Puisque nous sommes tous reliés ce serait comment ?
Dans les 80 % de vraies actualités jamais relayées par les médias d’argent sale, il y en a un paquet qui convient à nos cœurs. Mais de là à affirmer pour affirmer – il nous semble préférable de prouver avant. Dans l’univers et la vie tout est lié et relié. Toutes les chances que les humains vérifient le même phénomène doivent être grandes. Ce sera un appareil générateur d’événements aléatoires (surnommé l’EGG en français) qui montre la mesure des liens. S’il y a des résultats de mesures l’évènement existe bien : il confirme que nous soyons reliés et esquisse le comment. Bon, en très simplifié, tout le monde visualise les capteurs collés sur notre peau afin de mesurer nos émotions. Là, c’est en très grand et c’est l’impact vibratoire des émotions collectives qui se voit plus grossièrement mesuré. Il faut des événements qui ont remué énormément les humains afin que ce sismographe graphie une courbe significative. Comme l’Egg est récent, il y a surtout eu le 11 septembre et la disparition de Lady Di. Mais là les courbes montent assez significativement pour en conclure que les émotions collectives existent bien : sauf que…actuellement, elles augmentent alors qu’il n’y a aucun…évènement global particulier sinon…le reflux clair de l’égoïsme individualiste. Et les inquiétudes collectives pour la Nature, sans laquelle tout esprit conscient sait que nous ne pourrons pas vivre. Que lui nuire ou la souiller c’est nous nuire et nous souiller directement nous-mêmes. Et donc les catastrophes écologiques « éveilleraient » suffisamment cette conscience pour qu’elle s’impacte d’elle-même sur les sismographes des psychismes ? C’est alors d’une conscience frustre, qui ne formule rien et ne semble pas montrer vers quelle direction elle oblique dont il s’agit…Donc, une fois de mieux, nous devons nous charger de…comprendre plus loin ! Comme ceci…
« C‘est une petite boîte en métal, qui n’a l’air de rien d’autre qu’une petite boîte en métal… Je pensais, en commençant mon enquête, me retrouver devant un superbe alambic fluorescent et tintinnabulant au milieu d’un bric-à-brac digne du cabinet d’un docteur Mabuse. Au lieu de ça, rien que cette petite boîte connectée, tout de même, à un ordinateur. Juste un ordinateur portable, tout simple et tout gris. Ce fleuron de la technologie, premier brevet industriel de la parapsychologie, ne ressemble à rien. Je fais comme le petit portable, grise mine. Et ça se voit. « Vous vous attendiez à quoi ? » J’explique à quoi. Mais il y a pire encore : cette petite boîte est faite pour fonctionner n’importe comment. Son cœur est un composant électronique conçu pour fabriquer du hasard… Pardon ? Ce n’est pas bien compliqué : lorsque vous prenez une paire de dés et que vous les faites rouler sur la table, vous fabriquez du hasard. Cet appareil fait la même chose, mais de façon bien plus sophistiquée : il débite à toute vitesse des suites de chiffres, aléatoirement. Gadget génial mais inutile ? Pas pour tout le monde. En tout cas, pas pour les chercheurs qui participent au Global Consciouness Project – le Projet conscience globale **** qui, paraît-il, est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine.
Inconscient-collectif-nous-sommes-tous-reliés
Notre esprit peut-il influencer le hasard ? Tout commence à la fin des années 60, avec un physicien, Helmut Schmidt, alors directeur de recherche des laboratoires Boeing, aux Etats-Unis. Boeing, la fameuse firme d’aviation. Schmidt obtient l’autorisation d’utiliser son labo et ses compétences pour faire des recherches en parapsychologie ! Esprit éminemment créatif, il invente le premier « générateur numérique aléatoire », sorte de grosse caisse sur laquelle des ampoules s’allument au hasard. En essayant de deviner quelle ampoule va s’allumer, ce dispositif permet de faire des expériences de ‘voyance’. Encouragé par le staff de Boeing, le physicien perfectionne son invention. Il miniaturise la boîte, ajoute des rangées d’ampoules et change la règle du jeu : il ne suffit plus de deviner quelles ampoules vont s’allumer, mais d’essayer d’influencer par la force de l’esprit l’ordre dans lequel elles s’allument. Cet exercice de « psychokinèse » donne des résultats si étonnants qu’il provoque un certain émoi dans la communauté scientifique.
Passons sur les vingt et quelques années qui ont suivi, pendant lesquelles ce générateur numérique a été testé des milliers de fois, et a servi d’outil de recherche dans tous les laboratoires universitaires de parapsychologie. Nous nous retrouvons en 1996 à l’université Princeton, toujours aux États-Unis. Cette auguste institution abrite le Princeton Engineering Anomalies Research, l’un des hauts lieux de la recherche américaine. Le professeur Roger Nelson, psychologue, s’intéresse à ces machines à fabriquer du hasard – qui n’en fabriquent plus par la force de l’esprit. Pour un psychologue, c’était faire preuve d’une nette ouverture, d’esprit justement. Un jour, il s’interroge sur la possibilité pour cet appareil d’être influencé non par une personne, mais par un groupe. Avec son fils Greg, informaticien expert en intelligence artificielle, il met au point une nouvelle version du générateur numérique, le générateur d’événements aléatoires, plus connu aujourd’hui sous le nom de Egg. Premières expériences en groupe. On réunit une trentaine de personnes dans une salle et on leur demande de chanter, de parler, de s’amuser. L’Egg, placé dans un coin, fabrique du hasard à tout-va : le graphique, semblable à un tracé d’électroencéphalogramme, qui s’affiche sur l’écran de l’ordinateur, reste plat. Sauf lorsque tout le monde fait la même chose en même temps, méditer par exemple. La machine réagit alors comme si elle « captait » l’état d’esprit du groupe : le graphique commence à dessiner une courbe. Intrigué, Roger Nelson propose une hypothèse : lorsqu’un groupe porte son attention sur un même événement, « l’esprit de groupe » devient cohérent. Donc, si l’Egg est placé dans le « champ psychique » de ce groupe, il est influencé par des émotions, comme le calme, la peur, la joie, la concentration.
D’autres chercheurs, alertés par cette surprenante découverte, s’associent au projet. En 1998, une quinzaine de Egg sont envoyés à autant de scientifiques un peu partout dans le monde. Avec une intention bien précise : un événement déclenchant une puissante émotion collective peut-il être enregistré par toutes les machines simultanément ? Si oui, cela confirmerait l’existence d’un champ psychique planétaire, quelque chose qui ressemblerait à une « conscience globale ». Les premiers tests donnent des résultats immédiats. Ainsi, lors d’événements comme les funérailles de Lady Di, les appareils, qu’ils se trouvent aux États-Unis, en Chine ou en France, enregistrent des variations du champ psychique. Au cours des trois années qui suivent, le Global Consciousness Project **** [[ voir précisions plus loin]] prend une ampleur inespérée. L’appareil obtient un titre de propriété industrielle, une grande première dans l’histoire de la parapsychologie. A la fin de l’année 2002, le parc de Egg sera passé de quarante à soixante-quinze machines. Deux d’entre elles sont installées en France. Toutes sont reliées à l’ordinateur central du laboratoire de Princeton via Internet, qui enregistre automatiquement, heure après heure, les données recueillies par chaque ordinateur. Le fonctionnement de ce réseau pourrait être comparé à une électroencéphalographie de notre planète : chaque fois qu’un événement collectif se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus l’événement est fort et médiatisé, plus la fluctuation est importante.
