La société reste structurellement organisée pour voler les pauvres (3)

Toute idée collective doit se montrer collectée et recollectée au maximum. Oui ? C’est que des nouvelles compréhensions communes s’ajoutent : nous croyions avoir un président des riches, il s’avère que celui-ci fait preuve, tout au contraire, d’un amour immodéré pour les pauvres, d’une attention incommensurable pour ces mêmes pauvres. Une preuve ? Comme à son habitude, le centralisme parisien, surtout s’il se propose de rester d’opposition, n’entend rien. Mais rien de rien, puisqu’il ne connait même pas l’art de l’écoute…la phrase sensée complète reste : un pognon dingue dépensé pour les pauvres….alors que les pauvres demeurent toujours aussi…pauvres. Cette fin de phrase démontre une préoccupation excessivement permanente pour les pauvres, magiquement, toujours plus...appauvris. Ils ont donc reçu un fric massif mais sont plus pauvres qu’avant ces arrivages en or massif ? Comment une telle impossibilité est possible ? Ouiiiii…Remarquons que tout ce qui est dit ces derniers jours a été analysé, synthétisé et archi prouvé sur ce blog. Et donc qui se prétend dirigeant.e.s, fussent-ils/elles d’opposition de positions, se prouvent rester archi en retard, en arrière, derrière ce blog ? Autre mystère n’est-il pas ? Ce qui nous permet d’analyser que les renseignements qui parviennent (top down, down and lock out but knock up down) ne sont plus réactulaisés depuis Mathusalem. Puisque nos analyses aboutissent à ce que « la société reste structurellement organisée pour voler les pauvres » du 22 septembre 2011 (comme quoi pas un gramme n’a été modifié ! et, qu’en face, ils ne demeurent que piteux et miteux !) …et que ces pauvres hyper spoliés (ils peuvent payer jusqu’à 7 fois plus qu’un trop riche…lorsque être pauvre coûte de plus en plus cher. Et rester trop riche ne coûte…plus rien (sauf à la société qui doit assumer les sur-assistés trop riches)…sauf, aussi, en explosions des externalités (ce sont les autres qui paient toujours plus pour vous ! Voir les démences ruisselées des anti-fiscalités)). Et donc (synthèse) ? Les pauvres…rapportent un pognon dingue c’est cela qu’il faut entendre.

La-société-institutionnellement-organisée-pour-voler-les-pauvres  à quoi est venu préciser…

une-sociéte-institutionnellement-organisée-pour-voler-les-pauvres-:-la-pauvreté-en-est-pénalisée-2.      du 10 mars 2016

et du 25 septembre aussi 2011 … Argent-gratuit-pour-les-seuls-capitalistes    ces ridicules ploucs qui ne sont que des anti-évolutifs sans intérêts, vrai aucun ! Le pot-aux-roses est vraiment trop énorme :

La-pollution-de-l'air-coûterait-à-la-société-tellement-plus-que-ne-lui-coûte-les-pauvres

La commission d'enquête sénatoriale a rendu publique, son estimation selon laquelle la pollution de l’air coûterait 101,30 milliards d'euros par an à la France. Et ce montant est explosif à plus d’un titre. C’est bien une facture équivalente oui au budget du ministère de l’Éducation nationale – ce qui parait très grave tout de même. A ajouter que cette dépense si peu exhibée c’est quasiment 7 fois le trou annuel de la Sécurité Sociale. Presque 4 fois le coût des prestations sociales et de santé dédiés aux immigrés. Et, aussi, 2 fois les prestations sociales pour les pauvres.*** (voir les détails ici…mais en seconde lecture, non ?)

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Vous avez compris, afin que le dessin global soit très ferme et sans équivoques, nous forçons le trait. En (2) nous affinerons… Trait forcé ? Oui comme ceci…Avec un minuscule 4,3 % du PIB le pauvre pauvre ne peut concurrencer les 52 % du Pib assistanés aux trop riches (français et mondiaux). Afin d‘atteindre ce chiffre il faut, évidemment, cumuler (oui faire le total) des fraudes massives, des subventions illégales, des exonérations vraiment hors de propos, sans omettre les non paiements d’impôts (quelles charges fiscales se tapent ces pauvres riches en s’en soulageant sur les autres !), des abus d’intérêts, des sur assistanats, sans oublier les plus qu’illégales…privatisations, oui des services publics à but non…lucratifs (ce qui représente bien un crime direct contre les pauvretés). Voici qui prend plein sens et fait comprendre qu’ « il n’est pas difficile d’abolir la pauvreté »…à condition, déjà, que les trop riches arrêtent de vivre sur son dos. Comment cela se passe ?

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Ainsi élucidé que les pauvres c’est une petite part (toujours plus réduite) des dépenses globales publiques (la comparaison avec la pollution de l’air fout même K.O.) nous touchons à la méthode employée…La problématique est si vaste et il y est semé, avec préméditations, tellement de confusions qu’il faut procéder par une mise en clarté progressive (selon le principe que les fausses élites sèment le désordre partout…facile à comprendre, la société irait tellement mieux sans eux et leurs irruptions désordonantes. Ce ne sont tout de même pas les pauvres qui empêchent la société d’entrer dans le clair et net…progrès social). Et donc ? Ce texte (1) nous trace tout l’immense argumentaire qui prend dans ses filets les fraudeurs (les trop riches) et explique méticuleusement comment les pauvres sont les…vrais fraudés. Ainsi ossaturés, en (2), nous irons dans le moindre détail. En réponse à toutes les questions qui surgiraient. Et en (3) un zoom arrière afin de synthétiser selon le principe Nous pouvons trouver des solutions que si nous connaissons la réalité de la situation. Eh bien, partons en (1). D’abord, par une configuration toute kafkaïenne :

**1) -- Le-capitalisme-supprime-la-pauvreté-en-l'augmentant

Où nous commencions à comprendre, de toutes nos fibres, à quel point les pauvres sont les grands...fraudés de la société. Ce déchiffrement augmenté ne va faire que se propager…

*** 2) - Il-n'y-a-pas-à-diminuer-les-dépenses-mais-à-récupérer-les-recettes

La dépense publique ce sont des investissements pour tous – interrompre ces investissements c’est ne plus servir « que » les riches…c’est oui semer l’injustice sociale partout. L'État finance ses dépenses par les recettes or le laxisme abusif envers la fraude fiscale des riches, les exonérations massives, les enfers fiscaux,  la part toujours plus restreinte des riches à la contribution générale, etc. nuit aux…dépenses publiques (trop de manques à gagner !). Et donc ? Triste rengaine hypocrite des dépenses à diminuer qui demeure l’écran de fumée et le grave mensonge idéologique. Puisque la part des dépenses publiques en % du PIB est constante depuis 1980. Nous n’avons donc pas à diminuer ce qui n’a jamais…augmenté ! Et que constatons-nous encore ? La vieille ritournelle de « tous doivent faire un effort » ? Et qui donc ce « tous » ? Les trop riches et les 32 000 milliards de $ des enfers fiscaux ? L’ISF toujours diminuée jusqu’à évaporation magique ? Etc. Non, jamais les trop riches n’ont d’efforts à fournir…toujours que des « désefforts »…donc toujours les plus pauvres plumés et pressurés illégalement ? Et pour cause…Les constats évités ? ** (voir le dérouleur vertigineux de toutes les solutions à notre portée dont…)…en recettes, qui évitent grandement toute diminution contre-productive des dépenses publiques : il n’est que de penser au 418 milliards dus par la grande distribution ! etc.

*** 3)    - c'est-parce-que-les-riches-ne-sont-pas-pénalisés-que-tout-va-mal

Les services publics à but non lucratif diminuent significativement la pauvreté puisqu’il y a réelle redistribution. Le privé fait exploser partout les inégalités et augmente, lourdement la pauvreté puisqu’il vit, parasitairement, sur son dos. Et qu’il n’y a absolument aucune…redistribution…Voir toutes, mais toutes «les pénalités de pauvreté» dans ce lien…Ainsi que tant de solutions inemployées : ce qui aggrave inutilement toutes les souffrances

*** 4) -    Donc-les-trop-riches-créent-des-richesses-juste-en-en-prenant-beaucoup-trop-?

La part aux pollutions globales et aux destructions de la survie commune demeurent réellement affolantes. A quoi il faut ajouter les externalités, ces gigantesques coûts cachés, les non partages des plus-values collectives, enfin tout ce qui rend complètement fausse la prétendue théorie économique néo-classique qui transforme, chaque jour, en plus stupide encore le libéralisme et ses drogués durs…

*** 5) - Accuser-tout-discours-qui-dit-que-les-pauvres-sont-des-voleurs         oui du 14 décembre 2012

En effet, le non-recours aux droits est bien supérieur à la fraude ! Et les médias et les pouvoirs le savent bien. Si la fraude maximale ne peut dépasser les 4 milliards d'euros, le non paiement des droits que les pauvres ne réclament jamais, lui, représente 10 milliards 855 millions …soit 2,71 fois plus (17, 16 %) que les supposées "fraudes"…Il y a donc BIEN MOINS DE FRAUDES que les médias indignes et les pouvoirs calomniateurs n'en font la propagande. En fait, c'est la société qui vole les pauvres, les spolie au grand jour. Et ose les diffamer en plus…selon le principe extraterrestre “plus on vole plus on devient plus pauvre”. Nouvelle catégorie sociale 2018 : les pauvres…appauvris !

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*** 6) - Les-riches-coûtent-tres-cher-à-la-société-   du 24 Mai 2013 (depuis cela a nettement empiré !)…

"Les pouvoirs publics ne sont pas là pour garantir que les riches seraient aussi riches qu'ils pourraient l'être." (p. 61- James K. Galbraith - Comment la droite a renoncé au marché libre et pourquoi la gauche devrait en faire autant, 2009). Cette erreur méthodologique appartient bien au même cadre intellectuel…qu’une personne, un clan ou un parti volent les circuits de décisions et aboutissent aux pires actes que l'on puisse commettre contre un pays. En France (et dans beaucoup de pays européens) c'est pareil. C'est de la soft dictature, peut–être, mais de la dictature quand même…L ÉTAT N'EST PAS LA POUR SERVIR LES RICHES (James K. Galbraith nomme même cette illégalité…« l’état prédateur » !)…soit il se remet à défendre l'intérêt d'absolument tout le monde soit les imposteurs, qui séquestrent son potentiel généraliste, dégagent !

*** 7) -  Le-trop-riche-en-le-seul-assisté-réponses-par-l'image-des-graphiques

Il suffit de dérouler les images incluses et nous nous retrouvons sur le cul. Vraiment la réalité est de notre côté (11 juin 2015).

*** 8) -  Le-capitalisme-est-une-immense-fraude-qui-a-fait-croire-qu'il-n-y-a-pas-de-fraudes

Les fraudes c’est quoi ? Des fraudés. Mais toujours omis ces fraudés. Pas sur la photo. Virés par la petite porte. Pas inclus dans l’impact complet des fraudes. Toujours celles-ci seront traitées comme désincarnées, immatérielles, évanescentes. Comme si les fraudes n’avaient aucunes conséquences concrètes sur qui ne fraudent pas. Le capitalisme fuit, sans relâche, toute réalité, vit sur son petit nuage d’irrationalités où rien de ce qu’il fait n’a d’effet (et donc pas de plus grand…idéalisme que cette foutue foutaise !) Nulle vision plus utopique jamais n’a été perçue nulle part. Dans tous les discours capitalistes, la réalité est interdite !  Les inégalités financières, pour ces graves lunatiques, ce ne sont donc que des mots. Et que c’est inesthétique de parler des inférieurs (sic)…etc. Pour qui veut visiter l’intérieur si pervers des esprits monstres qui font durer un tel système insensé ET insensible, le texte se met à disposition !

*** 9) -  Les-multinationales-paient-beaucoup-moins-que-les-particuliers   1er novembre 2013 (aucun changement « significatif » depuis !).

Même pas que les médias dits dominants alliés aux médias mais oui subventionnés oublient oui oublient de nous en tenir informer (alors que, comme dirait l’autre, ils sont subventionnés par notre argent. Pas celui muti-avare des multinationales !)

*** 10) - Qui-a-détressé-les-détressés-?  ce 12 janvier 2012

Exactement comme qui a démuni les démunis ? Oui qui a déshérité les déshérités? Il demeure impossible de se démunir soi- même. Nous sommes seulement démunis par les autres ! Et ils désirent, si courageusement, que cela ne se voit pas du tout. Alors il ne leur reste qu'à vous stigmatiser. En plus de vous spolier. Le pré-jugé n'a aucun autre fondement rationnel – sinon de tout s'ad-juger. Qui nuit nuit toujours plus. Qui a tort torture en plus… les déshérité-e-s le sont, uniquement par autrui. Le preste mouvement se fait, d'ailleurs, prendre en flagrant délit : tout reste présent sous nos yeux. Puisque qui s'est emparé des dés-emparés ? Oui qui ? LES NON ASSISTÉS notoires que sont les trop pauvres – sinon ils ne seraient plus "assistés" (sur le papier) ! – se voient ainsi plus que maltraités par la société. Insultés et humiliés sans cesse…Rien que l'argent des condamnations pour diffamations feraient centupler leurs revenus... Justice immanente ?

*** 11) – Les-pauvres-sont-un-bienfait-pour-la-communauté.

C’est en 2016 – les preuves abondent que les pauvres sont rançonnés par la société :

Sur les loyers

Sur les montants des assurances

Sur le moindre service

Sur le gaz, l’électricité, le téléphone (penser au taux injuste des mobiles), etc.

Sur les prêts bancaires à taux toujours non préférentiels

Avec le poids d’une TVA très lourd pour de petit budget serré de partout.

Sur la nourriture du fait de ne pouvoir acheter qu’en petites quantités, etc.

Oui de partout. Et selon le travers (connu en psychologie) ce sont ces escamoteurs qui accusent les pauvres d’être des voleurs. Le « regard froid »  de Roger Vailland n’y voit que des…volés. Des volés de partout. Les pauvres comme volés sont des bienfaits pour la société. Ce que ne sont jamais les voleurs. Ceux qui font de la fraude fiscale (si énorme que son montant porterait tous les français au dessus du seuil de pauvreté – donc qu’il n’y aurait plus de…pauvres !). Pas un bienfait pour la communauté ceux qui s’effondrent dans le déshonneur des paradis fiscaux. A sommes trop énormes et qui appartiennent aux…contribuables. Ou la grave maladie mentale de « privatiser les bénéfices et de nationaliser « leurs » pertes ». Aberrations farfelues. Les mêmes qui osent appeler « charges » ce qui ne sont que « cotisations » pour les salariés. Alors que les salariés pauvres paient tout de a à z (ce pourquoi « cela coûte toujours plus cher » d’être pauvres – les flagrants délits abondent !) …n’ont jamais…d’exonérations, d’aides à l’emploi (ce qui, pour les grandes entreprises, donne toujours le même cinéma d’angélisme des pouvoirs « ah nous pensions qu’ils allaient vraiment investir dans l’emploi et pas dans la Bourse » ! Et toc, ils recommencent à exonérer les spéculateurs indignes…ont-ils vraiment un cerveau ?). Non, les seuls qui méritent d’alléger leurs charges (réelles celles-là) ce sont les pauvres. Trop spoliés ! Et pour l’économie, ce sont les PME- PMI, les pauvres, celles qui préfèrent protéger leurs employés plutôt que se déshonorer en Bourse et qui n’iront jamais chuter dans l’inadmissible acte d’aller se coter en Bourse en virant les humains du partage des…plus-values. Elles, elles ne sont pas assez exonérées et les multinationales beaucoup…trop ! Et donc la stupidité « d’alléger les charges », du fait de la généralité de la formule, disqualifie qui l’emploie. C’est déjà trop pratiqué…et pour des effets vraiment désastreux !

