Les neuro-pirates : défendre sa liberté mentale…

Sauf que, cette fois-ci, les pirates sont au pouvoir. Qu’ils veulent nous chouraver notre esprit critique. Nous embrouiller nos libertés mentales. Et nous enfermer dans des faux dilemmes. Qui a du nez, sent que cela pue et sort du cadre….aussi simple que cela. Puisque qui stagne dans le même cadre risque de s’auto-enfumer. La liberté de penser implique que nous l’utilisions à fond, la changions de paysage, lui construisions des situations qui lui permettent de déployer tout son potentiel. Etc. Radoter des slogans rabâchés c’est le moyen le plus nul pour se livrer aux neuro-pirates au pouvoir. La vivacité est leur pire ennemie. Surtout celle qui dit que vive est la vie car vive la vie. Ou bien pas question de dire MDR, de zombifier scélératement les autres…nous, nous maintenons le VDR le Vivant de rire et les neuro-pirates en reculent dans les tanières de leurs manières…Lorsque plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper !

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Un nouveau type de comportements peu étudiés, peu connus et qui attirent peu de désirs de les comprendre…D’où notre approche envers des pseudos solutions qui n’ont vraiment pas de sens. Vu la violence extrême des pouvoirs qui ont peur, qui se sentent acculés, toujours plus coincés dans l’absence grandissante de solutions, ils se…réfugient dans les conservatismes les plus antisociaux, les dénis massifs des réels qu’ils provoquent et qu’ils ne veulent pas connaître, d’où leurs tempêtes de mots vides mais des immobilismes collectifs toujours plus apparents, etc. Les ingénieurs sociaux (appellation non congruente) c’est…remplacer par LEURS éléments de langage tous les nôtres (à savoir : plus nous sommes diversifiés moins ils peuvent nous nuire collectivement ! Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper)…Commençons par les fausses solutions d’apparences séduisante et attrayante, et qui ont toute un point commun : elles endorment fortement en osant que vous n’avez aucun effort à faire pour comprendre. Et encore moins d’effort à faire pour agir. Donc nous devenons complices des immobilismes, des peurs de changements, et nous exhibons une parole qui se croit subversive tout en ne montrant que des…extrêmes conservatismes de comportements. Et donc ?

Expérience-client-symétrie-des-attentions-et-care-un-changement-d'ère-(vraiment?)

Qu’est-ce que la « symétrie des attentions » ? « La symétrie des attentions s’inscrit indéniablement dans un vaste mouvement qui vise à renouveler les pratiques managériales [[ c’est attaché aux intrusions des dits « ingénieurs sociaux », ou comment faire accepter le chaos des inégalités si contre-productives, que nous introduisons ce concept, ici !]] : management par les valeurs, le management bienveillant, la libération, la responsabilisation ou encore le servant leadership. Elle présente toutefois la particularité de s’adosser aux stratégies de relation (puis « d’expérience ») client. Elle en constitue une sorte de contrepoint managérial, le gage d’un alignement des pratiques relationnelles dans l’organisation – qu’il s’agisse de relation client, de relation managériale ou encore des relations entre pairs au sein de l’entreprise.

À l’origine, la symétrie des attentions signifiait, pour les entrepreneurs du secteur de l’hôtellerie Olivier Devys et Gwenaël Le Houérou (créateurs de la marque Suitehôtel, devenue SuiteNovotel), une indispensable mise en cohérence des exigences relationnelles et attentionnelles au sein de l’entreprise. La qualité de l’expérience que l’on souhaitait faire vivre aux clients impliquait une qualité de l’expérience collaborateur, porteuse d’une même exigence. Ce principe managérial, finalement assez intuitif, a inspiré de nombreuses démarches de changement. Il poursuit aujourd’hui son chemin sous une forme ou sous une autre (et à des échelles très variées) dans des entreprises aussi diverses que BNP Paribas Cardif, Air France, Carrefour, Cultura, Enedis, Macif, Maif, Leroy Merlin, Orange ou encore SNCF.

