Lorsque Vive les convives ?
Trouver les cuisses des caisses. Oui les fuites des f…tout se faufile, file entre les flots, les faux époussetés ne reviendront plus. C’est que : «j’ai dû prendre l’habitude d’employer des formules toutes faites au lieu de formuler exactement ce que je veux dire. On peut dire que d’une certaine manière tous les hommes sont des brutes (p. 316 – D.H. Lawrence – Nouvelles complètes II, La coccinelle (The ladybird), 1987).» D’une certaine façon, il nous faut comme trouver des formules plus…émancipatriciennes ! La convivialité c’est tout pour le convive. C’est dire que vivre le convive. Le convivial est, alors, cet immense gain collectif. Lorsque la collectivité devient la richesse durable, inépuisable et à l’infini…partageable (le mot le plus empli de futur possible).
Que va-t-il donc devenir de l’ordre établi vu qu’il tablait sur la table. La table afin d’en faire son établi où s’établissaient ses lois ? Désormais sans tables. Surtout de multiplications…d’où le surgissement des…commensal, commensale, commensaux - Définitions : retrouvons la définition de commensal, commensale, commensaux (pour l’Histoire) Désignait les officiers de la maison du roi qui "avaient bouche à la cour" lorsqu’ils y étaient de service (service ainsi…compris !).
Godefroy était donc établi au château, non plus comme hôte, mais sur le pied de commensal. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839) .
Par extensions …l’humain qui mange (habituellement) à la même table qu'un autre ; compagnon de table ; hôte…Puis…toutes personnes (professeurs, personnels administratifs, personnes extérieures) en dehors des élèves mangeant dans une cantine scolaire (une cantine qui va à l’école)…De mensa table. Le mens latin formant le principe de la pensée et de la réflexion ! Expédier un repas c’est un peu, alors, comme …perdre la tête !
Pour-détruire-un-pays-lui-voler-son-éducation
>>> *** -- « Un sage chinois, il y a de cela plusieurs siècles, conseiller de son empereur, confia à ce dernier : « Si vous voulez détruire un pays ennemi, inutile de lui faire une guerre sanglante qui pourrait durer des décennies et coûter cher en pertes humaines. Il suffit de lui détruire son système d’éducation et d’y généraliser la corruption.
Ensuite, il faut attendre vingt ans, et vous aurez un pays constitué d’ignorants et dirigé par des voleurs. Il vous sera alors très facile de les vaincre. »
Et qui demeurent remparts de l’éducation, sinon les penseurs précurseurs, les vrais écrivains et les irréductibles moralistes ? Donc la vraie phrase est qu’il faille les bâillonner d’abord. Ce que les conformismes de droite comme de gauche même la gauche de la gauche, dits « institutionnels »… s’empressent de faire ! Pourquoi donc ? Pour nous c’est par inaptitudes radicales à la synthèse, par la perte dramatique de l’esprit de synthèse, par des cœurs à la dérive, par des vies non unitaires (s’éparpillant dans les fausses spécialisations). Oui, nous rappelions-nous avoir croisé des humains ENTIERS. Forgés d’un seul bloc. Droits comme des menhirs. Indestructibles…inséparables d’eux-mêmes devient l’excellente formulation. Ainsi que la thérapie à suivre : redevenir entiers. D’une seule pièce… Le temps n'est à personne, alors prenons-le.
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Est-ce donc la fin de la commensalité ? Nous expédions nos repas, toujours plus vite, encore moins de temps à y consacrer… Nous expédions donc nos repas où cela et à qui ? La fin de la commensalité ? La ripaille est sur la paille.
