Si nous n’aidons pas le changement, rien ne se produira.

Véridique : Si nous n’encourageons pas le changement, il ne se produira jamais. L’histoire nous montre que lorsqu’une réforme économique fonctionne, elle est abrogée car elle « sera interprété à tort – particulièrement si les économistes continuent de croire au monde imaginaire de l’économe néoclassique – comme intrinsèque au capitalisme, et non comme le produit de régulations qui inhibent la tendance maniaque du système financier à générer un excès d’endettement (p. 681 - Steve Keen – « L’imposture économique », septembre 2017). » Oui un abrutissement idéologique qui fait perdre le sens des réalités. Doublé d’un second irréalisme : la culture de l’endettement appartient à la Bourse et pas du tout aux particuliers. La Grande Récession de 2009 a été entièrement déclenchée par ces trop dangereux travers boursiers. Tout ira bien mieux si la Bourse trop spéculatrice fermait définitivement. Non l’abolition du Glass-Steagall Act en date de 1999 (et 8 ans après le grave krach – impossible de n’y point voir une relation directe de cause à effet. D’autant plus que la bulle de l’endettement privé était passée de 170 % en 1990 à…300 % en 2009, après 200 % en 2000). Ensuite, l’aveuglement aberrant des prétendus « hommes d’action » à se précipiter dans les bras des doctrinaires économistes néoclassiques « censés représenter « tous les économistes professionnels (p. 680). »…nous prépare la crise suivante. Que des fous au pouvoir ?

Enfin, la « capture des régulateurs » qui, loin de limiter et raisonner la spéculation, …l’amplifie. « Les régulateurs en retardant l’inévitable pendant 2 décennies, ont rendu cette crise plus incurable qu’elle ne l’eût été sans leur intervention (p. 682). » On ne peut être, à la fois, juge et partie, fou et thérapeute… ! Les prétendues réformes trop en faveur de la trop antisociale spéculation ne servent jamais à rien. C’est pisser à côté de l’urinoir et ne nuire qu’à ce qui n’a rien à voir. Si nous n’encourageons pas le changement, il ne se produira  jamais. Réactiver le Glass-Steagall Act. Empêcher la spéculation en appliquant une durée de 10 secondes entre chaque clic. Limiter la durée de vie des actions. Limiter l’utilisation du levier sur les revenus de la propriété. Etc. quelques actes qui annuleraient toute possibilité de…nuire de la finance folle. Folle puisque soit elle ne sait pas ce qu’elle fait, soit elle ne le sait que trop (donc se fait passer pour folle). En effet « loin de réduire le rôle de l’État dans l’économie étasunienne, l’effondrement de la bulle des subprimes a poussé le gouvernement à occuper un rôle dans l’économie nettement plus massif qu’avant la Grande Dépression (p. 679). » Les anti-états sont les pires trop d’état, mais que pour eux, la nounou dévouée à leur sur-assistanat délirant. Le sacrifice irrationnel ? Les grandes majorités humaines sont…abandonnées. Abandonnées des services publics, le bon sens si prés de chez vous/nous/eux ! Et donc ? Le but est, peut-être, de se faire passer pour antiétatique, antisystème, afin de noyauter sournoisement l’état et de le rendre hyper autoritariste, très répressif, intervenant sans cesse et allant même jusqu’à vouloir se glisser dans les consciences afin de dire quoi penser, quoi lire, quoi aimer…la pire des régressions collectives possible. Joindre la pire des religions avec le pire de la bêtise bornée des pouvoirs incultes ! Mais ? Mais les moyens employés sont ceux du …banditisme et de la violence illégale ! Et tout cela parce que la théorie néoclassique est…fausse ? Très précisément. Commencer par les racines, toujours demeurer radical, donc très sain ! Le néolibéralisme n’aura vécu que sur sa pourriture…et la thérapie est ?

