Sans rôles acceptés pas de spectacle

Publié le par imagiter.over-blog.com

Sans rôles acceptés pas de spectacle

Pourquoi cette évidence est prestement repoussée ? Alors, qu’avec la pub qui ment sur tout, le rôle truqué qui ne s’accepte que les yeux bandés, c’est tromper cru sur soi. Tout ceci sent l’escroquerie mal famée. Quoi en nous contrôle le rôle ? Pourquoi ces effractions de nos cœurs : un rôle toujours antisocial c’est le malsain qui déferle en nous. Après le #balancetapub, les rôles vont être affrontés bien en face pour ls mêmes résultats. Comment ?…Ne jouons plus jamais aucun rôle. Vivons pour de vrai. Ce serait comme un habit de fête ou une grole**, la facette séduisante  des rôles ? Leur versant naïf et attractif ? Nous en débarrasser par tous les bouts inclut d’ausculter, d’abord, la sociologie du rôle où la sociologie ne peut avoir aucun rôle. Fait. Les rôles ce n’est « que » pour vendre…donc vendre c’est un déguisement, de fraudeurs : l’honnêteté de n’être que soi interdirait cette non trans-action ? Le rôle fuit, fuit toute sincérité, dans le monde de l’abaissement collectif, nommé les marchandises ne marchandent jamais, où les marchandises sont devenues plus importantes que l’humain - toute droiture est bannie, proscrite, interdite, pourchassée. Ce monde qui pue serait donc séducteur ? A d’autres ! Résultat des courses sur le fond ? Les marchandises sont rétrogradées à demeurer infiniment moins importantes que l’humain ou la nature qui a le cran, elle de la gratuité complète ! Sans les rôles pas de marchandises…donc les rôles vont se voir niqués graves ! Comme cela…

** (>>>- **La grolle (ou grole en nouvelle orthographe) est un récipient en bois servant à boire un mélange de café et d’eau de vie dans les grandes occasions. Au pays de la liberté, toutes les occasions sont grandes. Puisque les promotions (ces miettes ruisselées sur les larbins dans l’inefficacité radicale nommée hiérarchie !), oui ces « promotions » là sont des…ventes au rabais. T’es vendu mais, en plus, pour des clopes pas nettes !).

$$££$ Le rôle cache tout, gâche tout de même…et il faut toujours plus de cachets pour tout nous cacher ? Ne jouons plus jamais aucun rôle. Refus intégral et intégralement refusé le moindre petit rôle…puisque tous les rôles, tous sont…petits, trop petits, infimes, jamais à nos justes tailles !

>>> *** - L’effort de la culture, à l’évidence, permet de voir tellement plus global…et en se fatiguant bien moins ! Les faiNéants non dialectiques sont toujours perdants : ils/elles font plus d’efforts pour n’en faire aucun que ceux/celles qu’ils méprisent bêtement, jettent, et, parfois même, vendent aveuglément aux plus offrants – soit les épicuriens heureux avec rien. Qui labeurent par concentrations amoureuses intenses : et donc obtiennent des fare niente tellement mérités – que les effets bénéfiques s’en multiplient pour eux. Ah, comme cela il y aurait des faiNéants imposteurs ? Puisque c’est un…bas-rôle, yes mon chauve…

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Ce qui n’est jamais de jamais dit ? Lorsque le rôle fait irruption dans la réalité vraie c’est sous ses aspects les plus pathologiques : c’est que « jouer » un rôle c’est avouer une maladie grave puisque le réel est refusé pour des simulations de dissimulations (ce qui s’éloigne des saines simulations mêmes). Capté ? Chaque rôle est une pourriture qui empêche la société de fonctionner. Une preuve ? Faites une recherche sérieuse avec rôle habillé de quelques marqueurs. Prolongez. Bon, c’est fait ? Et ? Oui, impossible de traverser le mur du malsain…et nous tombent sur la gueule ces rôle du député, rôle de l’argent, rôle des institutions, etc. (des kilomètres). Bifurquant par des « chacun-e à son rôle à jouer » (toujours ce si véneneux faux humanitaire des lasses moyennes qui partirait d’une bonne intention/ettention mais aboutit à…l’enfer collectif…). Cet effroyable« chacun-e à son rôle à jouer » (personne ne sera oublié) c’est comme si jouer un rôle toujours malsain et tricheur est « naturel », installé, définitif, car « mieux » que de vivre simplement sa vie nue…

Et donc toute la société semble contaminée, épidémickey, souillée par le fait qu’il « faudrait » des rôles – des rôles antisociaux pour « faire semblant » d’être social. Que les rôles tous les rôles, n’importe quel rôle sont ANORMAUX, énormément anormaux. Qu’il s’agit de les arracher de la société et non les maintenir implantées. Le mal est-il si intensif, si intensément non rejeté ? Sauf que le mal fait tout mal et que, pour lui, tout finit mal…Et ? La preuve par l’inexcusable cruauté…et la société si délinquante se voit prise la main dans le sac…oui ? Afin de jouer un rôle il faut en avoir les moyens, les moyens matériels. Qui ne sont pas minimes, qui ne traînent pas au ras des pauvres moyens. Et donc ? Soit la société nous donne les moyens pour, soit nous ne jouons plus aucun rôle. Terminé le chacun a son rôle nous voyons bien que c’est strictement faux. Les premiers de cordées décrochent, tout de suite, 80 % des humains dont ils avouaient, au départ, détenir et avoir l’entière responsabilité…comme cela…et donc plus nous montons au soi-disant haut de la société (selon les sciences physiques…il n’y a aucun haut ni aucun bas dans la société) moins il n’y a de sérieux et d’humains vraiment sérieux. C’est le foutoir complet et les gaspillages les plus vautrés : comme quoi les rôles rendent déviants, pervers et complètement…égarés !

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« Certaines personnes sont capables d’endosser tous les rôles qu’exige une situation, sans même en avoir les compétences, les connaissances ou les aptitudes. Ces personnes peuvent souffrir du syndrome de dépendance environnementale.

Le-surprenant-homme-caméléon

Voici le récit fascinant rapporté dans la revue Neurocase d’un de ces individus. A.D. est un homme diplômé d’une soixantaine d’année, politicien et acteur amateur, mais il est également médecin, psychologue, avocat et ingénieur du bâtiment selon les circonstances. En moins de 10 minutes, grâce à cet épisode, découvrons plus en détail les causes de tels symptômes. »...Symptômes qui nous avouent, qu’à la racine, tout rôle est une pathologie. Récapitulons que (pour le moment) nous n’avons pu déceler (alors que nos recherches sont approfondies) le moindre trait bénéfique dans l’effondrement par les rôles !

*** Enrôle et pas de banderole pour les rôles qui enrôlent, en douce, par effraction, en brute, par la force, par le force né, par la lâcheté et la dissimulation consumées. Oui toutes les casseroles pour les rôles. Vérole sur les rôles : approfondissons ces ressentis si défiants, en vérifiant s’il existe une théorie au sujet des rôles. Et leurs impacts si malsains, avec même des démonstrations à quels points l’artificialité des déguisements honteux par rôles interposés, nuit tant à l’ensemble de la société. Oui il y a une théorie bien fondée et tout est fait afin de…l’effacer. L’effacer des attentions et consciences. Tellement les élites autoproclamées (sont antiélites) et ne secrètent que des perversions (le rôle comme perversion et perversion de toutes les saines versions). Voyons voyous voir…

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Et pour cela Entrelaçons de 1967 le Raoul Vaneigem de l'horreur très révulsée devant les fraudes de tous les rôles sociaux, du Traité de savoir-vivre, et le Guy Debord, l’insurpassable exploseur de la société du Spectacle (soit GD et RV).

«Seul l’ennemi recherche la rencontre sur le terrain des rôles. RV » Ces lieux fictionnels et d’inauthenticités ne peuvent participer des rapports humains sincères. Bien, alors quels sont donc ces rôles et comment faire afin d’éviter cette peste antisociale ?

« Dans la vie quotidienne, les rôles imprègnent l’individu, ils le tiennent éloigné de ce qu’il est et de ce qu’il veut être authentiquement ; ils sont l’aliénation incrustée dans le vécu. Là, les jeux sont faits, c’est pourquoi ils ont cessé d’être des jeux. Les stéréotypes dictent à chacun en particulier, on pourrait presque dire « intimement », ce que les idéologies imposent collectivement. La contrainte et le mensonge s’individualisent, cernent de plus près chaque être particulier. Ce pourquoi les hommes accordent aux rôles un prix parfois supérieur au prix qu’ils accordent à leur propre vie ? RV ​ »

« Le système économique fondé sur l’isolement est une production circulaire de l’isolement. L’isolement fonde la technique et le processus technique isole en retour. Tous les biens sélectionnés par le système spectaculaire sont aussi des armes pour le renforcement constant des conditions d’isolement des « foules solitaires ». GD 28 ». Les solitudes ne sont pas une catastrophe naturelle – c’est le vouloir capitaliste de rendre au maximum tout le monde seul. Car ? Plus les humains sont isolés…plus ils achètent. Et puis, réduits à sa bulle isolée, les achats se multiplient d’autant que tout le monde serait séparé de tout le monde (partager coûte infiniment moins cher à chacun-e !). Les rôles sont donc l’acceptation de cette monstruosité inhumaine et la complicité afin de mettre de l’huile dans les rouages trop grinçants. Oui, cela commence très mal pour les hideux rôles : ils ont les mains très sales, dès la première élucidation !,

« La passivité du spectateur est sa fonction d’assimiler des rôles pour les tenir ensuite selon les normes officielles. Les images répétées, les stéréotypes offrent une série de modèles où chacun est invité à se tailler un rôle.L’homme-consommateur se laisse conditionner par les stéréotypes (côté passif) sur lesquels il modèle ses différents comportements.​ Et plus la vie quotidienne est pauvre, plus s’exacerbe l’attrait de l’inauthentique. Et plus l’illusion l’emporte, plus la vie quotidienne s’appauvrit. Délogée de l’essentiel à force d’interdits, de contraintes et de mensonges, la réalité vécue paraît si peu digne d’intérêt que les chemins de l’apparence accaparent tous les soins. On vit son rôle mieux que sa propre vie. RV » Mais, enfin, quel le moteur actif qui se trouve à l’intérieur de cette haute trahison de soi-même ? Aucun rôle n’est digne d’un vrai humain ? Comment est-il possible d’accepter de perdre tant au…change ?’

« C’est le principe du fétichisme de la marchandise, la domination de la société par « des choses suprasensibles bien que sensibles », qui s’accomplit absolument dans le spectacle, où le monde sensible se trouve remplacé par une sélection dictatoriale d’images qui existe au-dessus de lui, et qui en même temps s’est fait reconnaître comme le sensible par excellence. GD 36 »…Les rôles avouent tous leurs déguisements, ils se font passer pour ce qu’ils ne sont surtout pas. Répandus sur toute la société, ces graves nuisances ne peuvent tuer que toute confiance. Ils sont bien là pour d’empêcher au maximum les humains isolés et séparés de s’unir afin d’expulser les perversités du répugnant capitalisme libéral : « Les images qui se sont détachées de chaque aspect de la vie fusionnent dans un cours commun où l’unité de cette vie ne peut plus être rétablie. GD 2 »…ou bien les moyens de ne plus s‘y retrouver. Des confusions massives maniées par de très mauvaises intentions !

« Le rôle a pour fonction de vampiriser la volonté de vivre. Le rôle représente le vécu en le transformant en chose, il console de la vie qu’il appauvrit. Il devient aussi un plaisir substitutif et névrotique. Il importe de se détacher des rôles et les rendre au ludique.​ RV »  Soit se foutre de la gueule des rôles, les niquer par où ils croient nous tenir. Le rôle aura été véridiquement propulsé afin de clairement nous nuire. Mais qui, dans cet œuvre de destructions, a le…rôle principal ? ​

« L’agent du spectacle mis en scène comme star est le contraire de l’individu, l’ennemi de l’individu en lui-même aussi évidemment que chez les autres. Passant dans le spectacle comme modèle d’identification, il a renoncé à toute qualité autonome pour s’identifier lui-même à la loi de l’obéissance au cours des choses. GD 61. » Ayant identifié, sommairement, les sources des rôles, comment ils se modèlent et viennent coller frauduleusement à nos peaux – manque le but. « La star de la décision doit posséder le stock complet de ce qui a été admis comme qualités humaines (ididem). » Mais comment ? « Pour amener les travailleurs au statut de producteurs et consommateurs « libres » du temps-marchandise, la condition préalable a été l’expropriation violente de leur temps. GD 159 » Cette hyper concentration de violence ne doit jamais être acceptée. Le souvenir doit en être entretenu jusqu’à complète disparition de ces sommets de corruptions que sont les rôles…Refuser les corruptions c’est claquer la porte au nez de tous les rôles, mais tous, qui vont avec ! Pas de rôles pas de corruptibilités.

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« Serait-il possible que les êtres qui peuplent le monde se donnent pour but de ne plus morceler leurs êtres dans de multiples rôles, masques et personnages ? Serait-il possible que chacun se mette enfin en route pour devenir une seule personne : lui-même, plutôt que de se changer sans cesse en fonction des situations, s'individuer pour être qui on est dans chaque situation ? RV »

« Ce que ce mouvement exprime négativement, c’est le fait qu’un langage commun doit être retrouvé – non plus dans la conclusion unilatérale qui, pour l’art de la société historique, arrivait toujours trop tard, parlant à d’autres de ce qui a été vécu sans dialogue réel, et admettant cette déficience de la vie – mais qu’il doit être retrouvé dans la praxis, qui rassemble en elle l’activité directe et son langage. GD 187 “…N’est transmis que de l’inauthentique et de ne pas tout faire afin de maintenir une transmission fidèle et objective est déjà une trahison. Le comportement le moins équivoque reste ce maintenir la consternation renouvelée contre les monstrueux faux maîtres de ce monde. Qu’ils ne reçoivent que répulsions plein pot. Qui se maintient donc ainsi ? Pas de rôles c’est pas de rôles. C’est un non c’est non. La violence faite aux consciences est la même que celle faite aux corps. « Les spécialistes du pouvoir du spectacle, pouvoir absolu à l’intérieur de son système du langage sans réponse, sont corrompus absolument par leur expérience de mépris et de la réussite du mépris. GD 195 » Le mépris restant une méprise de qui s’enfle ainsi démesurément pour se le permettre sans se contempler avant soi-même – il en devient certain que ces faux dirigeants ne peuvent que cumuler et accumuler toutes les maladies affectives et mentales.

« En de brefs instants, la vie quotidienne libère une énergie qui, si elle n’était pas récupérée, dispersée, gaspillée dans les rôles, suffirait à bouleverser l’univers de la survie. Qui dira la force de frappe d’une rêverie passionnée, du plaisir d’aimer, d’un désir naissant, d’un élan de sympathie ? Ces moments de vie authentique, chacun cherche spontanément à les accroître afin qu’ils gagnent l’intégralité de la quotidienneté, mais le conditionnement réduit la plupart des hommes à les poursuivre à revers, par le biais de l’inhumain ; à les perdre à jamais à l’instant de les atteindre. RV »

« Dans son style même, l’exposé de la théorie dialectique est un scandale et une abomination selon les règles du langage dominant, et pour le goût qu’elles ont éduqué, parce que dans l’emploi positif des concepts existants, il inclut du même coup l’intelligence de leur fluidité retrouvée, de leur destruction nécessaire. GD 205. » La sidération figée qui accompagne ce système lamentable ne peut dégeler que si l’amour de la liberté nous submerge tout entier. La dialectique est une preuve de l’amour de la vie. Le spectacle refuse toute dialectisation (soit le 3 des solutions, dénouements et sorties face au 2 des conflits immobilisés qui peuvent s’éterniser si la dialectique vivante n’intervient pas) puisque sa monstruosité inhumaine désire que Rien ne Change dans sa… monstruosité inhumaine. La fluidité (ce courant vital de la dialectique) permet de reprendre le cours des choses. Et de passer, enfin, à autre chose. Le capitalisme, mis dans une situation d’honnêteté scrupuleuse, ne pouvant rassembler aucune séduction paisible sera, alors, foutu à la poubelle ! Sans un friselis de regrets…Qu’on ne vienne plus nous empester les narines avec la pub c’est innocent c’est un  jeu sans effets ou bien les rôles mensongers sont « nécessaires » (sic) à la continuation de la société…ces désinformations dramatiques constituent le tissu même de l’aberration capitaliste. Le plus grand mensonge allié à la plus grande escroquerie…tout n’est que délinquances et dans ses mots et dans ses comportements. Il n’a vraiment aucun  rôle à assumer dans l’Humanité qui doit naître à elle-même. Pour cela, il est hors du coup lui qui se traine plus que par coups d’état reconduits…par les grands ennemis du public, du bien public, des services public et de la répartition équitable (mot préféré à égalité par qui se vautre, ensuite, dans les pires fraudes – donc mot sans valeur dans ces bouches si malsaines) oui répartition de toutes les richesses collectives (le capitalisme c’est aucun partage et son adage reste le si monstrueux « tout pour moi et rien pour les autres » élucidé par son prétendu inventeur (alors qu’il fut son ennemi si déterminé) soit Adam Smith en 1750.

Extrait-de-Double-Je-Pages31-34.pdf

2****. Les rôles sociaux ne composent qu’un uniforme – Rien de plus flic alors qu’un rôle ? « Contester cela ne revient pas à affirmer que la valeur sociale ne compte pas dans les relations (c’est l’image caricaturale que les opposants au dualisme identitaire dessinent), et que les rôles sociaux ont disparu. Cela revient à considérer que chacun existe aussi par un «au-delà» de ces capitaux et de ces rôles, ou plus précisément par un « en deçà ». Un roman de Kazuo Ishiguro, Les vestiges du jour (1990), met en scène un personnage qui croit que seule compte sa définition sociale. Il s’interdit de penser qu’il existe à titre personnel. »

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Non, non, le capitalisme est bien une anti-société, il fait tout afin de séparer tout le monde et ne peut donc voler le rôle d’unir tous les humains. C’est un « casseur », un fauteur de troubles et un  fouteur de merde, l’émeutier permanent. Ses piliers « nécessaires » ce sont, aussi, pubs irresponsables et rôles corrupteurs…arracher fermement ces pousses qui pourrissent tout devient donc extrêmement vital pour la poursuite de la société associété (celle où le contrat social se voit renouvelé en toute conscience de ce qu’il signifie, ce contrat, et à chacun des contractants !).

Sauf…           L'abecedaire-de-Simone-de-Beauvoir

Transfigurer : « Sans doute les mots, universels, éternels, présence de tous à chacun, sont-ils le seul transcendant que je reconnaisse et qui m’émeuve ; ils vibrent dans ma bouche et par eux je communie avec l’humanité. Ils arrachent à l’instant et à sa contingence les larmes, la nuit, la mort même et ils les transfigurent. » (La Force des choses, tome II, Gallimard, 1963-1972)

Que contrôle le rôle ; sans acceptation des frauduleux rôles factices…Rien ! Oui nous pourrions oui contrer les contrôles comme ne reposant sur aucune base légale (qui êtes-vous donc pour oser ainsi vous targuer de surveillances ? N’êtes-vous, moralement, bien pires que qui vous prétendez contrôler ? Ne vaudrait-il pas mieux vous auto-contrôler avant que de mégalomaniaquer sur autrui ?)…

Clair, que les rôles, ‘ces fraudes comportementales, signent le cœur corrompu de qui s’abaisse à de telles bassesses.

Et que les critiques plus qu’indignées et que scandalisées

………..    …reprennent drues contre ce qui donne si honte à l’Humanité !

 

…………….…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

La parole n’est pas rôle

La parole n’est pas rôle

rôle du journaliste ?

rôle du journaliste ?

Les rôles ce n’est « que » pour vendre…donc vendre c’est un déguisement, l’honnêteté de n’être que soi interdirait cette non trans-action ? Le rôle fuit, fuit toute sincérité, dans le monde de l’abaissement collectif nommé les marchandises sont plus importantes que l’humain, toute sincérité est bannie, proscrite, interdite, pourchassée. Ce monde qui pue serait donc séducteur ? A d’autres ! Résultat des courses sur le fond ? Les marchandises sont rétrogradées à demeurer infiniment moins importantes que l’humain ou la nature qui a le cran, elle de la gratuité complète !

Les rôles ce n’est « que » pour vendre…donc vendre c’est un déguisement, l’honnêteté de n’être que soi interdirait cette non trans-action ? Le rôle fuit, fuit toute sincérité, dans le monde de l’abaissement collectif nommé les marchandises sont plus importantes que l’humain, toute sincérité est bannie, proscrite, interdite, pourchassée. Ce monde qui pue serait donc séducteur ? A d’autres ! Résultat des courses sur le fond ? Les marchandises sont rétrogradées à demeurer infiniment moins importantes que l’humain ou la nature qui a le cran, elle de la gratuité complète !

Le rôle cache tout, gâche tout de même….et il faut toujours plus de cachets pour tout nous cacher ?

Le rôle cache tout, gâche tout de même….et il faut toujours plus de cachets pour tout nous cacher ?

Les rôles traînent toutes les casseroles

Les rôles traînent toutes les casseroles

Ne jouons plus jamais aucun rôle. Refus intégral et intégralement refusé le moindre petit rôle….

Ne jouons plus jamais aucun rôle. Refus intégral et intégralement refusé le moindre petit rôle….

un rôle ne paie jAmais – c’est une gaigantesque arnaque…

un rôle ne paie jAmais – c’est une gaigantesque arnaque…

c’est même une arnaque préméditée – garder son rôle c’est bien se faire détrousser jusqu’au trousseau…

c’est même une arnaque préméditée – garder son rôle c’est bien se faire détrousser jusqu’au trousseau…

la preuve par l’absurde

la preuve par l’absurde

et la preuve par l’inexcusable cruauté…lorsque la société délinquante est prise la main dans le sac…oui ? Afin de jouer un rôle il faut en avoir les moyens, les moyens matériels. Qui ne sont pas minimes, qui ne traînent pas au ras de pauvres moyens. Et donc ? Soit la société nous donne les moyens pour, soit nous ne jouons plus aucun rôle. Terminé le chacun a son rôle nous voyons bien que c’est strictement faux. Les premiers de cordées décrochent, tout de suite, 80 % des humains dont ils avouent, au départ, détenir et avoir l’entière responsbalité…

et la preuve par l’inexcusable cruauté…lorsque la société délinquante est prise la main dans le sac…oui ? Afin de jouer un rôle il faut en avoir les moyens, les moyens matériels. Qui ne sont pas minimes, qui ne traînent pas au ras de pauvres moyens. Et donc ? Soit la société nous donne les moyens pour, soit nous ne jouons plus aucun rôle. Terminé le chacun a son rôle nous voyons bien que c’est strictement faux. Les premiers de cordées décrochent, tout de suite, 80 % des humains dont ils avouent, au départ, détenir et avoir l’entière responsbalité…

Pourquoi passer alors par un intermédiaire, une dérivation, un parasitisme : pourquoi ne pas vivre sa vie directement. La preuve ? Le rôle d’un député ? Ah c’est de jouer un rôle, un rôle qui empêche de conserver les qualités citoyennes pour légiférer. Pas d’échappatoire c’est la loi ou le rôle, pas les 2 !

Pourquoi passer alors par un intermédiaire, une dérivation, un parasitisme : pourquoi ne pas vivre sa vie directement. La preuve ? Le rôle d’un député ? Ah c’est de jouer un rôle, un rôle qui empêche de conserver les qualités citoyennes pour légiférer. Pas d’échappatoire c’est la loi ou le rôle, pas les 2 !

Les opinions non « forgées » ne peuvent répondre en paix de rien. Aussi, ne multiplient-elles que hurlements et disputes…desquels il ne reste jamais rien d’autres que d’inutiles…fatigues !

Les opinions non « forgées » ne peuvent répondre en paix de rien. Aussi, ne multiplient-elles que hurlements et disputes…desquels il ne reste jamais rien d’autres que d’inutiles…fatigues !

Comment s’espècialise une espèce ? espèrons que nous allons arrêter de rester une espèce de cons !

Comment s’espècialise une espèce ? espèrons que nous allons arrêter de rester une espèce de cons !

Je n’ai pas à être toujours d’accord avec vous pour continuer à vous aimer et vous respecter.

Je n’ai pas à être toujours d’accord avec vous pour continuer à vous aimer et vous respecter.

L’effort de la culure, à l’évidence, permet de voir tellement plus global…et en se fatiguant bien moins ! Les faiNéants non dialectiques sont toujours perdants : ils/elles font plus d’efforts pour n’en faire aucun que ceux/celles qu’ils méprisent bêtement, jetent, et, parfois même, vendent aveuglément aux plus offrants – soit les épicuriens heureux avec rien. Qui labeurent par concentrations amoureuses intenses : et donc obtiennent des fare niente tellement mérités – que les effets bénéfiques s’en multiplient pour eux. Ah, comme cela il y aurait des faiNéants imposteurs ? Puisque c’est un…bas-rôle, yes mon chauve…

L’effort de la culure, à l’évidence, permet de voir tellement plus global…et en se fatiguant bien moins ! Les faiNéants non dialectiques sont toujours perdants : ils/elles font plus d’efforts pour n’en faire aucun que ceux/celles qu’ils méprisent bêtement, jetent, et, parfois même, vendent aveuglément aux plus offrants – soit les épicuriens heureux avec rien. Qui labeurent par concentrations amoureuses intenses : et donc obtiennent des fare niente tellement mérités – que les effets bénéfiques s’en multiplient pour eux. Ah, comme cela il y aurait des faiNéants imposteurs ? Puisque c’est un…bas-rôle, yes mon chauve…

entre 2 extrêmes : sa propre déconsidération et la mégalomanie des conformismes...

entre 2 extrêmes : sa propre déconsidération et la mégalomanie des conformismes...

oh j’ai vu une petite tête emanchée d’un long corps …je réclameur

oh j’ai vu une petite tête emanchée d’un long corps …je réclameur

Guy Debord réfute (louanges comme critiques) : en fait, nul-le n’a les moyens de vivre cette pitoyable fumisterie…

La Discriminologie : les imputations hallucinantes de tous les méfaits des prétendus dirigeants. Ces malFaiteurs qui, non seulement font tout mal, mais font du mal aux humains

ou automatiquement raison ?

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