Le 11 septembre 2001, bien sûr, a fait crépiter toutes les machines et a fait monter les courbes vers des niveaux encore jamais atteints. Avec un détail que les scientifiques n’avaient pas encore osé souligner, même s’ils l’avaient déjà remarqué auparavant : sur les écrans des ordinateurs, les fluctuations de la conscience collective ont commencé la veille. Oui, la veille ! Notre champ psychique collectif aurait « perçu » l’événement avant qu’il ne se produise. Nous faisons, sans aucun doute, partie d’un tout : « Avec cette expérience mondiale, nous sommes en train de démontrer d’abord que notre conscience n’est pas limitée à notre corps, mais semble s’étendre dans un espace beaucoup plus vaste. », explique Roger Nelson. « Ensuite, qu’il semble bien exister une conscience globale dont nous faisons partie. Scientifiquement, il y a encore beaucoup à faire pour que cette hypothèse soit validée à cent pour cent. La première conséquence de cette découverte, c’est qu’il faudra réviser nombre de dogmes scientifiques sur la nature de l’esprit, de la conscience, et même de la vie. La seconde est que, individuellement, elle permet de mieux comprendre que nous faisons partie d’un tout, que nous sommes tous reliés les uns aux autres… » [[ même si l’esthétique de cette compréhension demeure très sommaire et que la société si mal dirigée ne pratique toujours pas l’auto-élucidation permanente d’elle-même par elle-même ce qui exclut toutes les censures «idéologiques ». Pourquoi ? Parce que, comme le remarque excellemment Axel Kahn « nous ne savons pas quels seront les gènes importants dans 200 ans ». En massacrer un seul c’est assassiner le meilleur du futur. Pour les pensées il en va de même : celles qui « irritent » les prétendus dirigeants incultes et si chochotes ne doivent surtout pas se voir censurées. C’est le meilleur du futur en germe. Le fait que nous soyons toutes et tous reliés leur enlève tout droit à…l’autoritarisme unilatéral. Un fait suffira à le démontrer : qu’ils arrachent, à la seconde, le mot populiste à tout ce qui semble près du peuple. C’est une vision de classes supérieures omniscientes avec une discipline morale que nous ne voyons pas chez ces corrompus trop cupides pour être en quoi que ce soit…de supérieur. « Leurs » gouvernements tous minoritaires sont bien plus démagos et vulgaires de com’ pourries que les ex-populistes. Car si ce sont des fachos dire clairement fachos…vouloir les dissimuler sous les plis du mot populisme n’est pas digne d’éloges non plus. Nous sommes reliés = fins des censures censitaires, celle que l’argent sale se permet si…arbitrairement ! Voici un effet collatéral très positif de l’émergence d’une conscience globale ! soit le #fermetagueulesic’estpour censurer..]].
Dernières nouvelles : depuis quelques mois, un autre phénomène est également observé. « Les tracés de cette électroencéphalographie de la Terre sont en constante augmentation. », ajoute Roger Nelson. « Comme si la conscience collective était en train de s’éveiller. » Ce qui peut correspondre au déclin de l’individualisme qui a prévalu ces dernières années au profit de la famille, du groupe, du collectif. Un sentiment que beaucoup commencent à ressentir ou à expérimenter, surtout à une époque où les catastrophes écologiques et les menaces politiques invitent à davantage de solidarité et d’intérêt pour le devenir de l’humanité.
<<< ! >>> Jung * C’est Carl Gustav Jung qui, au cours des années 20, a forgé le terme d’«inconscient collectif»[[nous nous l’avons expérimenté par une allégorie de vivre «sous la ligne de flottaison des foules », parce que cette conscience globale est physiquement perceptible, pas sans arrêts, mais par longues intermittences espacées mais sensibles ]]. Il divisait notre inconscient en deux « territoires » : le personnel et le collectif. L’inconscient personnel est le produit des expériences propres à chacun de nous. L’inconscient collectif est né de toutes les expériences humaines depuis l’aube des temps. Il n’est donc pas uniquement la somme des inconscients personnels [[le tout plus grand que la somme des parties : avec un « plus » donc !]] : c’est la mémoire psychique de l’humanité depuis sa naissance. C’est en lui que, tout au long de notre histoire, se sont cristallisés les symboles universels – que Jung a appelé les « archétypes » : le dragon, le héros, le cristal… Ils sont si forts que Jung avait pu prédire (in “Ma vie” ) la dernière guerre mondiale bien avant qu’elle n’éclate parce que, en analysant les rêves de ses patients, il avait remarqué que Wotan – le dieu scandinave de la guerre – y apparaissait de plus en plus souvent [[ à ce sujet, rien de perceptible dans le global : les prurits de guerres pour les profits d’une poignée de pervers au pouvoir ne semblent pas « convaincre » l’inconscient des foules. C’est comme ça : faut pas prendre son pipi pour un fleuve !]]. »
…………………………………....*****************************
**** (en complément informatif) >>> ** - Le Global Consciousness Project (Projet Conscience Globale), aussi nommé le projet EGG, est une expérience scientifique actuellement menée à l’échelle mondiale. Elle débuta en 1998 sur l'initiative de l’Université de Princeton. Cette expérience mesure concrètement l'influence de la pensée et des émotions collectives sur des appareils électroniques situés dans divers endroits du monde.
Les travaux de Dean Radin, co-fondateur du Boundary Institute en 2000 à Sillicon Valley et Doyen Scientifique à l’Institut de Sciences Noétiques, ainsi que ceux du Projet de la Conscience Globale de Princeton, ont révélé que la technologie du Web semble fonctionner comme un domaine de sensibilisation préconsciente.
le-futur-existe-t-il-déjà-dans-l'avenir-?
Flots de questions dont pourquoi cette conscience globale ne peut s’exprimer, grand animal, ne serait-ce qu’en signalant une direction, un choix très clair ? Etc. La réponse est que les autoproclamées classes supérieures (qui ne le sont sûrement pas) qui agissent n’importe comment mais toujours contre les intérêts des grandes majorités semblent bien se retrouver autour du point commun d’être majoritairement des pervers narcissiques…donc des ahumains insensibles ne se préoccupant jamais des autres et qui peuvent aller jusqu’à brouiller tout futur commun ; à sombrer en entrainant tout le monde ou le maximum (ce contre quoi nous nous sommes attelés répondant à comment faire afin qu’ils tombent en entrainant que le minimum d’humains ? La réponse appartenant à la stratégie ne se dit donc pas. Puisqu’il ne faut jamais enseigner les salauds !). Voyons voir…« Lorsqu’on lit les journaux, les pages web, ou qu’on regarde la télévision, on a le sentiment que le futur s’est absenté, comme si l’urgence avait partout répudié l’avenir comme promesse. Déconnecté du présent, il est ainsi laissé en jachère intellectuelle et en déshérence libidinale. Or, tout comme on a pu le dire de la nature elle-même, il a horreur du vide. Il se laisse donc investir par toutes sortes de hantises. Victime de notre vacuité projective, il est devenu très difficile à envisager, à dévisager [[selon les rimes de Gainsbourg ]]. Orphelins des philosophies de l’histoire, piégés dans un flux qui nous submerge, nous perdons les moyens de discerner quel paysage général est aujourd’hui en train d’émerger. Nous ne parvenons plus à penser ce qui va survenir en prolongement de ce qui est. Qu’est-ce qui se construit ? Qu’est-ce qui se détruit ? Nous l’ignorons pour une grande part, mais c’est paradoxalement parce que nous avons compris quelque chose : par des boucles nouvelles et inattendues, nous allons de plus en plus dépendre de choses qui dépendent de nous (on songe par exemple à l’influence de l’activité anthropique sur l’évolution du climat) [[ nous vivons à plein la physique quantique et le savoir tibétain qui disent avec des formulations différentes que…l’expérimentateur peut changer l’expérience. Que sa présence modifie les résultats. Et qui si nous n’entrevoyons pas le futur c’est qu’il dépend (intrications et enchevêtrements) de ce que…nous allons faire – comme, pour le Egg, de ce que nous…pensons actuellement ! Donc n’est plus…prédictible comme pratico-inerte]].
Mais alors, comment savoir ce qui va…se passer si cela dépend en partie de ce que nous allons faire ? Nous pressentons que cet avenir-même que nous sommes en train d’anticiper par nos actions et nos choix pourrait se révéler radicalement autre, et au fond de nous-mêmes, nous le craignons [[ donc nous nous craignons nous…ben c’est du propre : quel échec civilisationnel. Les fausses politesses des costards cravates ne servent à… rien, puisque jamais elles ne viennent du cœur !]].
Quel reste le statut physique du futur ? Nous avons l’habitude de représenter le temps par une ligne formée de points analogues à ceux qui se trouvent dans l’espace. Ce faisant, ne déplaçons-nous pas sa nature propre, au point peut-être de la contredire ? Dessiner d’un trait fléché l’axe du temps ne serait-il pas un geste quasi monstrueux, consistant à faire spatialement coexister – exister ensemble dans un même présent – des instants successifs qui, par définition, ne peuvent pas être tous présents… en même temps ? Cette mauvaise représentation du temps masque en outre un problème redoutable : lorsqu’un instant est présent, où se trouvent les autres instants, notamment ceux du futur ? Existent-ils ailleurs, depuis la nuit des temps, attendant seulement de devenir présents l’espace d’un instant, au moment où le temps passera par eux ? Ou gisent-ils encore dans le néant, hors de toute réalité, pour ne devenir fugitivement réels qu’au moment où ils seront présents ?
La question est en somme de savoir si le futur existe ou non déjà quelque part. Parce qu’elle interroge le temps en usant de termes relatifs à l’espace, elle déclenche en notre esprit un gigantesque embarras, et nous n’y répondons d’ailleurs que de façon bancale, en accordant au futur une ontologie vacillante, à mi-chemin entre réalité et irréalité. Dans Le Don, Vladimir Nabokov faisait dire à son héros Fiodor : « Notre sentiment erroné que le temps est une sorte de croissance est une conséquence de notre état limité qui, étant toujours au niveau du présent, implique sa constante remontée entre l’abîme aqueux du passé et l’abîme aérien de l’avenir. »
Abîme aqueux d’un côté, aérien de l’autre… Le temps semble coupé en deux, par deux sortes de pondérations que le présent démarque, sépare, oppose. Mais se pourrait-il qu’il s’agisse là, non d’une authentique réalité, mais d’un simple effet de perspective [[ inversée en perspectives des effets fantasmés ]] ? Qu’à rebours de nos perceptions et de ce qu’indique notre mémoire, le futur existât ni plus ni moins que le passé ? Des physiciens ont proposé une lecture de la théorie de la relativité d’Einstein allant dans ce sens. C’est la thèse dite de « l’univers-bloc », qui invite à considérer l’espace-temps comme une structure intégralement déployée au sein de laquelle tous les événements, qu’ils soient passés, présents ou futurs, coexisteraient [[ ce qui correspond à notre explication qui ose que le début de l’univers est toujours là, toujours coprésent à nous. Et non pas séparé loin « dans » le temps mais toujours présent « dans » l’espace à 13,7 milliards d’années lumières de nous. Le début de l’univers est Là mais…éloigné dans l’espace. Donc toujours accessible car appartenant à ce déploiement complet de tout que serait l’univers ]]."
Ils y auraient exactement la même réalité, de la même manière que les différentes villes de France coexistent en même temps dans l’espace, tout en étant situées en des lieux différents : tandis que je suis à Paris, Tourcoing et Marseille existent tout autant que la capitale, la seule différence entre ces trois villes étant que Paris accueille ma présence, alors que ce n’est le cas ni de Tourcoing ni de Marseille, du moins au moment où j’écris ces lignes. L’espace-temps contiendrait en somme l’intégralité de l’histoire de la réalité, chaque événement passé, présent ou futur y occupant, depuis toujours et pour toujours, une place bien déterminée. Cette thèse est bien sûr discutée et même controversée. On peut par exemple lui opposer le « présentisme », qui considère au contraire que seuls les événements présents sont réels : ceux-ci apparaissent et disparaissent en étant remplacés par d’autres, de sorte que la réalité est toujours nouvelle. En d’autres termes, il n’y aurait pas d’autre réalité que l’ensemble de ce qui, présentement, a lieu. »…Seul donc le lieu a lieu, seul l’espace existe. L’erreur humaine est que nos formes changent, nous vieillissons, donc le temps existe, mais pour le vaste univers, c’est non. Le temps c’est uniquement de l’espace-temps où le temps s’exprime surtout en utilisant des formulations…spatiales : facile à vérifier. Est-ce que nous sommes mieux aidés à comprendre comment nous pourrions influencer la conscience globale ? La seule certitude est qu’il y a des données qui nous échappent, dont nous avons pas encore pris…conscience. Que cette prise de conscience est troublée par les pouvoirs actuels, gavés de perversions, qui ne savent pas du tout où ils vont. Sinon à jouer puérilement et irresponsablement à faire encore et encore des stupides profits à n’importe quel prix… tout en demeurant hébétés-drogués à ne pouvoir répondre simplement à mais Pourquoi ce tas de profits SUPERFLUS qui détruisent tant la Nature ? C’est quoi le but sensé ? Le silence de leurs gavages absurdes seul répond !
………………….….....*******************************************
Autre voie bien plus pragmatique pour comprendre…plus loin ?… « Aujourd’hui nous avons du mal à imaginer notre futur, car tous les clignotants climatiques sont au rouge et conduisent plutôt à penser l’effondrement qu’à voir les opportunités de résilience. Pourtant, la biologie nous dit que c’est principalement en période difficile que le vivant coopère et c’est lors de phases d’abondance que la compétition est la plus fréquente. Et si nous nous inspirions du vivant pour nous réinventer ? [[ le biomimétisme est l’avenir de l’Humanité et surtout pas le capitalisme brutal et inculte apte seulement à ne rien comprendre ni d’apprendre ]].
Biomimétisme-social-et-coopération-une-résilience-à-portée-de-main
Par ailleurs, pourquoi est-ce si urgent de retrouver la voie de la coopération ? Faire face aux défis que notre civilisation a créé les compétences et les expertises de tous sont requises pour coconstruire les solutions de demain. Les progrès technologiques issus de l’industrialisation reposent sur les prélèvements continus des ressources de la planète et fragilisent la biodiversité par la pollution massive que constituent nos déchets. Alors face à un proche «effondrement» de notre modèle de société, nous sommes invités à nous repenser. C’est ce que font certains pionniers avec l’économie circulaire incluant le biomimétisme [[ imiter l’intelligence évidente de la Nature c’est nous en sortir. Poursuivre l’arrogance folle et combien infantile du capitalisme ‘dont l’argent fou sait tout sans avoir besoin de rien savoir, c’est tous crever la gueule ouverte…]].
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui voient dans cette piste du biomimétisme des pistes d’espoir [[ hors effondrement]] pour le futur. De l’économie circulaire à l’économie symbiotique , en passant par la permaculture humaine , le vivant devient la source d’inspiration principale pour nous recréer – [[ S’inspirer du vivant afin de retrouver les voies de la résilience anti-effondrement ? Oui accompagner la Nature dans se réparer par elle-même de tout ce que les fous cupides lui ont fait subir. Par hyper bêtise et bestialité d’avidités qui doivent, socialement, devenir répréhensibles. Ras le bol de ces malades beuveries d’argent fou… Après tout c’est du viol de la Nature dont il s’agit et le #balancetonporc désigne alors les fous de la cupidité comme les violeurs. Écoutons les plantes faire leur musique et nous entendrons toute l’histoire…]] . Le biomimétisme social consiste à s’inspirer du vivant pour retrouver les principes, ses lois [[ la porcherie capitaliste libérale ayant trop abimés les apports juridiques et moraux des Lumières…leur tropisme vers l’obscurantisme n’est plus à démontrer mais bien à …accuser fermement. La civilisation ne peut continuer avec de tels barbares à sa tête ]] …et notamment grâce aux peuples racine [[ ce qui peut être mis en parfait parallèle avec ce faire des Zadistes les instituteurs des pouvoirs privés se permettant de monopoliser l’état…puisque, selon nos arguments (cela en devient flagrant à quel point ils…s’alignent sur nous !), ces êtres suspendus en l’air tout abstraits de nos sociétés sont des…Cancres. Et pas les zadistes ! Semez et vous aurez des graines…]] qui étant les plus proches d’une vie naturelle savent observer ses principes »
Les-zadistes-doivent-devenir-les-instituteurs-de-l'état-par-Bruno-Latour
………………………..*************************************
Le comprendre plus loin fonctionne bien : hier, nous prouvions à quel point le langage, tout le langage et sa programmaire est de notre côté. Aujourd’hui qu’une conscience vraiment collective s’éveille. Des savants mesurent, nous sommes déjà dans les comment, les contenus. La conscience globale est de notre côté. Bref tous les outils du Changement sont de notre coté. Aussi. C’est un crime devenu que d’attendre, de pourrir dans l’inertie. La sensation, lorsque nous abordons ces « preuves » scientifiques, oui la sensation de rester en dehors de l’action, à la superficie superficielle des phénomènes, séparés par une grosse vitre de notre participation entière – semble aussi pulvérisée. Des preuves d’éProuver ? La permaculture a eu un succès fulgurant. Et dans la juste compréhension de ce qu’elle est. Et pas grâce aux médias égarés qui n’en ont…jamais parlé. Leur niveau de conscience pas plus grand, parfois, qu’un petit pois leur aurait, d’ailleurs, fait délirer…dans « une pensée mystique, dérivée du new age » (juré craché c’est comme si nous y sommes, les têtes de linottes sont trop facilement décryptables…)…or c’est une attention respectueuse et une comprenette rapide que la permaculture, queue dalle de mystique lourd. Elle augmente juste la conscience puisqu’elle a…quitté l’’individualisme (rien dans la Terre n’est indiviDualiste que…les barbares arriérés bourgeois). Bon c’est un des comment de la conscience globale…non mesurable par des appareils (oui ap-pareils mais pareils à quoi au fait ?). etc. (tant à dire)…
Maintenant puisque nous SOMMES L’EXPÉRIENCE, que nous pouvons agir sur elle, que l’avenir est en état d’intrication-dépendance avec ce que nous faisons (ou pas, l’inertie étant le pire des crimes contre la nature), oui ce que nous pensons ou pas…le futur DÉPEND de nous…parce qu’il n’est fait que d’embranchements, de choix successifs et qu’une conscience globale intentionnelle…
………………peut devenir son gouvernail.
Nous sommes des hyper chanceux –
……………………………………..soyons inondés de gratitudes de le capter !
.
….………(à suivre)
……………………**********************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
faites des cadeaux à la Terre, des cadeaux surtout immatériels…
/https%3A%2F%2Fmedias.psychologies.com%2Fstorage%2Fimages%2Fmoi%2Fse-connaitre%2Femotions%2Farticles-et-dossiers%2Fque-faire-de-nos-emotions%2Fnos-emotions-collectives-sont-elles-sinceres%2F927875-1-fre-FR%2FNos-emotions-collectives-sont-elles-sinceres_imagePanoramique647_286.jpg)
Nos émotions collectives sont-elles sincères ?
La pudeur n'est plus de rigueur, l'heure est au grand déballage émotionnel. Les yeux rivés sur nos écrans, nous explosons de joie ou pleurons tous à l'unisson. Ces émotions sont-elles vraimen...
Mauvaise question, vue par le regard déformé et paranoïaque des pouvoirs. C’est déjà admettre qu’elle existe que de la prétendre insincère ou sincère. Il s’agit, une fois de plus, de ne pas la…violer. Car ? «Quand l'histoire nous prend par les sentiments, écrivent Rowley et d'Almeida, elle se penche aussi sur les humbles, les anonymes, qui composent la trame des événements formidables.»
et les manifestations géographiques des émotions.
nous sommes infiniment mieux que ce que les faux dirigeants disent de nous…puisque c’est nous qui menons le vrai monde et pas eux !
Anthony Rowley "Quand l'histoire nous prend par les sentiments"
/https%3A%2F%2Fmedias.psychologies.com%2Fstorage%2Fimages%2Fplanete%2Fsociete%2Farticles-et-dossiers%2Fentrons-dans-l-intelligence-collective%2F934231-2-fre-FR%2FEntrons-dans-l-intelligence-collective_imagePanoramique647_286.jpg)
Entrons dans l'intelligence collective
En marge des structures de réflexion classiques, des hommes de bonne volonté, chercheurs, formateurs, interrogent notre société et ses modes de vie. Parmi ces penseurs du vivre ensemble ...
L’existence d’une conscience collective bientôt archi prouvée ? Peut-être, grâce à une expérience troublante menée dans le monde entier avec un petit appareil censé détecter les émotions de groupe.
Projet Conscience Globale avec Roger Nelson… Tout commence par le constat (Helmut Schmidt) que les individus peuvent influencer par l'intention un GNA (générateur de nombres aléatoires), mais aussi, sans le savoir, un GNA caché.
Envisagé sous l'angle de l'intrication quantique, cet extrait du documentaire « LA SCIENCE DE L'ETRANGE: LES POUVOIRS DU CERVEAU »
écologie humaine… Le mépris des foules n´est pas ajusté au personnalisme... Il est bon de savoir vibrer en communauté.
Fabrice d’Almeida et Anthony Rowley Quand l'histoire nous prend par les sentiments
Probabilités: Expérience aléatoire et Événement
Résumé du concept de conscience globale de Tom Campbell, aperçu général de sa théorie du grand tout.
Avec des approches et des moyens très différentes les résultats sont identiques…Global Consciousness Project | La conscience collective prouvée scientifiquement
…par l’intelligence du langage : « Les Mystères de l'Égo » avec Siriliel - NURÉA TV
Afin de complèter -When emotions become collective