La chienlit consumériste rend, en plus, tout le monde malade ?
D’où les questions défilent… La partie manquante est «comment» ? Comment une pathologie toute extérieure peut nous atteindre vraiment ? A notre corps défendant, dirait l’autre. C’est à-dire ? Les pervertis, qui ne veulent pas le reconnaitre, rendent, aussi, malades les autres qui, pourtant, ne participent pas à cette anti-socialisation de l’infantilisme irresponsable du moi moi mumuse ? Oui ? Comment ceci peut survenir – puisqu’il faut faire un véridique effort afin de s’arracher à cette ambiance générale et qui ne veut toujours pas refluer. Afin que la société retrouve sa santé. Les constats deviennent très pressants : l’attentisme inerte n’est plus permis…C’est que l’irresponsabilité inexcusable envers les ressources, les générations futures et la conduite rationnelle de la société, noyautait déjà cette chienlit qu’est l’insurrection consumériste. Insurrection si sournoise contre toute raison et morale. Mais, en plus, les dramatiques dommages causés vont encore plus loin : la réalité même du futur, donc du but commun, donc de raison d’être de la société, se montre très ébranlée. Tous les protagonistes du putsch des minables consommateurs contre les vrais adultes s’y démontrent aussi nuls les uns que les autres…Rarement, nous avons eu tous les éléments en main afin de condamner solennellement ces pervers réunis qui ne prêtent jamais aucune attention aux autres. Qui sont la honte véridique de l’Humanité. Qui représentent les plus patents échecs de vie mais, en plus, pèsent comme d’injustes fardeaux sur la vie des humains sains et sincères. Le consumérisme doit être traité comme un grave délit, un ensemble de délits – nous ne en sortirons pas sans cette condition préalable. C’est le consumérisme fou ou nous !
Notre but demeure de prouver et d’amener des preuves de tout ce qui est affirmé. Ne pas parler dans le vide de l’irresponsabilité. Parce que ? Stationner aux seuls slogans a…prouvé avoir des résultats très contraires : quasiment tout le temps, se montre déconsidérée la pensée que, si sommairement, ils/elles font semblant de défendre. Ce n’est pas rentrer dans le lard de la réalité, chercher les racines des problématiques qui n’ont pas lieu d’être, en déduire les solutions radicales (qui déracinent une bonne fois les perturbations évitables) et donc ne pas conduire aux grands changements vitaux. Les véritables fauteurs de troubles dissimulés (ici, les consommateurs irresponsables protégés hideusement par des lois inadaptées, tandis que les anticonsuméristes se voient si crétinement harcelés pour…l’acte sain de défendre la société) demeurent hors d’atteinte. Ce qui se nomme bien …tirer contre son propre camp. Tout prouver, ne plus avancer sans précautions, aplanit le terrain des générations futures. Aide concrètement qui veut lutter pour une nouvelle civilisation : nous lui offrons des assisses solides pour son droit complet à se révolter. De quoi s’adosser sur des textes solides pour, enfin, accuser fermement avec des arguments bétons (puisque prouvés et demeurant attachés à des raisonnements percutants). Voici qui est de l’intelligence collective soignée. Pas comme le bâclage des slogans incapables de s’expliquer eux-mêmes, de démontrer les formules de leurs formulations. Ces slogans, rarement légitimés, entravent, trop souvent, ces fronts solidaires. Un manque récurrent d’exigences nuit donc. Le texte d’hier sur l’étymologie falsifiée du concept du « travail » permet, avec une puissance nettement supérieure, d’arracher le travail forcé du cœur des humains. Pas de juste dire le travail ne me plait pas (sans raisons ni raisonnements actifs)...et rien n’avance pour personne. Toujours agir pour qu’il y ait un avant et un après…
