégalement des milliards d’humains, vole en éclat. Ce n’est qu’arbitraire le plus archaïque, il n’y a rien « derrière » où s’appuierait, rationnellement, la non-distribution des revenus issus de la production COLLECTIVE. Que du vol pur et dur et des graves cupidités des classes définitivement non- supérieures mais pleines de bassesses …En train de tant s’empêtrer dans leurs…cumuls de mensonges…qu’ils vont (comme nous l’avions prédit) imploser tous seuls, s’autodétruire sans que nul-le n’ait besoin d’interférer ! Par simple bestialité de leur bêtise. Et, comme d’hab’, ils vont dégoiser « personne n’a rien vu venir »…Sauf ceux/ celles qui ont expédié, bien évidemment. Venir c’est de quelque part et il est rare (sauf la main invisible) que cela vienne tout seul, que cela arrive que cela nous…arrive. Sauf si y veillent les grands expéditeurs – soit qui veille à ce que la merveille survienne !

Et le gag final (le ridicule à la fin va balayer les financiers fous) en devient cela : « pour que les économistes vendus au marché puissent expliquer que le marché du travail se comporte comme tout autre marché, il faut que ces particularités n’interfère pas avec le duo totémique habituel d’une courbe de demande décroissante et d’une courbe d’offre croissante » (p 262 ). » Le tout ramène l’économie conte de fées toujours à…l’équilibre. Équilibre supposée décrire l’infaillibilité, la divinité d’une pensée au-dessus de tout. Or – le faux marché du travail c’est bien des déséquilibres partout. Plus encore, le fanatisme qui, contre vent et marées, contraint cette théorie néoclassique à imposer un insensé (car aucun fait ne vient le confirmer) tout revient immanquablement à l’équilibre, atteint sa perversité maximum puisque toute atteinte à cette édifice figé devient de le mettre en…déséquilibre (comme s’il ne l’était pas déjà). Ce n’est donc pas l’économie de marché qui provoque les déséquilibres mais les critiques à ces agissements destructeurs, sans aucun fondement ni dans la réalité des faits, ni dans la loi ni surtout dans la science (l’économie néoclassique est une non science puisqu’elle refuse toute réfutabilité). Oui, nous voyons bien là des comportements de…déséquilibrés ! Et la réaction saine de se dresser « Ce n’est pas possible que ce soit aussi grave? »…

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Cela l’est plus encore : « Comme tout économiste non orthodoxe le sait, il est presque impossible de faire accepter un article dans l’un des journaux académiques de premier plan ; à moins qu’il ne revête la panoplie des hypothèses orthodoxes [[ici, démontrées fausses ]] : comportement rationnel des consommateurs, marchés en permanence à l’équilibre, risque comme approximation de l’incertitude, et ainsi de suit. Quand il s’agit de s’assurer des canaux d’avancement des carrières, rien ne compte tant que la préservation de l’ensemble des hypothèses qui définissent l’orthodoxie économique (p 312). » La malhonnêteté étant à son maximum – si nous voulons faire une démonstration nouvelle, la contrainte perverse d’introduire la lourdeur de toutes les fausses hypothèses est telle, que nous ne pouvons qu’annuler notre démonstration. Ce qui prouve tant de choses…1) le conformisme peut tuer la société puisqu’il empêche toute apparition des génies qui transmutent en mieux les règles précédentes – là, ils ne peuvent que radoter des règles sans confirmations dans la réalité …2)*** Le fonctionnement « religieux » y est complet : tout comme les auteurs anciens devaient tartiner, leurs écrits, de plus de mots d’église que de raison, afin que leur nouveauté passe – ici il faut non prouver ses innovations mais adorer les fausses hypothèses d’une économie de marché qui désorganise tant la société. Tout en ne sachant rien de la réalité. Et qui est donc la véridique ennemie de l’Humanité ….3) *** Enfin, il est dit que l’URSS n’existe plus – sauf que là nous voyons fonctionner à plein le soviétisme des apparatchiks avec l’obligation de répéter le catéchisme léniniste (ici le catéchisme de la fausse théorie des marchés). Ce qui peut montrer, dans la falsification néoclassique, que tous leurs efforts ne tendent qu’à rendre tous les dogmes conformes au modèle économique dominant (ce qui inverse la science : non trouver ce qui est vrai, et démontré comme vrai, mais juste ce qui est conforme au …conformisme). Soit à déformer les faits, à cacher les immenses contradictions et à flouter les critiques qui surpassent ce mesquin tas d’absurdités. Ainsi dans les années 1980, le « seul » effort aura été de faire passer la macroéconomie comme une branche…de la microéconomie : soit les entreprises, et leurs lobbies ainsi sanctifiés, qui dirigent le monde et qui sont la rationalité divine de tout au point de contraindre les …états à les imiter. Toutes ces falsifications sont donc dramatiques avec des conséquences planétaires…gigantesques. Et le fait que nous détenions toutes les preuves du non fondement scientifique, de l’antisocialité perverse et de la malhonnêteté intellectuelle fondamentale de ce système du faux permet de penser que –dans un temps très bref – il ne peut qu’être aboli.

Ici – cingle que le « juste » salaire ne peut être expliqué par la productivité marginale du travail – tout comme, dans notre prochain texte, nous allons prouver que le taux de profit ne peut être dit comme un reflet de la productivité marginale du travail – et donc que ce salaire n’est pas « juste » ni même juste un salaire. Mais bien une escroquerie généralisée reposant sur une gigantesque imposture économique. Le scandale qui réunit tous les scandales !

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Mais vus du côté des solutions, des sorties du système comme de l’implantation de la nouvelle civilisation…C’est qu’à force d’avoir les cupidités plus grosses que toutes les raisons – ils se sont foutus eux-mêmes dans « leur » merdier. Leurs si minces fables ne tiennent plus ni l’écran ni la route, ni la crédibilité ni l’expression verbale…les « facteurs de production » témoignent au tribunal du bon sens contre eux. Comme il leur faut cacher tous les COMMENT se font les profits, leurs traçabilités (par exemple, pour les banques, les dettes sont des…actifs, donc des…profits – plus de bête cynisme est-ce possible ? Puisque le prétendu endetté devient, alors, le débiteur qui permet les profits et le …créditeur qui…doit les encaisser !)… Eh oui, tout cela parce que le plus que scandaleux capitalisme reste lardé de métaphysiques d’irrationalités superstitieuses et de mysticismes plus qu’aberrants. Et pourquoi ? Parce, que selon Karl Popper, il appartient aux savoirs « non falsifiables », soit qui ne peuvent démontrer ni leur véracité ni leur fausseté à partir de leurs énoncés..actuels ( qui se sont enfermés dans l’aliénation au point que rien ne semble pouvoir les réfuter…sauf de reprendre à la racine les fausses hypothèses et le prémisses frauduleuses). Et qui ont toujours besoin, pour s’en tirer, d’un…tiers salvateur (ici la trop stupide main invisible inapte à se montrer dans l’infaillibilité autoproclamée des marchés…ils la proclament et ne savent même pas prédire une crise. Ces dieux prédateurs ne savent donc que bafouiller, misérablement « nous n’avons rien vu venir »…et acceptent (contre toutes les règles de la décence et de l’honneur) d’encore diriger des institutions qu’ils ont fait ruiner tant d’humains qui ne…le méritaient absolument pas. Au lieu, par exemple, de les rembourser scrupuleusement …) Une preuve ? « Si au lieu de l’équilibre, les économistes avaient promis que le capitalisme générerait le chaos, et si, à la place de la méritocratie, ils avaient expliqué que le marché produirait des flots d’inégalités, ils auraient pu entraver, plutôt que trop favoriser, la transition vers le capitalisme (p. 324)…Ils ne l’ont pas fait : leur responsabilité est donc énorme. D’autant plus qu’ils n’ont ni alibis ni excuses…comme titraient certains médias, en 2008 : le krach provoqué par les économistes mêmes.

…puisque les activités ne reçoivent pas leur juste contribution - et pour le capital ? Le profit qui ne reflète absolument pas la productivité marginale du capital perd donc, lui aussi, toute légalité. Et qu’il n’aille pas se cacher derrière le capital fixe « puisque cela n’a pas de sens d’imaginer que la machinerie soit variable et le travail fixe (p. 283) »… en effet…suffit de suivre la démonstration (pp.284-287) où « la variation du profit se voit en deux parties : le taux de profit multiplié par la variation du capital et la capital multiplié par la variation du taux de profit »…Pourquoi ceci ? Afin d’éviter l’agrégation initiale du capital et contourner son mensonge central comme ceci « plutôt que de dire que les facteurs de production produisent des biens, d’affirmer solennellement que les biens, associés au travail produisent des biens (p. 287). » Ce qui rend l’ensemble traçable remet le capital bien à sa juste place (tellement plus minime) ainsi que de montrer ses spoliations à la fois sur les biens et les activités. Sraffa annonce très bien « ni offre ni demande mais des…conditions de production (p.289). » Pourquoi sinon parce rien ne peut être produit sans travail et que de le dire, dans ce contexte, « porte le coup de grâce à la théorie économique de la distribution des revenus (p. 291). » Qui ne reste que sur le papier puisque, dans la réalité, il n’y a pas de distribution mais accaparements, monopolisations, accumulations, détournements, spoliations et autres gracieusetés. Les facteurs de production n’ayant pas de rémunération …juste et équitablement calculée…puisque nos méthodes de vérifications viennent d’aboutir à la mise en clarté de… « la relation linéaire entre le salaire et le taux de profit comme élément essentiel de cette analyse (p. 295). »

Ce qui signifie qu’il y a un rapport et que ce rapport n’est pas favorable au capital qui ne respecte même pas les…lois du marché ! Oui ? Oui le travail est volé et très bien volé, il reçoit tellement moins que sa contribution réelle : ceci est un fait qui ne peut plus être nié, renié ou dénié…« Il n’existe donc aucune relation cohérente entre la productivité d’un facteur et son revenu. Au contraire la distribution du revenu entre salaires et profits est largement indépendante du système de production. C’est un phénomène social (p. 299). » Et la société s’organise afin de voler institutionnellement les pauvres, de « profiter de leur activités (et le profit « profite » comme le verbe le souligne, s’il profite il sort bien de tous les clous, brûle tous les feux rouges et entre en  insoumission totale face à tout état de Droit). Le capital ne pouvant pas être « une masse amorphe qui peut être déplacé sans coût d’une production à l’autre, son rendement alors ne reflète pas sa productivité marginale et on ne peut pas l’agréger en additionnant les prix multipliés par les quantités (p. 300). » Aussi pataud que de multiplier des chaussettes par des carottes - c’est qui l’appellation du total des chaurottes ou des cassettes ?  Voilà ce qu’il en est lorsque l’absurdité des hypothèses affichées dans la démonstration même de la théorie sont prétendues  n’avoir aucune importance. « Que seuls importent l’accord entre les prédictions de la théorie et la réalité (ibid.) »

….. …Prédictions toujours plus absentes ou plus fausses : jusqu'à quand ?

 

………….……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Vive le 1er Mai qui reste la journée qui abolit le travail si injustement volé...

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L’idéal de la justice revient à accorder à chacun ce qui doit lui revenir (« rendre à chacun le sien » disait la formule antique). Elle est donc en effet synonyme de l’idée de mérite : « Être méritant » c’est en effet être digne d’être récompensé eut égard à la qualité de sa contribution, ou aux efforts fournis relativement à la difficulté de la tâche. « L’avoir bien mérité » c’est être récompensé ou au contraire puni pour les mêmes raisons. Subjectivement parlant, dire « c’est mérité » revient à dire « c’est juste ! »… Le mot méritocratie (du latin mereo : être digne, obtenir, et du grec κράτος (krátos) : État, pouvoir, autorité) établit un lien direct entre mérite et pouvoir.

L’idéal de la justice revient à accorder à chacun ce qui doit lui revenir (« rendre à chacun le sien » disait la formule antique). Elle est donc en effet synonyme de l’idée de mérite : « Être méritant » c’est en effet être digne d’être récompensé eut égard à la qualité de sa contribution, ou aux efforts fournis relativement à la difficulté de la tâche. « L’avoir bien mérité » c’est être récompensé ou au contraire puni pour les mêmes raisons. Subjectivement parlant, dire « c’est mérité » revient à dire « c’est juste ! »… Le mot méritocratie (du latin mereo : être digne, obtenir, et du grec κράτος (krátos) : État, pouvoir, autorité) établit un lien direct entre mérite et pouvoir.

Il faut bien aider la méritocratie, sinon elle n’y arrivera pas toute seule…(principe du tiers exclu 1/3)

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Personne ne reçoit ce qu’il mérite !
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exemples de libertés de salaires…

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Personne ne reçoit ce qu’il mérite !
A chacun selon sa capacité, à chaque capacité selon ses œuvres, Michel Palmieri de Micciché

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Personne ne reçoit ce qu’il mérite !
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Le salaire des patrons grossit infiniment plus vite que celui des salariés : mais comment fait leur mérite déjà très minuscule pour suivre ?

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 Faux : La quantité optimale de temps de travail que vous offrez sur le marché est obtenue quand le salaire minimum que vous exigez pour travailler est au moins supérieur au taux de salaire offert à l'échange.

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Vers la construction d’un indicateur de cohésion pour l'équivalence salaire = carte !

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Méritocratie (2/3) : Le cas des individus MaP#7…Se cachant derrière ce mot la société devient toujours plus injuste. Il n’y a plus qu’un statut général (donc tellement pire que l’égalité prétendue uniformisatrice) : tout n’est plus vu que par l’argent (tout en ne se préoccupant jamais de l’origine précise de cet argent)…donc c’est complètement anti-méritocratique : cela risque de ne mettre que les pires à tous les postes

La loi de l'offre et de la demande, le cas du marché pétrolier. (ECONOMIE)- Steve Keen démontre qu’aucune de ces affirmations n’est vraie

Marcel Fratzscher « Allemagne, l'illusion »…

Les Communs afin de sauver les services publics : Interview de Gaël Giraud

Le service public, c'est à chacun selon ses besoins - Jean-Luc Gibelin

Steve Keen invité à l’AFD : Une vraiment très nouvelle théorie économique

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