Saines réactions comme ajouter de la valeur à la vie des autres ?
Ils admirent qu’ils admirent. Admirer est beau, admettre tout aussi bien. Ce palindrome logique s’amplifie très poétique. Les saines réactions s’entraident l’une l’autre, nous faisant participer de toutes les résonances de la vie. L’émotion plein la bouche. Ils admirent qu’ils admirent : est-ce d’admettre d’admirer ou d’admirer d’admettre le plus poignant ? Puisque c’est le début du…génie collectif (il y a le génie individuel, il y aussi le génie en commun. Plus rare encore. Celui-ci commence par une saine et simple admiration)…De quoi, n’est ce pas, nous motiver afin d’en savoir bien plus….
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>>>> - 1) *** Vous n’aurez pas ma souffrance ? – C’est l’histoire des oppositions à l’appropriation culturelle par le système capitaliste. Tout lui appartiendrait par essence et sa barbarie possessive ne connaît aucun respect. Sauf de refuser tout net : d’avoir, dès le départ, la bonne réaction ! Cette opposition à l’appropriation culturelle dessine, en même temps, comme la revendication d’un capital culturel propre. La privatisation de tout, donc de la souffrance pour la convertir en images flottantes, se fait voir alors derrière ces très saines réactions. Comme ceci… « En août 1955, Emmett Till, un Noir américain de 14 ans originaire de Chicago, est battu à mort dans l’État du Mississippi, où il rendait visite à des membres de sa famille. Ses deux meurtriers blancs sont arrêtés et jugés ; il faut une heure au jury pour rendre son verdict — « non coupables ».
Emmett-Till-assassiné-dont-l'image-rapporte-tant-
Ce meurtre n’avait rien d’inhabituel : l’abolition de la ségrégation raciale dans les écoles par la Cour suprême en 1954 avait déclenché une contestation souvent violente. La singularité de l’affaire tient plutôt au fait que ses auteurs ont été jugés et qu’elle a soulevé une vague de réactions dans le pays, notamment grâce à la décision de la mère d’Emmett Till d’organiser des funérailles à cercueil ouvert : « Il faut que les gens voient ce qu’ils ont fait à mon garçon », expliqua-t-elle [[ puisque ce sont ces brutes arriérées qui ont tout à cacher et qu’ils ne savent que se planquer dans les abstractions de l’idéologie suprématiste]]. Les clichés de son visage brutalisé firent ainsi le tour des États-Unis.
Parker-Bright-réclame-son-image...
En mars 2017, la biennale du Whitney Museum de Manhattan expose un tableau de l’artiste blanche Dana Schutz intitulé Open Casket (« cercueil ouvert »), qu’un critique décrit comme « une réponse puissante, en peinture, à la photographie tristement célèbre d’Emmett Till défiguré lors de ses funérailles ». Or l’œuvre n’est pas reçue comme une arme supplémentaire dans les luttes actuelles contre le racisme, mais comme une forme de racisme. L’artiste britannique Hannah Black publie une lettre ouverte demandant le retrait du tableau, devant lequel des spectateurs se rassemblent pour protester. Des événements analogues se déroulent à Saint-Louis contre des œuvres utilisant des photographies de manifestants noirs battus par la police à Selma, en 1965, et à Minneapolis contre une installation en mémoire de l’exécution de trente-huit Indiens Dakotas en 1862. Le scandale traverse l’Atlantique. En février 2018, l’artiste noir Parker Bright, qui avait manifesté au Whitney contre Open Casket, découvre qu’une photographie de lui protestant devant le tableau de Dana Schutz figure dans l’exposition de l’artiste franco-algérien Neïl Beloufa [[voir le lien plus haut]]. »… La sensation de voir l’image dans l’image l’image dans l’image l’image dans l’image…ainsi que la saine réaction de …Parker Bright (réclamant la photographie exposée) argumentant que la souffrance n’est pas à vendre. Que seuls des humains très malsains peuvent vendre la souffrance et la misère des autres. Que puisqu’il se trouve sur la photo et qu’il y partage la souffrance dont les coupables n’ont jamais été punis, il a le droit de demander le retrait de…sa présence donc de la photo. Ce qui ouvre une possibilité incroyable de subversions… aller sur la photo afin d’en empêcher les usages commerciaux dégradants. Bloquer toutes intrusions des parasites cupides de la misère et de la souffrance d’autrui, des photos des injustices et préjudices subis. Ce qui peut alimenter une caisse mondiale pour lutter contre toutes les censures des mêmes multinationales et mêmes médias qui PROFITENT des images arrachées (illégalement) aux autres. Et ne veulent pas que soient symétrisés les mêmes traitements envers eux. Les bonnes réactions sont de ne pas faire pareil mais de stopper net ces abus pervers non encore punis du système. Système qui commence à soulever de dégoûts et de répulsions la plus grande majorité des humains. Se précipitant ainsi vers sa fin.
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>>>> - 2) *** Ne plus travailler contre soi ? Ou bien le travail honnête mène de plus ou plus souvent à la…pauvreté ! Ou bien laisser tomber la notion même de travail qui n’enrichit illégalement que les trop riches Plus aucune motivation à travailler, ainsi, contre soi, jusqu’à contre ses propres intérêts. Notre texte « Personne ne reçoit ce qu’il mérite » (contre la fiction où les rétributions correspondent scrupuleusement aux…contributions) et la montée incroyables des travailleurs pauvres (tellement sous-payés qu’ils/elles ne peuvent se loger) appuie fortement ces saines réactions. Celles où nous comprenons qu’il faut vivre nos vies « sans » eux. Sans plus une seule pensée, une brindille de sentiment pour ces escrocs barbares. Ces très saines réactions…C’est que nous sortons d’un long tunnel qui cumulait le putride, le désespéré, l’incommunicabilité, les odeurs repoussantes, les goûts exécrables, etc.…de ne voir les choses que de leur seul point de vue. Au point que NOUS REVENAIT toutes les charges, les poids et les fardeaux concrets de la société. Comment cela ? Les preuves des toxicités morales, politiques sanitaires, humaines, morbides, etc. nous revenait – alors que la logique (et même la loi courante) souligne que ce sont les « responsables ‘ (ceux qui prennent les décisions collectives) qui doivent apporter les preuves des non toxicités de leur productions. Dans tous les domaines. Cela se passe exactement comme à la fin du soviétisme où toutes les annonces des sommets n’avaient plus rien à voir avec les réalités des faits. Ce qui alimentait le risible de ces décalages. Et l’effondrement par le ridicule accumulé a bien eu lieu dans l’empire soviétique rongé par les flots des dénis du réel par leurs dirigeants mêmes. Dénis du réel qui ne peuvent durer que par la mise en place de perversités partout ! Ce qui touche au fondement de la société même : nous n’avons plus un milligramme de confiance dans leurs extravagances, leurs paroles insensés et tous leurs comportements aberrants ! Ce sont eux qui perdent tout, pas nous.
Travailleurs-pauvres-en-europe-des-chiffres-très-alarmants
La crise de confiance donne alors confiance dans la crise ? Mais quelle est le fond de cette crise toujours laissée dans le flou des formulations…c’est que la meilleure des militantes, celle qui regroupe toutes les puissances militantes c’est la crise écosystémique qui critique (sans un mot) encore plus durement que quiconque ce système de profits supposé tout résoudre (ah si x a tant de profits tout va bien, il n’y plus de problèmes. Même pour les immenses majorités qui n’ont jamais aucun profit ?). Leurs abusifs profits à ces marginaux capitalistes (pour qui un seul face à une grande foule demeure une majorité et la foule une minorité) ne ruissellent même pas. Pas une miette même sous-émiettée. Plus personne n’adhère à un tel faux projet. Et ce fut cela le pas à pas qui détache ces moules de leurs rochers…C’est la méticulosité qui fait les grandes guérisons !
« En fait, comme le souligne James Livingston à la fin de Fuck Work, en demandant à des dizaines de gens pourquoi ils travaillent, tous répondent, quel que soit le métier qu’ils accomplissent (prostituées, caissières, femmes de ménages…), que le travail est une raison de vivre, une « destination émotionnelle », un sens. Personne ne répond qu’il travaille pour l’argent (reste à savoir si le travail donne du sens à nos existences ou si nous donnons du sens à nos activités pour le justifier). Le travail vise d’autres fins. Et Livingston conclut d’ailleurs un peu penaud qu’on ne peut pas guérir l’humanité de la maladie du travail.[[ce qui est une demi constat sur la maladie d’aliénation mais une mauvaise réaction sur par quoi la remplacer]]…Le problème, me semble-t-il, repose sur le caractère binaire de la manière dont il pose le problème. L’enjeu n’est pas tant qu’il n’y ait plus aucun travail pour chacun, que de trouver les modalités de mieux le partager et de mieux répartir sa valeur économique. Le travail, même minime [[alors que oui, nous sommes devenus bien trop productifs pour notre planète et que, dans la logique de cette productivité il faut travailler toujours moins et …encore moins afin de ne plus nuire à la planète qui conserve nos possibilités de vivre]] permet à chacun d’apporter sa contribution au monde. Certes, nous sommes dans une contradiction : le travail est porteur d’un sens à l’heure où la technique et les inégalités économiques le rendent de moins en moins partagé et nécessaire. Mais n’est-ce pas aussi lié au fait que Livingston ne parle que d’emploi, jamais d’activités, comme nous y invitait Patrice Flichy ? [[ C’est le travail aliéné par son inversion comme une forme de mendicité qui rabaisse tant qui est, alors, refusé tout net ]]. Beaucoup dépend des saines réactions. Toute perversion ne fait que prolonger un système qui ne continue qu’à coups de perversités.
« Si on peut le rejoindre dans sa dénonciation des excès de l’éthique protestante, [[la seule qui puisse se ridiculiser dans le…puritanisme ]] cet idéal [[faux…]] de l’autoréalisation de soi par le travail, qui nous conduit à travailler plus, à travailler trop et à penser que travailler dur c’est vivre à la dure… pourtant, nous ne savons pas nous en passer. Sans même le coupler au revenu, le travail peut-il être perçu comme inutile ? Découpler le revenu du travail comme nous y invite Livingston n’est-il pas déjà fortement en cours : notamment pour les plus pauvres comme pour les plus riches d’entre nous. Le fait que la rémunération soit (presque) inversement proportionnelle à l’utilité sociale (et que le lien entre productivité et salaire soit rompu), ou que le capital soit depuis longtemps infiniment plus rémunérateur que le travail, force est de constater que le lien entre travail et revenu est de plus en plus ténu. Ce qui est sûr, c’est que ce découplage n’a cessé de renforcer les inégalités comme le pointait très bien Thomas Piketty dans Le capital au XXIe siècle. »…Ce qui par une démonstration, pour une fois, complète et bien formulée, prouve que c’est l’intérêt collectif, du plus grand nombre (sauf les quelques marginaux capitalistes qui vivent en dehors de la société) de se débarrasser de ce faux travail qui ne produit plus que des préjudices. Très nuisibles à la société. Le communalisme, la forme la plus décentralisée de la vraie politique (mais qui peut, aussi, se fédéraliser) devient alors la possibilité collectivité de transmuer toutes les activités humaines hors les perversités capitalistes. Sans aucun retour en arrière.
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>>>> -3) *** Comment, alors, ajouter de la valeur à la vie des autres ? Lâcher complètement la consommation c’est, en somme, ajouter de la valeur à la vie des autres. Alors la consommation c’est comment en vrai ? Un seul chiffre comme un uppercut peut le dire. Celui qui fait que la consommation est dite « conduire l’économie » au point de provoquer de grands krachs comme en 2007. Crise dite du crédit qui était d’un plus vaste ordre mais pour les médias prétendus tout doit rester simpliste (voir notre texte «Comment socialiser les avantages de la monnaie» prouvant, par le concret, que de généraliser les procédés qui permettent le capitalisme dont « le système de rotations » c’est vraiment subvertir tout le système). Ce simplisme, en très gros, méconnaît le concret de la vraie société. Celle où les dettes du privé (banques, entreprises et familles) peuvent devenir plus qu’énormes (dans le but malade de …consommer sans limites dans un monde limité). Et qu’il reste toujours, puérilement et irresponsablement, demandé que l’état prenne en charges toutes ces dettes. Comment, alors, se …rendre compte de l’ampleur de ces turbulences dues au fait que les banques ne veulent, elles, que de la dette (leurs profits), au point qu’elles viennent en saboter leurs remboursements. La dette sur les cartes bancaires c’est, et seulement aux États-Unis 12 000 milliards de $. Or c’est quoi au concret 12 000 milliards ? Si nous dépensions un seul dollar (1 $) par seconde il faut 31 000 ans pour dépenser 1000 milliards de $. Or il y en a 12 fois plus. Oui les chiffres rendent fous mais peuvent guérir aussi – telle la solution où si chacun a ses ancêtres séparés, le chiffre de ces ancêtres atteint un total effarant où ils sont infinis et nous peu nombreux…or la population mondiale…augmente. C’est donc le retournement qui met tout à l’endroit qui prouve, qu’au contraire, très peu d’ancêtres et les mêmes partageables pour tous. Ici (après le travail devenu une grave nocivité pour la société et la nature) la consommation qui ne peut que la détruire (les vrais « casseurs » ce sont bien ces concepts tellement pervers). Il s’agit donc de renoncer au pire : le consumérisme (soit le maximum de déchets toujours grandissants et de…dettes sans fins) afin de retrouver le meilleur. Ce meilleur qui rend…meilleur. Il s’agit d’aimer les humains et d’utiliser les objets (et non le contraire comme chez les très dangereux drogués à la consommation). C’est en somme ajouter de la valeur à la vie des autres. Les faire passer en tout premier. Avant toutes…choses. Retrouver la hiérarchie des priorités (la seule qui se défende !)…Nos vies deviennent alors le message. Imiter ces nouveaux styles de vies c’est concrètement ajouter de la valeur à la vie des autres. Non en retirer…oui en retirer comme cela…
Marie Bénilde dans « On achète bien les cerveaux » nous démontre bien que le but de ces investigations [[du marketing et de la pub]] est de toucher le « cortex préfrontal médian », qui « nous fait aimer ce qu’aiment les autres ». Parvenir à le stimuler, contre les gré, se révèle un « objectif majeur d’une parfaite campagne publicitaire ». Effrayante mise à nu pour ce qui se présente comme un espace de création artistique, un garant de la liberté de la presse, voire une protection de la nature ! La critique radicale de la publicité est ici judicieusement alliée à celle des médias et explique l’adhésion de ces derniers à l’idéologie de la consommation. L’auteure encourage les militants « antipub » à politiser leurs discours en les prévenant : « La publicité pervertit dans l’œuf toute contestation qui limite son arsenal aux seules armes du spectacle. »… Afin de pulvériser le système, il ne faut jamais parler comme lui. Même un mot…Il faut arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs ; vivons les en direct sans plus d’intermèdes des intermédiaires !...
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C’est, en fait, le fond de tous les débats actuels (qui ne sont jamais qu’esquissés et effleurés jamais vraiment…abordés). Sauf par ce qui est nommé, improprement, la solitude du grand coureur de fond qu’est la vrai écrivain. Sauf que c’est faux, lorsque je cours ainsi afin d’aller jusqu’au bout corporel de toutes les idées émises, oui je suis dans la brousse, l’air tiède m’accompagnant, animé de tous les tams tams, avec des odeurs pas possibles et une sensualité vraiment très…vivable. Etc. Si c’était cela la « solitude » je me sens infiniment habité. Non, nous parvenons à une telle concentration qu’elle peut en rejaillir sur d’autres. D’abord les plus attentifs. Ensuite les moins attentifs. Les vidéos jointes nous apprennent bien ceci : ce que nous avons mis en pratique dès le départ. Que les résistances au changement Impliquent des changements de résistances. Que ces nouvelles formes de résistances commencent par …faire le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous ! (et nous jurons avoir rencontré trop de clones dirigeants chez d’autoproclamés contestataires ! C’est le ver dans le fruit…ils/elles n’ont pas compris, il faut insister…fermement.). Ainsi que d’un : nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter ! Nous sommes déjà la nouvelle civilisation bien plus vaste que ce petit système, le contenant déjà. Lui une pitrerie sinistre en fin de course , qui n’assume plus rien, ne peut plus raisonner et doit laisser la place à ce qui pourra, enfin, réparer ses dégâts. Ce qui paraît rester son seul…héritage (ces destructions de très graves immatures !).
Les perversités extrêmes de ces imposteurs, coincés dans un coin du ring – c’est qu’ils ont instillé des poisons. Et que nous devons les faire disparaiîre afin que deviennent plus purs les sons de la communauté qui revient au galop. Perversité la plus prégnante… «nous pouvons vivre la vie des autres»…il suffit d’acheter…oui mais que son image. Et ce alors à chaque seconde la prétendue…nouvelle alors que c’en est encore la même. Glacée et glaçante ! La guérison est de parvenir à comprendre que « Personne ne peut vivre à notre place »…mais que certain-e-s peuvent nous aider à nous sortir du sort pervers. Et que ce que nous nommons la Fête sociale permanente le peut, encore mieux, avec une intensité 100 000 supérieure à ce que nous montrons ici.
C’est après de telles immensités collectives que nous pourrons vivre sans argent – après avoir vécu l’expérience commune. Fondatrice. Et ce texte devient comme la démonstration que chacun-e ne peut que faire ce chemin intérieur (ce texte serait comme si je me parlais à haute voix) afin de traverser les idées comme du charnel, des émotions et des sentiments. Et que de cheminer parmi, à l’intérieur, d’intime manière, ne peut que nous en faire ressortir…
….………Animés d’une ardeur que plus rien ne pourra émousser !
………….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
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Devenir pleinement soi-même | Laurent Gounelle…à partir de quand devenons-nous quelqu’un d’autre ? A côté du « connais-toi toi-même » nous trouvons un… « rien de trop »…
PHILOSOPHIE DU CHOIX (3ème partie) avec PIERRE RABHI
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" Plus les sujets sont complexes, plus on a besoin de regards interdisciplinaires "
Dans un entretien au " Monde Campus ", le fondateur du Centre de recherches interdisciplinaires François Taddei explique en quoi notre société aura de plus en plus besoin d'intelligence collecti...
Multidisciplinaires plus que vitaux ? Polytechnicien, ingénieur des Ponts, des Eaux et Forêts, généticien, chercheur à l’Inserm, ce n’est pas un hasard si François Taddei a fondé le Centre de recherches interdisciplinaires (CRI), qu’il dirige depuis dix ans. Pour lui, la complexité des sujets nécessite des regards interdisciplinaires, dont notre société aura de plus en plus besoin.
Le langage au service des puissants ? Alain Deneault - Comme les mots sont plus forts qu’eux – choisir ses mots et leurs développements futurs ne peut que les desservir, les rendre visibles dans leurs impostures…nous en sommes une des preuves !
Lâcher complètement la consommation c’est en somme ajouter de la valeur à la vie des autres.