Pour autant, son opérationnalisation (comment dépasser l’adhésion de principe à un postulat et le mettre réellement en œuvre et « en preuves » au sein d’une organisation ?) mérite encore d’être approfondie. Comment déployer concrètement la « symétrie des attentions » dans nos organisations ? Est-il possible d’en mesurer l’impact (le « retour sur investissement ») ? À ces interrogations s’ajoute également la question de ses fondations plus théoriques. Car sans elles, on risque de construire sur du vent… » En effet, les rapports sociaux vus comme du management c’est du vent. Toutes ces approches, afin d’en trouver un vrai fondement, se déguisent en analyses (qui présentent toutes les apparences de rationnelles) – cependant c’est du vide qui est moulu. Vermoulu…Puisque ce qui veut rester…ignoré, hors champ, non analysé constitue la plus grande partie de cette non pensée. Il est fait comme si les inégalités destructrices de l’associété n’existaient pas. La véridique « symétrie des attentions » c’est de lutter contre les inégalités, de mettre immédiatement fin à la misère, d’étendre le concept de pauvreté généralisée (sur le socle de tout le monde à 2000 € par mois) et d’établir un revenu maximal garanti (un plafond puisqu’il y a déjà un…plancher, le dit salaire minimum). Le tout alimenté par la réappropriation de 80 % des patrimoines des trop-riches…sinon c’est comme si ces managements nébuleux voulaient se réapproprier l’aura des babas cools, flottant hors des rapports sociaux et humains…conflictuels !

Ceci donne un : nous n’allons pas encombrer la conversation avec les douleurs de vivre sans quasiment de revenus. Moi je vais bien avec beaucoup trop, va seriner le manageûr, donc vous allez bien puisque je vais bien. Pour moi symétrie des attentions : je prends toute votre attention pour mes lubies indéfendables autrement. Mais je ne vous donne rien de la mienne. Quoi de plus équitable ? La même analyse peut agir au sujet du « tiers *lieu » (selon la psychothérapie paradoxale qui énonce que seul…un tiers extérieur peut sortir d’une situation collective bloquée, des désastres des glaciations causées par les guerres de positions, comme des humains en vertiges psychotiques, etc.). Alors que l’urbanisme unitaire et sa technique de dérives ont déjà résolu cette problématique par des actes corporels très simples : détourner sainement les objets et SE détourner d’un bloc de l’anti-sociabilité insalubre. Et…sortir des cadres des faux problèmes qui ne nous enserrent que dans des prisons…mentales. Dont la sortie se nomme demeurer spontanés et sincères, simples et droits.

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Ingénierie-sociale-corporative

« L'ingénierie sociale ("social engineering") est une technique qui vise à accéder à des informations confidentielles ou à certains actifs par la manipulation de personnes qui y ont accès directement ou indirectement. Le « phishing » (hameçonage) est un exemple d'ingénierie sociale. L'ingénierie sociale ne s’applique pas seulement au domaine de l’informatique, elle peut survenir dans la vie de tous les jours et plus particulièrement sur le lieu de travail. A partir du moment où des actifs ayant un certain intérêt sont en jeu, des attaques de ce type peuvent apparaître.

Le facteur humain [[ puisque dans la « machinerie sociale », ainsi hautement simplifiée, l’humain est considéré comme le « maillon fable…il a, en effet et en cause, le défaut d’être…humain !]] est le point central des techniques d’attaque rencontrées dans l'ingénierie sociale. En essence il s'agit de la manipulation intelligente de notre propension naturelle à faire confiance. [[ autant dire que ce sont des techniques nihilistes et cyniques des fainéants au pouvoir qui veulent tout corrompre – faire tomber tout le monde en…haut, là où la moralité se situe bien en dessous de zéro. Seuls des ennemis de la société, fussent-ils au pouvoir, peuvent défendre de telles scandaleuses techniques… ]]. Des relations de confiance ne reposant sur rien de concret sont mises en place de manière calculée, mais le plus souvent par simple discussion, et exploitées par la suite pour tirer un maximum de profit de la situation [[disons, en plus court, que ce sont des  vils maquereaux des situations, qui, en plus font, la pute…rien d’admirable – tout de pitoyable donc !]]. L'ingénierie sociale peut se faire via téléphone, courrier électronique, via des réseaux sociaux et bien sûr en présence physique de l'attaquant. » Cette vision hyper spécialisée de « l'ingénierie sociale » peut nous égarer, en omettant de se faire connaître pour un concept politique. Enfin, cette fausse politique que nous détestons tant ! : celle qui « ne sert qu’à » tromper, mentir, manipuler, égarer, corrompre de propagandes et ne tenir aucun de ses engagements profitables au plus grand nombre…ces usuriers antisociaux vont user et abuser de tout ce qui reste beau dans la société. Leurs usages répugnants des concepts, des pensées, des émotions collectives et du…langage sont, sans cesse à dénoncer !

wikipédia--/Ingénierie-sociale_(science_politique)

« L’ingénierie sociale est née de la professionnalisation du social. Dans le secteur social, les usagers vivent dans un contexte socioéconomique et environnemental de plus en plus complexe. Par ailleurs, la réponse sociale aux problèmes actuels de la société demande une compréhension de plus en plus large d'un problème : public cible, politique, environnement, économie, budget, législation, réseaux et partenariats, évaluation, cohérence... Aussi, l'ingénierie sociale désire appréhender la complexité du social pour en permettre des changements positifs sociétaux. »…oui mais En faveur de qui ? Ces angles aveugles qui baba coolise toutes ces fausses approches voudraient faire oublier que nous sommes là dans la très répulsive…manipulation des autres. Une des grandes déchéances de l’être humain (comment pouvons-nous ne faire QUE mentir et tromper les autres ?)… En résumé 2 séries de comportements demeurent à la taille de la problématique :

** 1)--- limiter les préjudices et ***2) – se défendre et pourfendre les méfaits des neuro-pirates …………………*****************************

doublegenre---/Ingénierie-sociale-et-piratage-du-cerveau

« Neuro-Esclaves -Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse », novembre 2013, pose tout au long de ses pages la question centrale de l’ingénierie sociale : comment pirater un cerveau ? Comment prendre le contrôle à distance d’un sujet pour, au choix, le réduire en esclavage, le détruire ou, au minimum, modifier son comportement ?

Le cerveau a deux origines : génétique et épi-génétique. On peut donc pirater un cerveau en piratant le donné génétique, ou en piratant le construit épi-génétique. Le substrat génétique est donné par la naissance, par héritage génétique. L’épi-génétique, quant à lui, se construit dans la relation avec l’environnement, notamment socioculturel. En introduction à l’exposé de Marco Della Luna et  Paolo Cioni, et en écho à l’extrait de son livre cité en exergue, je vais me concentrer sur ce piratage de l’épi-génétique du cerveau, en particulier dans ses aspects socioculturels, psychologiques et langagiers. Piratage et programmation cognitive… » Ce sont très exactement nos angles d’approches. Le texte, mis en lien, assez long reste ouvert pour qui veut aller au fond des choses ! Ensuite, les 2 vidéos (placées en tête des vidéos) de Lucien Cerise sur les esprits zombies (ou comment s’auto-militariser soi-même et s’armer sournoisement contre tous les autres) – un lien vers un long entretien. Où nous avons détecté 2 possiblement nocifs « angles aveugles » (il ne faut pas que la lutte contre l’ingénierie sociale fasse autant de dégâts qu’elle !) :

**1) – l’aveuglement de la spécialisation (ne plus voir le monde entier que comme notre occupation principale nous le montrerait). A ceci, les remèdes salubres demeurent l’art des conversations, la curiosité bienveillante aux autres, le goût indomptable des diversités (la foule ce n’est pas le bordel) et la …pensée unitaire (la pensée branchée cœur est unie et les spécialisations non limitées sont des aliénations dont il faut se méfier). Et donc ? Des portraits dressés de « zombies » reconnaissables nous semblent parfois tendancieux. S’ils devenaient objets de chasses, ils se…tromperaient de cibles. Il existe, en effet, des anticonformistes (très sains dans la tête et le cœur) qui « répondent » à ses signalements trop unilatéraux. Et puis, aux faits, « d’où parle » qui énonce en surplomb ce genre de…sortes de condamnations ?

*** 2) – le postulat de base que – afin de se démarquer de ces zombies – il faut et il suffit d’admettre ses propres conditionnements. Nous ne serions tous (et c’est ce tous qui crée le malaise) « que » pétri-e-s de conditionnements. Et donc « pas de retour sur ses propres conditionnements » (amélioré en non-réflexibilités…) « condamne » à entrer dans la catégorie « zombie » ? Ce avec quoi nous ne sommes pas d’accord. Nous avons assez rencontré d’humains spontanés, naturels (en qui la nature précède la culture), simples et droits pour bien admettre que les manipulations ne peuvent « infiltrer » tout le monde. Que des humains se sont débarrassés d’eux-mêmes, et dès l’enfance, de tous les conditionnements successifs qu’ils auraient pu subir. Qu’ils n’ont donc rien à avouer. Au contraire, oui ils/elles posent les limites du « zombie à tout faire ». Une illustration (nous allons résumer) de cet humain spontané : « Dans le monde actuel, je souffre beaucoup. Je ne fais pas exprès, ce n’est pas un rôle, mais ma nature entière : dans moi tout est droit et direct. Je n’ai pas de replis, de reculs de calculs et…d’arrière-pensées, je me sens « entier », d’une pièce. Mon regard aussi est droit. Ce qui le « sort » vite de débats où tous les faux arguments deviennent…tordus, tortueux, malsains (impec’ donc)…Mais me fatigue tant à tenter de trouver « derrière » ces sournoiseries du sinueux, s’il n’y pas quelque chose de fondamentalement sain. Et même pour les solutions – que c’est dur d’expliquer que les solutions restent toujours plus simples que les problèmes, que nous pouvons les…commencer par un premier point…sans attendre leur réalisation-finale-comme-preuve « obligatoire » pour…commencer, que le trésor infini de nos têtes, couplé avec ce second trésor infini qu’est le langage, nous permet de tout simuler (soit de vivre chaque hypothèse de tout notre corps sans sa concrétisation définitive). La simulation c’est la santé : les neurones –miroirs qui offrent les synesthésies, etc. nous le prouvent, ces arts de vivre dans un maximum de santé en …accord intime avec la …Nature, demeurent donc sans cesse…accessibles !»…Nous ne voulons pas perdre cela. Ces 2 restrictions très fermes nous limitent dans notre adhésion envers le concept de …zombie, le civil paramilitaire qui sert (sans s’en rendre compte) les intérêts indéfendables de l’oligarchie folle…  

L'ingénierie-sociale-vraiment-décortiquée-par-Lucien-Cerise/

« Dans Oliganarchy, je brosse le portrait d’un conseiller du président des États-Unis, un spin-doctor dont la philosophie est une sorte d’hyper-rationalisme utopiste. Il pense sincèrement que le monde doit être réduit à une mécanique scientifique parfaitement huilée et prévisible pour que les gens soient heureux. En fait, il ne pense même plus aux « gens », il ne poursuit qu’un seul but : réduire l’incertitude à zéro pour mieux gérer les « choses ». Or, abolir toute incertitude est impossible, sauf à pouvoir prédire l’avenir dans des proportions telles que l’avenir est aboli [[ d’où l’inertie actuelle ! L’immobilisme augmenté par les conformismes…]]. C’est le mythe de la fin de l’Histoire, quand il n’y a plus de contradictions, donc plus de tensions, donc plus de mouvement  [[ sauf N.R.V.]], théorisé par Hegel au début du XIXe siècle et qui anime ses descendants spirituels de gauche (marxistes) comme de droite (libéraux), qui tous rêvent à une société sans classes et/ou sans frontières. Le paradoxe que j’ai essayé de mettre en scène est que pour arriver à ce « paradis sur Terre », il faut détruire la Terre, ou au minimum en faire un enfer. Pour parvenir à ce monde parfaitement rationnel, il faut détruire le monde, le stériliser, en retirer la vie biologique [[ ce complet bordel, pour ces esprits…simplets]] pour la remplacer par une forme de vie plus prévisible, cybernétique, numérique, transhumaniste, etc. Pour certains individus comme mon personnage, cette extermination de l’espèce humaine et de tout le vivant n’est qu’un dommage collatéral. « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. » [[ sauf que c’est l’œuf de la Vie et qu’il n’y en a pas d’autre !]]. À mon avis, ce ne sont donc pas vraiment des bons sentiments [[ surtout pas…]] qui motivent les principaux acteurs de l’ingénierie sociale mais plutôt une volonté de puissance exacerbée [[ celle exactement des pervers narcissiques, ou bien l’impossibilité de devenir adultes…donc de se sentir responsables…des autres. Ce qui fait désordre dès que l’on s’autoproclame « responsable irresponsable politique » des autres ! ]], un fantasme d’abolition complète de l’incertitude et de contrôle total sur tout. »…A noter que ce bref extrait peut donner envie de lire tout l’entretien…

Mais que, afin de conclure, nous devons informer avoir résolu – pour notre part - la problématiques de ces humains…hyper conditionnés dans…notre « Anthropologie brève des armées » (première partie du très salubre Assentiments aux sentiments – premiers pas vers une paix mondiale, mis en ligne en 2 000)   et qui peut être lu gratuit à la seconde sur  http://www.freethewords.org/   en cliquant sur l’onglet 4.

…où nous avons fait vivre intégralement chaque conditionnement de l’armée…

Mais par l’immense rire si réparateur…rire réparé qui permet de « Lire entre les lignes »…lire comment c’est que d’être dans une paix intérieure vraiment complète !

……………………..le rire immense contre les zombies ?

……..………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu