Décentraliser vraiment suffit à limiter l’état !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Décentraliser vraiment suffit à limiter l’état !

Et décentraliser à fond suffit pour les empêcher de fermer ses crocs sur le local si bien localisé. Ceci à même un nom historique : la Commune ! Commune qui donne l’exemple à toutes les communes du communalisme. Et donc ? Il est inutile d’encombrer plus les débats avec cette imposture (le libertaire n’est pas « que » contre l’état mais « surtout » contre la dictature mondiale du privé, des multinationales, des médias hyper centralisés et des banques illégales- c’est « le coup d’état permanent » de ces institutions qui, toutes, osent se présenter comme …libertaires (si contre l’état qu’ils en font un autoritarisme très répressif) – qui pose problème, et non l’état théorique en lui-même) Et donc ? L’urgence absolue devient que tout le libertaire – grâce à la décentralisation complète des enjeux – vienne défendre à fond la Nature. Une nature détruite n‘en aura rien à foutre des faux débats byzantins sur/avec/pour/contre l’état modeste, limité ou non…(rien à cirer qu’elle en a, la Nature)…le libertaire doit se recentrer et devenir innovateur comme avant en s’attelant à l’écologie ouvertement décentralisée et ne cherchant que des solutions locales – puis, globales par fédérations des collectifs autonomes.

 

Déforestation-40-millions-d'arbres-de-forêt-vierge-replantés-avec-la-méthode-Miyawaki

 

Tous les humains sérieux et attentifs à tous disent que seul un immense mouvement unifié peut nous sortir de l’ornière mortelle. Par le passé, le libertaire, à sa façon irremplaçable, s’est impliqué dans des mouvements historiques. En 2018, c’est l’union, l’unité maximale qui compte. Le libertaire doit donc s’affronter à l’écologie la rendre bien insolente. Foutre de la créativité radicale dans tout le local. Sans omettre la synthèse rouge jamais encore formulée. Ainsi la Commune de 1871 fut-elle plus rouge que noire ou également les deux – nul-le ne peut y répondre ? Sauf que commune, les communs, en commun, cela trace tout de même une très forte part du commun-isme (sinon plus aucun concept ne signifie plus rien)…l’essentiel n’est plus les desiderata « séparés » du libertaire mais qu’il pose sa marque inappréciable dans l’écologie. Et vite et tout de suite…

 

Le-triomphe-de-l'-entraide

 

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C’est quoi l’écologie pour eux ? Ne plus rien décider, continuer pareil dans le pire. Repousser les échéances à toujours plus tard. C’est reconnu très urgent aujourd’hui même et se voit…repoussé à 2040 ou autres délires inacceptables. Et ceci en se cachant derrière quel motif ? Une trop vague liberté d’entreprendre qui – seule – n’aurait pas de limites. Alors que sa claire limite reste…à condition qu’elle ne détruise pas la vie des autres. Ce qu’elle pratique en trop grand : donc cette fausse liberté qui piétine beaucoup trop celle des autres, doit se voir fermement restreinte. Aujourd’hui, et tout de suite. Si l’air est irrespirable (ce qui « coûte » infiniment plus que ce que coûte les pauvres) et que cette fausse liberté d’entreprendre ne peut que rendre la situation irréversible , nul-le ne va clamer que leur droit d’empêcher les humains de respirer, de nuire tant à leurs santés ; que d’affaiblir l’immunitaire de tous les enfants soit une liberté sans limites (le pratiquer sournoisement c’est juste ne plus rien décider, repousser à plus tard, mais ceci ne peut se prolonger que de très peu d’années). L’écologie les accuse toujours plus : qu’avez-vous fait de la Nature qui vous aura tant enrichi illégitimement ? Vous prenez ce qu’elle offre – mais pour tous – gratuitement et vous osez que « vous », vous seul auriez fait des bénéfices. Ce qui se dévoile plus que faux. Tout est erroné dans votre com’. Stop à vos fausses informations. Remboursez les immenses trop perçus, arrêtez d’exploiter la Nature aux dépens de sa survie, donc la nôtre : c’est illégal et ne peut être opposé à la fausse liberté d’entreprendre (qui a ses limites)…Vous ne méritez absolument pas la Nature, nous la reprenons. Puisque nous sommes toujours plus bouleversant.e.s bouleversé.e.s. Oui, par exemple, comme cela…

 

Méthode-Akira-Miyawaki-reforestation-réussie

Son concept ? Le senzai shizen shokusei (la végétation potentielle naturelle, en français). Il explique à UBrainTV : « Il est important de bien comprendre qu’on ne peut pas planter n’importe quoi n’importe comment, parce que dans le monde végétal, il existe des vraies plantes mais aussi ce que j’appelle des fake plantes. Les vraies plantes résistent à des conditions extrêmes et vivent très longtemps. Les fake ont l’air tout aussi fortes, mais meurent facilement. C’est pour cela que je les appelle fake plantes. »…. Admirable utilisation du mot « fake » que nous avions généralisé (retours systématiques aux expéditeurs avoués donc par…eux-mêmes !) dans les textes de ce blog. Merci enfin d’entrer dans la vaste réalité…

Car que voyons-nous ? Les pubs si antisociales qui invitent à détruire et à chaque seconde la nature. Comme un grand jeu. Agagaga on fait mumuse de tout…Et il faut être aussi déchu qu’un inexcusable conformiste pour se rendre complice de ces crimes écologiques. Plus aucune excuse aux conformismes : ils/elles peuvent avoir les mêmes infos que nous, faire les efforts d’analyser, de réfléchir, de vérifier et d’accomplir une synthèse pour agir. S’ils ne le font pas c’est un énorme défaut qui les accuse et non une qualité qui donnerait tous les droits. Ils ont trahi le meilleur d’eux-mêmes, trahi l’Humanité et ont cumulé des dettes gigantesques avec la mère de toutes nos vies. Nous ne pouvons échapper à ces faits. Empêchons ces conformistes, devenus plus que hideux, de s’amuser, de faire mumuse, de régresser tant dans l’infantilisme indécent de détruire la Nature. L’avenir mené par eux ? Tout s’immobilise, tout se fige, plus rien ne peut remonter les courants contraires, tout est….arrêté (oui comme dans l’enfer vu par les légendes nordiques). Et ? Les océans toujours plus plastifiés semblent …s’immobiliser. Inerties dans leurs courants. 70 % de la vie terrestre ne pourra plus y…circuler. Atmosphère stoppée aussi : les ouragans ne…démarrent plus, ils n’ont plus assez de forces pour se mettre à venter drus. Pollutions qui bloquent aussi la vie et son évolution dans tous les biotomes. Et même la société rendue inerte, plus que bloquée, où plus aucune décision « sérieuse » (donc d’intérêt général !) ne peut être prise…tiens comme déjà  aujourd’hui avec la fausse fauche de gouvernement qui se droitise si vite et la droite sans avenir autre que la sénilité de radoter des phrases qui ont perdu tout sens…tout semble en cours d’inerties…mortelles. Société suicidée par l’absence pathologique de cœur des si avilis bourgeois. Les médiocrates, ces insurpassables voyous, ces cancres monstrueux , auront vraiment assassiné toute la civilisation de leur laideur existentielle. Leur culpabilité dépasse l’entendement et il faudra bien qu’ils /elles en prennent conscience ! Oser les puissantes décentralisations c’est les effondrer entièrement. Et cela nous le valons bien !

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« Comment sortir d’une telle vision comptable, économiciste ? Depuis le XIXe, on a inventé plein de choses pour protéger la nature : l’interdiction de pêcher, de déboiser, de trop polluer, etc. Ce sont des outils très anciens. Au XIXe siècle, on a créé, surtout aux États-Unis, les parcs naturels avec la volonté de préserver un endroit en dehors de la logique économique. Le parc a été énormément critiqué par les historiens et les philosophes post-modernes. Par les historiens, parce qu’au XIXe, les parcs ont aussi servi à chasser les gens qui y habitaient, les Indiens aux États-Unis notamment, et on leur piquait leur terre sous prétexte de préservation de la nature. Par les post modernes puisque cela revenait à séparer la nature de l’Homme. Je comprends leurs arguments, mais ça reste un outil de protection de l’environnement efficace et il est important de le réhabiliter. De même, tous les corridors pour permettre aux animaux de migrer, de bouger, de se reproduire : il n’y a pas de financiarisation de la nature, on n’essaye pas de valoriser un service éco-systémique — on réfléchit à la bonne organisation des activités humaines [[décentralisées et locales-responsables]] pour éviter qu’elles empiètent trop fondamentalement sur celles des autres espèces.

Jean-Baptiste-Fressoz-désintellectualiser-la-critique-est-fondamental-pour-avancer

La notion de « développement durable » est dorénavant assez critiquée, mais une autre expression est moins questionnée, celle de « transition énergétique » : qu’en est-il ? « On ne passe pas du bois au charbon, puis du charbon au pétrole, puis du pétrole à autre chose : on n’a fait qu’additionner ces sources d’énergies les unes aux autres. Le terme de « transition énergétique » apparaît en anglais vers 1975, pour remplacer la notion de crise énergétique : c’est beaucoup plus rassurant et ça donne l’impression qu’il y a une sorte de rationalité gestionnaire. Ça vient des énergéticiens et des professionnels de l’énergie nucléaire. Ils disent que s’il n’y a pas assez de pétrole — on a passé le pic de pétrole conventionnel aux États-Unis —, on fera du nucléaire, du coal to fuel (liquéfaction du charbon pour en faire du pétrole), du pétrole de schiste. Cette notion de transition énergétique est ensuite réutilisée dans les années 1980, surtout en Allemagne (« tournant énergétique »), pour désigner la transition vers les énergies renouvelables avec le solaire, l’éolien — même si, derrière, c’est une idée très naïve de ce qu’est un système énergétique. C’est une notion qui a servi à apaiser les craintes. Le second problème est qu’historiquement il n’y jamais vraiment eu de « transition énergétique » mais surtout des « additions énergétiques ». On ne passe pas du bois au charbon, puis du charbon au pétrole, puis du pétrole à autre chose : on n’a fait qu’additionner ces sources d’énergies les unes aux autres. Le pic du charbon n’a pas eu lieu au XIXe, ni même au XXe, espérons qu’il aura lieu bientôt au XXIe siècle… Quand on parle un peu trop légèrement de « transition énergétique », il faut bien voir qu’il s’agit d’une transformation sans précédent. »…La vision centraliste des réalités ne cherche pas à y coller le plus concrètement mais à s’en débarrasser en la couvrant d’abstractions tout en se concentrant surtout sur des subterfuges sémantiques qui font croire que cela bouge lorsque les décisions décisives (sens essentiel du mot décision que décisif avec un avant et un après !) ne sont jamais prises. Repoussées à plus tard. Un plus tard sans cesse reconduit…Désintellectualiser la critique c’est vraiment refuser ces indignes facilités tout en demeurant à la pointe de l’intelligence. Soit en avançant de nouvelles formulations et en proposant des grandes solutions pour toutes et tous. Seule une décentralisation style  N.R.V. (Noir Rouge Vert) peut y parvenir…  

L'-ONF-encourage-la-biomasse-industrielle-au-détriment-des-forêts-et-du-climat-:-l'Onf-trahit-donc-sa-fonction-!     illustration de comment l’esprit centraliste peut s’avérer nuisible : créant infiniment plus de problèmes qu’il n’apporte de solutions !

 

Rapport-du-Sénat-:-pollution-de-l'air-le-coût-insensé-de-l'inaction        réel sans cesse fui et fui encore  : le pognon dingue des pauvres est tellement supplanté par la lutte contre la pollution de l’air – le coût de l’inaction du centralisme, l’accusé entêté - qui est du côté des 101 milliards d’€ et non des…25,6 milliards des minimas sociaux…

Colibri-ne-suffit-pas-c'est-à-grande-échelle-que-les-choses-doivent-changer/            la critique du système est, sans cesse, trop petite et restreinte. Trop vite contente d’elle-même Sans exigences structurelles. Il s’agit de voir tellement plus grand que ce système, de l’englober et de le surpasser. Ce qui n’est pas si hors de portée, pas si compliqué si nous commençons par discipliner les pensées. Les mettre en ordre afin qu’elles entrent en cohérences et ne se font pas de croches pieds stupides l’une à l’autre. A tous ces défis, nos concepts y répondent mieux que les autres !

PDF-pesticides-des-évaluations-européennes-incomplètes-qui-vont-à-l'encontre-de-la-législation          lorsque la centralisation, à l’évidence,  renforce toutes les corruptions, toutes les illégalités politiques en ne respectant plus le bien commun ni l’intérêt général. Allant jusqu’à frauder par incomplétudes en tout !

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Plaquette-revue-Frustration-de-juin-2018

Nouveau numéro du 1° juin…Polluer plus pour gagner plus. Ce n’est pas à nous de culpabiliser sur l’état de la planète, c’est aux riches ! …Plus on est riche, plus on pollue.*** C’est ce que l’ONG britannique Oxfam a démontré dans un rapport intitulé « Inégalités extrêmes et émissions de CO2 » en 2015. Pourtant, à l’heure où le gratin international multiplie les déclarations de bonnes intentions environnementales et les confessions larmoyantes, les gouvernements occidentaux, à commencer par le gouvernement français, s’entêtent à répéter qu’il est question de prise de conscience individuelle.[[ très insultant puisque déjà faite depuis longtemps,*** voir chanson de 2009]]. Et tant que l’on continue de dénoncer la paille dans l’œil du voisin, on ne regarde pas la poutre dans le sien. Débile. Mais les « petits gestes pour la planète » ne suffiront pas. C’est le pouvoir des très riches qu’il faut réduire. [[ enfin un parole sensée…voir Légalité de l’égalité 1999 et son salaire maximal garanti si copié sauf le « et avec plafonnement des patrimoines et retours aux bien communs des…trop perçus » ! ]. Et la neutralisation de leur pouvoir de nuire [[ Voir notre « Empêcher les riches de nuire aux pauvres » !]] commence par comprendre comment ils nous enfoncent dans la crise écologique. Décryptage [[ dans le sens de apprendre à vraiment écouter…]]. »

Chanson-prémonitrice-Pas-Sérieux   *** Avec les paroles sans équivoque….... « Plus t'es riche plus tu pollues
Plus t'es star plus tu pollues pas sérieux, pas sérieux
Et ça ce sont les chiffres et les faits pas sérieux, pas sérieux, etc. »…2009 chronologiquement c’est avant 2018. 

Comment alors voir le futur ? Quels sont les basculements de visions afin que les aveuglements absurdes ne nous masquent justement pas cette vision vitale ? Pourquoi les politiques actuelles semblent toujours plus incohérentes, au jour le jour, désordonnées, sans vision ni plan d’ensemble ? Et comment aider les populations à retirer leurs attentions de ces voies sans issues de faux dirigeants, les harcelant et matraquant déloyalement chaque jour ? Nous reviendrons, dans un autre texte, sur l’apport récent de Renaud Garcia, « Le sens des limites – contre l’abstraction capitaliste », Dont voici un extrait…  

Renaud-Garcia-l'aliénation-est-un-phénomène-central-du-capitalisme

« Cela étant posé, je prolonge et systématise dans ce livre l’idée directrice du Désert de la critique, qui visait à reprendre pied sur une théorie critique de l’aliénation, en restituant sa portée à une notion de nature humaine plus souple, moins massive, comprise sous l’angle de la vie humiliée ou falsifiée. J’admets tout à fait les critiques que l’on peut adresser à l’idée d’aliénation, notamment en raison d’un certain flou sémantique. Aussi, je m’efforce de retravailler la notion en prenant toujours comme point d’appui le monde de la vie et les habiletés ordinaires (“vernaculaires”, dirait Ivan Illich) que l’on y développe : aimer, dialoguer, habiter, manger, cuisiner, jouer, se soigner, etc. Dans ces conditions, l’aliénation se présente comme une forme intégrale de dépossession de la subjectivité vivante, qui intervient lorsque les différents « savoirs de la vie » (M. Henry) cités ci-dessus se trouvent transférés sur un plan abstrait, où seule compte la logique d’accumulation de la valeur en fonction de procédures techniques normées. En ce sens, l’aliénation désigne bien un phénomène central [[ sauf qu’en 2018 l’aliénation est surpassée par l’instrumentalisation, faire ce que nous ne voulons surtout pas, dire le contraire de ce que nos cœurs veulent dire, agir toujours contre nous…etc. Cela les procédures infantilisantes et dépossédantes des réseaux dits sociaux ont réussi à introduire la perversion radicale du…comment devenir les ennemis de ses propres amis – facile de la vérifier…]] sous le règne de l’abstraction capitaliste : elle advient par exemple lorsque la subjectivité sensible apprend à réifier ses émotions pour correspondre au profil exigé [[ d’une façon tellement abusive que – normalement- nous ne pouvons que dire noooooooon - par un site de rencontres, lorsque le mangeur quotidien se trouve sommé de comptabiliser ses apports nutritionnels, lorsque l’individu adapté à la norme de la santé parfaite réduit en algorithmes ses dernières performances sportives [[ par rapport à quoi, ducrétin ?]], et bien entendu lorsque chaque travailleur se voit englué dans la contrainte du temps et le remplissement d’objectifs chiffrés [[ que leurs chefs n’auraient eux jamais à …respecter ? Vraiment, et vous pensez que nous allons « croire » vos niaiseries ?]] détachés de tout sens concevable [[ sauf que, afin de nous simplifier la vie en nous prouvant que les mots sont de notre côté, la diction du dictionnaire existe. Et emplit tant de joie tranquille qui a …l’humilité de l’employer !]]. »

<<< !! >> - Cyril  Dion : Est-ce qu’un artiste doit/peut changer le monde ? JR : Pas forcément. Mais c’est de sa responsabilité de s’interroger et de ramener des questions dans le débat public. Dans ma petite expérience de dix ans, j’ai vu de vrais changements après des projets, mais ce n’était absolument pas un objectif que je m’étais donné en les concevant. La base de mes projets touche au rapport à soi, au rapport des gens à leur dignité. Changer cela, c’est déjà changer le monde, qualitativement. Si en plus il se produit des évolutions physiques, sociales, économiques dans un endroit grâce à un projet, alors c’est du bonus !

JR-mobiliser-grâce-à-l'art

 

Cyril : Qu’est-ce qui t’a le plus touché dans les reportages que tu as faits ? JR : Ce qui me touche c’est que ce n’est pas uniquement mon énergie qui rend les projets possibles au Brésil, au Kenya ou ailleurs, mais un réel besoin des gens [[sourcer ses textes et recherches sur les autres, les besoins dont il n’ont pas pris conscience c’est cela que de progresser progressistes…le faux brillant du spectacle qui tient à déguiser des imposteurs aura fait prendre tant de réverbères pour des étoiles…et les spectateurs (auto-niqués) de se pisser dessus : ils/elles étaient tellement près de grands et ils auront préféré courir vers des impasses et perd !]]. Et ce n’est pas facile à expliquer, parce que d’autres gens disent : « vous croyez pas que quand vous allez là-bas les populations ont d’autres aspirations, ont besoin de ci, ont besoin de ça ». Eh bien ces expériences sont des preuves par l’image que ce projet a du sens pour eux. Inside-Out montre que c’est une question de motivation, de désir de partager des idées et de voir que lorsqu’on donne les mêmes moyens à tout le monde, tout le monde n’est pas prêt à faire les mêmes choses. »…Fins radicales des inerties, tout bouge et tout se mouvemente : le centralisme plus pesant que tout aura aussi toujours eu…tort !

………………....*************************************************************

Voici que nous venons de prouver qu’il n’est pas hors d’atteinte de faire un point global de la situation actuelle. De sortir du flou nombre de pistes d’actions communes. De montrer à quel point notre avenir demeure plus ouvert et fertile que celui des faux dirigeants. De souligner à quel point les indignes non-réflexions des obsédés par « leur » seul leadership et non l’intérêt général qui représentent (soi-disant) la gauche (certainement pas !) demeurent sans issue.  Ne disent plus que des phrases insensées insensibles (preuve par le lien suivant)…et que nous les contournons en grand et avec aisance…Comme ceci :

 

EELV-mettre-ensemble-tous-les-partis-prétendus-de-gauche-n'a-aucun-sens-(sic)-   donc séparer et diviser plus encore tous les groupuscules restants auraient du sens. Ou bien la manière insensée où il n’est plus possible de faire de la politique. Ce qui, en plus, stupidement nous agite le miteux Rose Rouge Vert contre le grand mouvement unitaire Noir Rouge Vert ( remarquons ce « Rouge Vert » final « copieur » qui signe la cible attaquée)…comme si le rose (les ex-socialistes n’ont jamais été de gauche !) pouvait avoir la moindre gueule à côté du vrai Noir ? Oui, pour eux, restera préféré leur minable leadership à la fin si vitale du capitalisme libéral, le pire des systèmes qui fait donc tant souffrir les grandes majorités.

 

Le tableau est donc complet : nous sommes non seulement inséré.e.s dans les grandes situations actuelles…

 

……………………..mais nous nous permettons même de les précéder !

 

 

…………(à suivre)

 

……………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste exigence nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

JR

JR

JR

JR

reforester façon forêts vierges...

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décentraliser c’est multiplier tous les points de contacts entre les humains – centraliser c’est, plus que stupidement, étrangler la vie sociale. C’est très mortifère !

décentraliser c’est multiplier tous les points de contacts entre les humains – centraliser c’est, plus que stupidement, étrangler la vie sociale. C’est très mortifère !

donc paris la ville la plus antisociale du Pays entier…

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aucune communication sensée n’y est possible…

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la preuve ? En  2018 nous sommes à moins (-) 1000 de décentralisation. Très au-dessous de zéro. AUCUNE en fait…toutes les charges concrètes au local, tout le coup d’état quotidien de tout décider unilatéralement et sans bottom-up, pour ce centre qui prétend décentraliser. Comment s’il ne le fait, dès maintenant, jamais de jamais ?

la preuve ? En 2018 nous sommes à moins (-) 1000 de décentralisation. Très au-dessous de zéro. AUCUNE en fait…toutes les charges concrètes au local, tout le coup d’état quotidien de tout décider unilatéralement et sans bottom-up, pour ce centre qui prétend décentraliser. Comment s’il ne le fait, dès maintenant, jamais de jamais ?

oser ? Nous c'est déjà fait voir Légalité de l'égalité....peut pas mieux dire....

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bayer et monsanto

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Décentraliser vraiment suffit à limiter l’état !
Fao gaspillages

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