Ce qu’ils ne veulent pas admettre ?

A la tête de 4 500 posts inédits, nous pouvons affirmer que nos analyses précèdent l’actualité. Ainsi, allons-nous, de concert, faire le tour des actuelles informations pour les vivre en partage, comme il est si bien dit. Et le verso du recto ? Ce qu’ils/elles ne veulent pas admettre ?  Admettre que, dès nous entrons dans leurs prétendus arguments, il y en a si peu qui tiennent la route…Aussi, des idées si fausses (ou faussées ?) sur les immigrés (ils ne coûtent pas au pays, non, ils rapportent !), en passant sur le port trop ridicule du costard-cravates, déguisements des lunatiques (en fait, ce déguisement…nuit à la santé de qui s’en accoutre !), ou le fake féminisme (en fait, le féminisme n’est utile et utilisée que par les femmes du haut de la société – autrement, elles se conduisent en ennemies indifférentes de leurs consœurs de plus bas !) ou même les salariés ne sont pas une charge mais un gain (seul le rangement comptable, carrément peu rationnel, les aura classé en charges !). Ou même comment les États-Unis se conduisent déjà en pays du tiers monde (déclarant une guerre économique qu’ils sont sûrs de perdre, voulant détruire l’Otan ou l’occident, bref saccageant l’environnement qu’il leur reste, etc.) sans omettre l’incapacité de comprendre tous les concepts fondateurs par le prétendu haut de la société…en voie de vulgarisation complète et d’inculture vérifiée – ici ce sera la protection sociale. Extensibles…nous reproduirons un tel bilan de ce que ces désormais en posture « dans les cordes » des ex-classes supérieures (eh oui !elles ne se conduisent plus que bassement) qui ne sont plus que dans les dénis du réel, les reniements contre-productifs et les dénégations, bref, les comportements nets de grands replis et de fuites…

La-marchesolidaire-arrive-à-Calais-3-idées-reçues-sur-le-coût-réel-de-l'immigration

1 - Quel impact pour l'emploi ? - Dans un rapport publié en juin, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) soulignait que "la crise des réfugiés a accru les préoccupations de l'opinion publique quant aux avantages supposés des migrations", avec des inquiétudes sur "les salaires ou l'emploi". Pour Emmanuelle Auriol, de la Toulouse School of Economics, il est cependant "faux" de dire que l'accueil des immigrés "rajoute du chômage"."Les migrants occupent des emplois souvent non pourvus, que ce soit dans la construction, la restauration ou les services à la personne", note-t-elle.

Autre avantage, mis en valeur par le groupe de réflexion BSI Economics : les flux migratoires augmentent la demande en stimulant la consommation, ce qui "crée potentiellement des emplois" dans les autres secteurs. Des migrants jouent "Britannicus" : de la guerre à Racine..Anthony Edo, chercheur au Centre d'études prospectives et d'informations internationales (Cepii), insiste :  "En moyenne, et à long terme, les études convergent pour dire que l'immigration n'a pas d'effet négatif sur l'emploi."

"Il n'y a pas de doute, les migrations accroissent le produit intérieur brut" des pays d'accueil, en stimulant la consommation et l'activité, assure Jean-Christophe Dumont, chef du département migrations à l'OCDE. Dans une étude publiée mi-juin, des chercheurs du CNRS ont eux aussi conclu, à propos du cas spécifique des demandeurs d'asile et sur la base de données issues de 15 pays européens, qu'un afflux de migrants entraînait une hausse du PIB par habitant, évaluée à 0,32% sur deux ans."Souvent, les migrants qui arrivent n'ont rien, ils ont besoin de tout", souligne Emmanuelle Auriol. "Leur donner de l'argent revient donc à faire une sorte de plan de relance keynésien".

A moyen et long terme, les immigrés sont aussi plus enclins à se lancer dans les affaires. Selon une étude de la National Venture Capital Association, sur 10.000 immigrés aux Etats-Unis, 62 créent une entreprise, un taux deux fois plus important que pour les natifs      Que répondre à votre beau-frère qui peste contre les bateaux des ONG ?         D'après les économistes du McKinsey Global Institute, les immigrants ont ainsi contribué pour près de 10% du PIB mondial en 2015, alors qu'ils ne représentaient que 3,4% de la population internationale. [[ données que nous avions trouvées identiques pour les immigrés qui donc ne coûtent pas mais…rapportent au pays. Le tout soigneusement dissimulé. Comment faire appliquer une fausse loi sur les fausses nouvelles lorsque les médias dominants diffusent uniquement des fausses données ?]]

3 - Quel impact sur les finances publiques  L'immigration est souvent perçue [[ qui tend à faire percevoir ainsi ? Pas ce blog sûrement !]] comme un facteur aggravant pour les finances publiques, notamment dans des pays comme la France ou l'Italie, lourdement endettés - l'argument généralement avancé étant que les immigrés perçoivent plus de prestations sociales qu'ils ne cotisent. Une affirmation qui relève de l'idée reçue, selon Anthony Edo, qui juge l'impact fiscal de l'immigration "globalement neutre". Car si l'Etat doit assurer la protection sociale des migrants, ces derniers sont souvent jeunes, et ils travaillent. Selon l'OCDE, les étrangers sont ainsi surreprésentés dans les allocataires sociaux dans les premières années qui suivent leur arrivée, mais contribuent ensuite à l'économie, du fait d'une structure d'âge favorable faisant qu'ils pèsent moins sur les retraites. Tito Boeri, patron de la sécurité sociale italienne, a observé cette semaine que son pays en déclin démographique avait besoin d'immigrés pour payer ses retraites, et recommandé le maintien d'un flux migratoire légal pour assurer l'équilibre du fonds de retraites italien [[ tout en prétendant l’exact inverse dans les médias !]]. »…Il est parlé d’idées reçues mais reçues implique envoyées, ou qui ne s’invitent pas mais forcent les portes. Mais par qui ? Dans ce domaine – mais dans tous – les prétendus supérieurs doivent…admettre que 80 % des actualités n’est ni analysée, ni transmise ou carrément écarté…nous tentons de remédier à cette imposture des faux adultes qui prétendraient nous diriger. Et nous égarent à la place. Comprendre c’est résister fermement. Car – pour des hyper créatifs comme nous le résister c’est créer ne pisse pas loin. Cela permet à des tricheurs de doper leur inactivité en la faisant passer pour…le plus important à dire ! Nous égarant donc aussi…]].

Complètes-hypocrisies-des-racismes

Nos enquêtes…La France est vue, de l'étranger, comme un pays ayant des problèmes de racismes …mais, comme à chaque fois, "la pensée sphérique" sait tourner tout autour du problème afin de tout affronter…qu'avons-nous, ainsi, découvert sinon les complètes hypocrisies des racismes ? (en grande partie, simuler afin d’obtenir le maximum d’avantages, pour de prétendus dommages moraux, oui du fait de « devoir être contraint.e.s à devenir racistes » !)

Victoires-:-émigrer-ou-immigrer-les-chiffres

A force d'importer l'importance, d'émigrer ou d'immigrer…les chiffres…français et internationaux – oui tout roule à l'envers, tout chavire, tout bascule et se renverse…Nous sommes bien forcés de lire les totaux têtus des faits……donc les immigrés ne sont pas des étrangers…puisque les étrangers (listes internationales) ne sont pas des immigrés ! Le festival des vrais chiffres ridiculise tous les racismes…

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Les-cravates-font-mal

« Le port de la cravate influence négativement la circulation cérébrale, estiment des spécialistes de l'hôpital universitaire du Schleswig-Holstein en Allemagne, dont l'étude a été publiée dans la revue Neuroradiology ».

Qu'avoue-t-on-en-portant-un-costard-cravate-?       voir le 17 octobre 2012…un texte de référence sur la ridicule cravate si malencontreusement choisie pour « se faire croire dominant »…et qui amoindrit tant l’autorité « naturelle » des faux-jetons !

/Pourquoi-porter-des-cravates-peut-nuire--à-leur-santé

La psychologie devient un art pour qui connait cette science. Aussi, les faits de « se déguiser pour se faire croire… » se présentent ainsi (très inconfortables costard-cravates ne permettent pas une présence rationnelle dans la Nature) : Ils se punissent donc carrément pour s’illusionner « asseoir » leur autorité (comme les moines doloristes ?)  - « À l’issue de l’expérience, les chercheurs ont découvert que la cravate comprimait les veines jugulaires et l’artère carotide commune. Ainsi, la circulation cérébrale de ceux qui portaient des cravates a diminué de 7,5% par rapport à l’autre groupe. Les scientifiques indiquent que le code vestimentaire contraignant de nombreuses entreprises et professions inclut une cravate et une chemise à col, alors que les employeurs ne pensent pas en mal de cet «étranglement socialement acceptable»…Brutalement, il ne l’est plus du tout accepté…revenons à une vraie…civilisation, enfin ! L’idéalisme effrayant du capitalisme (cette métaphysique inhumaine) n’a jamais quitté la…barbarie. Et ça se voit ! va falloir l’admettre « les jambons tout suspendus en l’air tout abstraits de nos sociétés » ironisait…Blaise Pascal en parlant de ceux qui se prennent pour des grands hommes !

Le-féminisme-en-entreprise-une-arme-qui-favorise-l'indifférence-des-privilégiées

Le féminisme ? Oui, en réalité n’existe que pour les privilégiées. Un chiffon rouge agité afin de masquer que le fondamental demeure les spoliations et les fraudes structurelles faites sur le dos des plus pauvres. Les femmes riches n’ont aucune solidarité concrète envers les autres femmes. Se tirer donc  sans cesse des clichés médiatiques radotés – compétitivités des entreprises ou féminisme béat mêmes arnaques ? « Au travail, parler d'égalité hommes-femmes ne veut pas dire grand-chose. De quelle égalité parle-t-on? Et surtout de quelles femmes ? Décrire la réalité derrière le flou sémantique est l'une des missions du Mage (Marché du travail et Genre), réseau international de chercheurs fondé en 1995. Tous analysent les inégalités qui frappent les femmes au travail, à la lumière du genre bien sûr, mais pas seulement. Ils tiennent comptent de la classe sociale et de l'origine ethnique – on appelle ça «l'intersectionnalité». La trentaine de conférences rassemblées dans «Je travaille, donc je suis», sont là pour rappeler que si les femmes ont conquis, depuis l'après-guerre, l'accès au travail rémunéré, seules les bien-diplômées, les bien-nées souvent, les bien-placées dans l'organigramme d'une entreprise, cheminent vers l'égalité hommes-femmes.  Le calvaire invisible des femmes de ménage  [[dont ne semblent ne rien avoir à faire les féministes au sommet ?]]

Pour les autres, femmes de ménage, nounous et aides à la personne, petites mains à tout faire dans les maisons de retraite ou les hôpitaux, ce progrès n'a pas eu lieu, et d'autant moins que celles-ci sont recrutées dans les milieux sociaux les plus modestes et/ou parmi les migrantes. Ces travailleuses sont à des années-lumière de ce que Sophie Pochic, l'une des sociologues invitées dans cet ouvrage passionnant identifie comme le «féminisme de marché».  Depuis les années 1990 en effet, la féminisation des postes de direction a été utilisée par les grandes entreprises à des fins de marketing [[ donc d’égarer les esprits dans des concepts particulièrement insalubres ]]. On les met en vitrine au rayon «bonnes pratiques», au même titre que la «responsabilité sociale et environnementale [[ quasiment tout le temps trahie]]» – les chercheurs anglo-saxons parlent de «managerial feminism».

Féminisme bourgeois, ajoutera-t-on, qui se bat pour l'écriture inclusive et contre le harcèlement de rue mais trouve normal de payer si peu cher l'heure de ménage [[ et nous toujours pas ! ]] et le travail de la Sénégalaise qui va chercher les enfants à l'école. Féminisme de classe, sans conscience de tout ce que les cadres supérieures et les intellectuelles (14,7% des femmes «actives») doivent aux travailleuses domestiques, ces invisibles sans lesquelles la possibilité même de carrière s'effondre [[ les infrastructures précèdent les superstructures ]]. Ceci porte un nom en sociologie: «l'indifférence des privilégiées». (Anne Crignon)…il peut être nettement préféré le nom de…fossé empathique. Une séparation plus profonde des sensibilités (autrement dit ces femmes privilégiées…n’ont par reçue une bonne éducation. Eh oui ! Elles sont trop hommasses dans le cœur…jamais aucune insolences contre les inégalités illégales toujours. Pas de créativités déterminées que rien ne peut plus arrêter, etc.)… Comme ici :

Barbarie-du-fossé-empathique

Qui peut faire supporter à sa sensibilité tout ce texte se rapproche nettement de la véridique Humanité ! Enfin (où la différence fondamentale n’est pas femme homme mais bien humain pas humain)…faudra l’admettre !

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Les-salaires-ne-sont-pas-une-charge-comptable-mais-un-gain

« Le système comptable des entreprises reflète des croyances et des valeurs qui justifient la vision actionnariale, [[ c’est donc de l’idéologie non de la raison ]] analysent les universitaires Philippe Chapellier, Emmanuelle Nègre et Marie-Anne Verdier. Ils suggèrent que soit développée une représentation comptable de la responsabilité sociale des entreprises : Dans le système comptable actuel, les salariés sont toujours considérés du point de vue de ce qu’ils coûtent et jamais de ce qu’ils rapportent. [[ cette grande malhonnêteté va se retrouver partout notamment dans le délire où « seul le travail gratuit convient au capitaliste grand délirant ». Comme il reste difficile à le maintenir gratuit, tout est toujours fait (il reste même possible de le vérifier) pour qu’il s’en rapproche toujours au maximum. Seule une tête barbare peut « accepter » de telles monstruosités antisociales en elle ! ]]. Plus précisément, les dépenses relatives aux salariés sont comptabilisées en tant que charges, laissant supposer que les salariés constituent plus un « poids » qu’une ressource pour l’entreprise [[ alors que le plus souvent ce sont les patrons qui pèsent d’un poids abusif dans la vie des  humains de bonne volonté ! Et que cette falsification ne sert qu’à cacher le non partage légal des…bénéfices (part des plus-values dues à la productivité et évaluée, au minimum, à 6 000 milliards d’€ dont sont…dévalisées les feuilles de salaires depuis 1975 en Europe ]]. Ce traitement comptable n’est pas anodin dans la mesure où il laisse penser que réduire les effectifs permettrait automatiquement de diminuer les charges et donc d’accroître les performances des entreprises [[ faut vraiment être simpliste pour gober de telles conneries…sauf que la médiocratie (tout doit devenir aussi médiocre qu’elle, surtout les sentiments et la morale !) est venue encore plus…polluer l’ambiance sociale !]].

Ainsi, HTC, le géant taïwanais des téléphones, a annoncé début juillet son intention de supprimer 1 500 emplois. Cette « réorganisation des ressources » est motivée par une recherche accrue de flexibilité et une volonté de renouer avec la profitabilité [[phrase qui reflète une évidente …immaturité, une incompréhension épaisse de la vie sociale : mais qui lui a soufflé de telles cruautés à l’oreille ? Y’a pas des médias qui doivent aller direct en prison ?]]. Dans la même veine, Carrefour a justifié en janvier l’annonce d’un plan de départs volontaires proposé à 2 400 salariés par la nécessité de réduire « le poids et la complexité des sièges dans l’organisation du groupe » afin d’« améliorer l’efficacité opérationnelle » [[ or c’est en opérant, en multipliant les angles de compréhensions que l’on améliore l’organisation pas…en entrant dans la magie simplificatrice de la pire des Religions ayant jamais existé : l’irrationalité complète de la métaphysique capitaliste (ce scandale intellectuel qui exige l’abolition immédiate de cette grave régression humaine !). N’a-telle pas fait gober à ses affidés une…automaticité « magique »…des causes et effets…genre y’aka supprimer des humains dans leur vie réelle et hops abracadabra tout se…résout, y’a pas de sentiments, y’a que des affaires , affaires qui mentent dès le mot af-fair venant de Fair loyal, qui va vers toujours plus loyal comme fair play et qui donc sont toujours plus…déloyales (d’où le vrai nom est af-unfair…faut admettre le sens des mots, faux jetons d’un sommet où vous n’avez pas votre place – l’organisation désorganisée par le sommet s’organise comme ça, on sait pas trop…mais « on nous a dit » de faire comme ça…Qui on ? Qui ce on qui résout tout ?  Sauf les résolutions à rester adultes (soit vraiment responsables) sont réduites à se résoudre à ne plus rien…résoudre. Quel âge mental (et de cœur) faut il avoir pour appliquer – comme un barbare abruti – de telles niaiseries ?]] (communiqué de presse du 23 janvier 2018) ».

La-smart-city-n'aime-pas-les-pauvres

« OuiShare organisait une table ronde à Paris, le 15 février, sur le thème « La smart city n’aime pas les pauvres ! ». Les points de vue d’architectes, chercheurs, associations et entreprises se sont confrontés autour de cette affirmation péremptoire. Plus de questions que de réponses à l’issu de ces échanges, mais une certitude tout de même : tout reste à inventer dans la ville de demain [[ on peut déjà commencer dans celle qui existe – en admettant que quasiment tout ce qui vient des fake élites est…faux ou faussé de l’incroyable méconnaissance des réalités que ces détraqués idéologiques sont parvenus à s’auto-doper d’insensibilités ]]. Des objets connectés au service de l’urbanisme, une optimisation des flux grâce aux big data, une capacité d’adaptation rapide de l’espace public selon les besoins des habitants, une cogestion en démocratie directe des citoyens grâce aux technologies…[[ il y a trop de niaiseries immatures ]]. La smart city n’est pas une idée neuve. « Nos égouts sont déjà connectés. Les arbres parisiens sont tous dotés de puces qui contrôlent leur stress hydrique et signalent quand ils doivent être remplacés », détaille Dominique Alba, architecte et directrice générale de l’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme). Ce n’est pas Cisco, l’entreprise d’équipements réseaux, qui dira le contraire : « Cela fait 30 ans que les villes sont nos clientes, abonde le directeur du programme d’accélération digitale du groupe, Emmanuel Schneider. Et cela fait 15 ans que les réseaux de distribution d’eau sont connectés pour en réduire les fuites. » [[ Et alors qu’est ce qui n’est pas …admis dans les têtes trop barbares des prétendus décideurs ?]]. « On s’aperçoit que la technologie ne peut pas résoudre à elle seule des problèmes fondamentalement humains et politiques » [[ et c’est pourtant ce que les médias vendus nous martèlent les cœurs : la technologie résoudra tout. Laissez-nous faire, ne pensez plus, quittez l’âge adulte et…tout va bien aller. Or, tout va pire…quasiment aucun de ces auto-dopés ne « mérite » sa fonction et prend donc la place d’autres, de biens plus sociables et dynamisant des sources humaines (qui précèdent les res-sources, ducon)…donc pour la travail comme « charge » et non comme bénéfice, déjà celui du vol légal sur le dos d’humains véridiques… « lissé » par l’automatisme magique d’incantations malsaines (la métaphysique capitaliste ressemble plus à un animisme qu’à une religion plus…moderne – c’est dire…l’ampleur de la régression. Faut l’admettre !)…ici la technologie serait « magiquement humaine »…Faux : une barbarie lorsque aux mains de psychorigides alliés à des pervers narcissiques (la base psychologique désastreuses des faux dirigeants actuels)...]]

La smart city, l'architecte et chercheur Constantin Petcou, lui, en est déjà revenu : « Le danger de la smart city, c’est qu’elle rend les citoyens plus dépendants et moins résilients », dénonce-t-il [[ c’est ce que nous venons de dire mais dans un cadre plus agrandi ]]. Pour l’architecte, le savoir local disparaît avec l’automatisation de la technologie et la dépendance vis-à-vis des producteurs d’algorithmes et de services urbains à tendance monopolistique, s’accroît. « On apprend de plus en plus à consommer la ville mais on oublie de la produire. [[donc de la rendre 100 % écologique ]]»…Et voici la monstruosité est démasquée : le centralisme renforce les automatismes inhumains simplistes et donc rend toujours plus…barbares. Sans tête et sans cœur…alors que la décentralisation portée (entre autres) par une économie circulaire du zéro gaspillage (ce qui sonne très rationnel et très sensé) où absolument tout le monde peut apporter sa pierre ou son grain de sel est la sortie vers ce retour à l’intelligence adulte relié cœur qui brûle. Le mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert), mondialement majoritaire, est le liant nécessaire. Lui seul demeure à la taille des problèmes…une improvisation « fin de soirée », donc déjantée "Quand la Terre sera faite "… peut faire ressentir ce fond des choses.

Quand-la-Terre-sera-faite

Les-états-unis-sont-maintenant-un-pays-du-Tiers-monde

« Diviser les nations de la Terre en 1er, 2ème et tiers monde est tombé en disgrâce ; apparemment, cela a offensé les sensibilités. Cela a été remplacé par les pays développés et en développement, une terminologie politiquement correcte [[ donc socialement incorrecte !]], qui suggère que tous les pays en développement sont sur la voie du statut de nation développée. [[ sauf que c’est la voie de la…perdition]]. Ce qui a été perdu en rejetant les 1er, 2ème et tiers monde, c’est la distinction entre les états en développement (Second-monde) et les états dysfonctionnels (Tiers-monde), états que nous appelons maintenant « états en déliquescence ». Mais le tiers monde impliquait quelque chose de tout à fait différent de « l’État failli  » : un État failli désigne un gouvernement défaillant d’un État-nation, c’est-à-dire un gouvernement qui ne remplit plus les obligations minimales d’un État fonctionnel [[ ce qui ne peut qu’arriver lorsque ce sont des lobbies fous et des privatisations insensées qui veulent diriger le monde – voir notre texte d’hier !]] : sécurité de base, État de droit, etc.

Le Tiers monde faisait référence à un État-nation qui était dysfonctionnel et parasitaire pour la grande majorité de ses résidents, mais qui fonctionnait extrêmement bien pour les élites retranchées qui détournaient la plupart des richesses et du pouvoir politique. Contrairement aux États en faillite, qui par définition sont instables, les pays du tiers monde sont stables, parce qu’ils fonctionnent bien pour les fausses élites inhumaines qui dominent la richesse, le pouvoir et les mécanismes de gouvernance.  Voici les caractéristiques de base d’États dysfonctionnels mais stables qui profitent à un petit nombre d’entre eux au détriment du plus grand nombre, c’est-à-dire les pays du tiers monde [[ qui ont l’humour lorsque le mot fut perverti de représenter…les ¾ de l’Humanité…et maintenant ?]] :

1. La propriété des stocks et autres actifs est fortement concentrée dans les élites retranchées.[[ donc pas vraiment élites si elles se planquent !]]. Le ménage moyen est déconnecté du marché boursier et d’autres mesures de la richesse ; seul un petit nombre de ménages possède suffisamment de richesse financière/spéculative pour faire une différence réelle dans leur vie [[ en clair il y a toujours moins de classes moyennes absolument nécessaires pour tout « décollage », l’aveu que tout va stagner est très fort - donc l’hyper capitalisme n’est qu’une razzia insensée détruisant tout futur et pensant follement qu’il pourrait survivre dans sa bulle de faux bulletins…]].

2. L’infrastructure de la nation utilisée par un grand nombre de personnes est mal entretenue et coûteuse à exploiter, car les élites bien établies pillent les fonds nécessaires [[ et il faut appeler élites ce grave ramassis de minables ?]] pour remplir leurs salaires, leurs pensions et leurs contrats et d’initiés.

3. Les non-élites financières/politiques ont un accès exclusif à des systèmes parallèles de transport, de soins de santé, d’éducation, etc. [[ c’est donc l’Urss en bien pire voir le livre « Remue-ménage »]]. Les non-élites évitent les trains, les métros, les prêteurs, le transport aérien en autocar, les soins de santé standard et le reste des systèmes dysfonctionnels en décomposition qu’elles possèdent et qui extraient la richesse [[autre mot pour des braquages qui ne peuvent plus exister si nous foutons à la poubelle cette…description du monde…nous n’y « croyons plus » et…nous ne voyons que des barbares que nous devons, nous oui nous, ramener…à la raison ! Tout renient l’ l’endroit. Et nous avons, dans le micro-concret, inversé les inversions…]] des serfs-débiteurs. Ils prennent l’avion privé [[ ce qui fait que leur pollution individuelle dépasse tout ce que nous pouvons imaginer – la planète ne peut plus supporter leurs têtes folles…il va leur falloir l’admettre]], ont leurs propres services de santé et services juridiques [[ aux frais de qui ce sur-assistanat hyper abusif ? Ras le bol de ces fainéants cyniques et..toujours moins civilisés !]], utilisent leurs privilèges pour faire entrer leurs enfants dans des universités et des institutions d’élite et ont accès à des services bancaires et de prêt d’élite [[ ah c’est la que passe le pognon des dingues !]] qui ne sont pas accessibles à leurs laquais technocrates [[ autre dérangés de l’équilibre mental !]] et à leurs agents d’exécution.

4. Les élites financent des monuments somptueux à leur propre gloire déguisés en « fierté civique ou nationale » [[ alors qu’ils sont la hooooonte véridique des vrais humains !]]. Ces monuments prennent la forme de stades, de musées d’art palatial, d’immenses bâtiments gouvernementaux, etc. Entre-temps, le reste de l’infrastructure quotidienne se délabre dans divers états de dysfonctionnement [[ le principe est simple gel de 80 % de leur patrimoine immérité n ce qu’ils ne sentiront même pas, et mise en priorité des vrais urgences dont ils ne font plus partie …d’autre part, un état reçoit des impôts dans le but constitutionnel de financer les services publics. Au cas il ne le ferait pas un « budget de tutelle » remplacerait son faux budget…comme il est pratiqué pour les collectivités locales. Voir les Chambres régionales de comptes…]].

5. Il y a deux classes qui n’interagissent que de manière strictement contrôlée : les riches, qui vivent dans des communautés protégées [[ faux ce sont les autres qui ce sont protégés de cette classe dangereuse – un chanson Le son de la rue le chante très bien !]] et qui [[ empêchent que se…]] gouvernent toutes les institutions, publiques et privées, et les serviteurs de la dette [[ la leur qu’ils tentent de faire passer pour celle des majorités : impossible, depuis le temps qu’elles sont…sous austérités, où veux-tu qu’elles fassent de telles dettes ? Un peu de jugeote…mains non…c’est leur chute finale, groupons-nous et…]], qui sont divisés en factotums bien payés, laquais technocrates et exécuteurs qui servent les intérêts des élites retranchées et du reste de la population [[ sauf que si nous n’entrons pas dans cette…description nous ne sommes pas …instrumentalisés – la pire des déchéances de voir des illusionné-es agir comme …les inverses de ce qu’ils/elles sont en réel –et tout s’arrête parce que nous le valons bien !]] qui ne possèdent pratiquement rien et n’ont aucun pouvoir. Les non-élites font une démonstration d’anti relations publiques (puisque non réPubliques]] qu’ils sont des roturiers seulement pour briser l’illusion absurde que les votes des serviteurs de la dette importent réellement. (Ils ne le font pas.)

6. Les cartels et les quasi-monopoles extraient la richesse de la nation pour leurs propriétaires et gestionnaires d’élite. Google : quasi-monopole. Facebook : quasi-monopole. Santé : cartel. Banques : cartel. Défense nationale : cartel. Sécurité nationale : cartel. Médias grand public : cartel. Enseignement supérieur : cartel. Prêts étudiants : cartel. Je pense que vous avez compris : chaque institution ou fonction clé est contrôlée par des cartels ou quasi-monopoles qui servent les intérêts de quelques-uns par le biais de l’exploitation parasitaire des sans pouvoir.[[ mais qui est l’assisté et le parasite des autres ? Oui celui/celle dont nous pouvons nous passer ? Sans dommage ni pour nous ni pour nos entourages : la réponse est arrivée !]]

7. Les non-élites utilisent la violence extrême et les pouvoirs répressifs du gouvernement pour réprimer [[ encore un fake il n’y pas grand-chose à réprimer sinon eux et très massivement : qu’ils s’auto-mettent en prison !]], marginaliser et/ou détruire toute dissidence [[ il semblerait que ce soit plutôt eux les dissidents, les déviants très marginaux, les détraqués fous de leur barbarie ]]. Il existe deux systèmes de « droit » : l’un pour les élites (10 millions de dollars de pénalités pour une escroquerie de 10 milliards de dollars, aucune responsabilité personnelle pour fraude pure et simple) et l’autre pour les personnes non protégées et non privilégiées [[donc des personnes exemplaires et que nous admirons tellement plus que les déchus déchets !]] : « les dix » (10 ans de prison) pour des infractions mineures en matière de non-drogue [[ la plus grande escroquerie juridique depuis des décennies ]]….

8. Des institutions dysfonctionnelles avec le pouvoir illimité d’extraire [[ extraire c’est dévaliser …faire quitter une fausse description du monde c’est la remplacer par la …véridique ]] de l’argent par le biais de frais de licences, de tickets de parking, de pénalités, de frais de retard, [[ et autres faux et usages de faux ?]] etc.…., le tout sans recours. Si vous vous frottez à la bureaucratie [[ du privé – elle est tellement plus omniprésente que celle dite publique ]] extractive et parasitaire, vous le regretterez : [[ sauf si l’on a pigé que s’ils privatisent la réPublique uls ne sont pas « Publics » pour autant. Et que leur « bureaucratie » n’est pas si légale que cela…et que notre état intérieur leur montre toujours (même sans un mot) ce que nous ressentons tranquille pour eux…t’as pas le droit, ducon (même sans un mot, ça se faufile dans les têtes barbares !].

 9. Les factotums bien payés, les bureaucrates privés, les laquais technocrates et les exécuteurs qui engraissent leurs propres pensions aux dépens du public et servent servilement les intérêts de la non-élite retranchée embrassent l’illusion qu’ils sont « riches » et que « le système fonctionne bien ». Ces serviteurs bernés des non-élites défendront le système dysfonctionnel parce que cela sert leurs intérêts.
Plus l’institution est dysfonctionnelle, plus leur pouvoir est grand, de sorte qu’ils augmentent activement le dysfonctionnement à chaque occasion.

[[ merci au blog Sam La Touch ]]...Les États-Unis sont définitivement une nation du Tiers-Monde. Lisez la liste ci-dessus et essayez ensuite d’argumenter que les États-Unis ne sont pas une nation du tiers monde. Essayez d’argumenter contre les faits présentés dans ce tableau : »…ils ne le peuvent…c’est que nous avons déjà gagné mais que c’est la conscience de que nous avons gagné qui n’a pas encore entièrement franchies les distances interstellaires ! C’est carrément l’admettre qu’il faut…

La-protection-sociale

Observatoire Français des Conjonctures Économiques pour la protection sociale

Comment-on-nous-rend-cons

Après ces années, texte après texte nous ont « prouvé » avoir vraiment raison – au point que, désormais (tant que ce système de change pas essentiellement), ils demeurent toujours comme en avance sur chaque actualité…quelle qu’elle soit. C’est que le stock « à faire tourner » a pris un sacré coup de vieux - la majorité des concepts ont dépassé l’obsolescence, dire n’importe quoi se retourne contre les faux dirigeants, plus aucune de leur phrase ne peut dissuader de NE PAS CHANGER DE SOCIÉTÉ, etc. – donc tout va commencer à fortement changer. Quand ? Inéluctablement. Jour ? Un de ces quatre ! C’est du sûr ? Du plus que certain….)….Oui ? Ici, les exemples trouvés sont suffisamment ahurissants pour nous….

…………….nous oui complètement réveiller après ce périple !

………..……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu