Décalages, décollages …
Preuves en mains, en pieds, en bouches et plus. Afin affinités ou affinités afin ? En tout cas, nous regroupons des sauts gigantesques, des franchissements de distances qui demandent des mois en une instantanéité… Car ? Si l’on vous dit que c’est déplacé c’est parce que des précurseurs l’ont déplacé. En vrai. Il n’y a de déplacé que ce qui aura été déplacé…tel le langage dont la figure de style dominante actuelle serait la métaphore (ce qui déplace transporte oui porte au-delà (méta)). Donc nous avons tant besoin de ces métaphores déplaçantes puisque l’époque de cumuls de décennies d’inerties totales (oui des droites jusqu’aux gauches de gauches…institutionnelles - tout n’est plus qu’immobilismes suicidaires)…Lorsque nous sommes dans cette époque de blocus, blocages, instructions d’obstructions (ou l’inverse) qui nous aura amoncelé tant de conservatismes fous, d’archaïsmes et de scléroses, d’absurdités et de surdités. D’où découlent les décalages, décollages …
Dans le texte nous allons simplement prendre beaucoup de distance envers ces esprits vraiment malades (même si les médias mainstream disent l’inverse !)…oui de l’air frais, des cordes cordiales, des sauts salubres, s’ébrouer de leurs brouets si immangeables, même des sauts périlleux dans nos têtes, les cœurs gonflés de gratitudes (cette claire extériorisation du gratuit)… et
« La fille était frêle et vive comme l'oisillon, cherchant sans cesse à prendre son envol. Un jour, elle battra des ailes et s'envolera vers cette liberté. Elle gouttera au bonheur de voyager, à l’excitation de voltiger dans les airs et enfin pourra vivre. Mais ses ailes sont bien trop fragiles, elle tombera avant même d'atteindre la liberté. S'en suivra une chute sans fin dans le gouffre qui se finira par un violent choc. Et alors notre oiseau sera mort... » En savoir plus : Figure-de-style-la-métaphore-filée-/Filons-la...-la-filature-!
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Après le côté décidément glacial de l’époque (le texte d’hier sur les neuro-pirates) – son côté plus chaud, brûlant, qui arde hard, aujourd’hui. Autour de Jean-Jacques Lebel !...« Baigné dans l’art dès sa jeunesse, il a fréquenté de si nombreux artistes dont Marcel Duchamp. Inlassablement, Lebel a transgressé les pratiques artistiques. Il est l’auteur, en 1960, à Venise, de « L’Enterrement de la Chose« , le premier happening européen. Il publie, sur le mouvement des happenings à travers le monde, le premier essai critique en français. À partir de cette date, il produit plus de soixante-dix happenings, performances et actions, sur plusieurs continents, parallèlement à ses activités picturales, poétiques et politiques. Ce besoin permanent de nous montrer que l’art et la vie ne doivent faire qu’un, cette révolte viscérale contre ce qui pourrait apparaître comme un métier », voilà ce que Jean Jacques Lebel ne cesse d’agiter, de nous agiter.
Jean-jacques-Lebel-l'irréductible-non-réductible
« Le problème, c’est que l’acte de protestation est désormais inclus dans le Système. Le Système te demande de te révolter contre lui pour montrer qu’il est démocratique.
NE & LIAAM : Tu veux dire qu'il simule la complicité avec les artistes, qu'il fait mine de les inviter à le déconstruire mais qu'il s'agit en réalité d'une stratégie très retorse pour tuer dans l'oeuf toute pensée subversive ? C'est un flicage qui s'ignore ?
JJL : La situation est très perverse. Ça me fait penser à ce qui se passe à Pékin. Le gouvernement chinois savait très bien qu’avec le problème du Tibet notamment il allait y avoir des mouvements de protestation. Vous n’avez pas suivi ça ? C’est très intéressant et ça, ça fout la trouille : on voit bien à travers cet exemple tout le perfectionnement du système policier. Le gouvernement chinois a d’abord décidé qu’il y aurait des murs sur lesquels on pourrait protester. Il a ensuite décrété que pour avoir le droit de protester, il fallait envoyer un mail au moins un mois avant en donnant son nom, son numéro de passeport, sa photo, et en expliquant les motifs de la protestation, etc. Quand le jour J, le protestataire arrivait enfin sur place, il avait encore une formalité à remplir : il devait se présenter avec son passeport au commissariat de police le plus proche et dire: « bonjour, je suis la personne qui vous a envoyé le mail. Voilà, c’est moi. Je vais protester ».
