Société d’abondance = abondance de société.

Publié le par imagiter.over-blog.com

Société d’abondance = abondance de société.

L’oligarchie actuelle ne répand aucune abondance pour tous. Plus - ses perversités narcissiques nous privent d’abondances de sociabilités, d’associétés, de liens  de prévenances (c’est guérir). Oui de la solidité du solidaire. Et, par contre coups, de co-évolutions, de co-responsablités, d’intelligence collective, de biens communs et de services publics cogérés. Ainsi la folie complète d’une Thatcher délirant qu’il n’y a pas de société. Qu’il n’y a aucun tout, aucune globalité (sauf pour la trop hiérarchique fausse « globalisation » non économique ?). Oui que l’égoïsme fermé reste partout supérieur aux sentiments d’Humanité, ces empathies si efficaces ? Vérifions : oui c’est exactement ce que disait Thatcher et qui semble avoir contaminé nombres de cœurs corrompus.  Sauf que rien de ceci ne tient la route que ce nihilisme de mauvais aloi. « Mais la société, c’est qui ? Ça n’existe pas ! » (31 octobre 1987)... La société n’existe pas ? Vraiment ? Donc pas d’intelligence collective. Pas de faculté de la société de se comprendre elle-même…pas de contrat social, guère de sociabilité, plus de vie sociale, plus de vie ! Pas de pire folie que le solipsisme du tout pour moi et rien pour les autres. Les pires ennemis de la société la…dirigent ? Ou font semblant afin de la saboter et de la démanteler ?

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Nous, nous préférons nous vouer à découvrir la société d’abondance qui aura été tellement plus un sentiment intime de sécurité sociale, de paix trouvée parmi les autres, de sérénité définitive, d’une infinie richesse indépensable de liens et de services accessibles tout de suite…qu’un vain amassement croulant de produits inertes. Notre voyage va se montrer donc bien plus magnifique que ce que l’introduction amère aurait pu le laisser croire. C’est que nos textes sont ainsi conçus : montrer la réalité sans rien cacher. Et la transmuter aux yeux de toutes et tous (ce que tout le monde peut vérifier et refaire ce que nous faisons). Comme ceci : « Méthode «kaizen», ce mot japonais qui désigne les «petits pas». Mais quand les pas sont trop petits, est-ce qu’on ne risque pas de piétiner ? Cyril Dion. -- Non, si les pas ne s’arrêtent jamais. L’idée du kaizen, c’est qu’il faut avancer progressivement pour ne pas éveiller les résistances culturelles («Ce n’est pas possible», «C’est n’importe quoi»...) et modifier petit à petit les choses. Si une personne qui a 20 kilos de trop se rend chez un médecin et que celui-ci lui dit: «Arrêtez dès ce soir les chips, les sodas, la charcuterie, courez 15 kilomètres par semaine», il est évident que cela va la décourager. C’est trop d’un coup. En démarrant avec des petites privations et 5 minutes d’exercice par jour, les chances de réussite sont meilleures.

C’est la même chose avec toutes les luttes sociales et politiques. Prenez l’exemple de Gandhi: il n’a pas commencé par exiger que le puissant Empire britannique cesse de coloniser l’Inde. Il a d’abord protesté contre une taxe sur le sel imposée par les Anglais. Mais sa marche a rassemblé des milliers d’Indiens, qui, malgré les risques d’être battus ou jetés en prison ont été prêts à aller plus loin. Il a, littéralement, créé un récit capable de changer la réalité.

Cyril-Dion-il-est-temps-pour-l'humanité-d'entrer-dans-l'âge-adulte

Nuit Debout, dites-vous, aurait pu être un exemple de kaizen contre les excès du capitalisme. Mais il a échouéLes petits pas sont une succession de «petites» victoires, qui permettent de dynamiser un mouvement. Revenons sur Gandhi. Il a d’abord contraint l’Etat britannique à abolir l’impôt sur le sel, ce qui a soulevé le peuple indien et l’a convaincu qu’il pouvait aller plus loin. Nuit Debout était une initiative géniale, mais elle a éclos sans objectifs précis, sans vision des «petites» victoires à remporter (lois à changer, réformes à accomplir…) [[signalons que chacun de nos textes sont des « petites victoires » puisque combattant et résolvant une aliénation dans un secteur de la société ou de la pensée]]. Or, sans victoires, on finit par tourner en rond et c’est l’enlisement.

[[Et ?]]…Oui, je crois qu’il est temps pour l’humanité d’entrer dans l’âge adulte [[ nous c’est déjà fait depuis belle lurette, nous restons très ambitieux…pour les autres et assumons, depuis toujours, toutes les responsabilités ]]. Nous devons prendre nos responsabilités, comprendre qu’on a vraiment déconné [[ pas tout le monde donc…]]. Regardez tous ces types dits importants dans les assemblées générales des grandes entreprises, dans les conférences internationales: ils ont des beaux costumes, des mines sérieuses, mais l’irresponsabilité est de leur côté, pas de celui des zadistes de Notre-Dame-des-Landes! [[ comme nous le disons les responsables sont irresponsables et rien de sérieux n’existe en eux/elles !]].

On a l’impression que vous n’attendez pas grand-chose des hommes politiques, que tout doit venir des individus et du terrain…Ce n’est pas vrai. On le sait, un élu, même avec la meilleure volonté du monde, a les mains liées par un agenda politique, par les lobbies et, plus généralement, par les immobilismes. [[et ça, les inerties absurdes, c’est la faute de tout le monde même des prétendus contestataires. Nous avons constaté qu’un orgueil démesuré aplatit la majorité des immobilisé-e-s loin de la danse jouissive des grands changements. Oui la société est écrasée sous le poids de tous ces monstrueux  orgueils vraiment trop lourdingues ]]. Il n’agit que s’il se sent contraint par une «ère du temps», parce qu’une partie de l’opinion publique l’encourage fortement à le faire. Dans ce sens, oui, c’est au terrain que reviennent les initiatives qui impulsent les nouveaux récits et l’on ne doit pas attendre des élus qu’ils soient pionniers [[comme tant d’autres ils restent suivistes. Sauf que ces suivistes veulent imposeur leurs intrus diktats aux curseurs des précurseurs]]. Mais sans législation pour soutenir les changements, il n’y a pas de changement.

Un exemple? La Ville de Paris aimerait développer la végétalisation des façades et des toits et l’agriculture urbaine, parce qu’elle est consciente que cela correspond aux aspirations d’une majorité de Parisiens. Mais la législation des Monuments historiques, complètement obsolète, bloque cette ambition, parce qu’elle protège le patrimoine historique «minéral». Si l’Etat n’intervient pas pour changer la loi, Paris ne pourra jamais montrer l’exemple [[les immobilistes empêchent, barbarement, qu’il soit montré l’exemple tout en gémissant sans cesse que si l’exemple était montré ils/elles…suivraient . Ah bon !]]

Dans votre «Petit Manuel de résistance contemporaine», vous appelez à remporter une «bataille culturelle» qui ferait de l’écologie un horizon aussi désirable que l’a été la société de consommation. Il faudrait donc créer de «nouveaux récits» qui donnent envie? Une bonne histoire a toujours un vrai potentiel d’inspiration pour changer les choses. Ce que l’on nomme «réalité sociale» est une pure construction intellectuelle, une manière d’observer le monde inspirée par des croyances [[booûûhh]], des préJugés, des récits, des convictions… Et cette manière évolue tout le temps. Regardez comment on considérait la cigarette il y a encore vingt ou trente ans. Aujourd’hui, il ne vient plus à l’idée à personne d’enfumer une salle de réunion ou un café. Regardez comment le mouvement #MeToo a brutalement remis en cause un certain nombre de comportements qui paraissaient «normaux» [[parce que non remis en cause par des…pionnières/ pionniers]]... Mon idée, c’est que ne plus aller au supermarché, manger bio et local, limiter les gaspillages et les achats inutiles doit devenir aussi ordinaire que de se brosser les dents : on doit le faire sans se poser de question [[uniquement puisque les réponses sont trouvées de hautes luttes…]]

A vous lire, on a l’impression que ceux qui raffolent de la nourriture industrielle, des technologies dernier cri et des 4X4 sont juste aliénés. Mais les promesses de la société de consommation sont peut-être simplement plus séduisantes pour une majorité d’humains que celles d’une société écolo [[diffamée hyper austère et…ennuyante ]]?

Le paradoxe, c’est que nous sommes dans une situation catastrophique pour la planète, mais très confortable [[ mais sans réConfort ce confort froid]] pour beaucoup d’entre nous. C’est vrai qu’il est agréable [[ pour qui aime les frimas des grimes et la glaciation trop désagréable de l’absence de fête sociale permanente]]  de prendre un bain moussant, dans nos maisons bien chauffées, puis de regarder Netflix. En même temps, acheter des grosses bagnoles, des grosses montres, multiplier les voyages en avion… Tout ça, ce sont des plaisirs éphémères qui ne nous apportent que des satisfactions superficielles, à renouveler sans cesse comme une dose de drogue… Je suis convaincu que la satisfaction profonde, celle qu’on éprouve quand notre vie a du sens et qu’elle est en accord avec ses valeurs, n’a aucun rapport avec cette succession de plaisirs minuscules et fugaces [[carrément oui, rien de plus miteux et piteux que le consumérisme du chacun doit rester tout seul pour s’en goinfrer…]].

Voilà trois ans que «Demain» est sorti sur les écrans. Pourtant, votre documentaire fait encore ricaner une partie des [[fausses]] élites qui le jugent trop «boy-scout»… Boy-scout? Peut-être… Mais je suis bien obligé de constater que ça marche. Nous voulions contribuer à inspirer un autre imaginaire, nous l’avons fait: des élus ont parlé de ce documentaire à leurs équipes, des entreprises l’ont visionné, des étudiants ont changé de cursus {[[ après un pré-cursus dit précurseur]], des adultes de métiers. Un peu partout, il a donné des envies. Le site «Demain» répertorie d'ailleurs tous les projets qu’il a contribué à faire éclore - ils sont plus de 1.000. Récemment, une dame dans un café m’a interpellé: «Vous avez changé ma vie! Je bossais dans une agence de pub et maintenant, j’ose me lancer dans le maraîchage en Ardèche.» Des témoignages comme celui-là, j’en ai reçu des dizaines [[véridique – puisque nous aussi…]] ».

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Sinon ? Ne jamais oublier qu’Al Capone avait, aussi, un « programme politique ». Celui ? Celui où il faut séparer tout le monde de tout le monde, isoler les individus, les rendre seuls, casser les services publics, que chacun-e se retrouve sans plus de social autour d’eux/elles. Et ? Ensuite, il n’y a plus qu’à racketter chacun-e mis à  part. La société (qui n’existe pas rappelons-le) ayant été démantibulée par les pires gangsters. Et alors ? Ce programme ne correspond-il pas Trop au libéralisme capitalisme, ce nihilisme cynique et fainéant des ennemis véridiques de l’Humanité ? Si non sinon ? Le versant le plus opposé aux paragraphes précédents ?

L’ouvrage de Laurent Obertone «  Guérilla : le jour où tout s’embrasa » est déjà un record de vente. Et pourtant ce roman d’anticipation n’a pas et ne sera jamais publicisé par les médias officiels. Laurent Obertone vous le verrez très peu sur un plateau télé ni dans les critiques littéraires des romans « bien-pensant » à peine sortis, car il est le Cassandre que la société ne veut ni voir ni écouter [[nous parlons de cette non société de ploucs corsetés dans les trop victoriens costards-cravates, ce supplice pour vils égoïstes. Oui ces anti-élites qui se permettent de censurer toute la société sans jamais y rien comprendre : les irresponsables prétendus responsables ! Quand cela déjà ? ]].

Guérilla-et-si-c'était-demain-?

Qui est Laurent Obertone ? Ecrivain, journaliste et essayiste français, son travail est centré sur la criminologie, les médias et le multiculturalisme. Né en 1984 de parents agriculteurs jurassiens et instituteurs, Laurent Obertone est diplômé d’Histoire et d’Anthropologie puis de l’Ecole Supérieure de journalisme de Lille. Durant plusieurs années, il est journaliste spécialisé dans les faits divers pour un hebdomadaire régional d’informations généralistes. À partir de 2010, il signe des articles sur le webmagazine Ring. En 2010, il fait partie des trois invités qui accompagnent Michel Houellebecq à l’occasion du dîner donné par le président de la République Nicolas Sarkozy au Palais de l’Élysée, en l’honneur du Prix Goncourt reçu par Michel Houellebecq : ce dernier présente alors Laurent Obertone comme «  le grand polémiste de demain ». En mars 2014, il lance une alerte à la garde des Sceaux Taubira, sur les 100 000 peines de prison non effectuées chaque année [[ par des délinquants trop riches, of course…]]

les-Zadistes-expliquent-qu'ils-ont-développé-une-société-échappant-à-de-nombreuses-règles

Genre humain : « [Le mal radical, dans le système totalitaire] est essentiellement : […] le fait de rendre l’homme superflu tout en conservant le genre humain, dont on peut à tout moment éliminer les parties. » (Journal de pensée, Seuil, 2005, cahier I, § 22)

l'abécédaire-d'Hannah-Arendt/

Fort heureusement, nous ne voulons guère vivre tout ceci, guerre incivile y compris. Donc retrouver l’abondance de société. Mais comment, comment ? Comme ceci :

Un-attentat-à-la-misère-du-monde

Sur le modèle pervers du on ne peut accueillir toute la misère du monde (donc, n’en accueillons…Aucune !) pour corrompre le raisonnable du…donc recevons–en un peu, notre part, notre partie, notre prendre part, notre nous n’allons pas rester à part…ici, les mêmes équivoques semées, volontairement, par les mêmes pervers narcissiques (celles/ ceux qui désorganisent au plus vite toute une société). Et ? Préférer à une société d’abondance une abondance de société, société qui vit intensément en société ! Et pourquoi ? ----1) ***Afin de faire passer, en fraude, la richesse de quelques uns pour l’abondance de tous. Or ce n’est pas du tout le cas. Ce n’est pas parce qu’il y a un multimilliardaire dans un pays que ce pays en devient – magiquement – riche. Il peut même s’en appauvrir (s’il est petit). C’est que l’excès de richesses de l’un se fait au détriment de grand nombre. Sa folie invivable (nul-le ne peut »vivre », à la fois, ces patrimoines abusifs, ces fraudes planquées ni ces revenus de un million de $ par jour) détricote les liens sociaux.

**2) --- la richesse de quelques uns c’est donc l’exact contraire de l’abondance pour tous….et si nous résumons les témoignages que nous avons pu réunir à ce sujet (ah les témoins vraiment fiables qui disent ce qui est, jamais ce qu’ils/elles voudraient qu’il soit !)…oui le résumé. D’abord, étant enfant un des témoins se rappelle à la perfection, que dans les rues allant à l’école lointaine, le nez curieux il croisait pas mal d’humains qui sifflaient joyeusement en marchant, qui souriaient en vous croisant. Quand ? Tout début des années 1960. Un autre ado des années 1970, affirment que les mêmes humains se parlaient facilement, sans se connaître, ne reculaient pas de méfiances et de fermetures comme actuellement. Tout le monde dans les rues, comme des tunnels clos et étanche indifférents à la vraie vie. Qui croient qu’une bulle est un bulletin en votre faveur. Ces témoignages semblent tous (puisque nés avant les années 1990) converger que la coupure…d’inhumanité asociale (ou antisociale) a eu lieu fin des années 1990- début 2000. Soit la rencontre des libéralistes (prétendus anti état et qui l’ont rendu si hyper répressif et…interventionniste) et le début de l’euro. Donc euro souillé par la frénésie de cupidités de ces libéraux, utilisant l’état qu’ils veulent inexistant afin de dévaliser l’argent public et de saboter toute la société…oui des cyniques hyper fainéants ! Voici pour les certitudes historiques que vous pouvez reparcourir en sachant ouvrir des conversations pointues donc pointées !

Ainsi l’abondance pour toute et tous a existé ? Un historien ami nous confie : « Un message très dur à faire passer est, qu’en France, dans les années 1950 il y a eu un communisme à la française. Et pas du tout dans la politique matraquée par le haut – genre l’absurdité du centralisme démocratique alors que vraie démocratie ne peut qu’être très…décentralisée et non hiérarchique) mais impulsé par la base, les sacrés militants de base, la ruches des multitudes d’initiatives groupées. Après les rationnements d’après guerre la vie c’était pas folichon mais, avec peu de moyens, une abondance sociale, d’entraides, de solidarités, de sociabilités foisonnantes - et par des centres aérés, des clubs dont les célèbres cinés clubs aux films noir et blanc, les moins connues petites bibliothèques,  les randonnées, les bals popus et les voyages organisés – les quartiers bourdonnaient de vraie vie. Une abondance réellement visible. A cette époque les portes n’étaient pas fermées, on entrait très facilement chez les voisins, cela circulait en confiance, les humains improvisaient des fêtes dans les rues : bref, comme il était dit « on vivait tous dehors ! ». Dehors pour l’abondance sociale qui n’a pas besoin de l’abus de richesse…séparée des autres. Il y avait aussi les cathos avec des institutions qui soulevaient bien moins d’enthousiasme. Mais le fait abondant c’était que la culture et les vacances restaient bien animées chez ces « très riches socialement » !

Ceci s’est passé jusqu’à l’apparition des supermarchés durant la fin des années 1960- début des années 1970 (dépendait dans quelle ville on habitait) Et autres faits si occultés. Dans beaucoup de quartiers (sauf les trop bourgeois) la vie était bien plus…collective. Appareils électroménagers en commun (machine à laver chacun son tour etc.), et que je te garde ton môme, etc. Ou bien l’achat direct aux producteurs. Sans intermédiaires. Il a même été retrouvé des organisations très chiadées : soit chacun son tour dans le groupement prenait les commandes, les sommes (donc moins élevées) et se déplaçait dans les fermes ou les usines pour embarquer les produits. Et puis ? L’affaire Dominici (1952) aura été le premier coup de semonce d’une coupure nette : ce qui préoccupaient trop d’humains (voir les documents d’époque) c’était sa structure en « tribu », lui le patriarche et tout le monde s’entraidant. Comme organisation du…passé, dépassée…il y avait un rejet inconscient qui aura mûri peu à peu…Puisque (sans volonté ni conscience bien nette) le consumérisme VEUT la famille nucléaire, la famille explosée, démantibulée, la fin des « solidarités organiques ». Et même faire péter la famille nucléaire parce que tout le monde tout seul c’est plus d’achats en double, triple, quintuple, etc. et donc ces vastes tribus et regroupements cela n’achète pas assez…il y aura eu des menaces, des pressions et des violences afin de briser cette organisation ‘communiste spontanée (sans le nom mais avec la réalité du vécu) du peuple français et …le consumérisme irresponsable aura commencé à répandre sa peste antisociale. On peut dire que les supermarchés ne sont pas né dans le calme de l’acceptation de tout le monde. Comme vous dites l’abondance de société aura peu à peu disparue avec une large résistance jusque dans les années 1990 (1995 et ses « coordinations » aura retrouvé spontanément ce très bon esprit)…Voilà ce que je peux dire en court. Merci à vous et à ce que vous faites !... »

Donc répétons (jusqu’à ce que ce soit bouleversant de beauté ) : toutes et tous pouvaient accéder à cette grande abondance de…société (d’où les joies et les confiances repérées à ces époque dans les rues). Oui la société vivait en société et à fond, avec ses « petites » fêtes mais quotidiennes fêtes, celles qui n’ont pas besoin de se la péter pour s’endimancher connement en Fête nulle. La fête, aussi, c’était que toutes les portes étaient ouvertes à tout le voisinage et que je t’y entrais pour prendre de l’huile ou du sel, etc. Et nul-le ne se sentait le besoin de s’enrichir bêtement et trop follement sur le dos des autres. L’essentiel abondait puisque le trop de richesses c’est pire que du…superflu. Un assassinat net de la sociabilité et de la confiance humaines. C’est bien ceci la merveille de l’ABONDANCE, sentir que rien d’important ne manque, que tout le monde a assez de ce qu’il faut, que tout peut toujours améliorer parce que nous sommes tous ensembles, que la vraie vie ne se décide surtout pas à la corbeille et que les boursiers conservent leurs vrais noms d’affameurs et de spéculateurs vautours de la misère des autres (bref des bannis honnis). Oui l’abondance N’EST PAS la richesse que pour quelques uns. Toujours moins en pourcentage. L’abondance de société est donc un  fabuleux progrès face à la richesse inutile soudain si nue. Cette fausse abondance qui a…besoin des publicités si mensongères pour pilonner (armée d’occupation intruse) les gens normaux…

Oui l’abondance c’est la fin des misères déshonorantes pour tous – puisqu’afin de mettre de l’humour facétieux dans les mots guindés c’est de la pauvreté généralisée…oui mais pauvreté à tout le monde avec 2 000 € par mois. Pour toutes les activités autogérées. Et gains modérés, en plus, pour les atteints d’activités collectives, les créatifs et inventeurs, les généreux de liens sociaux et les actifs bénévoles, etc. oui activités d’usages qui n’enrichissent personne  PART mais abondent l’abondance de société…Donc cette dite « pauvreté généralisée » c’est l’enrichissement immédiat des…3/4 de l’humanité. Pas miraculeux cela ? Et (surtout) la fin de notre immense pauvreté actuelle, de la misère commune où tout le monde se voit PRIVÉ DE SOCIÉTÉ.  De vie collective. De nager dans la collectivité redevenue chaleureuse. L’abondance sociale n’a pas de prix et la richesse de quelques uns perd toute valeur.

Très facile de revenir à…

………….. l’hyper intelligence collective de l’abondance de société !

 

…....………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Société d’abondance = abondance de société.
proportions...Les œuvres dans la nature d’Andy Goldsworthy

proportions...Les œuvres dans la nature d’Andy Goldsworthy

Qui demande un EFFORT aux autres se voit claqué la porte au nez...Incroyable non, comment la majorité aide ses...vrais ennemis ?

Qui demande un EFFORT aux autres se voit claqué la porte au nez...Incroyable non, comment la majorité aide ses...vrais ennemis ?

Société d’abondance = abondance de société.
co-évolutions chimiques

co-évolutions chimiques

Société d’abondance = abondance de société.
co-évolutions agricultures – sociétés.

co-évolutions agricultures – sociétés.

La responsabilité partagée est appelée coresponsabilité (ou co-responsabilité). Cela signifie que la responsabilité est commune à deux ou plusieurs personnes qui partagent une obligation ou un engagement.

La responsabilité partagée est appelée coresponsabilité (ou co-responsabilité). Cela signifie que la responsabilité est commune à deux ou plusieurs personnes qui partagent une obligation ou un engagement.

pour le moment c’est absolument sans…voire très contre !

pour le moment c’est absolument sans…voire très contre !

le contraire de co-responsabilité ? L’armée armée par qui ?

le contraire de co-responsabilité ? L’armée armée par qui ?

cela commencera-t-il un beau jour ?

cela commencera-t-il un beau jour ?

Quoi donc ?

Quoi donc ?

contre toutes ces peurs immobilisantes !

contre toutes ces peurs immobilisantes !

Mais la société, c’est qui ? Ça n’existe pas !... La société n’existe pas ? Vraiment…Donc il ne peut y avoir d’intelligence collective et ces photos ne peuvent exister non plus !

Mais la société, c’est qui ? Ça n’existe pas !... La société n’existe pas ? Vraiment…Donc il ne peut y avoir d’intelligence collective et ces photos ne peuvent exister non plus !

co-évolutions humaines

co-évolutions humaines

Société d’abondance = abondance de société.
Société d’abondance = abondance de société.

La guérison des plantes par la culture de méristèmes

" L'Economie symbiotique" : concilier rentabilité économique avec régénération des écosystèmes et résilience sociale. Le monde de Demain, c'est déjà maintenant, il suffit de "l'arroser" en portant notre attention dessus

Définition de l'amélioration continue par Masaaki Imai…par exemple, comment vaincre sa propre paresse (dans le mauvais sens du mot) pour ce que nous devons aux autres ?

Comment le néolibéralisme anti-humain et irresponsable défait la démocratie

Laurent Obertone (GUERILLA) : Une fiction qui n’en est pas vraiment une. Rien n’y est imaginé mais retranscrit…

Une histoire des co-évolutions

La fourmi parle de co responsabilité Saïda Bouzinab Ze AK Show 9….et pas nous les humains ? Malgré toutes nos interdépendances ? Des têtes à claques oui…

L'intelligence collective au service de la transition énergétique | Cédric Carles | TEDxLille…et plus vite que ça…

Des animaux qui sauvent d’autres animaux…qu’est-ce qui peut bien les motiver, eux qui ne sont pas prétendus aussi « supérieurs » que nous ?

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