Boucane le boucan

Le faux est un moment du vrai. Et ? L’invasion massive du faux, ruisselant des sommets, afin de (sans doute) perturber les esprits libres – vient de recevoir l’effet très inverse. Ce sont, désormais, ces faux dirigeants qui s’empêtrent dans des milliards de mensonges. Oui les…leurs. Qu’ils n’auront (d’ailleurs) pas arrêté de cumuler. Nous ? Eh bien, actuellement, nous dansons dans les architectures de la société afin de la séparer de ces nocifs mal faîteurs. Nous allons enfiler une enfilade de découvertes ici…

Pourquoi un titre tel « boucane le boucan » pour dire ceci ? Ce qui profilerait, pas très réussi, boucan à pirates ? Pas franchement obligés d’aller encore vers les pires pirateurs…Puisque ? Puisqu’il est dit que nous tenons toujours parole, que nous tenons même infiniment à la parole. Que nous sommes pour la culture orale. A l’oralité pro-sociale. Lorsque la m’orale reste orale. Toute…

Méthodes alors ? Débriefings comme si vous étiez ? -- Si vous vous préoccupez du plan contre la pauvreté vous devez savoir qu’il suffit de réunir les syndicats (si peu représentatifs) de leur étaler sa seule impatience à savoir leurs opinions. Oui ?  L’immense société se rétrécirait à ces partenaires sociaux et corps intermédiaires : il suffit juste d’allumer le bouton et l’immense tâche seraient accomplie ? Après avoir repoussé arbitrairement ce plan, il y a soudaine précipitation qui blesse plus encore. Donc ? Une incapacité autobloquante à entrer dans le long temps des dialogues et des écoutes patientes. C’est du faux partout : la com’ va oser « après de longues discussions, il aura été décidé que…etc. » Le débriefing atteste plutôt des comportements je ne discute que si l’on est d’accord avec moi --- Mais ce n’est pas discuter cela ! --- il faut bien que les décisions soient prises. Je dis les ordres, il n’est pas nécessaire de discuter --- Mais vous ne vous appuyez sur aucun consensus peu à peu gagné, vous jetez sans cesse des pavés au milieu des recherches d’unités et d’ententes (…).

Le but était de faire croire à un « virage social ». De le dire suffit à ce qu’il existe : plus la peine d’approfondir. La com’ supplante la vérité politique. Le défaut est que, à force de vivre dans une bulle, d’aucuns peuvent se leurrer de croire qu’il suffit de jeter un mot pour que les regards changent. Or s’il n’y a aucune modification des comportements, aucun changement durable ne peut exister. Sur quoi se fonderait-il ? Et ? il n’y a, ni aura, aucun virage, c’est seulement l’expression « extérieure » virage social qui est prise et posée hors tout fait concret. Il n’y a plus rien, aucune réalité derrière ces gesticulations infondées. Il suffit donc de poser une étiquette sur les humains, sur un dossier  avec « virage social », de mettre, ensuite,  ce dossier refermé dans l’oubli complet, et c’est ainsi qu’une société fonctionnerait (les humains tels des dossiers refermables ?) ? (…). Et ainsi de suite. Le diagnostic est ** 1) une incapacité à établir le moindre dialogue ( donc de faire de la politique) avec quiconque. A entrer dans les ressentis des autres ( c’est agir en directeur de services non en facteur d’unions ). A apprendre à reformuler jusqu’à l’accord vérifié, par rapport au reformulé, du vis-à-vis…Un monologue de sourds est martelé...soit motivé par la procrastination (remettre à toujours plus tard les faces à faces nécessaires) soit…ce que nous nommons toujours fuir devant la réalité… Ces comportements ne peuvent que semer toujours plus de conflits insolubles. --- Mais ces personnages ne réfléchissent jamais ? --- ils ont la tête farcie mais comme des étudiants qui n’ont pas assimilé les connaissances. Tels des diables ils surgissent de leurs boîtes toujours mal à propos et assènent n’importe quoi (incapables de le synthétiser avec une compréhension complète des thèmes) n’importe comment (bousculant tout du fait de leurs maladresses dues pour la plupart à un gonflement exagéré des égos)…Et ? *** 2) – ces personnalités complètement inconscientes (incapables de se voir parler, de scruter la mise en situation et de corriger par retour tous leurs propres défauts –comme le garçon de café chez Jean Paul Sartre) sont du genre à allumer, sans s’en rendre même compte, des multitudes de colères, à blesser à tour de bras, à frustrer en très grand, à  gâcher toute solution, et ce dès le départ, à toute problématique, etc. ***3 ) Ces irresponsables peuvent enflammer des cataclysmes dramatiques faute de la présence de personnages, indépendants et ayant droit d’autorités, en train de les sommer de …se taire, de s’excuser, faisant émerger, en vue de catharsis, les conflits créés par de telles attitudes, etc. Bref, domptant les attitudes barbares qui se prétendraient dirigeantes, en rétablissant l’immensité de l’espace social. Lorsqu’ils n’auront, eux, fait que le piétiner. Dans un de nos livres – cette fonction non remplie est nommée « l’anti-présidence ». Soit la présence dialectique de la contradiction, de la catharsis et de la synthèse (incarnée par une personnalité forte) afin de montrer absolument toutes les conséquences de chaque prise de décision. Surtout celles ne respectant pas le cursus démocratique !