Le-système-perd-les-minorités-agissantes-(entretien)-il-est-donc-perdu-!
NE & LIAAM : Évidemment, ces protestataires potentiels étaient immédiatement arrêtés…
JJL : Évidemment. Donc on vous dit : "venez protester les enfants" et quand tu arrives : "clac" ! Et en plus, si tu acceptes de donner ton nom, ton numéro de passeport, ta photo, tu deviens malgré toi collaborateur des flics alors même qu’au départ tu voulais sincèrement faire acte de résistance. C'est un mode de fonctionnement qui se généralise. On le trouve partout dans le monde. Je crois qu’on est dans une situation très critique. Le corps social, les institutions, la pression économique prescrivent toujours davantage à l’individu ce qu’il ou elle doit faire et où le faire. Vous vous souvenez de cette pub ? « Fait où on lui dit de faire », ça s’adressait aux chiens pour qu’ils ne fassent pas leurs besoins sur le trottoir.
NE & LIAAM : Ce syndrome est également actif dans le monde de l’art au même titre que dans le reste de la société…
Oui. Trop d’artistes aujourd’hui font où on leur dit de faire, où la société leur dit de faire. Ils font une synthèse des dernières couvertures de Art Press, de Beaux-Arts Magazine et de trois ou quatre revues. Ils regardent ce qui se passe à Beaubourg, à la foire de Berlin, à Frieze à Londres. Ils vont même à la FIAC ! En agissant ainsi, ils font en quelque sorte leur étude de marché. Ils voient un peu ce qui est prétendu tendance. Et ils plongent dans la prétendue tendance [[la créant et l’amplifiant alors qu’elle n’existant pas sinon dans la propagande…]]. Ce faisant, Ils se châtrent eux-mêmes et elles-mêmes sans même y prêter attention. Alors ça, ça ne fabrique pas des œuvres. Ça fabrique des produits. C’est tout à fait l’inverse. Des produits industriels destinés au supermarché culturel. Heureusement, subsiste une toute petite minorité agissante. On dit que les gens qui font partie de cette minorité sont des fous et des folles. [[pas de l’argent fou, en tous faits, qui représente la désastreuse pathologie de qui délirent qu’ils seraient fous…]]. En tout cas, ce sont des gens qui, en générale, sont assez désespérés, assez lucides, assez rebelles et qui, ou ne peuvent pas ou ne veulent pas – ce qui revient exactement au même – fabriquer des produits. Ce sont des gens qui se marginalisent eux-mêmes par leur révolte, trouvent difficilement des marchands, des galeristes, des éditeurs ou des producteurs – pour leur film ou leur DVD – parce qu’évidemment, on les voit venir de loin, n’est-ce pas…Ce sont des gens qui ont besoin – j’allais dire une chose presque obscène ou délirante pour les critères du marché – d’exprimer un contenu, c’est-à-dire de donner libre cours à leur radicale subjectivité ; laquelle subjectivité ne peut être qu’en contradiction constitutive avec les notions [[complètement folles…]] de produits et de marché.
Ce qui est subjectif, c’est forcément ce qui est produit par le vivant de la personne comme, par exemple, les solutions d’inadéquations de cette personne avec la Société de hautes tromperies et d’irréalismes. Et cette subjectivité là est forcément sainement problématique. Elle s’attaque au langage. Je pense par exemple à Artaud qui invente une langue –il le dit expressément – parce qu’il ne supporte pas le français. Il aurait d’ailleurs pu dire l’anglais ou l’allemand. C’est pareil. Et la poésie, c’est ça. Ce n’est pas simplement faire des vers. C’est travailler la matière du langage. Ça tient de la recherche fondamentale, de la recherche pure. Et c'est quelque chose qui est nécessairement le fait d’une minorité qui accepte de prendre des risques ; des gens qui acceptent de vivre en dehors des normes sociales, économiques, politiques et quelquefois même sexuelles. Parce que la sexualité est très liée à tout ça. C’est très difficile et je ne peux pas m’autoriser à donner des conseils à des jeunes qui m’en demandent tout le temps. Je ne peux pas leur dire : «révoltez-vous» parce que si je leur dis ça, je suis obligé de leur dire aussi : « mais attention, vous allez en baver » [[ sauf que le butin existentiel de cette honnêteté sociale est tout simplement trop abondant, chaque jour amène de nouvelles merveilles. Puisque la vraie vie reste du côté des vraies œuvres et de la créativité authentique. Et que les produits ne rendent que tristes, à pertes de vie, ne font que se sentir sales, minables, en très nette régression, oui stériles de vie ardente. Entre les 2 choix, qui aura préféré le marché fou aura perdu…plus que l’essentiel. En plus la révolte revolte, c’est du plein volt. Si elle nous revolte c’est qu’elle nous recharge en bonne énergie. A la fin les authentiques résistant-e-s gagnent toujours ! Le soleil chaleureux et pas l’ombre de la fausse monnaie…
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« Cet inclassable qui n’a jamais choisi entre son statut de plasticien, de poète et d’activiste. Mon travail de montrage consiste à ne pas les empêcher [[nous devons faire de la place aux désirs de la vie en nous !]]. Pour reprendre la formule de Deleuze et Guattari dans Mille Plateaux, il s’agit d’un “agencement collectif d’énonciation”. Dans la folle société capitaliste, ces objets ne se rencontrent jamais [[et les humains suivent le non-mouvement…]] puisque c’est la mort de tout art véridique. Par exemple : l’art de la Renaissance et l’art contemporain, des artistes extrêmement célèbres et de jeunes inconnus. Généralement, ce sont les uns ou les autres, jamais les uns et les autres. [[ la folie capitaliste, qui est un appauvrissement du vécu et des émotions bien trop irresponsable, ne va que diminuer, rétrécir, soustraire sans cesse (ou…ou) et jamais ajouter, introduire de l’abondance et de la joie (et…et). La bêtise bestiale de ce capitalisme libéral c’est de tout gaspiller…même son temps. Il ne se soustraira pas aux sanctions qui l‘attendent au coin de la rue ! ]].
«Nous étions dans un tunnel sinistre, épouvantable, irrespirable. Cette période me fait penser à celle que nous vivons aujourd’hui”, ajoute celui dont la grande force est de circuler sans cesse entre le travail de mémoire et une observation aiguë de la société contemporaine. “Nous survivrons à ce tunnel de sinistrose comme nous avons survécu à l’époque. Il est évident que plus on réprime, plus on oblige les citoyens à intérioriser la censure. Plus la pression est forte et plus ça finit par exploser. C’est une question de mécanique sociale. Mais ne me demandez pas où et quand cela va arriver [[puisque ceci – libération, émancipation, spontanéité, victoires, etc. - ne peut que survenir ]] »…
jean-Jacques-Lebel-artiste-de-la-contre-culture-:-celle-qui-contre-impec'
A la Maison Rouge justement, c’est cette histoire de “dynamitage généralisé du tunnel” que nous conte Jean-Jacques Lebel à travers sa collection de cadavres exquis “qui ont échappé à la sagacité des historiens de l’art parce qu’ils faisaient exploser le mythe de l’auteur et la hiérarchie entre les artistes connus et inconnus, entre les peintres et les écrivains et parce que le produit capitaliste a besoin de l’estampille de la signature”…Et nous pas du tout : conclusion ? Ne pas signer, changer de style sans cesse pour ne pas rester reconnaissable, se foutre à plusieurs, etc. c’est le …ruiner complètement. Il n’aura fait que jouer, ce « fou », dans sa petite salle de nursery…hors de la vie réelle. Pièce gavée de ses caprices, phobies, crises caractérielles, allergies et préjugés… La vie réelle se passe si facilement de lui et son « artificialité » – mais jamais des vrais artistes !
[[Comment encore submerger encore la notion d’Auteur, qui ne sert qu’à gonfler le portefeuille illégal de la déchéance irrémédiable nommée bourgeoise. Oui il y en a tant dans les inventivités. Aussi…]] Il y a dans cette volonté de faire son propre apprentissage dans une auto-organisation quelque chose de tout à fait saisissant [[donc ont été viré les faux experts, les critiques vendus, tous les spécialistes séparés qui détestent tant la vraie hyper créativités mais qui veulent nous faire passer les lentilles pour des bastilles ! ]]. C’est à la base même de la démocratie directe. Si l’on pouvait orienter ce principe vers des activités plus positives, moins autosacrificielles et davantage vers une prise de conscience du problème global, nous aurions une situation à proprement parler révolutionnaire. Je prends très au sérieux la fonction sociale de l’artiste qui consiste à proposer des alternatives non-masochistes.”…répétons…non-masochistes…Et d’ajouter, avec la verve et l’emportement qui le caractérisent si bien : “Tant que la majorité de nos concitoyens et de nos concitoyennes ne partagerons pas ce désir de briser les chaînes mentales, économiques, culturelles, sexuelles, le nain de jardin triomphera. Celui-là ou un autre.”…Sauf que - Les conformismes tirent toujours la gueule, trainent leurs jalousies jusque terre, se marchent toujours dessus, s’auto-piétinent, se compliquent la vie, s’enfument les respirations, etc. – bref, se gâchent tout. Et tout cela pour même pas…un brin, une brindille de vraie joie. Lorsque nous ce sont des brassées embrassées sans cesse ! Puisque ? Avec la monnaie, vénalement obtenue, plus rien de qualité à se mettre sous la main. Le stupide produit qui n’est que la pâle copie de l’œuvre, donc une vraie défaite…oui si tout n’est plus que produits, tout…s’effondre dans une grisaille de dépressions infinies, chagrins qui se nourrissent des pertes essentielles (les vraies œuvres tiennent le monde et le monde ne tient absolument aux niais produits…). Pertes auxquelles auront échappées, et avec quels panaches, les anticonformistes. Ces sauveurs de la véritable Humanité. Ceux des si salubres décalages, décollages…
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Ce qui se résume à…se tirer de ce à quoi nous sommes trop collés : dé-coller et décollages. Ne plus caler en côte, ne plus se voir recalé : vraiment décalés c’est la sortie ! Décalages, décollages …
………..Oui, afin de ne plus servir de cale-pieds…………sous la table
Puisque comme dit, dans Les enfants humiliés, Georges Bernanos il faut beaucoup de fous pour faire un peuple libre. Généreuse liberté ? Même ceux/celles qui veulent nous la niquer en ont bien besoin ; ils l’aiment démesurément pour cela.
Mais, en tous les cas, ce n’est pas grâce à eux qu’elle existe. Trop fous pour ça !
…..………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
premier happening ? Ce qui arrive, survient, vient et nous y venons, survenons, parvenons pârfois...
paris pris de court
Art by authors is the big thing right now. The Palais de Tokyo in Paris is placing Michel Houellebecq's uneven photography in the spotlight. Galerie du Passage is exhibiting the french writer ...
un orage de plaisirs subversifs
Neurophysiologie et Lebel
JJ Lebel - L’outrepasseur
Si tu sais soutenir sans vouloir dominer, Que tu peux être fort sans être violent, Tu seras un homme, mon fils (…) Si tu refuses qu’on humilie ta mère, ta sœur ou tes amies, comme toutes les femmes que tu croiseras dans ta vie, Alors ce jour-là, oui, tu seras un homme, mon fils
Vraiment re filer la métaphore…l’aventure !
…difficultés pour remporter l’humour noir ? TOPOR Mars 1962 avec Jacques STERNBERG
He ! Viva Dada...ali dada et ses 40 voleurs...
Dada et Allan Kaprow aux origines du happening et de la performance - Maze Magazine
Le Musée d'Art moderne et Contemporain de Strasbourg présente en ce moment une exposition retraçant le parcours de Tristan Tzara, fondateur et théoricien du mouvement dadaïste. L'occasion de r...
Dada et Allan Kaprow aux origines du happening et de la performance
Fluxus - Definition Fluxus - Artistes et oeuvres
L'appellation signifiant flux de la vie, et désignant plus un état d'esprit qu'un mouvement, est née en 1961 au Black Mountain College
"J'ai trouvé cette photo magnifique." 10 ans plus tard, le photographe retrouve son modèle. (VIDÉO)
Grand photographe malgache, Pierrot Men a retrouvé le modèle qui, dix ans plus tôt, lui avait offert une magnifique photo. Arte a suivi ces retrouvailles. Regardez.
https://positivr.fr/pierrot-men-madagascar-photographe-retrouve-fillette/
10 ans plus tard retrouver la fillette de la photo...happen it !
Jean Jacques Lebel Le Monde de l'art est aussi corrompu que Wall Street (et le vice lui versa)
Et le tout en trop même temps…Jean Jacques Lebel - pour conjurer l'esprit de catastrophe