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Aller aux racines (se montrer radical) demande des efforts : ce n’est pas faire mumuse du bout du cœur distrait. L’implication et l’engagement y sont entiers. C’est empêcher le Spectacle du fait de ne pouvoir être spectateurs de rien – mais, à la place, participant-e-s en première ligne de tout. Puisque, frontalement, c’est mettre les mains dans les merdes de la société. Merdes dont nous sommes les moins responsables, vu que nos mentalités et styles de vie n’auraient pu les provoquer à l’origine. Mais merdes dont les faux responsables au pouvoir n’auront jamais le cran, ni l’honnête courage, de s’occuper – alors qu’ils en en sont les causes directes. Les coupables imputés…le consumérisme fait donc perdre tout honneur, tout respect de la parole et toute fierté – n’en demeurent que les nauséabondes arrogances de voyous qui narguent, puérilement, qui vient réparer leurs sales dégâts. Il faut des preuves solides contre eux. Nos méthodes d’approches sont devenues bien plus efficaces que toutes les indignes autres facilités. C’est qu’elles proviennent d’une grande attention aux autres, d’un grand amour laïque pour autrui, amour qui ne se paie pas de mots et demeure discret puisque ce sont les résultats qui comptent. Et surtout pas la brosse à reluire des narcissismes. Disons que ces efforts de raisonner jusqu’au bout des choses arrachent même les problèmes aux faux dirigeants. Et nous font détenir les dispositifs de solutions avec une clarté mentale si bienvenue…A notre habitude (l’actualité servant aussi à démontrer et à prouver : démultiplicateur de forces, cela s’appelle !), nous avons réuni, ici, quelques documents afin d’arracher, définitivement, ces folies consuméristes des têtes des humains. Soit faire avancer la société vers des solutions globales au lieu de la voir toujours plus tourner en rond autour de ses suicidaires hypocrisies. Dans ses toupies de toupets ?
« Nous vivons à une époque où nous avons le temps d’être déprimés et où, selon moi, nous sommes profondément déstabilisés psychologiquement. La plupart de nos pathologies mentales sont des conséquences du consumérisme [[ le grand accusé]], dans une époque sans dieu, sans transcendance, et avec une énorme croyance dans le matérialisme. La quête effrénée de possessions matérielles est un désordre mental majeur. Le commerce en ligne n’est là que pour vous pousser à acheter encore plus de choses dont vous n’avez absolument pas…besoin. Le consumérisme est sans nul doute le signe d’une société où l’addiction est devenue un paradigme pour la majorité d’entre nous. C’est mon constat : l’addiction est presque une norme et il faut arrêter les dealers vite fait [[ L’obligation de se droguer devient une énorme tout aussi bien. Une énormité grossière tant que les contre-addictions ne sont pas disponibles sur le marché ou par-dessus le marché…et pourquoi ? Tous les dirigeants pharmaceutiques ne veulent absolument pas (donc surtout pas, pareillement) que nous soyons en bonne santé. Particulièrement affective. Et cela commence à se voir…Qui a eu la chance d’avoir le cœur brisé souvent, dans les tendres années, s’en sort tellement mieux que les autres. Il/elle ne fait plus une montagne de ses tas de bobos existentiels ! Donc le tas étale et nous passons par-dessus ces faux obstaculaires (tiens celle-ci fallait l’inventer sur la rengaine de spectaculaire)…]].
Nous sommes tous des animaux, des chimpanzés. Nous aimons les organisations sociales où il existe un ordre même faux. Le grand succès du monde occidental, et en particulier des sociétés européennes, est de réussir à convaincre les gens que les inégalités et la hiérarchie n’existent pas [[ et il faut sacrément être drogués pour ça…nier tous les faits si évidents c’est un million de fois plus plus grave que les fausses fake news]]. En Angleterre, les inégalités entre les plus riches et les pauvres s’accroissent considérablement depuis une quinzaine d’années. Elles sont d’ailleurs plus importantes que dans les années 1930. En guise de progrès, nous avons en réalité fait un bond en arrière de…soixante-dix ans ! » Ceci, en français courant, se formule un recul qui déchire brutalement la société, la met en morceaux, tenter même l’irréconciabilité des morceaux, jusqu’à semer tous les ferments de guerres inciviles (justement), etc. Les fauteurs de troubles se montrent au sommet et veulent affaiblir trop fortement la société – ils en sont les pires ennemis. Peuvent-ils/elles le faire ?
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Oui, un bond en arrière et plus du tout d’horizon ? Il ne servirait plus à rien tout quoi, plus à rien rien. Mais tout tout autant rien de rien. Purée, cela centrifugeuse… « Cherchez-vous à prévenir les humains des dangers qui pèsent sur notre futur ? Je ne pense pas. La fiction est assez inerte.[[ça manque effectivement de…preuves. Cela tient plus lieu de soporifiques, très agréables mais tout de même endormeurs…]]. Pour accéder au contenu d’un ouvrage, il faut le lire avec une certaine attention. Il faut faire des efforts. Regardez les livres dits « à message » comme 1984 de George Orwell : les gens discutent encore aujourd’hui de son sens sans parvenir à se mettre d’accord. Alors imaginez ceux qu’on présente comme plus complexes ou subtils... Ils sont tout simplement maudits, condamnés à être incompris. Si vous écrivez de la fiction avec l’intention de dire aux lecteurs comment se comporter, vous n’écrirez jamais un bon livre et il n’aura jamais l’effet escompté. Je ne pense pas que les gens, du moins la masse, se comportent… rationnellement. Dès lors, comment pourrais-je leur dire quoi faire et compter sur leur raison pour comprendre mon message ? [[ il y a, pourtant, des moyens de fond dont imagiter demeure un nouveau modèle…]].
Will-Self-le-futur-est-devenu-minable-!
[[Qui est ?]] Le capitalisme, c’est : « Vous pouvez dire tout ce que vous voulez, mais vous allez devoir acheter nos produits de merde. » La subversion est tout simplement devenue impossible [[et pourquoi cela silketeplisse ? Y’a tout de même des répressions lourdes, des rentres-dedans, des clashs genre vous ne pouvez pas dire/faire comme tu le veules, genre-de-plus en-plus que comprime réprime, de la censure censitaire, le terrain de la permissivité se rétrécit en plus…donc ? La permissivité n’y est guère, c’est un foutu préjugé radoté que de l’oser…Et ? La sensation d’être acculés, des maitres si peu permissifs, s’amplifie, ils se sentent cernés, décernés…ils ont peur de leur ombre et leur ombre leur fait peur (deux pour le prixamatik d’un)…La société déréglée SANS plus de consumérisme c’est, pour eux, le sauve qui peut plus, c’est les os court, os courts, le retour à la raison n’est pas raisonnable – en tous cas, n’est pas prévu dans les déprogrammés politiques, dits de « gouvernement » [[si ce voit ajoutée cette précision, c’est bien qu’il peut y avoir la com’ qui dit de « gouvernement » et les pratiques qui prouvent qu’ils…dégouvernent large tout au contraire.]]. En quoi le consumérisme ne serait-il pas abolissable ?
La vision du courant steampunk c’est que l’ancien et le nouveau coexistent, que certains aspects négligés du passé vont devenir dominants dans le futur. [[c’est du bricolage de grenier permanent – vraiment impossible de trouver du Sérieux chez ces soi-disant dominants]]. Cette tendance représente notre perte de croyance en la technologie et va de pair avec une incapacité à voir le futur [[ incapacité pathétique cra pathologique !]]. Ce qui se faisait en matière de littérature dans les années 1960 et 1970, quand on s’imaginait que nous allions tous manger des pilules et nous déplacer grâce à des propulseurs sous nos chaussures, était une sorte d’aspiration au progrès. Elle était légitime car des innovations extraordinaires voyaient le jour. Les antibiotiques, ou même la bombe nucléaire, nous permettaient de prendre le contrôle. Je n’ai plus l’impression que ce genre de choses se passe aujourd’hui. L’obsession des gens pour la révolution de l’information est un phénomène nombriliste. Je ne suis pas convaincu que le Web apporte une quelconque valeur supplémentaire au monde. Il améliore la circulation de l’argent, des produits et des informations, c’est certain. Mais il n’est qu’une façon pour le capitalisme de faire encore plus d’argent, de ne surtout pas se renouveler pour continuer à exister [[ plutôt à se trainer lamentablement, comme des ombres mal famées de ce qui a perdu…toutes ses racines ]].
Semblerait qu’en Occident il n’aurait plus beaucoup de futurs (oui même un seul) ? «Ce futur c’est une sorte de trouble psychologique profond. L’apocalypse, on l’a pensée, imaginée et écrite depuis longtemps, mais elle avait toujours à voir avec des causes extérieures à l’homme, de brefs épisodes guerriers ou des pandémies. Aujourd’hui, elle est intimement liée à nos ressources, notre environnement et nos activités. Cette nouvelle vision de l’apocalypse est lente, affreuse, dégoûtante. Je suis moi-même profondément pessimiste quand j’imagine le futur. Ma première vision est celle d’une Europe forteresse fermée à l’immigration et d’une situation de plus en plus critique dans les pays équatoriaux, toujours plus peuplés et plus pauvres. Je vois un monde occidental vieillissant, une société de plus en plus divisée [[ grâce à de prétendus dirigeants qui semblent tout faire pour « casser » la société en temps qu’associété et n’en laisser qu’une dissociété sans plus aucun contrat…social possible ]], une culture de la transparence accrue, une population riche et vieille faisant usage de technologies de reproduction assistée. Le capitalisme a volé notre capacité à fantasmer l’avenir … ». Se suicidant ainsi lui-même. C’est entièrement de sa faute tous les maux qui peuvent déferler. Il n’a jamais su diriger la société et le fait, absolument abject, qu’il ne pense qu’à s’enrichir ne peut…constituer une politique. Plutôt une solide raison d’être définitivement écarté de toute politique. L’ambiance générale souillée par l’irresponsabilité consommatrice a bien rendu malades, même collatéralement, quasiment toutes les populations. Afin de guérir – ce qui ne peut que survenir comme désir collectif massif – le constat qu’il faille écarter le mal, ce qui produit la maladie, ce qui provoque ces malaises trop prégnants ne peut que devenir unanime. C’est donc par ces sordide devenus, ces minables offres sans imaginations, sans sentiments ni grandeurs d’esprit, par les mesquineries des routines médiatiques toujours plus décalées avec le…texte, qui sont bien en train de vaincre ce système. Il se gonfle baudruche, je triôôôômphe…nous voyons, à la place, qu’il se dégonfle de partout. Et surtout devant TOUS les défis de la Nature…au point qu’ils n’osent plus en parler [[terrifiés les bougres…]]. Mais encore ? Qui nous aura parlé ? Le Will Self de « La Théorie quantitative de la démence » a, par sa vie et des apports, aidé à clarifier les fronts de luttes, les dispositifs des premières lignes. Son découragement actuel n’est pas le nôtre. D’autant plus que ses démonstrations (de déMonstrer, comme sortir du monstre) demeurent fiables. Déjà se nommer Self c’est un peu comme, en français se nommer Ego ou Tout-pour-ma-gueule. Donc Will Ego, le vouloir du tout pour moi, la volonté de l’égoïsme, ou du repli protectionniste sur soi (Will étant le verbe vouloir). Tout dépend de qui porte un tel alias. En tout cas pour qui veut la fin du consumérisme dégainer un c’est « Tout-pour-ma-gueule qui vous le dit » a de la gueule…………………….****************************************
« Une société qui ne change pas est vouée à l’extinction, mais vers quel idéal nous guide-t-on ? Quels sont les objectifs ? Quelqu’un les connaît-il ou fait-on confiance au hasard et à la nécessité ? [[ oui, « allez-vous faire maîtres », lorsque les maîtres rampent comme des esclaves chiffonnés face aux concepts qu’ils ne peuvent plus englober…que nous les voyons ressasser directement des stupidités si creuses comme…]]… « Ils postulèrent que la multitude doit [[sic ]] consommer, consommer si intensément qu’elle ne pense à rien d’autre que consommer, qu’elle doit bâtir des mausolées pour le Dieu-Argent qu’elle n’adorera certes pas mais qu’elle craindra. Ne pouvant plus rien consommer de réel, avec des ressources devenus maigres pour trop de gens comment peut-on faire ? Alors la populace goinfrera du virtuel : des amis virtuels, des relations érotiques virtuelles, des hommes politiques virtuels, des voyages virtuels, des paysages virtuels. Et même des colifichets [[ carrément le retour à…l’animisme ]] nouveaux de toutes sortes, des Pepsi à bulles carrées, des voitures autonomes planantes, dérivantes, roulantes, des piscines ascensionnelles de toutes les couleurs, des diplômes d’intellectuels pour réseaux sociaux, des armes de paix pour exterminer les terroristes, des dieux 3D capables de maints miracles : transformer l’eau en Vodka, les paralytiques en robots ou permettant la multiplication des drones lanceurs missiles… Et tant d’autres choses… mais virtuelles [[ surtout virtuelles comme divertuelles, pour divertir de toutes les vraies vertus…]]. Votre écran, votre casque, votre chambre de projection doit vous plonger dans une réalité « augmentée » [[ par où cela donc ?]] où tout est possible [[ en blablas…]], même et surtout l’impossible. Chacun devient son propre dieu : il créé de la matière, des idées, des concepts en poussant sur un bouton, sur une manette, en clignant des yeux, en murmurant un mot… et l’algorithme s’exécute sans rechigner, sans se révolter, sans même connaître encore ce qu’est la colère [[ vraiment, allez-vous faire maîtres !]].
[[Ce sera tout ?]]…Les humanoïdes post-modernes ne sortent pratiquement plus de leur niche [[ vérifié aux dernières infos des entrefilets…]] où on leur apporte leurs aliments en vélo, les tubes directs d’alimentation par voie rectale étant encore en cours d’installation. Toutes les deux heures, une série de pilules du bonheur de différentes couleurs contenant du Fentanyl, de l’Alfentanil du Sufentanil, du Rémifentanil, du Carfentanil (selon le choix et les disponibilités financières) sont dispensées. Ces produits sont fabriqués en énormes quantités par l’industrie chimique pour remplacer le cannabis et l’opium : toute culture terrestre étant devenue impossible. Les humanoïdes étaient heureux : il leur suffisait d’ajuster correctement la dose de produit euphorisant pour connaître un bonheur virtuel proche de l’extase [[ mais seulement proche, jamais avec, partageant-partagé, charnel et épicurien, jamais en plein dedans, dans le réel de la réalisation, dans le processus paroxystique qu’est l’extase…celle « qui met si hors de soi » qui nous fait atteindre l’apex - tandis que ce bonheur dit virtuel (donc toujours…à atteindre) n’est qu’un lamentable repli sur soi avec plus aucune puissance dans le moteur ronronnant, tout de rondeurs avachies - lorsque paroxysme décrit le…pointu, le tendu, l’aigu, où rien n’est rond…Donc jamais de jamais d’extases qu’un ron ron de vieilleries avec un mot erroné collé par-dessus !]]… » Bon que le marchand dise sa marchandise cela ne fonctionne plus. Ses pubs toujours moins avec cette voix décalée qui scande « la pub n’est plus dans le réseau…le réseau est hors de la pub…la pub gêne la concentration d’esprit…nous avons besoin de nos esprits puisque nous voulons retrouver nos cœurs, etc – Tout un nouveau récit qui se déplie partout. Avec la douche glacée, le consumérisme disparaitra honni abhorré exécré bien avant la fin du monde. Personne ne l’emportera avec lui/elle : c’était bien le pire que superflu qui aura causé cette fin du monde mais que cette fin ne rencontre plus du tout…est-il utile de préciser qu’il ne s’agit que de « leur » monde ? Qui s’écroule et entièrement de leur faute. Tandis que le nôtre le remplace immédiatement sans une seconde d’attente ! Comment déjà ?
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Le-futur-existe-t-il-déjà-dans-l'avenir-non-car-il-dépend-entièrement-de-ce-que-nous-faisons-ou-pas
« Lorsqu’on lit les journaux, les pages web, ou qu’on regarde la télévision, on a le sentiment que le futur s’est absenté, comme si la fausse urgence avait partout répudié l’avenir comme promesse. Déconnecté du présent, il est ainsi laissé en jachère intellectuelle et en déshérence libidinale. Or, tout comme on a pu le dire de la nature elle-même, l’avenir a horreur du vide. Il se laisse donc investir par toutes sortes de hantises. Victime de notre vacuité projective, il est devenu très difficile à envisager, à dévisager [[ sauf par qui a commencé dès le plus jeune âge à vivre hors du système. Bien évidemment, dans son cœur et sa tête…il n’a jamais existé et n’existera jamais. Seule la réalité, l’incroyable réalité y est accueillie…]].
Orphelins des philosophies de l’histoire, piégés dans un flux qui nous submerge, nous perdons les moyens de discerner quel paysage général est aujourd’hui en train d’émerger [[vous croyez ?]]. Nous ne parvenons plus à penser ce qui va survenir en prolongement de ce qui est [[disons que cet aveuglement est devenu bien plus général qu’il y a 20 ans. Mais pas complet. Qui demeure sain peut donc, en toute impartialité, dire : il y a désormais urgence absolue à abolir le consumérisme et à le déclarer grave délit ! ]]. Qu’est-ce qui se construit ? Qu’est-ce qui se détruit ? Nous l’ignorons pour une grande part, mais c’est paradoxalement parce que nous avons compris quelque chose : par des boucles nouvelles et inattendues, nous allons de plus en plus dépendre de choses qui dépendent de nous (on songe par exemple à l’influence de l’activité anthropique sur l’évolution du climat [[si ça été « désastré » dans un sens cela peut être annulé dans l’autre ! : cela se nomme gouvernail et appartient aux vrais politiques, qui gouvernent par gouvernails, décidément vraiment…trop absentes ! Parce qu’il y faut, pour agir partout où « cela dépend de nous » une …volonté, un vouloir et que la drogue trop dure consumériste enlève…toute volonté. Il faut mettre tous ces dealers fous, fussent-ils au pouvoir, au trou…]].
Mais, alors, comment savoir ce qui va se passer si cela dépend en partie de ce que nous allons faire ? Nous pressentons que cet avenir-même que nous sommes en train d’anticiper par nos actions et nos choix pourrait se révéler radicalement autre, et au fond de nous-mêmes, nous le craignons. »…Voici la dernière des preuves ainsi formulable : nous pouvons nous en sortir, nous avons des feedbacks, des boucles de rétroaction salutaires, oui nous pouvons revenir en arrière et remettre les mécanismes en place – sauf qu’il y a un obstacle, dérisoire dans son manque de sérieux, mais massif dans le déploiement de ses pathologies toujours en accélérations : il s’agit de la chienlit consumériste qu’il faut arracher de tous les frontons de la société. Et vite. Seuls ces insurgés fous nous séparent de la mise en place des solutions globales. Il n’y a pas à hésiter. Le consumérisme fait disparaitre tout futur et peut rendre la problématique sans issue puisque, dans le présent, il enseveli sous des conservatismes maniaques (tout abus de conservatismes est le symptôme d’une maladie systémique), tout ce qui ressemble à penser, réfléchir, raisonner, semer la santé des cœurs sains, bref, agir en adulte. Seules postures qui contiennent…des graines de futur !
>>> ** Ainsi recadrée , l’erreur gigantesque du capitalisme si faussement vanté (après tout, s’il « récupère tout » ce ne sont que les fonds de poubelles…donc honnêtement il ne récupère rien d’essentiel, il est bien trop célébré alors qu’il est plus pitoyable que nous le pensions …et plus humiliant, pour lui, il dépend entièrement des poubelles des autres, ce qui devient le contraire de reluisant : oui c’est un addictif, ma pov’dame !) oui l’erreur de TROP INTERDIRE qui le précipite vers sa fin est, tout bêtement, qu’il a volé notre capacité collective à fantasmer l’avenir. D’où aucun avenir avec lui. Donc tous les avenirs envisageables sont …sans lui. Impossible d’envisager le moindre futur avec lui dans le paysage…il fantasme donc, à part, un futur qui ne peut plus exister…
Alors que ? L’avenir pour nous ne se fantasme plus…
…Il devient un commun qui se réalise très vite à notre grande surprise !
.........……..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
c’est le fantasme d’une Tableau d'une Europe forteresse qui cimente toutes les réalités séparées et en donne une impression si erronée de vagues très tangibles ; seuls des anticonformistes déterminés nous sortent toujours de la merde des images fausses – ce sont les fakes images le très grand danger – imagiter, entre autres, est là pour y veiller et merveiller…
nul n’est obligé de devenir aussi fou qu’eux…quitter l’asile de fou est à la portée de tous les cœurs…
Rencontre avec Will Self
Le vrai visage de l'Europe forteresse - Grèce, janvier 2017...
Frontex Les secrets de la forteresse Europe
Will Self – Parapluie…pourquoi ? Puisque ce sont des documents de complète immersion…