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Vers une conclusion ? *** 12) - Abolir-toute-pauvreté-non-cela-ne-coûte-pas-cher-du-tout

Afin d’aplanir toutes les routes, tous les doutes, toutes les hésitations et de propulser tous les élans, les beautés des cœurs, les partages et l’abondance des solutions…ce texte s’enjoie de tant de liens et de profusions de textes jubilatoires. Oui transformer le monde ne coûte rien ou quasiment. Empêcher l’Évolution naturelle, par contre, coûte une fortune ! C’est ne pas faire qui coûte pas faire et entreprendre !

*** 13) - Conséquences-des-riches-qui-ne-gouvernent-que-pour-les-riches   du 3 août 2016

En très simplifié il y a 2 grands types de sociétés : La prospérité c'est pour tous, la richesse qie pour la minorité. Nous sommes à plein et avec, dans une déraison totale, dans la richesse QUE pour le petit nombre…ce qui ne peut qu’appauvrir tous les autres (vérifié !) Et ? Et ce petit nombre, bafouant toutes les règles de la démocratie veut voler directement l’argent des impôts et taxes, se les monopoliser – donc en démarrant par diffamations tous azimuts. Pas de bol, la réalité c’est des faits et tous ces faits unis et réunis pulvérisent les puérilités ridicules de ces calomnies vraiment plus nulles que la nullité (ce texte en devient le constat exhaustif. Il n’y plus de vraiment sérieux que des humains comme nous !).

Même en chanson. C’est dire.  Pas-sérieux !

>>> *** Selon le principe résistant de Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !...Les pauvres sont donc les fraudés et pas les fraudeurs. Nous avons vu la vaste démonstration dans ce (1)…il n’est pas, dans le prolongement pratique de telles vérités, pas  difficile du tout d’abolir la pauvreté…

….en commençant à fond par empêcher la société de s’organiser….

…………….  structurellement pour voler les pauvres. C.Q.F.D. !

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>>>>>>>>>>>>>>>   --- ANNEXES -----    <<<<<<<<<<<<

Sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, en cliquant sur l’onglet 4 au titre " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir "…vous pouvez lire ce livre très utile…dont voici l’épilogue…

ÉPILOGUE : Et, au fait, vous interrogez-vous , qui est le vrai démagogue ?

Vous admettrez que nous avons pris toute précaution. Et qu'ayant pris toute précaution, nous pouvons avancer comme une réponse. Depuis 1990, il existe des bases de données qui couvrent presque tous les pays sur une période remontant jusqu'en 1820. "Elles démontrent de façon incontestable la divergence croissante des revenus par tête sur longue période. Ainsi, par exemple, l'écart entre le revenu du pays le plus riche et le revenu du pays le plus pauvre était de un à quatre en 1820, de un à treize en 1913, de un à vingt-six en 1950, de un à trente neuf en 1989 et de 1 à 80 en 2015" (p. 153, Jacques Nikonoff, La comédie des fonds de pension - une faillite intellectuelle,). Le capitalisme n'a supprimé aucune misère, n'a diminué aucune inégalité. Il a tout augmenté. Il n'existe donc pas de plus grand démagogue que le capitalisme qui leurre le monde entier en osant qu'il diminuera, partout, la pauvreté. C'est faux. Le capitalo est un démago !!!

Pour ce qui est des écarts entre individus, l'accélération est nettement plus forte et les inégalités encore plus criantes : ainsi un homme seul possède plus que le P.I.B. des 17 pays les plus pauvres, presque bientôt d'un continent vous entendez. Un homme seul ! La propagande nous a fait croire : l'inégalité c'est dans le passé, nous allons vers plus d'égalité. Nous venons de voir que c'est très exactement l'inverse. Les écarts individuels moyens sont passés de 1…à 849. Beau progrès vers plus d’équité, (mot destiné à supplanter l’égalité et qui a tellement amplifiées toutes les inégalités qu’il y un clair…problème avec ce mot !) vous voyez !

La démagogie ( mille fois pire que la mauvaise appellation « populisme » (ce mot futile des classes moyennes))…

…………., depuis plus de deux siècles, a donc sauvagement régné.

…..….......……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous pouvons trouver des solutions que si nous connaissons la réalité de la situation

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu