Se blottir

Publié le par imagiter.over-blog.com

Se blottir

La solennité du moment chante dans tout le corps. Corps qui sourit de ses bras offerts paumes en l’air. Se blottir comme se réfugier dans la qualité, la manière si intelligente d’habiter tout son corps ? Les lotissements de blotissements ne vont, d’ailleurs, pas contredire la résidence terrienne, humus pleins la vie. Se blottir oui mais contre quoi ou qui ? Glissons-nous près du hublot de blottir. Se réfugier suppose un refuge. Se nidifier !

Savoir se lover c’est se lover soi-même ? S’aimer juste ce qu’il faut mais bien s’aimer !  Boule : un roulé-boulé. Se pelotonner à tout le peloton des pelotes. Laines vierges des sentiments qui nous emplissent les glandes. Dans la sphère de leurs sphères. Se recroqueviller ou se rétracter la présence dans les griffes rétractiles de l’affirmation non-conflictuelle de soi. Il existe, ainsi, des moments où il ne semble plus nécessaire du tout, mais du tout du tout, de se dire, de sa brailler soi-même. Nous rentrons dans la pelote de notre puissance au repos. Se ramasser c’est, alors, pour mieux se masser. Globule de globe (le fractal nous prolonge, ensuite et ensuite ensuite, aussi grand que l’univers !), tout ce qui sert à bouleverser, à verser la bulle-boule dans tous les sens. Sa boulange pétrissante et pétrie même…Mouvoir d’émouvoir est se révolutionner soi-même : il faut bien commencer par ce qui est le plus à nos portées…chiots ou chats, c’est selon !  Se nicher offre-t-il une piste ? En tout cas trop méconnu que les oreillers soient des oreilles qui nous écoutent. Mais que la plupart de nous n’écoutent jamais !

 

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Rituels à la demande ? Ou la manière de se planter à 100 % ? Les naïvetés si cruelles des blancs becs de la silicon valley qui prennent leurs abstractions puériles pour des réalités. Et se montrent prêts à martyriser le monde entier pour se tromper ainsi dans les très grandes largeurs ? Lorsque la berlue de copier/imiter quelqu’un vous fait croire supérieur (donc plus englobant, plus profond, plus perspicace) au copié. Un peu comme si de lire nous faisait mettre le tatouage de l’esclavagisme sur l’écrivant.e (nous maîtres et elle/lui esclave exploitable et maniable sans aucun respect). Devenus les mannequins de nos malsaines puérilités…sauf que ceci n’est que le monde à l’envers des fantasmes des pervers narcissiques que trop semblent bien appuyer et relayer. Au lieu de barrer la route à ces personnages plus qu’invivables (autre indice…ils/elles ne sauront jamais se blottir !) !

 

Oui mais imiter ce n’est pas vivre. Ni les émotions ni les sentiments ne vrombissent, que du platique peu ragoutant…. Celui-ci : « Après la méditation, le micro-dosage de LSD, la recherche du flow, le rite va-t-il devenir la nouvelle frontière de la Silicon Valley ? Un long article de The Atlantic s’intéresse au Ritual Design Lab, une petite structure de designers qui se consacrent précisément à fabriquer des rituels à la demande [[donc du faux et du simili comme un triomphe…faut vraiment se contenter du vraiment nul !]], y compris pour des clients comme Microsoft. Les deux fondateurs du groupe, Kursat Ozenc (@kursat) et Margaret Hagan (@margarethagan), sont enseignants à l’Institut de Design de l’université Stanford. En 2015, ils ont proposé un cours sur la conception de rites et ont été surpris par le succès de l’entreprise : plus de 100 étudiants inscrits. Ce succès a donné à Ozenc et Hagan l’idée de créer ce « lab ». Sur leur site, ils n’hésitent pas à proposer : « dites-nous votre problème. Nous vous créerons un rite [[ dans le sens de simulacre. Soit : se prendre tellement soi-même au sérieux, se la jouer à la gonflette dopée de son image molle, se croire mériter à soi seul plus que tous les autres humains réunis…pour gober qu’un imitation pourrait…fonctionner autrement que dans le paradis artificialisé du monstrueux égoïsme !]] ».

Quand-les-designers-s'attaquent-bêtement-au-rituel

 

Pourquoi s’intéresser au rituel, spécialement dans un contexte séculier ? Parce que bon nombre de recherches montrent l’importance de ce genre de pratique dans le comportement humain [[ceci fait partie de la pensée pléonasmastique, celle qui fait semblant de poser de fausses questions et n’y répond que dans une absence complète de raisonnements, plaçant du charabia juste après « parce que »….comme si déguiser en tout…suffisait !]] En fait, comme le rappelle The Atlantic, on trouve même des traces de comportement rituel chez nos cousins primates [[ pas probant…mettre du seulement répétitif inconscient face aux découvertes que certaines successions de comportements fonctionnent…ne peut étayer le pourquoi des rituels !]]. Du reste, les deux designers ont invité dans leurs cours des anthropologues comme la primatologiste Isabel Behncke, spécialiste des bonobos, ou le neuroscientifique Nick Hobson, lui aussi spécialiste du rituel.

Mais peut-on penser le rite en dehors de toute structure et croyance religieuse ? Comme le précise The Atlantic, l’un des deux fondateurs au moins, Kursat Ozenc, appartient à un courant spirituel, puisqu’il pratique l’Islam sufi. Pourtant, le Ritual Design Lab s’adresse en priorité à des gens sans appartenance religieuse particulière, voire totalement athées [[là, il semble plutôt …ou prétendus tels !]]. Il s’agit de « rites laïcs » [[ pour vendre se montrer si prêt.e à toutes les postures grotesques, aux argumentaires les plus Tartuffiés, disqualifie principalement l’acte de vendre. Ainsi que la lâcheté de tout l’acheter !]]  et les principes qui les régissent appartiennent plus au design qu’à la théologie [[ah bon ! nous voici carrément rassurés]] comme l’a expliqué Ozenc au journaliste de The Atlantic : « Les gens de la nouvelle génération veulent une spiritualité à la carte plutôt qu’un menu complet [[les imbuvables caprices des narcissiques ne passeront plus ! Rendre service à ces personnages si égarés se pratique en leur disant nooooonn ! Assez, stop ! Pas de rite pour vous, que de la guérite !]]. Le design thinking peut la leur offrir [[ offrir c’est gratuit comme…savoir se blottir !]] parce que le principe de base du design est de se centrer sur l’humain. Il peut aider les gens à façonner leur spiritualité [[ t’as vraiment vu un gugusse façonner sa spiritualité ? allons allons…]] en fonction de leurs besoins. Les religions institutionnalisées oublient d’une manière ou d’une autre qu’au centre de toute religion devrait se trouver la personne [[ ah oui ! c’est vrai, on allait oublier. Ici c’est carrément le centre sauf qu’il n’y a plus…personne !]]. »

Quelles sont les caractéristiques de tels rites « laïcs » ? Tout d’abord, apprend-on, ils doivent être courts. Et ils doivent être ludiques [[ commence très mal ; toutes les publicités plus « désintéressées » les unes que les autres (parce qu’elles ne valent rien) se planquent toujours derrière le ludique…or c’est faux ce ludique truqué…car ? La Fête est dans la tête déjà et tu peux pas faire semblant. T’es joyeux parce que t’as jamais permis à la société sale  d’entrer par effraction dans ton cœur : donc t’es joyeux de n’être QUE toi-même (blotti là dedans). Ce pourquoi tu mérites tant tes rites de mère pour toi !]] . Par exemple, ils proposent le design-fiction d’une micro-cérémonie en cas de contravention pour stationnement illégal. La faire sauter à la poêle avec des légumes et la manger ! [[ ben si c’est à ce point !]]…En fait les choses sont un peu plus compliquées et si l’on se rend sur le site du Ritual Design Lab (et sur leur blog associé sur Medium), on peut lire des papiers plus denses sur les rites et leur création.

Tout d’abord qu’est-ce qu’un rite ? Ce n’est pas, nous expliquent Kursat Ozenc et Margaret Hagan, une simple habitude, ou une routine, ou plus exactement ce n’est pas que ça : c’est une habitude habitée par du sens [[ bref, t’as un coloc’…sensé]]. Un rite peut avoir différents buts, et bon nombre ne sont pas d’ordre religieux. On trouve de telles pratiques avant un match, par exemple [[ quelle succulence que ces par exemple qui surgissent comme des cheveux sur la soupe. Ou comment faire semblant de convaincre des déjà trop convertis invertis ]].

(…) C’est une chose qu’avait déjà constaté Bradford Keeney. Ce psychologue et anthropologue qui travailla dans sa jeunesse avec Gregory Bateson, s’intéresse particulièrement au « shaking », une technique de transe basée sur des mouvements violents et spontanés du corps, une pratique universelle [[ normal, c’est de danser très convaincus, afin que les liquides céphalorachidiens très lents se mettent à vibrer…ce pourquoi*** : 1) danser authentiquement semble nous rajeunir…2) nous nous voyons, à la fois, dans notre corps cadencé et au-dessus de nous-mêmes dans les immenses images charnelles. C’est du corps gratuit bien vécu, pas la peine d’en faire des salades. Il n’y a qu’une règle ; soyons toujours sincères avec nous-mêmes. Là le belou se prend carrément pour un con, en voulant se faire passer du vinaigre pour du millésime : pourquoi se mentir à soi-même ?]], qu’on trouve tant chez les peuples du désert sud-africain que chez les shamans sibériens, certains courants chrétiens comme les Shakers ou l’église des Baptistes Spirituels de Saint-Vincent aux Caraïbes ; et qui a peut-être été retrouvée spontanément par les adeptes des rave-parties. Keeney mentionne dans son livre Shaking Medicine différentes tentatives pour extraire certaines pratiques de leur gangue religieuse. [[ l’image est très goûteuse sauf qu’elle ne se rattache à rien…les pratiques sont des processus pas des objets inertes : pas conséquent, impossible de leur extraire quoi que ce soi…). Il note cependant que tous les essais pour réduire ce genre d’expérience à une seule et unique pratique souvent d’ordre purement physiologique (que ce soit la danse ou les mouvements, ou au contraire les postures immobiles ou encore les drogues, etc.) échouent à provoquer des transformations psychologiques aussi intenses que les cérémonies originelles, qui les situent dans un contexte « sacré ». Dans le cas du Ritual Design Lab, cela pose encore plus question, puisque justement c’est l’élément cérémonial, qui donne en général le contexte à une pratique, qui est « nettoyée » de toute référence à un contexte religieux.

Peut-on sortir de ce paradoxe [[ ah que not quenottes…parce qu’il n’y pas de paradoxe…que des circonvolutions jésuitiques…et pour rien ]] ? Ceci dit, je remarque dans ces approches quelque chose qui manque et qui me paraît important. La notion de bizarrerie, d’inquiétude qui me semble être un élément fondamental de ce type d’expérience. Dans leur livre sur la neurothéologie, Pourquoi Dieu ne disparaîtra pas, Andrew Newberg et Eugene d’Aquili ont repéré un élément capital de toute cérémonie : l’usage d’un comportement (langue étrangère, gestes inhabituels, etc.) susceptible de générer chez celui qui s’y adonne une sensation d’étrangeté qui active son amygdale, et la réaction de fight of flight (ou réaction de combat/fuite). Les signaux d’alerte envahissent le cerveau, on entre dans un territoire dangereux ; il y a de la menace dans l’air ! Même une pratique sereine comme la méditation comporte cette notion de bizarrerie : décider qu’on va s’asseoir sans bouger pendant une demi-heure, c’est certainement, pour certaines parties du cerveau au moins, une perspective très inquiétante [[ une vie vide doit s’inquiéter de la moindre envie de se gratter, de toutes façons !]] !

Même le Burning Man ne vient pas sans une forme de déstabilisation : on se retrouve à griller sous un soleil de plomb dans un environnement fluctuant où les règles habituelles de la vie en société sont suspendues (et je ne parle pas de tous les produits chimiques qui circulent). Pas sûr que faire cuire une contravention ou déballer un iPhone intègre une telle prise de risque… ». Oui ? Les mêmes faux jetons qui font prendre les risques par les autres et empochent – séparés – le bénéfs de tous…ici, se la croyaient sans risque. Viennent de tomber sur du roc. Du solide. Du roc plus dur que le rock. Lequel ? C’est que le rituel appartient au spirituel dont les mots sonifiés nous disent que le spirituel est spire. Spire qui monte et descend sans cesse dans une manière d’appropriation (soit com-prendre tel prendre dans soi) très ingénieuse. Et que l’aspect extérieur (donc son extériorisation aussi) ne se perçoit que comme ceci : les spires spirituelles enlacent le rituel. C’est par le rituel que les spires se font connaître à elles-mêmes. C’est le moyen à la fois le plus charnel et le plus réaliste. Et donc ? Imiter extérieurement ne sert à rien, que dalle, nada. Il faut être dedans. Chaque nom ayant son verbe. Danser vient de dans, d’être dedans. Et dans danse ou danse dans devient le bon « rite » (oui celui font tu hérites de traditions)…mais le phénomène se manifeste aussi sans le mot rite. Qui peut se conduite comme la pyrite pour le spirite, du faux or, ce qui se fait passer pour ce qu’il n’est…pas. Donc pas de rite favorite externe mais être seulement en plein dans, dedans. Expérimenter en vrai cela suffira : selon l’évidence plus c’est Gratuit plus c’est vrai (ce qui se fait payer manque tellement d’affirmation tranquille)…eh bien allons-y… *****************************..............................

Se blottir comme un rite ? Pas vraiment, mais ce n’est pas l’emballage truqué qui contient seulement le conte nu. Et pourquoi le conte nu ? Pour le conter ducon. Si le conte est le début de conter, raconter sera la suite, mais tout raconter.

 

Se blottir nous conte ces humains pour qui Tout est familier, ils semblent chez eux/elles partout. Et étranger nulle part. Non séparés, éloignés des autres humains. Tout sera aussi simple que bonjour…Familier de la grande famille du vivant. Cette proximité sensuelle ne peut s’imiter, se copier. Nous le sommes ou nous ne le sommes pas : point barre. Raconter ne fait aucun compte, et ne tient aucun compte de ce qui est à côté de la plaque (la fausse monnaie humaine sans laquelle les fausses élites disparaissent ! Eh oui…). Pourquoi ? Tout ce qui est essentiel, de grande valeur, qui nous rend d’immenses services, reste GRATUIT. Plus c’est gratuit, plus c’est vrai…qui fait payer la transmission des gratuités qui le précédait, se prend juste les pieds dans sa lourdeur intérieure. Et le règne de ces minables qui n’ont rien à dire (car rien…à partager) est fini. Comme une porte qui se ferme durement à leurs gueules. Pendant que toutes les autres portes s’ouvrent pour les cœurs purs. Se blottir est un de leurs signes ! Vu que danser ou se blottir c’est immensément gratuit mais comme cela nous transPorte haut et loin (tiens l’intelligence artificielle semble laissée sur place, empêtrée dans les filouteries du transhumanisme pas du tout…humain ! Brrrrr…).

 

Aimer la réalité, toute la réalité (celle qui inclut toujours et n’exclut jamais) se prouve par ce don du blotissement. Se blottir c’est comme épouser toutes les formes réalistes de l’univers, du monde entier, sans jamais outrecuider la pensée de leur imposer « sa » loi. Se mouler en eux sans avoir besoin de son moule à leur foutre dessus. La preuve qui chante avec tout l’univers ? Se blottir, se lover, se couler, sans efforts dans la moindre de ses anfractuosités. Trouver partout, tranquille et pacifique, de la place – et pas « sa » place, phrase qui dénote déjà du tarfuffe mental aggravé (celui qui ne peut être que le délire clouté de ses beuveries d’égoïsmes de devenir maitres et possesseurs de la Nature…et nous voyons encore ces mêmes sinistres alcooliques empestant tout l’air social de leurs comportements inacceptables. Ceux de voyous miteux doublés de cancres insistants qui s’autoproclament classes supérieures en agissant toujours…inférieurement !). Qui ne sait pas se blottir d’instinct est un danger latent pur la société. Oui après le corps vibrant et chaud de danses toute la nuit ne pas SAVOIR que le mieux est de dormir directement sur la Terre, sur le sol palpitant – c’est prouver que vous ne comprendrez jamais rien. La terre apaise, la terre boit nos négativités et notre corps englobé jusqu’à son inconscient « adore » l’odeur, le charnel, les bruissements des sols. Les sensations vont se multiplier…comme si tous nos plis se dépliaient et se repliaient à vitesses imperceptibles. Bref, une nuit sur le sol nous régénère et nous envole –(et il peut y en avoir pleins d’autres)…sentir le soleil se lever (à l’extérieur et dans nous)…marcher pieds nus sur la rosée (ce message de l’univers), etc. voici qui peut commencer ce que nous nommons « un jour parfait ». Soit ? Lorsque tout du jour et de l’immensité semble se conjurer, s’assembler afin de nous faire escalader des prises de consciences, des sentiments et des pensées qui élèvent toujours plus…vers un but ? Sans doute sauf qu’il doit y en avoir plusieurs, et plus, d’un coup…mais ce serait les bras du sommeil de la fin de ce jour parfait nous auront…consolé de tout. Tout aura contribué à nous faire sentir que toute la réalité s’alignait telle une double haie triomphante afin de nous aider…sans jamais de frottements, sans résistances ni contraires des contrariétés (mais peut-être n’était-ce que nous qui étions aligné.e.s, Ceci ne change rien  à l’expérience à VIVRE. Pas à faire semblant, copier, imiter, plagier, etc. Non, de non, à vivre…très simplement. En direct et en vrai par soi même. Et tous ces dons prodigieux sont gratuits. La vie nous abreuve de son essentiel gratuitement. Ce pourquoi des escrocs qui se « monopolisent » (ce que ne font pas les services publics à buts…non lucratifs, les biens offerts de la nature et – pervers hideux jusqu’au bout – voudraient nous faire que sans eux nous ne pourrions pas avoir d’accès directs et persos avec cette nature de toutes les générosités…non mais non et non, leurs blablas ne fonctionnent plus !).

 

Il n’est pas jusqu’au vol chamanique (oui s’envoler comme un oiseau à part que ce n’est pas comme un oiseau…) qui ne « s’explique » par la gratuité. Et qui ne peut s’apprendre : en effet l’envol survient lorsque nous sommes tout emplis de gratitudes (aller apprendre la gratitude), lorsque notre confiance dans l’univers est…complète (aller apprendre la confiance complète) et que notre cœur est pur soit n’attend rien  pour lui mais ne vit que pour le collectif (aller apprendre les cœurs purs). Que se passe-t-il ? C‘est comme si l’atmosphère, l’air nous portent et transportent. De notre part, il suffit d’une grande et décidée poussée de nos jambes comme s’il fallait nous arracher, vraiment quitter les abrutissements sociaux…et ? Et tout vient tout seul après, comme si nous étions accueillis, intégrés, blottis dans les canaux,  (ce qui nous montre la vidéo jointe où un phoque vient quémander des caresses de l’humain. Ce qui rejoint, aussi, nos expériences dans les bois où des biches et les animaux…ne fuient pas. Vu notre silence lent et notre non-désir de contacts ou autres, oui, ils changent de comportements, leurs regards parlent tant, comme voulant nous faire entrer dans leurs vies (et non l’inverse)…changer de mentalité, etc. – oui la vraie Nature attend que l’humain…se transforme, mais à fond…et non l’inverse !)…Trop évident que cette expérience ne pourra jamais entrer dans les simulacres vains du Spectacle. Nul-le ne peut en être spectateur…facile à comprendre : les soi-disant rites ne sont pas…vécus à l’intérieur…

 

……….Et ne sont donc visibles qu’à qui n’y participe pas du tout !

 

 

………………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Se blottir
Se blottir
Se blottir
Se blottir
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« Une carrière réussie est une chose merveilleuse mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit quand on a froid." Marilyn Monroe

« Une carrière réussie est une chose merveilleuse mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit quand on a froid." Marilyn Monroe

La qualité surpasse de si haut la quantité que celle-ci se soûle toute seule. Voyant double ou octuple…A se croire si multiple alors qu’elle n’est que peu de chose !

La qualité surpasse de si haut la quantité que celle-ci se soûle toute seule. Voyant double ou octuple…A se croire si multiple alors qu’elle n’est que peu de chose !

Se blottir
Se blottir
les précurseurs qui permettent aux curseurs des autres d’avancer – transportent souvent d’énormes charges…

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un vrai mouvement (donc sans com’) c’est transmettre à fond. Ne pas se démettre s’y mettre…

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en instance d’ntelligence collective…humaine vraiment ?

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« L’art ne reproduit pas le visible, il le rend visible.» Paul Klee

« L’art ne reproduit pas le visible, il le rend visible.» Paul Klee

pour l'univers le bleu est la couleur...chaude ! Et donc ?

pour l'univers le bleu est la couleur...chaude ! Et donc ?

Les déantibulations…Sur les notes d'une guitare électrique, le corps s'enroule et s'entrave dans de fines cordes flottantes, suspendues et contraignantes avant de se blottir dans un large tissu rouge. Un extrait de la représentation de la Compagnie Rouge Eléa. Mini-bombe, tornade ou tempête, appelez-ça comme vous voulez...

Richard Monvoisin - Le Capital Symbolique (Les lois de l'attraction mentale)…Ce capital symbolique peut devenir un enjeu suffisant pour… s'isoler de plus en plus du réel. A bas donc tous les capitaux même symboliques.

Écologie contre capitalisme…ne jamais entrer dans le concret, repousser toujours les dates à plus tard, ne plus jamais rien décider et se prétendre décideur, en demeurer aux généralités. Donc inactiver en vrai l’écologie… Le mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert) ne le permet jamais.

SAV#2 - Erreur Ultime et ethnocentrisme…l’erreur c’est de ne PAS QUITTER les fausses civilisations. Rester civilisés c’est donc en inventer une toute nouvelle de civilisation..

Tim desClouds - Un endroit où se blottir, un endroit où réfléchir, prenez un siège. Mode d’emploi ? To gather together !

Cet homme ne comprend pas ce que – lorsqu’ il lui tend sa main, l’incroyable se produit : le phoque lui demande carrément de lui caresser le ventre !

Ray Parker Jr - Stay The Night…une chanson avec des paroles et un groove vraiment blottissants !

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