Qui donne des leçons n’aime pas vraiment en recevoir ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Qui donne des leçons n’aime pas vraiment en recevoir ?

Or qui exige, se surpassant la glotte, de ne pas agiter de leçons à recevoir en donne tellement plus que les autres ! Ne suivons donc pas les regards en garde ! L’étonnant reste que nul n’a vraiment étudié le phénomène. Commençons. La recherche des motifs autour desquels se concentrent les leçons sont réductibles à ceci : je suis tellement plus humain que les autres – ma sensibilité est hors du commun – je pense mieux que tout ce qui pense – et, enfin, je suis fait pour diriger, obéissez, etc. Vérifiez, tous les grands dérapages partent toujours de ces sites mentaux et affectifs. Que les débats soient saccagés par ces irruptions d’autoritarismes bébêtes se raccroche bien à un de ces comportements. Que l’aveuglement sur cette arrogance (du verbe s’arroger, soit voler par effractions) qui blesse, évidemment les autres, augmente – aussi trouve sa place dans une de ces rubriques. Bref, ce sont ces points de départs qui dysfonctionnent : si nous voulons être plus humains, ne pérorons pas, soyons-le….lorsque le miel de la tendresse humaine coulera naturellement de nous, là, nous pourrons en parler avec du vécu. Ne pas inverser et ne pas mettre le charrié avant les œufs ! Identiquement, pour les démonstrations par la sensibilité, déployons en silence et en concentration avant que de faire les bilans bruyants. L’intelligence s’aime donc nous aimons la partager – et ce n’est pas à coups de matraques péremptoires que le partage s’effectue le mieux. Le côté tellement unilatéral nous hurle aux yeux ; nous ne partons pas bien en hurlant des leçons gavées de mal entendus, c’est nous n’avons pas fait la propreté d’abord en nous. Nous faisons tout à l’envers lorsque nous nous foutons à donner des leçons. Quant à se croire diriger il faut d’abord s’emplir de la…haute responsabilité de dire, de dire bien, de dire la direction avant que d’attribuer son propre vacarme désordonné comme les autres…feraient tout pour ne pas comprendre. Cette paranoïa n’appartient qu’aux foutus donneurs de leçons…Qu’ils/elles retrouvent le bon sens et la société fonctionnera bien mieux.

Bon, nous avons, aussi, foutu les pieds dans le plat : l’anomalie trône dans le fait que ces travers humains pullulent selon une répartition claire, maximum en haut et toujours moins en venant vers le bas : les pauvres auraient-ils plus atteint la sagesse ? Tout ce qui peut aider à ce qu’il n’y ait jamais de solutions collectives, d’ententes générales, de vies en bonne intelligence, de dénouements des conflits ne lui convient pas du tout, à la société. Pas de bol, pour cette acariâtre mégère, il y aura toujours des esprits libres comme les nôtre afin de déniaiser les regards. Ouais, donner des leçons c’est plus qu’immature. Cela nage que dans l’infantilisme benêt. La démonstration tripartite aboutit donc à ce que soit INADMISSIBLE venant de décisionnaires et autres handicapés médiatiques. C’est une déplorable manière d’imposer son opinion sans avoir à vraiment l’étayer. Et en claquant, trop impoliment, la porte aux nez des débats. Pas bon cela. Dehors ces comportements de trop haute puérilité. La tyrannie des commodités (plus t’es haut plus tes manies de facilités seraient amplifiées) ne passera plus : nulle société saine ne peut en ressortir. L’asservissement aux instrumentalisations du tout pour le facile (apparent) a pu contaminer jusqu’à des retranchements libertaires, ce n’est pas un argument, au contraire : l’avachissement devant l’apparent plus commode nuit trop à chacun-e d’entre nous. Par tous les faits, il faut sortir de ce piège qui semble bien plus virulent, que toutes les aliénations passées. C’est dire la gravité et le manque de prise de conscience. Ne perdons ni nos caractères ni nos personnalités : que des machineries simplistes ne nous impose pas des comportements dont nous ne voulons pas. Oui, à ce niveau d’analyses, c’est bien les cerveaux détraqués au tout technocratique qui délirent le plus dans les leçons-dans-un-seul-sens : eux, peuvent t’en casser la tête, mais il n’y pas de symétrie. Pire, ils /elles semblent même très allergiques à ce qu’ils balancent si facilement sur les autres. Ils t’en piquent des crises grotesques !

Traiter l’autre de connard ou pire est tellement plus facile que de trouver, en soi-même, dans sa vie même, plus d’humanité, d’écoute et d’efforts vers/pour les autres…autant dire que la société ne nous parle jamais, ou le plus rarement possible,…de la seconde possibilité ! Quelle indigne facilité de traiter illégitimement l’autre de tous les noms (en refusant, en général, qu’il /elle puisse répondre en équitable symétrique)…oui quelle commodité inadmissible – il s’agit de désavouer tous les personnages qui s’adonnent aux toujours plus de facilités…oui sur le dos des autres. Que ces dos adossés soient enfin respectés…non, mais ce ne sont pas ces ahuris en costards-cravates qui vont faire la loi…qu’ils commencent par nettoyer leurs paliers ! …

Enfin, pourquoi la connerie est inexcusable? Parce qu’elle ne cherche qu’à nous intégrer dans la plus grande connerie encore des fausses élites et de «leurs» politiciens toujours plus irréalistes. Là, cela va trop loin de nous pousser à vouloir devenir aussi (plus ce n’est pas possible) cons que ces grands cons ! Voyons, à ce moment, ce qu’offre notre désormais connue « vérification par les faits » (à moins de nous doter de dons de magies extraterrestres – impossible de prétendre que nous sommes derrière toutes les actualités, les faits, les analyses et évènements. Aussi, de nous auto-contraindre à passer nos idées et démonstrations à ces moulinettes contraires, fait économiser du temps et de l’énergie : c’est de l’honnêteté sur le devant de la vitrine)…ici, la question hérétique c’est de pourquoi persister avec le Q.I. (Quotient Intellectuel), alors que celui-ci prouve qu’il ne mesure pas la vraie intelligence ? Quelle ne répond pas, d’ailleurs, à ses simplifications malvenues ? Et que, même pire, ces Q.I. peuvent se couvrir d’un ridicule jamais aperçu auparavant. Oui un sommet.

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Escaladons ces sommeils des sommets. De la tête simplette pour qui n’existe que ce que nous voyons. C’est l’évidence, vont-il braire, ce que tu vois seul existe, foutant derechef à la poubelle 80 % des données de la complexité…Oui, de la bêtise hébétée de qui ne voit plus du réel que de la minuscule petite porte des quantités ? Passant tous les phénomènes enchevêtrés et holistes, qui nous dépassent tant, à la moulinette de ces seules mesurettes pour vierges de la pensée. Comme si l’intelligence c’était un phénomène de foire, une compétition pour histrions. La problématique devient que ces cerveaux désaxés – embarqués dans la commodité des solutions de facilités qui déçoivent autant que de découvrir que le Q.I. aura été une vaste fumisterie pour encenser ces si peu humains qui ne veulent jamais utiliser…leur…sensibilité (éProuver devenant obligatoire pour prouver !). L’attention aux autres, la délicatesse des attentions à eux portés, ces rustres en demeurent trop incapables. Bref, le Q.I., cette fausseté, aura été martelé par des êtres frustres, sommaires, durcis dans le refus d’apprendre à vivre, à se mêler à la foule, le refus dérisoire d’apprendre à la dure, à débattre vraiment, soit à changer les choses sans en blesser aucune. Oui le Q.I. quantitatif n’aura servi que ces personnages sommaires qui n’ont toujours su que piétiner les autres…Un regard rapide sur des données scientifiques ? Et, ne vous inquiétez pas, nous nous retrouvons un peu plus loin !

Durant des décennies la mesure des Q.I. les créditait de 4 points de plus par décennies et hop depuis 1975 les mesurettes s’inversent… « donc », se précipitent les crétins, l’intelligence baisse…cornegidouille quenottes que not. C’est juste la stupidité de ces quantités sans les qualités qui ne fonctionne plus, faute d’huile de sagacité. Le système fermé s’est encore plus fermé : comme le Q.I. n’a jamais « mesuré » le contenu réel de l’intelligence, il n’a pu s’agripper qu’à des apparences très externes ! Donc cette pauvreté méthodologique s’est ruinée toute seule…faute de sensibilité (de quoi rire pendant un millénaire au moins…)…

Le Q.I. était un fouteur de leçons, il ne le sera plus. Que « ses » assertions tournent à vide, n‘aient plus de grain à moudre, devient une prodigieuse bonne nouvelle. La nature et le contenu de l’intelligence, enfin se transforment. Surpassant toutes les classes, toutes les classifications, tous les faux rangements des faussaires.Toujours en avance sur l’époque, cette transmutation nous offre le signal d’un changement radical de…société. Pas trop tôt. Et pourquoi, pouvons-nous nous permettre ? C’est que le désastre du Q.I. repose sur une historicité très dommageable à son image. En effet, c’est parce que l’intelligence n’est pas UNE QUANTITÉ que le côté performance de foire foire…mais que, en plus, cette piteuse attitude (tout simplifier en chiffres) se voit démasquée telle une imposture intellectuelle ! Qui veut « se mesurer » perd, en fait, tout sens des mesures…par exemple, toutes les manip’ déplorables sur l’idéologie nuisible : « être intelligent c’est être…bourgeois » aura couvert tant de malversations (nos livres en parlent assez)…et que les preuves (sic) du « faut naître bourgeois et blanc  pour « être » intelligents»…ont atteint des sommets de forfaitures. Et que ?  Fiascos sur les origines soi-disant raciales ou héréditaires de l’intelligence ‘(ce bonnet d’âne récurrent) : quelle soit la trituration ce n’est jamais un facteur déterminant d’intelligence. Les préJugés au piquet avant que de se voir traduire au parquet ? Les facteurs extérieurs et les facteurs environnementaux l’emportent, tout comme la logique le souligne déjà : à que sert une bonne graine s’il n’y a pas un bon terrain pour la porter…Arrachons les sordides œillères, protéger la Nature demeure la priorité des priorités ! C’est la Nature qui « rend » intelligent pas le bourgeois !         Parce que l’intelligence commence par…avoir du cœur. Oui du cœur à donner !

Effet-Flynn-l'humanité-est-elle-en-marche-vers-la-stupidité-?

« Il faut ensuite, et surtout, ne pas commettre l’erreur de confondre performance et compétence. Au mieux, les fluctuations du QI correspondent à des fluctuations de performances, cognitives ou motrices. Que les performances puissent fluctuer est indéniable. C’est à bon droit que l’on peut, par exemple, déplorer des baisses de niveau dans les performances orthographiques d’une population, baisses que l’on pourra attribuer à la place prise par les écrans, et aux transformations du rapport à l’écrit. Mais les fluctuations de performances ne sont en aucun cas la…preuve de l’existence d’une sorte de capacité naturelle, inhérente à la structure de l’individu, et qui serait l’équivalent des aires ou des lobes structurant le cerveau humain sur le plan organique.

C’est tout le problème de l’intelligence générale, dont l’existence a toujours été plus ou moins…contestée [[ par la commodité effondrée du chiffre qui, désormais, se retourne contre ses imposteurs même !]]. Parler d’« intelligences multiples » (Howard Gardner) fait déjà progresser sur la voie d’une conception plus intelligente de l’intelligence. Une conception qui nous dispenserait de nous encombrer avec l’idée d’une « réalité » intelligence, qui serait tapie au fond de notre personnalité comme un monstre au fond du lac du Loch Ness…[[ à part être toujours plus cons, ils font quoi ces faux êtres supposés détecter l’intelligence chez les autres ? Ce que, à l’évidence, ils ne savent surtout pas faire ?]].

 [[Comment alors approcher intelligemment l’intelligence ?]]. Faut-il continuer à utiliser le terme d’intelligence, si ce terme ne renvoie à aucun donné…naturel ? On ne peut pas se contenter de dire que l’on ne mesure, avec le QI, que des « facettes » de l’intelligence. Il faut aller plus loin, en refusant les courts-circuits qui font remonter d’une performance (constatée) à une capacité intellectuelle (induite), puis de celle-ci à une intelligence générale (postulée). L’intelligence n’est pas un organe. Il faut se délivrer de la tentation d’en faire une chose, de la « réifier » [[ de devenir aussi ridicule que de dire « avoir » raison – sans jamais « être » raisonnable – comme si la raison n’était qu’un objet, une chose que nous puissions foutre dans un tiroir. Pour l’oublier (oh, je ne sais plus dans quel autre tiroir elle est, où j’ai perdu cette raison !)…et nous pas : nous poursuivons le processus, le work in progress, le progrès qui ne se prouve…qu’en progressant, progressiste de préférence…Comme nous voyons le vil bourgeois va « prendre en otage » le mot Progrès et, du haut de cette imposture,  matraquer les autres. Le bourgeois, cet anti progrès, va se faire le maitre du  faux Progrès…et pour cela, il va l’empêcher de …progresser partout…]].

C’est pourquoi ce serait sans doute faire preuve d’intelligence que de se…délivrer de la fausse conception de l’intelligence implicitement admise par ceux qui, avec l’effet Flynn, se sont réjouis de son extension, avant de déplorer sa chute. Mais comment concevoir alors ce que l’on continue à désigner par ce terme ? Nous avons proposé (Hadji, 1993, « Pour une conception intelligente de l’intelligence »), en la plaçant au sein des « universaux anthropologiques » identifiés par Edgar Morin et Massimo Piattelli-Palmarini (Le cerveau humain, 1974), de considérer ce qu’on appelle intelligence comme un « pouvoir » [[ que nous utilisons ou non…]]. Les universaux anthropologiques sont des attributs, ou des caractères spécifiques, propres à tous les hommes. Ces attributs, comme l’écrit François Jacob (La logique du vivant, 1970), sont prescrits avec rigidité par le programme génétique, dans sa part fermée. Mais ils ne déterminent que des potentialités : pouvoir de marcher, de parler n’importe quelle langue, de comprendre, etc. [[Ce pool génétique ne sert à…rien, si nous ne faisons pas l’effort de le…cultiver. C’est le terrain et notre volonté qui font tout…et pas l’immobilité génétique de départ !]]

On pourrait dire que l’intelligence est l’attribut qui s’exprime dans le pouvoir de penser. [[ qui pulvérise toutes les idéologies : impossible de classifier et d’étiqueter qui « se rend » intelligent.e. C’est à l’universalité qu’il/elle répond à rien d’autre !]]. Ce pouvoir nous fait tous égaux en intelligence. Mais il n’est qu’un pouvoir. Libre à chacun d’en user, ou non. Ainsi l’intelligence a un bel avenir devant elle [[ surtpout libérée de tous les connards insensibles qui l’auront souillé durant tout cet affreux « âge bourgeois » ]] si les hommes (les êtres humains) décident d’exercer le pouvoir qu’ils ont de se montrer intelligents, c’est-à-dire décident de sauvegarder et de faire fructifier leur pouvoir de penser. Sinon, on risque de voir triompher ce que l’on peut appeler la connerie… [[pour qui veut approfondir l’historique de comment éviter avec élégances et facéties les conneries…    L'effet-Flynn/ ]].

Comment-qui-s'émerveille-vit-bien-mieux

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Lorsque ne croire que ce que l’on voit rend idiot ? Lorsque la manie des chiffres englobe tout le réel (et qu’il ne peut rien y avoir d’autre !) rend ridicule et plus que ridicule ? Oui les arrière-pensées des bourgeois (le Q.I. simplifié au seul quantitatif) les démasquent en ce qu’au micro, il va te dire que ceci « mesure » l’intelligence, alors qu’il ne mesure que…ses propres fantasmes, ses élucubrations sur une intelligence qui est, principalement, qualitative (sa supériorité précédant toute démonstration). Les gros sabots des cupides stupides cette fois-ci font rire tous les bons esprits à leurs francs dépens. L’âge moral des bourgeois s’effondre en grand : il n’a reposé que sur des fumisteries inexcusables telles le Q.I. Puisque – facile pour des sensibilités ouvertes – si l’on se prétend supérieurs eh bien, que l’on agisse en…supérieurs. Pas que l’on se monopolise tout l’argent du monde (la moitié du PIB se prouve détourné directement vers ces …irresponsables – donc le Pib ne…sert plus à rien afin de manœuvrer la société…essaie avec une moitié de gouvernail de mouvoir une masse qui aura encore grandie…).

Comment-les-préjugés-des-dirigeants-les-font-tomber-?

Oui ces non-supérieurs coincés dans leurs fausses définitions, qui ne se démontrent toujours plus…qu’inférieurs. Inférieurs à eux-mêmes. A leurs prétentions d’eux/elles-mêmes. Si inférieurs aux esprits libres et désintéressés (au niveau comportements s’entend). Si amoindris dans les doigtés (penser = peser) qui signale l’intelligence véridique en actes. Ce pourquoi coincés, acculés, dans les cordes, ces non-classes supérieures se rigidifient dans le tout-moral (dont ils n’ont plus le mode d’emploi tout réfugié qu’il s’est mis dans …les exquises sensibilités !) et nous la font, et nous lassitudient (frustres et lourdauds) dans les donneurs-de-leçons-parce-moi-je-suis-plus-moral-que-toi…ce qui n’existe plus du tout comme contexte global que la supériorité morale « automatique » des dits dirigeants. Disparue, évaporée, ce n’était qu’une faculté idéologique et non une faculté naturelle. Un peu comme de nager dans une piscine (et sans s’en rendre compte) où il n’y aurait pas la moindre eau ! Si pas de leçons à recevoir…pas de leçons à…donner. Un exemple concret ?

Les-économistes-hors-sol-redécouvrent-les-inégalités-de-revenus-et-de-richesses-au-sein-des-pays-dits-développés

« Ce que les économistes sont capables de « voir » ne dépend pas seulement de leurs théories, mais aussi du contexte politique et des données qu’ils ont à leur disposition, explique dans sa chronique l’économiste Béatrice Cherrier. »…cette infantilisation galopante de la société qui se nique elle-même, des ment à elle-même, s’égare elle-même. Se fout des bâtons dans les roues, s’auto-sabote par les sommets…se prouve chaque jour. L’économiste incapable de « répondre » d’une théorie réaliste ne va plus que dégoiser…par des leçons…indiscutables (cela bas de soie !)…C’est que…

Les donneurs de leçons tout au fond, au fond de leurs mécanismes,

….c’est parce qu’ils ne les ont pas apprises eux-mêmes !

 

…..……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Comment concevoir intelligemment l’intelligence ? C'est la moinde des choses tout de même !

Comment concevoir intelligemment l’intelligence ? C'est la moinde des choses tout de même !

Le QI en baisse à partir de 1975 Pour leurs travaux, les scientifiques se sont penchés sur les performances intellectuelles des jeunes Norvégiens, testés à l’occasion de la conscription, et nés entre 1962 et 1991. L’intérêt de l’étude est de comparer les QI de frères, donc de personnes issues d’un milieu social strictement identique, et aux gènes proches. Chez ces frères, le QI s’est élevé de 0,20 point par an entre la cohorte née en 1962 et celle née en 1975. Puis il a baissé de 0,33 point par an entre celle née en 1975 et celle née en 1991.

Le QI en baisse à partir de 1975 Pour leurs travaux, les scientifiques se sont penchés sur les performances intellectuelles des jeunes Norvégiens, testés à l’occasion de la conscription, et nés entre 1962 et 1991. L’intérêt de l’étude est de comparer les QI de frères, donc de personnes issues d’un milieu social strictement identique, et aux gènes proches. Chez ces frères, le QI s’est élevé de 0,20 point par an entre la cohorte née en 1962 et celle née en 1975. Puis il a baissé de 0,33 point par an entre celle née en 1975 et celle née en 1991.

effets flynn

effets flynn

parce que l’intelligence n’est pas UNE QUANTITÉ et que le côté performance de foire foire…mais que cette piteuse attitude (tout simplifier en chiffres) se voit démasquée telle une imposture intellectuelle ! Qui veut « se mesurer » perd, en fait, tout sens des mesures…

parce que l’intelligence n’est pas UNE QUANTITÉ et que le côté performance de foire foire…mais que cette piteuse attitude (tout simplifier en chiffres) se voit démasquée telle une imposture intellectuelle ! Qui veut « se mesurer » perd, en fait, tout sens des mesures…

une tête heureuse peut tant soulever – c’est donc de la haute intelligence ?

une tête heureuse peut tant soulever – c’est donc de la haute intelligence ?

Fiascos sur les origines soi-disant raciales ou héréditaires de l’intelligence ‘(ce bonnet d’âne récurrent) : quelle soit la trituration ce n’est jamais un facteur déterminant d’intelligence. Les préJugés au piquet avant que de se voir traduire au parquet ? Les facteurs extérieurs et les facteurs environnementaux l’emportent, tout comme la logique le souligne déjà : à que sert une bonne graine s’il n’y a pas un bon terrain pour la porter…Arrachons les sordides œillères, protéger la Nature demeure la priorité des priorités !

Fiascos sur les origines soi-disant raciales ou héréditaires de l’intelligence ‘(ce bonnet d’âne récurrent) : quelle soit la trituration ce n’est jamais un facteur déterminant d’intelligence. Les préJugés au piquet avant que de se voir traduire au parquet ? Les facteurs extérieurs et les facteurs environnementaux l’emportent, tout comme la logique le souligne déjà : à que sert une bonne graine s’il n’y a pas un bon terrain pour la porter…Arrachons les sordides œillères, protéger la Nature demeure la priorité des priorités !

Preuves non circonstancielles

Preuves non circonstancielles

intelligences multiples - fort heureusement l’individu unidimensionnel du Q.I. n’est qu’une abstraction…il n’existe que dans les égarements des ahuris en costards-cravates ….…

intelligences multiples - fort heureusement l’individu unidimensionnel du Q.I. n’est qu’une abstraction…il n’existe que dans les égarements des ahuris en costards-cravates ….…

Taux de réalisme des mesures Q.I. ? Aussi flou que cela ?

Taux de réalisme des mesures Q.I. ? Aussi flou que cela ?

Lorsque ne croire que ce que l’on voit rend idiot ? Lorsque la manie des chiffres englobe tout le réel (et qu’il ne peut rien y avoir d’autre !) rend ridicule et plus que ridicule ? Oui les arrière-pensées des bourgeois (le Q.I. simplifié au seul quantitatif) « mesure » l’intelligence alors qu’il ne mesure que…ses propres fantasmes, ses élucubrations sur une intelligence qui est, principalement, qualitative. Les gros sabots des cupides stupides cette fois-ci font rire tous les bons esprits à leurs dépens. L’âge moral des bourgeois s’effondre en grand : il n’a reposé que sur des fumisteries inexcusables telles le Q.I.

Parfois notre cerveau est vraiment crétin, et nous fait commettre des jugements stupides. 1er épisode de cette série : l'effet de halo ! Comment sont trop connues des personnes qui ne méritent vraiment pas de l’être ? Et si méconnues, etc. se faire baisés par un effet de halo aussi con - enfin un peu de dignité…résistons !

Un petit programme informatique simple, mais dont le comportement est étonnamment complexe, voire carrément hypnotisant ! Nous sommes issus de bases simples. Et ? Le piège dans lequel nous pouvons égarer une partie de nos compréhensions dans mélanger le compliqué et le complexe. Le complexe peut rester simple pour des esprits ouvert. Et le compliqué (non complexe mais tortueux) peut tout embrouiller faute de…sincérité intérieure. C’est que compliqué est une malsaine déviance du mot expliquer !

Ignorance, Connerie & Idiotie (étude des concepts) - Yann Kerninon

LES JEUX OLYMPIQUES DE LA CONNERIE. Le mondial de la bêtise…cela ne sonne-t-il pas comme du très vécu ?

c’est en faisant n’importe quoi qu’on devient n’importe qui…Les conneries de Rémi Gaillard #1

de l’humour grinçant très…la vache qui connerie.

Les mathématiques de la musique (avec Vled Tapas) — Science étonnante #41…Il s’agit d’accorder aux instruments de s’accorder – soit de se refiler à chacun les autorisations obtenues par les autres ? Ceci se nomme vivre en harmonie, en somme…Que cette leçon soit suivie pour les rapports sociaux comme humains. Cela ne fera plus de mal à personne !

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