Collectrices comme lectrices, collecteurs comme lecteurs ?
Le nouveau a toujours contre lui les chances écrasantes des lois statistiques et de leurs probabilités qui, pratiquement dans les circonstances ordinaires, équivaut à une certitude ; le nouveau apparaît toujours comme un prodige. Ce pourquoi toute idée collective doit se montrer collectée et recollectée. C’est qu’elle participe à tout ce qui reste co-responsable, co-créatif, co-évolutif, co-opératif, etc. qui va, enfin, connaître, avec une exubérance affolante, combien rien n’est plus solide que le solidaire. La vie va danser en elle-même. Impossible de ressentir plus fort (pour les humains). C’est le top de tout après lequel courent, si ridiculement les privatisations. L’essentiel demeure hors argent. La transcendance est hors des prix, hors de prix – elle ne participe pas à ces mensonges trop inégalitaristes des prix. Le partage connait chaque part, y prend part, ne reste jamais à part, et sait départager tous les partages. Oui cette équité, qui était dite tant supérieure à l’égalité, qu’elle n’aurait pas due devenir ce cheval de Troie de toutes les injustices ! Le vil libéralisme se prétendait le sommet de l’équitable – il va devoir aller direct en prison pour avoir tant trahi et fraudé ! Nous avons tellement mieux à offrir. Déjà, pour les piteux libéraux capitalistes ; pour l’offre, offrez, offrez et offrez encore. La gratuité de la Nature reste supérieure à l’argent ! Il y a toujours plus d’ahumains, d’ailleurs, qui la…suivent !
La-création-de-machines-agricoles-doit-être-en-open-source-soit-gratuite
« Joseph Templier est maraîcher en bio et cofondateur, en 2011, de l’Adabio Autoconstruction, devenu en 2014 l’Atelier Paysan. Cette SCIC (société coopérative d’intérêt collectif, à but non lucratif), installée dans une ancienne papeterie de la petite ville de Renage, au nord-ouest de Grenoble (Isère), est un modèle de coopération, de solidarité et du Do It Ourselves (« faire ensemble ») entre agriculteurs. Mais aussi de diffusion des innovations paysannes pour en faire un bien commun. Leur projet politique est fort et leurs services, qui permettent de rompre avec l’illogique du « chacun dans sa ferme », précieux. Joseph Templier a pris le temps de présenter la démarche et les ambitions de l'Atelier Paysan au mouvement Colibris.
Quelle est l’intention d’origine de l’Atelier Paysan ? La démarche de l'Atelier Paysan est née de la volonté de maraîchers en bio, adhérents de l’Adabio (groupement des agriculteurs biologiques de l’Isère, Savoie, Haute Savoie et l’Ain), de gérer divers problèmes agronomiques pour lesquels il n'existait pas de solutions techniques dans le commerce. Nous avons dû les concevoir ou adapter certains équipements. Puis nous nous sommes dits qu'il était indispensable de partager largement ces bidouillages paysans… Ainsi, par un travail collectif, sont nés le cultibutte, le vibroplanche ou la butteuse, ainsi qu'une quarantaine d’autres outils que nous présentons en libre accès sur le site, avec les plans et les tutoriels. Ces outils servent maintenant de support lors des sessions de formation à l’auto-construction, et profitent de la dynamique collective pour s’améliorer d’un stage à l’autre. »
Ce qui percute une grave question Biodiversité-:-le-gouvernement-arrêtera-t-il-la-bétonisation-des-champs-et-des-forêts-?
Et trouve enfin une réponse très adaptée : après avoir divagué comme des cancres inconscients, les pouvoirs reviennent vers ce que préconisent les esprits forts depuis tant d’années…. Nous allons vraiment vérifier que ce que nous disons, depuis le début, ces faux dirigeants vont se sentir contraints d’y…obéir ! Lafarge-est-la-première-multinationale-poursuivie-pour-complicité-de-crimes-contre-l'humanité-!
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« L’être est entièrement immergé, dès son origine, dans le contexte relationnel du monde qu’il habite. Ce monde est déjà chargé de significations, le sens repose sur les relations entre l’habitant et les éléments du monde qui l’habite. » À partir du XIXème siècle le mot « travail » ne désigne plus l’activité en tant que tel mais le produit fini. L’œuvre n’a donc plus de raison d’être. Cuisiner un pain ou construire un panier sont des activités semblables qui sont affaire de consommation, lié à la valeur d’échange et non plus d’usage. Le temps lui-même devient cyclique, semblable à celui de l’espèce : éternelle répétition du même qui régit la journée de travail. Mais le temps humain est linéaire : l’individu naît et meurt et ce cycle ne se renouvelle pas. « Personne n’est indispensable mais tout le monde est utile » : phrase si facilement assénée avec fierté, comme une découverte majeure et pourtant elle est aussi aberrante que notre société. Chaque individu doit être indispensable parce qu’il est unique.
L’expropriation participe également à l’expulsion du monde. La plupart des hommes n’ont plus un lieu à eux, une hutte où se réfugier pour s’isoler ou se protéger du monde public, pour vivre sans être vu ni entendu, pour échapper à la publicité [[ ce harcèlement unilatéral parfaitement illégal : où rendre sa pièce à ces intrusions asymétriques ?]]. Dans la société moderne la propriété privée est sacrifiée dès qu’elle rentre en conflit avec l’accumulation de richesses. Ce que le monde moderne défend, ce n’est pas la propriété privée mais l’appropriation privée du monde. La seule propriété désormais assurée est celle de notre force de travail. Avec Adam Smith et Karl Marx, le travail, à cause de sa productivité, qui réside dans l’énergie humaine et non dans les produits finis, s’est élevé au premier rang. L’énergie humaine peut être employée à la reproduction de plus d’une vie. Marx rangeait d’ailleurs le travail avec la procréation. Et certains marxistes n’hésitent pas à considérer la grossesse comme un travail méritant salaire. Ainsi, le travail de quelques-uns suffit à la vie d’un grand nombre puisque la productivité du travail réside dans le surplus que possède virtuellement l’énergie du travail humain.
Expropriation-des-corps-et-destruction-des-esprits
« Afin d’être ce que le monde est toujours censé être, patrie des hommes durant leur vie sur terre, l’artifice humain doit pouvoir accueillir l’action et la parole. » La parole et l’action révèlent l’individualité unique de chacun. Toutes deux sont indispensables pour rester inséré dans le monde humain. Elles établissent le rapport entre l’égalité et la distinction, la pluralité d’êtres uniques. Un être se révèle dans ses actions et ses paroles mais l’action, plus que la parole, est irréversible et imprévisible. C’est contre cette imprévisibilité que le domaine social se fonde. Avec l’avènement du domaine social, tous les problèmes relevant de la sphère familiale sont devenus préoccupation collective. La société s’est substituée à la cellule familiale et l’état-nation a remplacé le rex ou pater (nom que donnait l’esclave au maître). À l’action s’est substitué le comportement social qui est devenu une norme dans tous les domaines de l’existence. La victoire de la société détruit la sphère publique aussi sûrement que la prédominance du travail parce qu’elle ne donne de l’importance qu’au fait que les hommes ont besoin les uns des autres pour vivre et rien de plus. La sphère publique est le lieu où se rencontrent les hommes dans leur pluralité. Limiter la sphère publique à la vie sociale c’est laisser une société de masse détruire la pluralité humaine, puisque tous se comportent comme les membres d’une même famille.
L’inertie est ainsi la règle et pour entraver l’action une séparation s’instaure entre ceux qui agissent sans savoir, obéissant aux ordres de ceux qui savent sans agir. Action et pensée sont séparées comme l’esclave et le maître. L’action est remplacée par le gouvernement afin de substituer le faire à l’agir. « La puissance n’est actualisée que lorsque la parole et l’acte ne divorcent pas, lorsque les mots ne sont pas vides, ni les actes brutaux, lorsque les mots ne servent pas à voiler des intentions mais à révéler des réalités, lorsque les actes ne servent pas à violer et détruire mais à établir des relations et créer des réalités nouvelles […] tandis que la force est la qualité naturelle de l’individu isolé, la puissance jaillit parmi les hommes lorsqu’ils agissent ensemble et retombe dès qu’ils se dispersent. »
Seule la violence peut détruire la puissance mais sans jamais la remplacer. C’est pourquoi la violence, liée à la volonté de puissance, est toujours l’attribut des faibles. Il ne faut pas confondre cette violence avec celle, naturelle, de ceux dont la société tente de dérober la force. Pour que le monde retrouve sa richesse, il nous faut accepter la pluralité, la présence et l’action d’autrui. Seule la faculté d’agir interrompt l’automatisme inexorable de la vie quotidienne. Mais pour accepter cette pluralité, ce n’est pas tant d’amour que nous avons besoin que de respect : « Le respect […] est une sorte d’amitié sans intimité, sans proximité ; c’est une considération pour la personne à travers la distance que l’espace du monde met entre nous, et cette considération ne dépend pas des qualités que nous pouvons admirer, ni d’œuvres qui peuvent mériter toute notre estime. » Seul le respect permet à la promesse de devenir effective et d’unir un groupe d’hommes par une volonté unique autour d’un dessein concerté. Ainsi, les hommes liés par un dessein commun peuvent disposer de l’avenir comme s’il s’agissait du présent [[ vérifié, pour nous, dans ce blog qui amplifie chaque possibilité (non séparée) qui ne pourrait même éclore, sans lui. A ajouter les contenus très pluralistes du blog !]]
Dans toute agrégation collective il y a un désir d’apparence parce que la réalité du monde est garantie à l’homme par le fait qu’il apparaît à tous. Mais le désir de gloire, de perdurer dans la mémoire, d’avoir des témoins pour faire valoir nos actes et paroles les plus futiles n’est pas universel. Chez certains peuples, ce n’est pas la fin qui est poursuivie, l’acte et la parole sont des entéléchies qui existent dans l’actualité pure. [[puisque m’orale reste orale – les sociétés qui veulent vraiment la liberté de chacun de ses membres étendent, au maximum, l’oralité. Et chacun de nos textes est conçu pour être dit à voix haute !]]. Et cela se retrouve dans ce qui est diffamé comme le plus inutile [[ pour nous, le plus inutile est la course au profit, ce coût caché que paient les autres ou bien la croyance en l’image plus importante que la réalité, etc. oui les maladies graves des inertes consommateurs !]] : le chant, le récit, la poésie, la danse [[ ceci c’est la vraie santé sociale ! Sa flagrante preuve...]].
« La source immédiate de l’œuvre d’art est l’aptitude humaine à penser […] la pensée est apparentée au sentiment et en métamorphose le muet désespoir comme l’échange transforme la cupidité, et l’utilisation, l’appétit lancinant des besoins – et ainsi besoin, sentiment, cupidité sont-ils rendus dignes d’entrer dans le monde, transformés en objets, réifiés. Dans chaque cas une faculté humaine qui, de nature, est communicative, ouverte au monde, transcende et libère de son emprisonnement dans le soi une intensité passionnée qu’elle donne au monde. » Nous devons nous réapproprier les différentes activités de la vita activa [[ d’autant plus que les faux dirigeants sont indignes de nous les transmettre. Reprendre toutes nos vies en main est à notre portée. Se regrouper autour de ce projet c’est augmenter toutes ses chances de réussites !]]. Se libérer du travail, [[ comme principal structurant social mais le garder pour ses intentions d’aider la Commune !]], de l’activité qui consiste à répondre au cycle biologique, que ce soit en exploitant d’autres hommes (primates du futur) ou des robots (le paradisme) ne nous émancipera pas. Esprit et corps sont liés comme vita activa et vita contemplativa. S’émanciper de l’une c’est amoindrir la seconde. Travailler, c’est œuvrer avec la matière et avec les autres êtres vivants, c’est une activité indispensable mais non prééminente. Comme l’indique Marshall Sahlins, les peuples de chasseurs cueilleurs consacrent bien peu de temps, surtout si nous comparons avec nos sociétés modernes dominées par le travail salarié, à la quête de subsistance. Ils ne sont pas obsédés par la nourriture, par l’abondance démesurée de nourriture [[vouée à être barbarement gaspillée ce qui conduit à inventer un service public de l’Alimentation à but non lucratif, puisque les minables avides de profits immérités sur la vie des autres = les maximums de gaspillages, soit ces inexcusables pollutions des têtes à claques !]]. Le travail, ni méprisable ni louable, doit être réinvesti par tous afin de retrouver l’âge d’abondance [[ l’exact contraire de la trop de richesse que pour quelques uns ! L’abondance est sociale et nous multiplie des autres. La richesse est insensée et en prive tout le monde sauf un ]] décrit par Marshall Sahlins. Par abondance nous n’entendons pas une accumulation de consommables, nous n’obéissons pas à l’ordre « croissez et multipliez », mais l’enrichissement de nos relations intensives avec le monde terrestre [[ l’abondance est un sentiment, donc une qualité – en quoi elle devient inépuisable !]]. Il nous faut retrouver nos mains, leur faculté de fabrication, de transformation de la matière. Il ne s’agit pas de savoir tout faire, de craindre la spécialisation. La spécialisation n’est pas la division du travail qui n’est que la somme des forces de travail, identiques et interchangeables, et s’oppose à la coOpération.
Pour éviter le pire et retrouver notre sens commun, il nous faut réapprendre à habiter le monde, accepter la fragilité de la vie humaine, se confronter à la nécessité, recréer une relation active et dynamique avec la Terre, pour rêver de nouveau dans la hutte conique : « … la terre est reliée au ciel à travers les tissus des plantes et des animaux qu’elle soutient et nourrit, le ciel emporte la terre dans le flux de ses eaux et les fluctuations de son climat et la hutte conique se tient au centre de ce monde de terre et de ciel »…***********************************
...il-faut-faire-coincider-la-notion-de-territoire-avec-celle-de-subsistance
Être nature (1/6). « Pour le sociologue Bruno Latour, il est urgent de transformer les questions d’écologie en questions de territoire afin de sortir de l’impuissance politique face aux dévastations écologiques [[ disons que c’est formulé plus maladroitement que ce que nous disons : l’écologie pour exister à fond doit être complètement décentralisée (territoires abstraits préférés ici à décentralisation au sens de la Commune)…et l’économie circulaire du zéro gaspillage admet, alors, les idées et la participation de tout le monde. Chacun-e peut y ajouter son grain de sel, pour le bien des autres. Facile à comprendre : il faut donc qu’y soit mis les voiles de l’opacité des intellectuels du centralisme déguisés en ce qu’ils ne sont pas !]]. Les alertes lancées par des scientifiques contre la destruction de la biosphère se multiplient [[ et se noient dans le centralisme sans yeux ni oreilles…ni cœur !]]. Plus de 15 000 d’entre eux, issus de 184 pays, ont mis en garde du danger de voir l’humanité pousser « les écosystèmes au-delà de leurs capacités à entretenir le tissu de la vie » et ont sommé les responsables politiques centralisés de tout mettre en œuvre – en décentralisant les actes ou en laissant les Communes partout activées de le faire ! - pour « freiner la destruction de l’environnement ». Pourtant, rien ne semble se passer [[ Faux – dans le royaume moisi des médias d’argent sale rien n’est dit…mais dans notre abondance de ces 80 % d’actualités jamais relayées, dont nos textes font partie, c’est un tout autre son de cloche !]]. Pourquoi un tel décalage entre l’urgence de l’alerte et l’absence de prise de décision des politiques [[ parce que les solutions ne peuvent surgir que du local et que les centralistes, plus lourdingues que les barbares, piétinent tout le local. Heureusement très mal – sauf que pour la communication + à quoi s’ajoutent les petites trahisons quotidiennes des hideux conformistes qui ne relaient que les…centralismes…cela semble étouffés. Ce qui ne l’est pas dès que nous voulons plonger dans l’abondance (qui est donc principalement sociale et inter-relationnelle)]]… Quand on lit en première page du Monde un titre comme celui du 14 novembre – « Il sera bientôt trop tard… » –, dans une police prévue pour le déclenchement d’une guerre atomique, et que dans l’édition du lendemain toutes les immobilisations particulières sont annoncées, cela perturbe gravement [[ uniquement les inadmissibles routines de non-pensées ajoutées aux scandaleuses…insensibilités !]]. Dans les pages « Planète », vous multipliez les alertes par les scientifiques. Un jour, ce sont les insectes ; un autre jour, ce sont les sols qui disparaissent ; ensuite, c’est la disparition de cette réalité essentielle voilée par les fêtes tristes et vides des médiocrates qui envahissent tous les vacarmes. Et dans les pages « Politique », il ne se passe rien, ou pas grand-chose [[ donc ce sont aux Communes décentralisées d’agir partout : afin de rendre les vies ardentes et de faire et en mieux tout ce que ne font plus les faux dirigeants !]].
La-société-est-hyper-prête-pour-le-changement-
En effet, où que nous retournons les fausses élites font n’importe quoi (en, général sordide !) disent n’importe quoi (ils ne contrôlent ni ne maîtrisent plus rien !). Nouvelle preuve ? « Des spin doctors aux experts du clash en passant par les storytellers : c’est de l’histoire d’une si nuisible dépossession qu’il s’agit. Oui comment la fausse communication a tué la politique aux Etats-Unis [[ nous décoller fermement de toutes ces sources de pollutions antisociales, télés de propagandes insalubres, leurs commentateurs, extensions dans les médias vendus et leurs relayeurs conformistes sur les prétendus réseaux sociaux – il nous faut leur dire non et non c’est non…oui, il nous faut faire barrage à ces ennemi.e.s. du futur et de la Commune…nos laxismes ont été trop exagérés : ils ne faut plus nous exposer à leurs pollutions de malades ]]. Car ? Ronald Reagan était un ancien acteur devenu président. Obama est le premier ex-président qui devient producteur de séries TV. Avec son épouse Michelle, il vient de passer un accord avec Netflix pour produire films, séries et documentaires pour la plateforme. Netflix ne donne pas de précision sur les projets de l’ancien couple présidentiel, car ce transfert inédit entre l’ex-locataire de la Maison Blanche et les studios de Los Gatos en Californie (le siège de Netflix) constitue un projet en soi, un événement qui signale à lui seul un changement d’époque [[ qui n’aura pas lieu…ces faux dirigeants n’intéressent plus personne de sain !]].
Du-spin-au-clash-comment-la-communication-tue-la-politique-aux-états-unis
Reprendre toutes nos vies en main commence dès l’ambition de construire son propre logis en se faufilant entre les fausses règles de la société – ce qui donne une vie collective qu’aucun-e des participants de départ n’attendaient du tout (genre, je viens pour le chantier et…transmuté-e, je ne retourne plus à mon ancienne vie…si c’est possible – suffit d’aller vérifier dans ces plus de 80 % d’infos jamais analysées ni reliées entre elles !).
De-la-construction-d'une-maison-autonome-à-une-vie-collective-inattendue
…. C’est que le ciel de chacun se confondait avec le ciel de tous. Cette insurpassée splendeur déduit que… toute idée collective doit se montrer collectée et recollectée au maximum. Or ? Les dénis de réalité veulent devenir la réalité toute entière, la seule réalité. Ce pourquoi les lasses moyennes renient et dénient toutes les plus flagrantes évidences. Combien veulent assumer que le lumpenprolétariat actuel c’est dans la culture. Pendant qu’une poignée (présentée comme incroyablement belle) rafle tous les trésors de patiences et d’ingéniosités généreuses de beaucoup plus (les précaires et très intermittents sous-dédommagés et trop spoliés)…le dit public en rajoute à l’exploitation cruelle en piétinant, omettant, en passant sous silence comme sous le tapis, en endossant la schizophrénie de comportements brutaux, avec la « vraie » culture (les volé.e.s.) et son apparence (leurs ennemis quotidiens qu’ils /elles vont absurdement aider). Et donc ? Chaque jour ces spectateurs-pires-que-le-spectacle empirent les exploitations (alors que peu de gestes pourrait tous nous en sortir) tout en pérorant qu’ils sont contre le système (donc pour le prolétariat que nous trouvons bien dans la culture). Mais, « mon tout »…en appuyant, aidant, assistant, accompagnant, défendant, concrètement, et les résultats sont bien là, les spoliateurs et exploiteurs.
Bon, nous présentons ce bref résumé juste afin de faire comprendre tous les obstacles à surmonter et comment les solutions (déjà trouvées) sont issues des doubles ou quadruples douleurs (ce qui n’empêche pas une énorme joie de vie pour chaque humain ainsi illégalement écrasé). Ce pourquoi les leçons sont vraiment déjà toutes les transformations qui vont opérer ces prochaines années. Qu’elles soient voulues ou non. Ceci sans jamais, mais jamais oublier que tous ces malheurs « évitables » (insistons : qui peuvent et auraient dus être évités) sont imputables aux fausses élites et aux fake dirigeants (puisque « imputer » c’est la Justice qui accuse)…et leurs perversités maximum (que les pauvres toujours plus…appauvris se tirent dans les pattes, s’engueulent , se cognent dessus, se focalisent sur la vision courte, bref, se voient instrumentalisés par ces monstres inexcusables)…
…ne jamais l’omettre : nous, si nous comparons les coups moyens reçus par chacun-e, devons admettre en avoir reçus tellement plus que notre part, bien trop donc. Et ? Notre joie de vie n’a pas diminuée et même, parfois, devient stratosphérique. Donc s’amplifie. Et alors ? Le problème n’est plus dans les personnes, x y ou z, mais dans la toute extériorité : le système peut être pulvérisé et vite (et même si des imposteurs n‘aideront jamais concrètement de leurs engagements et dons aux autres – mais encombreront de leurs seules inutiles paroles), oui pulvérisé par le front le plus gigantesque que l’imagination puisse trouver. Le solidaire plus solide que tout quoi qu’il arrive parce que ? Les plus martelés d’injustices ont réussi à ce que les amertumes n’envahissent pas leurs vies. Quelques bleus de tristesse et d’horreur devant les monstres trop riches, mais rien d’autres. Et ? Alors qu’elles/ils auraient dû être les premiers à ne plus croire en les solidarités. Ils restent les premiers à y croire encore plus…toujours plus. A s’e,n mouvementer même !
Solides solidarités (c’est sonifié dedans)…Mais faut pas gober que ce seraient des séraphins béats se buvant des sirops d’amour métaphysique pour les autres. Mais bien toutes issues des sacrifiés qui (se) sacrifient toujours plus. Oui, tellement plus à ras de terre…Non, non ce sont des milliers de faits et données qui le prouvent. Et, par tous les faits (plus par Toutatis), ils admettent (après longue suite de déductions) que rien de mieux (logiquement, ontologiquement, rationnellement et par raisonnements évidents) que ce solidaire si plein de vertus. Après « Ne pas se compter mais compter les uns sur les autres », notre texte (4) sera : Toute idée collective doit se montrer collectée et recollectée au maximum !
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Sur ce blog nombres de témoignages et d’infos nous ouvrent aux partages des inventivités, résistances, engagements, idées, réussites, etc. tellement plus nombreuses que la pauvreté des activités si mesquines des fausses élites ! Et ? – 1) **** - Nous sommes scandalisé.e.s de voir que ne sont pas relayées les preuves de ces exubérances mondiales. Et, symétriquement, que soit tellement radoté ce dont nous sommes carrément au courant (scandales, officialités, fraudes et délinquances des trop riches, boucane le boucan). C’est de nous dont il s’agit de parler afin de lever les découragements, les désespoirs les sentiments parfois d’isolements, etc. Parce que nous sommes tellement plus nombreux que les marginaux capitalistes. Et sommes mûrs pour prendre leur place à la prise des décisions collectives – où, par conséquence, ils ne devraient plus avoir leur place…Qu’il faut donc, en ces 2 directions, le montrer tellement plus que cela ! ***2) – Nous adorons admirer et il n’y a rien à admirer du tout dans les faux dirigeants. Aussi nous contestons avec des analyses serrées et vérifiables. Mais, pour nous, contester c’est pour proposer du meilleur, mettre autre chose à la place, riposter, dire et faire mieux. Il y a d’autres alternatives. Pas qu’un peu ! Le putsch de la pensée unique est vraiment illégitime. Mais sans relais abondants de tout ce qui se passe de positif et constructif sûr que nous prenons du retard sur notre potentiel si fort *** 3) – de notre côté, nous parlons, sans cesse, de milles choses de réussies de par le monde. Mais avec des barrages conformistes partout c’est certain que ceci peut paraitre moins important que le petit acte dérisoire tourné sans interruption en boucle. En pensant à toutes les injustices, inégalités illégales, diffamations envers les pauvres, etc. – nous devons, oui devons relayer, faire connaître, diffuser tout ce qui se passe de bien partout. Ce blog y parvient, mais, sans nombrilisme, ce pourquoi nous sommes souvent tristes que pas assez n’adoptent cette attitude si fertile. Soit ? Utiliser chaque parcelle de gloire qui nous parvient non pour la rétrécir à nous mais, en grand, offrir cette petite gloire à celles et ceux qui, à nos yeux, le méritent…afin que, par contagions bénéfiques, le monde entier resplendisse de cette gloire de tous. Après tout nous sommes tous des étoiles : il est bien temps de voir BRILLER ces milliards de cœurs, tout aussi beaux que ceux de leurs voisines ou voisins !
Oui ? Nos entourages nous reprochent toujours « de citer les autres et de ne pas nous citer nous-mêmes. De ne jamais nous mettre vraiment en avant ! etc. » C’est que nous sculptons les métacadres, les grandes architectures afin de sertir tout cela. Nous synthétisons les meilleurs de tout, nous alchimisons les chnagements afin de les rendre gigantesques…Nous servons, si à fond, le collectif car seul le collectif collecte tout (pas d’exclusions – pas d’exclusives !). Oui, nous vivons toujours dans ce qui nous dépasse tant…
Et, par contraste ---
……..Les autres se rétréciraient à toujours être dépassés et à ne pas le vivre !
……….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste abondance nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est encore pire
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Ce qui est en commun (La Commune, les biens communaux, le communisme de la commune, etc.) doit bien devenir très supérieur à ce qui est séparé (la vie si ratée des bourgeois)…
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Société d'abondance = abondance de société. - Le blog de imagiter.over-blog.com
L'oligarchie actuelle ne répand aucune abondance pour tous. Plus - ses perversités narcissiques nous privent d'abondances de sociabilités, d'associétés, de liens de prévenances (c'est guérir...
http://www.imagiter.fr/2018/05/societe-d-abondance-abondance-de-societe.html
Il s’agit d’une maison semi-entérée afin de profiter de l’isolation qu’apporte le sol. Une large baie vitrée exposée au sud est utilisée comme serre de production et "tampon" thermique qui régule le froid en hiver et la chaleur en été. L’eau de pluie est récupérée, filtrée, utilisée par les habitants, nettoyée et réutilisée afin de limiter les dépenses. L’eau est chauffée et l’électricité est produite via des énergies renouvelables. Le modèle peut évoluer en fonction des moyens que l’on souhaite investir.
Nous sommes trop simples pour que les pervers narcissiques (la majorité des politiciens actuels) ne puissent seulement savoir que nous existons…plus haut qu’eux !
La vie n’est pas une PYRAMIDE hiérachique (vraiment les crétins !) mais un immense buisson. Et ? Preuve (par l’arbre de vie) de la prééminence logique du coOpératif sur le capitalisme si désordonné et inattentif donc hyper destructeur…le coOpératif correspond au buisson de la vie et pas le délire du profit…séparé.
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Faire bien mieux que les dirigeants ? S'aider à réparer (2/2) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Unifier pour mieux non régner ? Qui obtient, ainsi, le réparer aider, s'entraider, aimer s'aider, et tant de choses pas tout à fait oubliées ? Très concrètement contre l'obsolescence programm...
http://www.imagiter.fr/2018/01/faire-bien-mieux-que-les-dirigeants-s-aider-a-reparer-2/2.html
Pareil pour la société – ce n’est pas une pyramide avec haut et bas mais un vibrionnement buissonnant où il n’y pas de supérieur ou inférieur mais bien de sociales sociaux qui savent tout rendre aimable (que l’on peut aimer) ou d’antisociaux qui ne savent plus que nuire !
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Futuropolis >> Fiche titre : La survie de l'espèce
La Survie de l'espèce est coédité avec Arte Editions
Cela commence avec le procès de monsieur X, trader et mercenaire zélé de la banque d'investissement Goldman Sax, accusé d'avoir créé un produit financier à partir des créances les plus pourries du marché, qu'il a revendu sciemment à ses clients avant de parier sur l'effondrement de cette "camelote". Pourquoi ? Parce que ces clients étaient faibles, et que le système dit M.A.F. (Mort Aux Faibles) ! Bien sûr, cela nous rappelle quelque chose… Comment a-t-on bien pu en arriver là ? C’est le postulat de départ des auteurs : comprendre. Alors, avec trois symboles simples (le Salarié, un petit jouet en plastique, le Patron, un général d'armée, et le Capital, un financier à haut de forme et gros cigare), Jorion et Maklès expliquent pourquoi et comment. Cyniquement, ironiquement et avec beaucoup d'humour (noir), ils décortiquent l'invention du travail, le partage des richesses, le management, la Bourse ou encore l'ultra libéralisme.
Chido Govero. née au Zimbabwe, orpheline à l'âge de 7 ans avec un jeune frère de 5 ans à nourrir, elle rencontre Günter Pauli à l'âge de 12 ans qui lui révèle les possibilités de se sustenter grâce à la croissance rapide des champignons. Elle contribue au développement de la culture des champignons en utilisant du marc de café. Aujourd'hui, elle voyage dans le monde entier pour mettre en place des fermes de champignons basées sur la technique qu'elle a inventée. Son parcours montre que dans le monde d’aujourd’hui, rien n'est impossible si l'on a la volonté de mettre en œuvre des projets capables de changer la vie quotidienne de nos concitoyens. Sans être gouvernés pour...
Vraiment pas de bol : faire du bien fait du bien (les ridicules pervers croyaient que c’était faire tout mal et faire du mal…). La percussion fait répercussion. L’écho logique amplifie même les logis d’effloraisons. Le résultat (ça fait du bien) est dans l’action (faire du bien). Ce qui rythme avoir atteint le vrai Tao. Bigre ! La santé et le bien-être y trouvent trop d’épanouissements. Toujours face au verdict récurrent : le mal finit mal car il fait tout mal.
Le délire de considérer que de faire accèder un bien commun à une « valeur marchande » est une consécration incroyable. Hého, c’est souvent une piteuse déchéance. Puisqu’elle fait écho à la grave diffamation que les humains, entre eux, sont « incapables de gérer les biens communs sans les détruire » - ce pourquoi les bourgeois, après blettes réflexions, bondirent en clamant que « les biens communs n’existaient plus ». Faux, les deux. Retour de la vérité ? Le privé cupide, lui, gaspille et souille absolument tout…il n’est donc pas capable de gérer les biens collectifs sans tout polluer. Sa crédibilité est donc de…moins 1 000 sur…10. L’économie de marché…c’est fini !
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Le réchauffement climatique pourrait bientôt détruire internet
Un moyen d'enfin sensibiliser la population à cette cause? Dans une étude récente, des scientifiques de l'université du Wisconsin et de l'université de l'Oregon affirment que des milliers de ...
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PLUS D'INTERNET ? A cause du style de vie des immobilistes ? Là les trop-soumis inexcusables vont réagir. Mais contre qui ? Contre eux-mêmes ?
Comment le néolibéralisme anti-humain et irresponsable défait la démocratie •
Les biens collectifs communs publics ¿ Faut vraiment insister, un mot ne suffit pas ¡
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Ce maire s'est endetté personnellement sur 20 ans pour sauver son village. Et ça marche ! (VIDÉO)
La volonté politique, ça existe. Démonstration avec Benoît Hennart qui, pour sauver son village de la désertification, a décidé de mettre la main à la poche... et de mouiller sa chemise ! B...
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VIDEO…« La volonté politique, ça existe. Démonstration avec Benoît Hennart qui, pour sauver son village de la désertification, a décidé de mettre la main à la poche… et de mouiller sa chemise ! Benoît Hennart est le maire de Quittebeuf, 652 habitants dans l’Eure. Il y a quelques années sa commune comptait encore neuf commerces mais, un à un, ils ont tous mis la clef sous la porte (à l’exception du salon de coiffure). Du coup, l’élu, refusant d’assister à la mort de son village, s’est retroussé les manches, a ouvert son porte-monnaie et a contracté un prêt personnel sur 20 ans auprès de sa banque ! »…Voir les prodiges que « ceux qui n’ont pas de moyens » font – alors que ceux qui ont « tous les moyens et plus » ne font RIEN que de très…répréhensible. En général.