l'abécédaire-de-Pier-Paolo-Pasolini
Quand : « Quand il ne restera plus rien du monde classique, quand tous les paysans et les artisans seront morts, quand l’industrie aura fait tourner sans répit le cycle de la production et de la consommation, alors notre histoire sera finie. » (La Rabbia, 1963)
Non : « Le refus a toujours constitué un rôle essentiel. Les saints, les ermites, mais aussi les intellectuels. Le petit nombre d’hommes qui ont fait l’Histoire sont ceux qui ont dit non, et non les courts courtisans et les valets des cardinaux. Pour être efficace, le refus doit être grand, et non petit, total, et non pas porter sur tel ou tel point, absurde, contraire au bon sens.» (Entretien avec Furio Colombo, La Stampa, 8 novembre 1975)
Qu’est-ce qui nous discrimine alors ? Nous fait voir nos mines ? Nous détache du fond ? Nous fait sortir de ce dont il faut sortir ? Nous fait distinguer ce qui nous distingue ? Nous classe, aussi, soit nous sépare et nous isole. Qu’est-ce qui nous différencie, enfin – soit crée la plus énorme des équivoques, des malentendus les plus gigantesques, des problématiques sans solutions. Quoi donc ? C’est de s’être égarés sur ce que les inégalités permettent l’expression de nos différences alors qu’elle nous accule à tous courir dans la même uniformité, faire les mêmes gestes et s’aveugler si identiquement sur le fait que ces buts ne soient jamais vraiment concrétisés. Savourables et savourés…Que c’est une perpétuelle course en avant. Nous coutons toujours après ! Alors que ? Alors que l’égalité bénie permet l’expression d’absolument toutes les différences. Différences qui ne sont pas des inégalités, des supériorités ou des infériorités – juste des différences ! Différences non concurrentielles qui se juxtaposent dans une harmonie structurelle. Sans conflits. Le but demeure que rien ne puisse nous séparer de nous-mêmes. Nous diviser contre soi. Y faufiler quelque chose à vendre qui nous désolidariserait. Bref, pour le moment, rien n’y parvient, rien n’arrive à rendre moins solide les solidarités envers nous-mêmes ! Puisque réellement résorbées les…
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La-lutte-surtout-contre-soi-même
Lutter contre soi-même ? « Guérir son cœur » : on comprend bien qu’il ne s’agit pas ici de l’organe central de l’appareil circulatoire logé dans la poitrine, mais du siège des sentiments et émotions, des aspirations profondes et intérêts compensateurs, de la sensibilité et de l’affectivité… Ce cœur est affecté, ébranlé, parce qu’il demeure malmené par la tête. La « tête », c’est ici tout ce qu’on se dit, tout ce qu’on croit à propos de n’importe quelle circonstance éprouvante, toutes les pensées qui surgissent et qui pèsent bien lourd sur le cœur.
J’aime bien le rappeler et cela s’impose ici : « souffrir », c’est penser, c’est se dire des choses qui font mal, c’est se rappeler ce qui a fait mal et c’est envisager le pire. «Souffrir», c’est résister, c’est réagir, c’est lutter. Quand vous souffrez émotionnellement, est-ce pour vous autre chose que ce qui vient d’être énoncé ? Et la « tête » reste un piège, en des moments plus fastes en apparence, quand on croit pouvoir « jouir » du fait de porter toutes sortes de jugements, du fait d’avoir raison, d’avoir établi des preuves, d’avoir dénoncé des injustices, etc. Parce que nous demeurons inconscients, nous ne percevons pas le lien direct entre une forme manifestée de certitude, d’arrogance ou d’autosatisfaction (voire parfois d’égoïsme) et l’expérience de grande frustration qui se rappelle à nous si souvent.
Une fois que nous avons reconnu que nous luttons, quand nous nous sentons mal, que nous avons réalisé que nous luttons surtout contre nous-mêmes, il reste à nous donner le moyen de recouvrer la paix. [[ retrouver tout aussi bien, nous ne sommes pas des …perceptions…d’impôts. Qui voient quoi, au fait ?]]. » Donc les solutions sont bien en cours d’actualisations.
Comment-éviter-la-guerre-contre-soi-?
>>> --- **** Soit Changer ou la guerre si âpre contre soi ? Le but explicite étant même de se débarrasser de soi ! « Cette guerre intérieure est l’une des facettes de ce que les sociologues nomment la « réflexivité ». La réflexivité est la capacité qu’ont les individus à l’autoanalyse, à réfléchir à leurs propres motivations, à tenter de contrôler le cours de leur vie en mettant en place des stratégies de changement et des techniques mentales d’autocontrôle.