Sommet-social-changement-de-ton-mais-pas-de-politique-(?!)-

« Ils devaient se voir deux heures, mais Emmanuel Macron et les dirigeants des huit principales organisations syndicales et patronales ont finalement joué les prolongations, mardi 17 juillet. La rencontre, inédite sous cette forme depuis le début du quinquennat, a été saluée par la plupart des protagonistes. Défilant au micro dans la cour de l’Elysée, beaucoup se sont réjouis que le chef de l’Etat change de ton et de méthode, après leur avoir donné le sentiment, durant un an, qu’ils les considérait comme des figurants de seconde zone. « Un vrai tournant », « Le président de la République a convenu que l’année dernière avait été à son rythme à lui et sans écouter beaucoup. » L’entourage reconnaît « un bougé sur la manière dont on discute [[ ce qui voit juste floutée, par une esthétique inadéquate, une absence de contenu derrière. Les formalités au formol cela ne modifie guère ! Les réformes ne se posent jamais là où la société en a le plus besoin…soit sur les agissements des fausses élites !]]», mais réfute toute « transformation du cadre stratégique ou du rythme des réformes  [[ fermée donc la fausse parenthèse !]].»

Un virage social – impossible lorsque la route est directe vers le conservatisme libéral, aucun virage ne peut rien changer. Il faudrait un complet changement de direction…Objections sur l’objectif : associer les co-équipiers (corps intermédiaires, partenaires sociaux) à la construction d’un nouveau "contrat social" (fake) et apaiser leurs inquiétudes.  Les inquiétudes viennent de s’éveiller à fond…Puisque ? Il sera difficile de poursuivre le rythme de ses réformes sans l’appui des syndicats. C’est mettre dans un très sale bain ces syndicats « instrumentalisés » à n’être plus que des bénis oui-oui, des collabos trahissant leurs idéaux.  Comme si leur présence figée donnait plein accord à cette mascarade…Non, un changement de ton ne donnera jamais le bon ton du changement (il y a leurre prémédité sur l’emballage). C’est que nous nous fondons uniquement sur le fond. Fond qui semble devenir pire (encore le scandaleux travestissement de l’autoproclamée bonne volonté des trop riches – ils n’en ont jamais aucune, ne respectent jamais leurs promesses et ne semblent obsédés qu’à tout monopoliser et au détriment des grandes majorités !)…

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Frédéric-Taddeï-animera-quatre-émissions-hebdomadaires-sur-RT-france

Voyons donc un exercice pratique sur «ce bougé dans la manière dont on ne discute pas » :  « Je suis ravi d’être sur RT France à la rentrée. Dans un paysage télévisuel sinistré, où les intellectuels, les chercheurs, les savants, les contestataires n’ont plus la parole et où les vrais débats ont totalement disparu, c’est la seule chaîne de télévision qui m’ait donné carte blanche pour faire ce que je faisais dans « Ce soir ou jamais » : des émissions intelligentes, sans parti pris, dans lesquelles on pourra discuter de tout, entre gens qui savent de quoi ils parlent, qu’on ne voit pas ailleurs, et qui ne sont pas d’accord entre eux», explique Frédéric Taddeï [[donc impossible de voir un bougé dans cet arrêt définitif sur image…fixe ! Puisque tant fixée à l’avance…]]. Ce qui nous permet de connaitre « le style de RT et sa mission principale : « Oser Questionner» », a fait savoir Xenia Fedorova, présidente et directrice de l’information de RT France. »… Ce qui est, en effet, un recadrage clair face au « Plus aucun droit de réponse » des médias vendus…puisque les questions conservent le désagrément d’apporter des réponses non…programmées à l’avance. Un exemple ? Un exemple ? L’abus de slogans peut nuire sérieusement à la cause, ou aux causes, qu’ils se rengorgent de servir. En effet c’est le dire sans prouver – à croire qu’ils ne le peuvent pas. C’est assertions avancées à la va vite – puisqu’il n’y a rien derrière. C’est où est la pensée dans cet échange-révolver ? Etc. Le slogan s’améliore nettement en venant après les démonstrations, les raisonnements, les recherches radicales. Et alors ?

Les-riches-n'ont-pas-de-morale-:-expériences-probantes.

« Sous la houlette de l’université de Berkeley (Californie), des chercheurs étasuniens et canadiens ont mené des expériences aux résultats sans appel. Voici quelques exemples. Se postant à un carrefour, ils ont étudié quels types de véhicules étaient les plus enclins à griller les priorités ou à couper la route aux piétons engagés sur un passage clouté. Les véhicules ont été classés en cinq catégories, de l’épave (catégorie 1) à la berline de luxe (catégorie 5). Résultat ? Les voitures de la catégorie 5 forcent quatre fois le plus le passage que les voitures de la catégorie 1 [[ vérifié aussi dans nos vies de tous les jours…ces agressions d’antisocialités venant des faîtes !]].

Autre expérience. Des questionnaires ont été soumis à une centaine de volontaires. Objectif : mesurer la propension de chacun à enfreindre une règle, à contourner l’éthique, à mentir ou à voler un bien dans le but d’atteindre un objectif. Résultat ? Plus les participants jouissaient d’un statut social élevé, plus ils étaient prêts à s’asseoir sur la morale pour atteindre leur but [[ vérifiés dans le challenge «fun» persistant du qui va le plus frauder aux impôts – étant clair que les pauvres cloués ne peuvent pas frauder grand chose – aussi, dans notre petit collectif, les artistes qui affirment que les riches sont toujours plus prompts à leur dégainer des magouilles, de grandes magouilles, mais qu’il faut pas généraliser, ou, enfin (nous résumons !), des traders qui affirment que « s’il y avait des réglementations pour les limiter, ils ne franchiraient pas les limites, mais, puisqu’il n’y en a pas, pourquoi se gêneraient –ils – ce qui, tout comme le ruissellement bidon, la fausse destruction créatrice, lorsque c’est détruit ce n’est surtout pas construit, et autres fadaises hors sol…trouve le triste constat que les trop riches, hyper responsables ne savent absolument pas « s’autoréguler eux-mêmes » (alors que les délires de dérégulations étaient basés sur cet engagement solennel « nul besoin de réglementation, nous sommes d’une intégrité totale ! Complètement capables de nous autocontrôler ! » …La preuve fracassante que non…ni autocontrôles ni autolimitations dans ces esprits voyous : combien de tonnes de prisons pour des concepts si nuisibles ? Puisque, dans ces conditions, les dérégulations se profilent telles d’immenses Escroqueries ! etc.]].

Dernier exemple : un faux jeu de dés par ordinateur soumis à 200 individus. Les règles étaient très simples : si le participant atteint un score élevé après 5 lancers, il gagne de l’argent. Avec un détail important ignoré par les participants : le jeu était pipé et il était impossible d’obtenir un score supérieur à 12. Résultat : ceux qui étaient le plus élevés dans l’échelle sociale étaient aussi ceux qui ont le plus rapporté des scores supérieurs à 12 [[ ce qui obtient que ces classes qui s’autoproclament supérieures n’agissent, la plupart du temps, que…bassement. Que reste-t-il donc de supérieur en eux ? Rien ou tout pareil…Quasiment aucun ne « mérite » donc sa richesse et il faudrait commencer à veiller qu’ils partageassent leurs…si abondants trop perçus !]]

Pourquoi-les-riches-fuient-donc-devant-la-société       tellement peu à se reprocher !

Alors bien sûr, ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas être riche avec une morale irréprochable et pauvre avec un sens de l’éthique inexistant. Mais quand même ! »…Ou quand même le factchecking scrupuleux est vraiment contre eux : les trop riches sont bien cette « classe dangereuse » qu’il y a 2 siècles furent, peut-être, les pauvres (qui, actuellement, sont les volés permanents non les voleurs !) !