Comment-socialiser-tous-les-avantages-de-la-monnaie     où, grâce, entre autres, au « système de rotations » tout le monde (pas un seul) peut accéder aux avantages systémiques du capitalisme. Intéressant, non ?

Puisque « la libéralisation du secteur financier (faite par l’état) a rendu la crise plus extrême que si les barrières avaient été maintenues [[et que saine est la régulation – comme dans la nature, en fait !]]. Sans elle, la « finance de l’ombre » ou shadow banking, n’aurait pu voir le jour. Et n’aurait pas conduit à la vente de si nombreuses « armes financières de destruction massives » selon Warren Buffet (p. 678) donc l’état noyauté par les fanatiques libéraux ne fait que tout aggraver, ne vit plus que d’idéologie et non de raison ni de sens des responsabilités. Les bandits sont dans la place…En tout cas, les dérégulations fonctionnent telles des extrémismes. Extrémismes idéologiques ? Quels ? La sornette des marchés efficients qui ramène toujours tout à l’équilibre même s’il n’y a que…des crises et des krachs…fonctionne à la complète aliénation. En effet, toutes les fluctuations erratiques de prix, tous les chaos aléatoires sont – sans même prendre connaissance de la particularité de la situation – défigurés comme des « réactions rationnelles, obligatoirement rationnelles, les meilleures réactions possibles, en réponses aux nouvelles informations [[en l’occurrence, la catastrophe) (p. 664). » Un peu fort de café donc dans la vraie folie collective. Et ce n’est pas fini : « la théorie des marchés efficients » qui n’est que la maniaquerie obsessionnelle du tout à l’équilibre produit ceci. « Cette ignorance [[de la réalité concrète]] a également poussé les économistes travaillant sur la théorie de la finance à se dispenser de tous les outils statistiques et mathématiques conçus par les scientifiques pour étudier les processus aléatoires que sont les flux et processus financiers – et, en aucun cas, des phénomènes à l’équilibre (p. 665). » Ainsi, ils se privent (et nous avec) de tous moyens de vérifier, s’engluent dans une théorie qui suppose l’infaillibilité divine de l’institution auto-décrétée au-dessus de tout (tournures gangrénées de graves déraisons qui éloignent de toute incitation à vérifier dare-dare…D’où résultats ? « Les marchés d’actifs accomplissent très mal le rôle d’allocation du capital qui leur est attribué (p. 677). » ils sont donc vraiment LES PLUS incompétents pour gérer…l’argent des autres. Ont perdu tout sens des réalités par rapport au monde concret et à ses ressources. Ils ne peuvent que créer des…catastrophes (lorsque « l’entreprise n’est plus qu’une bulle d’air dans le tourbillon spéculatif » imageait très bien Keynes). Ils doivent d’urgence se voir écartés de la vie publique. Si nous n’aidons pas le changement, rien ne se produira.

Si cette HME (hypothèse des marchés efficients) était véridique jamais autant de krachs et de booms boursiers n’auraient pu avoir lieu. Ils ont eu lieu et…la théorie FAUSSE des marchés boursiers (la néo classique) continue de nuire comme si elle avait raison sur tout. Or, son dramatique découplage d’avec la réalité fait qu’elle ne répond plus de rien, ne permet plus de mettre en place les solutions adaptées…et les politiques, aveuglés d’idéologies, qui…désorganisent tant la société ont la tête pleine de cette théorie si complètement erronée, Erronée au point que les promoteurs de l’HME, eux-mêmes, ont conclut à « l’échec du modèle d’évaluation des actifs financiers et à la non validité de la plupart des applications (p. 676). » Donc ils ne savent pas de quoi ils parlent ni ne savent pas ce qu’ils font…de là à douter complètement de leur capacité (même aléatoire) de connaître…

…« les directions les plus favorables aux meilleurs rendements futurs (ibidem) »,

…………………c’est enfin recouvrer la santé mentale…

...……….……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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