Selon Philippe Corcuff, la sociologie de la réflexivité prend au sérieux les capacités individuelles à s’observer et à prendre de la distance avec soi. En cela, elle se démarque de la sociologie déterministe pour laquelle l’individu était assigné à résidence sociale, comme rivé à son passé et son milieu d’appartenance. Pour comprendre les trajectoires des individus qui cherchent à s’affranchir de leur milieu, il faut sortir complètement de ce modèle. Les individus contemporains ne se resocialisent pas uniquement à partir des modèles familiaux ou de leur classe sociale. Telle une petite fille qui entrevoit à l’école, à la télévision, dans ses lectures, des modèles de conduites nouveaux auxquels elle cherche à se conformer. Cherche à se confirmer. Ce processus relève de la « socialisation anticipatrice », de l’influence des modèles ou des « identités possibles » incarnés à travers nos héros et légendes personnelles. L’individu rêve d’une autre vie et va tenter de se transformer, de conformer son rêve à la réalité. Il n’est plus seulement construit par son passé, mais comme aspiré par l’avenir. Le sociologue Jean-Claude Kaufmann [[ dans Quand je est un autre. Pourquoi et comment ça change en nous, 2008.]] décrit cette dialectique entre notre vie réelle et notre vie rêvée avec l’image d’une « double hélice », à la manière de la structure du code génétique.
Une première hélice est formée de l’ensemble des apprentissages, routines mentales, normes intériorisées [[ et que nous pouvons modifier, reforger, transformer…]] qui nous font agir au quotidien. C’est notre premier code de conduite. Autour de cette première hélice, s’enroule une seconde : celle de nos pensées intérieures. Notre petit théâtre intérieur est fait de rêveries, de projets, de pensées diverses souvent en décalage avec nos conduites réelles. Voilà la seconde hélice. William James appelait cela le « flot de conscience » ; ce cinéma intérieur produit une identité alternative, notre moi caché et secret, en décalage avec notre existence réelle. Il porte nos ambitions, nos rêves intérieurs, notre volonté de changement. Les deux hélices de la personnalité ne sont pas étrangères l’une à l’autre. Elles interagissent, s’enchevêtrent et s’influencent. Les projets d’hier ont pu contribuer à changer ma vie ; ce que je suis aujourd’hui est en partie le résultat des rêves du passé. Ils sont venus s’intégrer à mon tout premier moi. » C’est ainsi que les humains « s’augmentent » et surtout plus artificiellement. Il y a un sacré potentiel non encore utilisé : l’artificiel ne peut que demeurer une voie très secondaire.
Au lieu de se fourvoyer dans la psychologie artificielle, crocher vraiment dans les problématiques : Devenir l’ami de soi-même (que rien ne peut diviser séparer de lui-même) en apparaît tel le meilleur moyen de se débarrasser de ce faux moi encombrant, pesant, nocif, contre-productif (soit les lambeaux du capitalisme libéral en nous). Et nous voici immensément amis de nous !
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Il est des textes inspirés qui parviennent à la synthèse des émotions et des sentiments, des arguments et des meilleures formulations possibles. Ce sont les plus rares, de ceux qui nous soulèvent. En voici un – que vous pouvez déguster tout entier. Vu que nous en avons juste extrait un extrait succinct…
Vous-êtes-vraiment-connes-classes-moyennes
« La classe moyenne nous est encore vendue comme progrès indépassable pour le petit peuple qui du coup y aspire, mais on oublie de spécifier sa caractéristique principale : elle est le suppôt du pouvoir et ne peut de ce fait être considérée comme classe tant ceux qui la composent briguent l’individualisme comme dépassement d’une appartenance dépréciée : celle du peuple. Il n’est pas un hasard si le terme « populisme » rallie cette trop stupide classe moyenne contre lui, qui fuit comme le diable ce passé honni. Ceux de ses jeunes qui en sortent ne font que leur tambouille dans leur coin, leur « ensemble » est une nouvelle famille qu’ils se créent hors de la conscience du Commun [[ils ne sont vraiment pas sortables : leurs carences en sociabilités les transforment en proies pour les pervers narcissiques !]].
[[…ce qui conduit au plus intense des irréalismes : être toujours contre son intérêt. N’être soumis qu’à ses pires ennemis : les trop riches…]]. Personne n’est plus capable d’envisager se priver – un sacrifice- pour se sortir, et ses congénères, de l’impasse ; quelques-uns se meuvent dans leur branche pour obtenir un octroi, trébuchant et sonnant. Et sont contentés par peu. Vous vous abandonnez au sort mauvais au nom d’on ne sait quelle illusion que perdure votre anesthésie, mais vous souffrez dans votre intimité physique du retour en boomerang de toutes vos destructions. Et chacun de vos gestes en perpétue la continuation. L’impuissance vous qualifie, bientôt même à dépenser, et vos agitations ne sont que leurres car vous êtes quelques-uns à descendre dans les rues exprimer votre mécontentement en chansons : mais qui croit qu’une révolution se fait en chantant ? [[ insistant, persistant à toujours plus s’avancer dans les voies sans issues , la non-classe moyenne s’est autodétruite uniquement pour de piteux et miteux préJugés. En plus, c’est même pas vrai, ce à quoi elle « croit », croit à côté du réel !]]
Ohé ! Il est temps de sortir de son cocon tout tissé d’uniformité égalitaire, ce qui apaise la conscience, - on n’est jamais déçu par ce à quoi on n’a jamais participé, mais on peut l’être par une démission de soi au profit d’une mouvance, d’une parole, d’une providence-, et d’oser voir le monde tel qu’il est [[ la société bloquée, l’immobilisme suicidaire sont ainsi explicité : ils ne « se » décident jamais, ils sont décidés par d’autres !]]. Il est temps de sortir de l’enfance qui voudrait qu’on lui pourvoie ses désirs immédiats, parce que c’est demandé gentiment. Il est temps de mobiliser son courage, après avoir pris conscience que le monde, si nous n’en faisons pas la beauté, nous pouvons la préserver. [[ qu’au moins ces classes moyennes ne salopent pas, ne gâchent pas, ne saccagent pas les réponses urgentes et globales à l’urgence environnementale. Qu’au moins ces grandes brouillonnes si maladroites dépassent leurs faux maîtres. Et aillent dans le sens du progrès collectif, de l’émancipation sociale et non…contre. Réactionnaires pitoyables !]]…
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Classes moyennes qui REFUSENT toute convivialité, celle du vive les convives. Nous répétons les deux points très révélateurs de ce refus de grotesques boudeurs…1)--** Le diktat qui les congèle des démocrates étasuniens après la Convention démocrate de Chicago de 1968 où ils se figent à vie dans le « plus jamais de possibilités au peuple autonome d’entrer en politique. Lui barrer la route. Donc, concrètement Tout sans lui ! ». Ce pourquoi ils aberrent, sans cesse, par exemple avec ce « plutôt Bush que le peuple ». Ce délire trop conservateur les conduit mondialement (enfin occidentalement pour les médias égarés qui prennent les U.S.A. pour le monde entier) à QUITTER tout rapport populaire avec les classes populaires. [[et dire « populisme » est aussi burlesque et anachronique que de dire…bourgoisisme (…avec un laid rictus d’aigre mépris). Ce n’est absolument pas un argument, mais le prurit étalé d’un préJugé, qui juge à l’avance sans rien savoir et, surtout, en voulant ne rien savoir du tout !]]. Le desséchement affectif et moral, qui s’en est ensuivi, les aura poussé vers les corruptions, les trahisons et ventes soldées de tous leurs idéaux, pour ces droitistes ex-socialistes. Sauf ceux des 2 Amériques (centrale et du Sud), l’Afrique et l’Asie majeure, etc.….
**2) – L’acceptation gloutonne de ces classes moyennes de l’impossibilité du Rassemblement National (FN) de ce que ce sont le pauvres qui VOLENT les classes si moyennes, leur nuisent exclusivement. Donc que qui a 600 € par mois, allant jusqu’à 1000 €, est la cause directe de ce que ce 1 % des vraiment bien trop riches les a dévalisé, en 30 ans, de quasiment 50 % de leur patrimoine. Et que – donc – plus l’on est pauvre plus se sera enrichi en ayant volé – le vol appauvrit tant. Mais le trop riche, qui provoque les inégalités toujours plus antisociales, lui, ne spolie ni n’accapare jamais rien. Dénis du réel sous formes de reniements insensés. Tout de même faut être, et rester, complètement fou/folle pour gober de tels mensonges plus gros que les autres !
Donc ? Les classes moyennes sont devenues INVIVABLES. En cours de « néo cons », trop pour les guerres illégales, sans plus d’éthique (issu des mots du comportement), se déguisant de faux slogans de gauche qui ne durent pas l’espace d’un débat – oui le défaut INEXCUSABLE ?, Leurs monopoles antirépublicains sur le fonctionnement de la société, avec une psychologie de psychorigides aggravés. Vraiment exagérément insensibles. Le droit abusif de tout censurer n’importe comment (avec déchéance hors de la Distinction de Bourdieu et Passeron, qui incluait de protéger les chefs d’œuvres d’où qu’ils fussent issus). L’imitation soumise toujours plus sordide des trop riches (avec le copiage vraiment scandaleux de leur hyper répressivité), etc.…vraiment leur CHUTE à ces classes moyennes empressées de n’être plus que ferments de médiocrités couronnées, est plus qu’ahurissante. Sur le fond (derrière les apparences ) tout est corrompu chez elles. Elles auront lâchées les valeurs collectives pour l’ombre. Pour le retour de l’obscurantisme. Vraiment plus qu’inexcusables : tous les génies actuels auront mûri tellement loin de leurs orbes ! Ce pourquoi elles ne seront plus conviées convives, confiables fiables, aimables pouvant l’être, serviables et recevables de Rien du tout…Out of tune. Out of time. Out of taste. Out of culture. Le temps n'est à personne, alors prenons-le tout entier.
Que tout puisse que tout paisse. Que tout baisse que buissonne le reste. Qu’ils fuissent, s’enfuissent et qu’ils fouissent.
…………………………….Que même naisse la mouise ou que glisse la laisse !
Pourquoi, alors, ce Vive les convives ? – parce qu’elles/ ils y sont conviés, invités, conviés et convoyés, convolés, conversés…oui convergés ! Oui, alors à quoi ce que vivent les convives ?
A la gigantesque fête mondiale de la Naissance de l’Humanité…
…celle qui se Prouvera par l’immense marche promise (les peuples rencontrant en direct les peuples qui en direct rencontrent les…)
…………………………………. oui marche promise sur la terre Tenue !
……..……….(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Άρθρα/Βιβλιογραφία M. Lobrot | Βιωματική Παρέμβαση
Michel Lobrot Βιβλιογραφία στα γαλλικά (1966), La Pédagogie Institutionnelle. Paris, éd. Gauthier-Villars. (1973), Pour ou contre l'autorité. Paris, éd. Gauthier-Villars. ...
Michel Lobrot, L’Influence des modèles, 1987.
Est-ce la fin de la commensalité ? Nous expédions nos repas…Allons-nous perdre tous les meilleurs de la vie, ses qualités inquantifiables ? Nous expédions nos repas …où cela donc et à qui ?
Lille1tv - La commensalité à l'épreuve de l'individualisation des comportements
Deux sujets vont être abordé : Commensalité et individualisation. Les repas quotidiens se caractérisent par leur importante régularité, leur ancrage dans l'ordinaire et leur forte dimension ...
http://lille1tv.univ-lille1.fr/tags/video.aspx?id=9e06f610-6fdf-4ed1-a190-840e29547c95
Vidéo…Deux sujets vont être abordés : Commensalité et individualisation. Afin de mesurer par où va arriver la nouvelle civilisation….
La démarche réflexive - Si les anglo-saxons avaient plus de réflexivité pourquoi font-ils tout afin de développer les inégalités économiques très évitables ? Ce qui est très antisocial, et ne semble pas sous-tendre une réflexivité générale. Que des apparences sans résultats a posterio....ri
La sociologie peut-elle continuer d’avancer en ignorant le développement des sciences biologiques et cognitives? Pour Laurence Kaufmann, la réponse est simplement non. Effrayée pendant longtemps par l’idée de réaliser un arrimage avec les sciences du vivant, la sociologie du 21e siècle doit sortir de la biophobie. À l’heure des cloisonnements disciplinaires et de l’hyperspécialisation que déclenche la division croissante du travail scientifique, une telle sociologie «intégrative» paraît particulièrement souhaitable. D’une part, elle permet de déployer une conception scientifiquement réaliste des mécanismes intuitifs de bas-niveau aussi bien que des capacités réflexives sophistiquées qui permettent aux êtres humains de «faire société».
Chicago Convention démocrate - The Whole World is Watching 1968
Pasolini - Bêcher les nuages #6 - La société de consommation nous prive crétinement de poètes
Occupé à être occupé...! Une belle obsession de la vie moderne : être occupé à être occupé, comme si on fuyait un vide quelconque, alors on remplit sa vie de tout ce qui passe sous son nez ! Et l’essentiel nous est dérobé…
La réflexivité quand même évitée…par…elle-même !
parce que…Les sophismes de Port Royal en sciences physiques in QuickLi
Iridescence – A Visual Journey of an Ephemeral Existence