Redevenir bouleversé.e.s ?
Le soleil n’explose pas et pourtant c’est une bombe thermonucléaire. Pourquoi ? Qu’est-ce que nous avons, en nous, qui lui ressemble tant ? Et qui peut aboutir, rarement, à la combustion spontanée ou, plus souvent, au maintien d’un feu intérieur toute la vie durant ? Un feu sacré oui. Tout ceci a-t-il été seulement abordé sérieusement ? … « Depuis le début du 20e siècle, nous savons enfin d’où il tire cette formidable énergie : la fusion thermonucléaire. Quatre noyaux d’hydrogène (donc des protons) fusionnent en un noyau d’hélium tout en libérant de l’énergie sous forme de particules de lumière : des photons. Cet adjectif, thermonucléaire, porte une dimension terrifiante : c’est aussi sur cette fusion que repose le principe de la bombe H (comme Hydrogène).
Pourquoi cette fusion destructrice sur Terre ne l’est-elle pas dans le Soleil ? La raison est qu’elle est, toute proportion gardée, beaucoup plus lente. Une bombe H explose, c’est-à-dire qu’elle libère toute l’énergie disponible en un laps de temps très court. Dans le cas du Soleil, le rythme des réactions nucléaires est contenu. La libération d’énergie est beaucoup plus lente, tellement lente que le Soleil pourra briller au total 9 milliards d’années grâce à cette fusion, avant que la source d’énergie ne se tarisse. Et ce système est parfaitement au point : la preuve, il fonctionne depuis déjà 4 milliards et demi d’années ! »…cette sûreté de nos assisses ! Oui nous pouvons vivre bouleversés (le soleil en reste la preuve brillante) n’excuse absolument plus les conformismes. Conformismes qui ne vivent que dans l’absurde glaciation des sentiments, la zombification de l’humain, le chatrage des émotions qui nous meuvent et malaxent et la fuite égarée devant toutes nos responsabilités envers les autres. Parfois, c’est comme si nous étions les seul.e.s. à vivre ce vif sentiment de responsabilité (pour nous, preuve que nous sommes devant un adulte véridique : et il y en a si peu dans le prétendu « haut » de la société ! Tous des cancres !)…
……………………......**********************************************
Sur un rocher avancé dans les flots de l’océan. Assis en plein soleil sur les rochers du rocher. Soit ? Des millions de gouttes resplendissantes qui dansent puissamment avec les courants. Bercé, secoué, cahoté, embarqué, chahuté – oui mais entièrement encerclé -, par ces millions de mouvements de feux tous en même temps. Hypnotisants lancinants balancements...Porté et transporté par ce gigantesque tapis d’un volcan qui fait fleuve. Plus de limites, plus d’horizons, la répétition des reflets solaires tisse toute la réalité que je puis saisir. Rien n’existe au-delà de cette sur-présence de gouttes de soleil qui dansent partout. C’est immense, c’est océan, bien trop vaste pour mes instruments de mesures. Ils ne mesurent plus mais vibrent, mais vivent, mais sont sautés, tressautés oui bouleversés, la boule verse et toutes les passions surgissent flamboyantes d’un seul coup. Le soleil se voit de partout, nous ne captons plus que lui ? Et ce n’est pas une ivresse puisque tout de la tête demeure paisible, vigilant, sans spirale qui emporte la stabilité du cerveau. Pas de chahut de l’équilibre, pas d’instabilités de la station debout ou assise. Juste une marée musculaire qui me porte, moi minuscule, sur le coin bas de son biceps dans toutes les respirations énormes du soleil sur l’eau. Par et avec cette éternité qui s’éternise en partant mais partie mais partante (de la sorte, sans jamais partir avec mais en simulant et commençant sans finaliser et recommençant à…) - la mer allée toute avec le soleil. Oui ceci peut se vivre encore en 2018. Le départ est simple : je n’obéis plus aux ordres insensibles donc insensés de la société. Société monopolisée par une oligarchie plus qu’illégale. Oui s’il elle agit ainsi c’est que vide est et reste la vie de chacun de ses membres. En une seconde je puis sauter dans une vie tellement intense puisque hors d’eux. Sur l’essentiel, sur le principal, sur l’important, ils/elles ne savent absolument rien…preuve en est entièrement faite. Leur vie intérieure c’est le désert. Plus un regard dessus, détournons-nous de ce désastre au sommet…oui « détournons »-nous, stade suprême du détournement situationniste…
……………….……...........******************************************
C’est quoi l’écologie pour eux ? Ne plus rien décider, continuer pareil dans le pire. Repousser les échéances à toujours plus tard. C’est reconnu très urgent aujourd’hui même et se voit…repoussé à 2040 ou autres délires inacceptables. Et ceci en se cachant derrière quel motif, allez-vous l’admettre un jour ? Une trop vague liberté d’entreprendre qui – seule – n’aurait pas de limites. Alors que sa claire limite reste…à condition qu’elle ne détruise pas la vie des autres. Ce qu’elle pratique en grand, trop grand : donc cette fausse liberté qui piétine beaucoup trop celle des autres, doit se voir fermement restreinte. Aujourd’hui, et tout de suite. Si l’air est irrespirable (ce qui « coûte » infiniment plus que ce que coûte les pauvres abandonnés) et que cette fausse liberté d’entreprendre ne peut que rendre la situation irréversible , nul-le ne va clamer leur droit illimité d’empêcher les humains de respirer (c’est pourtant ce qui se passe…dans les faits !), de nuire tant à leurs santés ; que d’affaiblir l’immunitaire de tous les enfants soit une liberté sans limites (le pratiquer sournoisement c’est juste ne plus rien décider, repousser à plus tard, mais ceci ne peut se prolonger que de très peu d’années). L’écologie les accuse toujours plus : qu’avez-vous fait de la Nature qui vous aura tant enrichi illégitimement ? Vous prenez ce qu’elle offre – mais pour tous – gratuitement et vous osez que « vous », vous seul auriez fait des bénéfices. Ce qui se dévoile plus que faux. Tout est erroné dans votre com’. Stop à vos fausses informations. Remboursez les immenses trop perçus, arrêtez d’exploiter la Nature aux dépens de sa survie, donc de la nôtre : c’est illégal et ne peut être opposé à la fausse liberté d’entreprendre (qui a ses limites, toutes largement dépassées…)…Vous ne méritez absolument pas la Nature, nous la reprenons. Puisque nous sommes toujours plus bouleversé.e.s !
Car que voyons-nous ? Les pubs si antisociales qui invitent à détruire chaque seconde la nature. Comme un immense jeu de complets irresponsables, fous aliénés. Et il faut être aussi déchu qu’un inexcusable conformiste pour se rendre complice de ces crimes écologiques. Plus aucune excuse aux conformismes : ils/elles peuvent avoir les mêmes infos que nous, faire les efforts d’analyser, de réfléchir, de vérifier et d’accomplir une synthèse pour agir. S’ils ne le font pas c’est un défaut qui les accuse et non une qualité qui donnerait tous les droits. Ils ont trahi le meilleur d’eux-mêmes, trahi l’Humanité et ont cumulé des dettes gigantesques avec la mère de toutes nos vies. Nous ne pouvons échapper à ces faits. Empêchons ces conformistes, devenus plus que hideux, de s’amuser, de faire mumuse, de régresser tant dans l’infantilisme indécent de détruire la Nature. Nous restons bouleversé-es et eux pas…Nous possédons toutes les motivations : ils n’en ont plus une seule ! Versés à bouleverser. Versants à être bouleversants ! Avaient toujours été, vainement, omis-e-s les grands bouleversants. Que nous le comprenions désormais est signe d’une gigantesque émotion collective ! Où est-elle (sûrement hors, absolument hors des médias fous) : là où seuls qui veulent expérimenter la trouveront !
Les-animaux-libérés-les-paysages-bouleversés
Les animaux libérés, les futurs paysages bouleversés ? « Imaginons un futur où l’arrêt total de «l’exploitation animale» serait devenu réalité. A quoi pourrait ressembler «Veganland» ? On traverserait des kilomètres de hangars rouillés, abandonnés à leur sort, envahis par les arbres et la végétation qui aurait repris ses droits sur la ferraille et les toits vitrés. Des milliers d’oiseaux trouveraient refuge dans ces immenses espaces, et leurs cris résonneraient au loin. Ce serait les anciennes zones naguère allouées aux agro-industries animales. Oubliés les fermes aux 10 000 vaches, les élevages de dizaines de milliers de poulets, les abattoirs pour porcs et porcelets, les laiteries gigantesques…
A l’extérieur, l’abandon des pâturages et des grandes zones d’élevage conduirait à une spectaculaire avancée de la forêt. Les broussailles auraient commencé à pousser sur des prairies qui jadis accueillaient de nombreux troupeaux de vaches ou de moutons. Mais d’énormes champs de cultures nouvelles apparaîtraient également, pour le soja, les légumineuses, mais aussi le lin, le coton ou même - qui sait ? - le chanvre, et de nouvelles usines pour fabriquer les substituts de synthèse nécessaire à l’alimentation humaine. Ces usines seraient souvent couplées à de nouvelles raffineries, plus présentes en raison des besoins accrus en matières plastiques utilisées comme substitut du cuir et de ses dérivés. On pourrait à présent faire de longues traversées en autoroute sans plus voir âme qui vive, mais il faudrait encore faire très attention aux cerfs et aux chevreuils en travers de la route, pour ne parler que de la France et de l’Europe. Des braconniers seraient présents un peu partout sans doute, mais il existerait une brigade de répression de l’exploitation animale qui leur ferait une guerre sans merci. Cela rappelle étrangement, en un sens, la fin de l’épidémie de peste noire en Europe, quand la population avait tant diminué que le monde sauvage avait comme repris le contrôle. Mais en réalité, ce serait les industries de synthèse chimique qui tiendraient le haut du pavé. L’environnement ne s’en trouverait pas forcément mieux, juste différent. (Brice Gruet Maître de conférence en géographie culturelle et historique). »
Le véganisme tout seul ne résoudrait donc rien : ce sont le productivisme irresponsable (fuyant ses externalités négatives, ces énormes…coûts cachés !), les raisons constitutionnelles qui motivent la société, la propriété uniquement d’usage (la Nature reste propriétaire plénière de sa gratuité) qui doivent se voir bouleversés. Il n’est plus possible de changer un élément à part – il faut les transformer tous à la fois. Et nous sommes prêts et, en face, ils s’effondrent dans toutes les formes de déliquescences. Nous n’avons plus à nous préoccuper de leurs échecs. Nous avons bien les profils d’humains responsables et très attentifs aux autres, qui font donc société, qui embrassent toute la société sans la diviser, en faire de stupides castes ou des partis partis ailleurs – telles que les niaiseries politiques nous les montrent partout…c’est le social (rester sociables) qui va mener le monde, pas les intérêts incapables de se démontrer utiles et la fausse économie. Terminé. Obsolètes. Nous restons du côté de tout ce qui bouleverse. Ces vagues musculeuses qui nous pétrissent et nous rendent meilleurs. Ces vagues qui bouleversent se suivent…et……************************************
Pourquoi-la-crise-de-cette-époque
Quand je suis né, c’était la crise. Une histoire de pétrole. Un truc vraiment grave qui poussait même les gens à ne plus prendre leur voiture le dimanche. Puis j’ai grandi, et là, c’était la crise aussi. [[ décidément, ils ne font absolument rien pour nous en sortir. Ils tournent même le dos à tout progrès social ! Ras le bol de ces lourdauds incapables de quoi que ce soit…]]. On allait peut-être connaître la guerre nucléaire. Le monde était « incertain ». Quand j’ai commencé à m’approcher des études supérieures, puis du marché de l’emploi, on m’a dit que ça allait être très dur de trouver un job, « à cause de la crise [[ si elle n’est pas pour tout le monde, c’est que cette crise n’existe pas – une fake news. Si une partie de l’antisociété s’enrichit outrageusement sur la crise des autres c’est même une idéologie fortement illégale !]] ». Les experts l'affirmaient dans les médias : « La société connaît une mutation sans précédent avec, pour beaucoup, une perte de repères qui ne permet plus d’envisager le futur sereinement [[ et si nous ne vous croyons pas, infâmes truqueurs ?]] ». Puis, j’ai commencé à travailler et là, boum ! Les tours du World Trade Center se sont effondrées et on est entré dans un « monde en crise » où « plus rien ne serait jamais comme avant [[alors que rien ne bouge et qu’aucune décision décisive n’est prise. Les échéances d’urgence toujours repoussées…]]». Les États-Unis et l’occident allaient sombrer. Quelques années plus tard, ce fut la grande crise bancaire. Tout le système allait tomber en miettes. Le monde allait être "secoué comme jamais" et "tous les équilibres en seraient bouleversés" [[ ce qui n’est exact que pour la Nature – et, devant elle l’argent fou ne peut que fermer sa gueule : à l’évidence il ne sait pas quoi faire !]]. C’était il y a dix ans déjà. Ce matin, j’ai allumé la radio et j’ai entendu un journaliste qui parlait d’un beau projet lancé par des jeunes. Je ne sais pas de quoi il s’agissait exactement mais il a dit plusieurs fois « malgré la crise » en terminant par cette phrase inquiétante : « On verra si cette initiative n’est pas un peu utopique, étant donné le contexte mondial incertain. » Alors voilà, je pense avoir atteint l’âge où on peut commencer à partager une petite expérience de vie. Si vous entendez un jour quelqu’un vous dire de ne pas entreprendre, de ne pas réaliser un rêve, de ne pas vous réjouir d’un succès, « à cause de la crise », « dans cette époque trouble », « par ces temps bouleversés [[mais pas bouleversants. Ce qui est la preuve que…non !]]» ou « vu le contexte incertain », dites-lui de ma part d’aller se faire foutre. »
Trop exact ; sauf qu’il s’agit d’affiner vers le précieux du précis. L’urgence c’est la nature et le reste urgente. Plus d’échéances qui repoussent…l’urgence. Plus de décisions illégales qui maintiennent les droits…inexistants de continuer à la détruire. Terminées les impostures. Les bourgeois détestent tout ce qui n’est pas l’argent décidément tellement moins important que nous le croyions. Ils ne sont plus dignes de diriger quoi que ce soit. Jamais en toutes ces années nous ne les avons vu bouleversé-e-s. ils n’ont donc aucune émotion de grand fond. Aucun sentiment qui relie et unit. Aucune chaleur humaine. Rien. Leur vide n’est plus une excuse. Au contraire…
…leur dilemme est simple : prouver qu’ils peuvent devenir bouleversés.
……………Ou laisser la place à de bien plus plus capables qu’eux.
………………(à suivre)
…………..………………...**********************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Des plongeurs ont été bouleversés en découvrant des animaux enfermés dans d’effroyables cages sous-marines
the unfair fair…le si déloyal fair play des truqueurs…avec qui plus personne ne veut jouer donc vivre !
en même pas 100 ans – la transformation des sols va infiniment trop vite ! - Le glacier Pedersen, Alaska, été 1917 – été 2005
Pourquoi la fusion thermonucléaire si destructrice sur Terre ne l’est-elle pas dans le Soleil ?,
Pourquoi la crise de cette époque trouble persiste—t-elle en ces temps bouleversés dans un contexte général incertain ?
Le Café des bouleversés (Jaz - Emylee).
Origine et étymologie du mot "Amazigh" : Les Berbères s'appellent eux-mêmes Imazighen (singulier : Amazigh), qui qualifie les hommes libres ou les hommes nobles. Ce terme serait lié au nom antique des Mazices, ethnonyme relevé par les auteurs de langue latine, et sa variante Maxyes, terme relevé par Hérodote.
Fantomachie (Forum des Hauteurs)...
Recueillement de Ctations en forme de forum...
Les économistes devraient exactement se trouver sur la banquette arrière – entendu qu’ils ne savent vraiment rien du volant des conducteurs…
PODCAST - Vous avez déjà eu le sentiment de ne pas vous ressembler? De vous regarder dans le miroir et de ne pas être en accord avec vous-même? Cela arrive par exemple à l'adolescence: vous av...
Radio…. Vous avez déjà eu le sentiment de ne pas vous ressembler? De vous regarder dans le miroir et de ne pas être en accord avec vous-même? Cela arrive par exemple à l’adolescence: vous aviez toujours eu les cheveux lisses et soudain ils frisent: qui est cette personne aux cheveux frisés? Vous avez toujours eu une énorme touffe sur la tête et soudain des globes apparaissent, aux coins du front où naissent les calvities. Imaginez que ce sentiment de ne pas vous ressembler vous poursuive?
Des limites du doute raisonnable ? Pourquoi l'exercice du doute méthodique conduit à se fier à l'avis du consensus de la communauté scientifique et à recevoir avec circonspection les explications qui s'en écartent. Alors qu’elles font pèter le cadre de ces nouveaux…conformismes !
L'océan est bien plus profond que ce que vous imaginez. Le fait est que les océans – qui recouvrent 70 % de la surface du globe – ce qui en fait d’ailleurs le plus grand espace habitable de notre planète, ont une profondeur très différente selon les endroits. Si la profondeur moyenne des océans se situe à 3 700 mètres, cela n’est pas vraiment représentatif, car à certains endroits, la profondeur est tout simplement vertigineuse.