Lorsque-le-premier-des-premiers-de-cordée-préfère-investir-au-Luxembourg

Aussi…encore du réchauffé ? Puisque c’est TOUJOURS comme cela. A croire que la parole d’un trop riche = promesse d’ivrogne. Les faits ?... « Deux millions de titres, valant 139 millions d'euros [[soit la moitié des actions Publicis ]] virés au Luxembourg. A lire les explications des "proches" de Maurice Lévy, on comprend que la famille Lévy préfère investir depuis le Luxembourg que depuis l'Hexagone. Jolie leçon de choses (économiques) à Emmanuel Macron, qui vient de faire baisser l'imposition sur les actions, en les excluant du calcul de l'ISF (devenu IFI, centré sur l'immobilier) et en instituant une flat tax de 30% (tout compris) sur les revenus des placements financiers. Cette réforme, qui coûte 3,5 milliards d'euros par an au budget de l’État, devait…favoriser l'investissement dans notre pays [[ comme d’hab’, c’est une rengaine jamais tenue, allons ! Et des dividendes qui représentent 2,6 les investissements n’est-ce pas une grave insulte à la prévision adulte du futur ?]]. Il faut croire que les Lévy n'ont pas été convaincus [[ sic]] par les arguments du gouvernement [[ le côté trop bon enfant de cette allégation, à extension aléatoire, pourrait être reçu comme offensant…En tout cas, il ne correspond absolument pas au fait que tout ce que reçoit un riche doit être mis sous garantie tant ils détruisent toutes les confiances mises en eux : les faits rappelant sans cesse que ces personnages n’ont ni morale, ni valeurs, ni parole, ni donc d’acceptations d’équivalences…le tout pour moi c’est…rien pour les autres. Bref que ce sont des esprits fortement immatures incapables de s’intégrer dans une société hyper développée…et que, devant le factchecking de tant de nuisances, la société doit bien admettre qu’il faille changer à 100 % d’attitude avec tous ces lâches fiscaux, pitoyables fuyards !]].

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La-corruption-privée--un-risque-majeur-pour-le-pays-entier

Conséquence de l’euphémisation de la grande délinquance des riches ? Le TROP faible chiffre de la véridique délinquance de cette classe dangereuse et l’occultation de son montant monstrueux. «  Ces infractions économiques, par définition secrètes et opaques, sont le plus souvent « camouflées » derrière des opérations d'apparences légales, destinées à légitimer [[ si peu…]] l'entrée ou la sortie des flux financiers. Ces manipulations auront pour conséquence d'entraîner de véritables difficultés dans la détection de ces délits, et de fait, rares seront les dossiers qui arriveront dans le bureau d'un juge d'instruction. [[ ce qui structurellement rappelle le « insultes à magistrats »…un caste illégale empêche clairement la Justice de fonctionner !]] Ainsi, faute d'avoir pu détecter l'acte délictueux et d'en rapporter les preuves, les auteurs jouiront la plupart du temps d'une totale impunité. Mais cette différence de traitement dans la répression entre infractions de droit commun et infractions économiques et financières, semble importer peu aux yeux du grand public. D'après Pierre Lascoumes : « Il existe une euphémisation sociale des transgressions de la criminalité économique » qui « contraste avec la dramatisation d'autres formes de délinquance ». Force est de constater alors que l'opinion publique n'attache que trop peu d'importance à ces délits financiers, pour en accorder plus à d'autres délits de droit commun, qui eux, font la une des 20 heures [[ donc de tels médias devraient aller directement en prison pour des formes d’obstructions à la justice, d’utilisation préméditée de fake news et autres joyeusetés]]. Pourtant, bien que ces actes de criminalités économiques ne fassent pas de victimes directes, l'expérience nous montre qu'ils peuvent être véritablement très néfastes pour la société dans son ensemble. » …La grande délinquance des riches met en grand danger toute la société…celle infime des pauvres (en comparaison) ne met rien en danger (sinon des humains particuliers qu’il s’agit de secourir individuellement). Tant de boucan afin de nous masquer tout ceci…tant de boucaniers afin de pratiquer l’enfumage en grand.

……..Mais le boucan de la boucane ne peut plus être caché.

……………………………            …Vous venez de savoir pourquoi !

…….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste indignation nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est bien pire

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu