La Nature et sa pensée sensée ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La Nature et sa pensée sensée ?

La gestion de l’agriculture, d’un point de vue technocrate, est un échec flagrant. En 75 ans, nous avons divisé par 25 notre efficacité énergétique. Pour une société qui se dit développée c’est une insulte à l’intelligence humaine. Et ? Le modèle dominant a vraiment échoué. Comment faire ? Lorsque rester capitaliste devient un enfantillage pleinement irréaliste ? Lorsque ce qui est présenté comme le plus rationnel s’éloigne toujours dans les incompétences ? Oui, lorsque les dénis ajoutés aux fuites devant les réalités tracent tout ce qu’il faut bien qualifier de non-pensée ? Que faut-il donc faire ? Nous espérons, à terme, affirme un pionnier de l’agroécologie, que toute activité humaine sera évaluée à l’aune de l’ensemble de ses conséquences. Terminés les faux bilans capitalistes où les externalités (ces coûts cachés) représentent leurs chiffres les plus élevés mais non inclus…La fausse croyance dans la rationalité du capitalisme doit s’admettre telle. Lorsque dépendre de la nature devient plus « humain » que de dépendre des institutions humaines lorsqu’elles sont tordues par des pouvoirs pervers. Cela nous offre quel nouveau visage alors ? Ou, dit autrement - le point de départ réel (trop empêché) pour parvenir à la conscience du plus grand nombre ?

 

L'homme-empiète-sur-75-%-des-sols-de-la-planète-:-une-menace-pour-la-terre-nourricière

« L’Union Européenne ferait particulièrement les frais de ce déclin dû à l’agriculture intensive, puisque le coût dingue des dégradations des sols est estimé à environ 10 milliards d’euros par ans [[ et ne fait qu’augmenter]]. Le second enjeu est environnemental : avec une accélération de la déforestation, les effets du changement climatiques sont de plus compliqués à contenir. Les spécialistes résument bien cette idée : «Les Humains et leurs actions sont devenus le principal fil directeur des changements environnementaux mondiaux [[ soit le paramètre le plus néfaste de tous ]] ». Si on en croit l’Atlas 2018, les agriculteurs, producteurs et consommateurs participent activement à un cercle vicieux sans issue. ». Pour qui connait la méthode de pensée systémique (cet holisme où le tout unitaire demeure bien plus grand que chacune de ses parties séparées), cette analyse se lit « sans issue tant que nous ne faisons pas un pas hors de ce système de…pensées.» Et ce pas nous le faisons ici :

Pour le changement climatique « sans issue » : Réensauvager-la-moitiée-de-la-terre

%% -- Pour la destruction insensée de la fertilité des sols ( « la plus grande des richesses » pour les physiocrates si réalistes !) : « Enclencher la transition agricole plutôt que faire des courbettes aux partisans d’un modèle obsolète, tel est le pari de Maxime de Rostolan. Dans sa ferme près de Tours, ce trentenaire audacieux et hyperactif souhaite démontrer que l’agroécologie est plus viable que l’agriculture conventionnelle et promouvoir son développement à grande échelle [[ nous avions soutenu il y a quelques années cette démarche et déjà effectué une analyse de ses avantages collectifs !]].

et-si-l'agro-écologie-était-notre-avenir

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Peux-tu te présenter ? :  Je m’appelle Maxime de Rostolan, créateur de Fermes d’Avenir, il y a cinq ans. L’idée aura été de prouver que l’agroécologie est plus avantageuse que l’agriculture industrielle et chimique, et qu’elle représente un terreau fertile d’activités humaines. Je suis un agitateur du système, un entrepreneur militant, car je souhaite qu’on arrive à sortir du modèle dominant qui n’a plus aucun sens. Et l’agriculture est au carrefour des enjeux de notre société. Mes expériences et mes rencontres m’ont convaincu que la lutte contre le dérèglement climatique passe par une révolution dans notre mode de production alimentaire.

Peux-tu détailler les activités de Fermes d’Avenir ? : Fermes d’Avenir est une association de loi 1901 qui défend une transition écologique par l’agriculture. Nous voulons démoder le mode de production agricole industriel qui prédomine aujourd’hui et qui montre ses limites. Pour ce faire, nous travaillons sur quatre axes.

** Pour commencer, nous développons des fermes agroécologiques qui produisent, en bonne intelligence avec la nature, des aliments vendus localement. Après la ferme de la Bourdaisière en Touraine, nous avons décidé de travailler sur des projets de plus grandes tailles, à Brétigny, en Normandie, à Metz ou encore à Bordeaux. Ce pôle « Production » réalise aussi des missions de conseil, pour les collectivités territoriales ou des acteurs de la filière qui cherchent à répondre à la croissance de la demande citoyenne en produits bio et locaux.

** Par ailleurs, nous formons des porteurs de projet, des maraîchers (avec notamment le programme de compagnonnage, qui accueille cette année une quinzaine de réfugiés) et des « payculteurs », qui sont des animateurs de plans alimentaires territoriaux.

** Ensuite, nous mettons en place des mécanismes de financement, avec la plateforme Blue Bees  ainsi que par la mise en place de concours, qui ont déjà permis de remettre plus de 1,5M € en trois ans à quelques 120 fermes [[ le but visé c’est 200 000 humains qui retournent à la terre afin de relayer les anciennes générations !]]

** Enfin, il convient de peser sur les orientations politiques, pour vaincre la concurrence déloyale qui existe entre l’agriculture chimique, qui externalise tous les coûts de ses impacts (sur l’eau, la santé, le dérèglement climatique, l’érosion de la biodiversité ou encore la destruction d’emplois) et les fait porter par nos impôts [[ ce qu’ils appellent « bénéfices » devient ainsi fraudes directes sur la fiscalité et coûts reportés sur tout ce qui constitue le patrimoine commun – ces faux bénéfices devraient recevoir injonctions à rembourser tous leurs coûts induits ! ce qui commencerait à mettre fin à la vase escroquerie capitaliste…]], là où l’agriculture paysanne assume les charges supplémentaires qu’impliquent ses méthodes de production plus naturelles (besoin de plus de main-d’œuvre, investissement dans le capital naturel, etc.). Cette partie de militance politique est essentielle.

Comment as-tu eu le déclic pour te lancer dans un projet si ambitieux ? : Je ne crois pas au déclic, je pense plus que c’est mon parcours qui m’a construit. Ingénieur de formation, j’ai fait un tour du monde de deux ans sur le thème de l’eau en 2005. En rentrant en France, j’ai travaillé dans le secteur dit du développement durable. J’ai alors pris conscience que la nature est un laboratoire fort de 3 milliards d’années de retour d’expériences dont on doit s’inspirer. Avec une association sur le biomimétisme, nous avons fait traduire le livre de Janine Benyus, Biomimicry : Innovation Inspired by Nature [[ voir la vidéo]]. Dans ce livre, elle évoque que dans les années 40, avec une calorie d’énergie fossile on savait produire 2,4 calories alimentaires. Aujourd’hui il faut 7 à 10 calories fossiles pour générer une seule calorie alimentaire. Nous avons donc divisé par 25 notre efficacité énergétique [[en clair, « efficacité » c’est diminuer la quantité d’énergie utilisée – là, c’est l’augmenter sans cesse !]] Pour une société qui se dit développée, c’est une insulte à l’intelligence humaine. J’ai donc décidé de me former au maraîchage bio et de lancer ma propre ferme pour évaluer la viabilité économique, technique et sociale d’une agriculture qui travaille avec la nature et non contre elle. Ces expériences m’ont permis de faire des rencontres inspirantes qui ont achevé de forger mes convictions.

A quoi ressemble ton quotidien ? :  J’ai travaillé les mains dans la terre pendant 18 mois, au début de l’aventure. Maintenant, je m’occupe surtout du développement de l’association. Je touche un peu à tout, de la structuration des projets à la rédaction d’amendements pour les députés, en passant par la recherche de fonds pour nos activités ou la promotion de méthodes plus vertueuses de productions. Pour atteindre les objectifs qu’on s’est fixé il faut beaucoup d’énergie. Je suis souvent dans le train et enchaîne les rendez-vous. Actuellement, c’est un peu spécial puisque je suis en pleine promo de « On a 20 ans pour changer le monde* », le livre et le film sont sortis en même temps.

Quelles sont les difficultés auxquelles vous devez faire face ? :  Depuis le lancement de Fermes d’Avenir en 2014, nous avons dû répondre à de nombreux coups durs. Les chiffres de notre ferme « vitrine » sont en dessous de nos prévisions. La réalité du terrain est parfois capricieuse et les récoltes moins abondantes qu’espérées. On fait avec les aléas de la nature. L’un des gros challenges à venir reste le renouvellement des générations d’agriculteurs. Plus de la moitié d’entre eux va partir à la retraite d’ici 2025 [[ et vu comme ils sont traités par les ignares financiers, complètement coupés des réalités, les motivations à prendre leur succession sont au plus bas. Surtout puisque personne n’en parle. La tendance générale aux futilités, même pas joyeuses, nuit carrément à tout le monde ! Refaire le monde demande une vraie connaissance du réel et de ce qui résiste en lui…]]. Nous nous devons de profiter de cette transition démographique dans le l’activité pour provoquer une réelle transition des pratiques [[les pratiques c’est ce qui aide à mettre fin aux « instrumentalisations » des pouvoirs – instrumentalisations ce grand nombre de procédures inutiles qui ne sont là que pour égarer, décourager, soumettre, nous empêcher de communiquer « en direct » les uns avec les autres oui à nous faire jouer, dans toutes les situations, le « rôle de mineurs » (minorés et non émancipés) à vie…]].

Le métier d’agriculteur est très compliqué. Il nécessite énormément de ressources : il faut du foncier, des investissements pour assurer des débouchés, accompagner des collaborateurs, avoir une solide formation ainsi que des capacités de gestion [[ce qui peut les rendre bien plus capables que nombres de financiers « hors sol » !]]. Nous croyons donc beaucoup au concept des « payculteurs ». Ce sont des entrepreneurs qui catalysent des projets agroécologiques : ils relient l’amont et l’aval, identifient des financements, connectent les parties prenantes.

//// ………..**** >>> - C’est que le problème fondamental et très peu analysé (que nous verrons demain) est que ce sont des multinationales qui dérobent les pouvoirs des états mais sans en assumer aucuns des devoirs et des charges des services astreints envers les populations. Ces multinationales qui se disent si anarchistes oui mais uniquement envers les devoirs de paiements d’impôts ou l’utilisation trop exonérée de toutes les infrastructures justement financées par l’argent de ces autres. Sinon, envers leurs fournisseurs, clients, prétendus « égaux » ou autres, inféodés ce sont des comportements extrêmement oligarchiques qui n’ont certainement rien à voir avec le véridique libertaire…Non élus, elles se comportent pourtant comme si elles ont tous les droits et comme si elles étaient, malgré tout, plus élues que tout le monde (leur « élections » - sans doute divine, s’étant déjà installées dans un site extraterrestre inaccessible…bien avant qu’elles se soient installées ( ?! ??!!)). Le texte de ce prochain jour clarifiera ces données…

Comment-muter-?

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Quels sont les conseils que tu donnerais aux jeunes qui veulent s’engager sur ce chemin ? :  De commencer par des petites actions qui ont des répercussions directes. Consommer bio, de saison et local par exemple, et diminuer la viande évidemment. Faire du woofing (volontariat dans des fermes biologiques) pour découvrir la réalité du terrain, participer à des chantiers collaboratifs pour apporter sa pierre à l’édifice. Et pour ceux qui ont quelques économies, aider à financer les projets qui leur tiennent à cœur. Le crowdfunding fait partie des outils qui peuvent permettre aux agriculteurs de s’installer ou de se reconvertir.

Quels sont les clefs de la réussite selon toi ? : Pour faire face à un parcours semé d’embûches, il faut avoir des convictions très solides, couplées d’une énergie renouvelable et des ambitions à la hauteur des enjeux. Il faut aussi un bon relationnel et une ouverture réelle à l’ensemble des acteurs de l’écosystème. Je pense que le facteur chance joue forcément un petit peu, mais il ne serait rien s’il n’était pas accompagné de beaucoup de travail.

Si tu avais un dernier message à faire passer, quel serait-il ? : On a 20 ans pour changer le monde donc même pas découragés, on se lance maintenant ! Il y a 20 ans, Google n’existait pas, il y a 10 ans le smartphone n’existait pas, nous sommes donc dans un horizon audible à l’échelle d’une génération pour être en mesure d’embrayer sur des solutions [[ tellement plus essentielles, les solutions, que de contester clinquant mais sans jamais rien proposer de concret – ce qui (contestations sans suites déterminées) renforce les filières oligarchiques – le concret ce sont les décentralisations. Une décentralisation majoritaire met fin, par les faits, aux oligarchies et ouvre une nouvelle Commune !]]

…………. L’important, c’est que chacun agisse à son échelle dès à présent !

……..……..La décentralisation par les faits et les actes doit devenir complète…

 

 

…………(à suivre)

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> ---    ANNEXE   --- <<<<<<<<<<<<<<<<<<<

édubourse/lexique//-L'indicateur-financier

L’indicateur financier ? Pour les aveuglés volontaire de l’irrationnelle « main invisible des marchés » ce sera « l’ensemble de ratios utilisés pour connaître l'état de la santé financière de l'entreprise [[ ce qui n’a aucun sens, une « santé » hors sol – puisque sans son environnement concret ]]. Il peut s'agir de la solvabilité ou encore de la croissance de l'activité. Ces indicateurs financiers permettent à l'analyste mais aussi aux particuliers de comparer les performances d'une entreprise par rapport à son secteur d'activités, [[ énuclée de tout environnement global…]] et ainsi déceler les opportunités d'investissements [[ faux – la première chose est que cette « fausse monnaie » ne doive surtout pas nuire à la Nature qui seule contient la vie globale !]]. »…cette vision pompeuse et incroyablement arrogante est plus que FAUSSELa pensée sensée de la Nature c’est : « Nous défendons une comptabilité « en triple capital » qui intègrera, en plus de l’indicateur financier, deux nouvelles variables que sont le capital naturel et le capital humain »…donc plus aucun coût caché. Lorsque le « hors bilan » ne couvre surtout pas les ratios rationnels qui permettent de savoir vraiment !

 

Conséquences-des-solidarités-actives-.

La solidarité pour sauver la Terre c’est être adulte - rester capitaliste demeure, alors, un enfantillage pleinement irréaliste

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

détruire la Terre = devenir l’ennemi de soi-même. Vouloir s’exterminer sans raison…

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Le graphique qui prouve que les U.S.A sont en train de devenir un pays du tiers-monde - et que la France ne doit surtout pas suivre ce pire des modèles possibles.

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La Nature et sa pensée sensée ?
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l'anti-modèle : ce que nous devons quitter et vite!

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Une ferme d'avenir...

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Jeunes, nous pouvons…Faites alors !

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Janine Benyus le biomimétisme en action – sous-titres en français. Dans le livre « Biomimicry : Innovation Inspired by Nature », elle élucide que, dans les années 40, avec une calorie d’énergie fossile on savait produire 2,4 calories alimentaires. Aujourd’hui il faut 7 à 10 calories fossiles pour générer une seule calorie alimentaire. Nous avons donc divisé par 25 notre efficacité énergétique. Pour une société qui se dit développée, c’est une insulte à l’intelligence humaine.

Arthur Keller est ingénieur en aérospatiale de formation. Il est aujourd’hui consultant et conférencier sur les questions d’énergie, de climat et de transition écologique. Il a notamment été le coordinateur de la commission environnement au parti Nouvelle Donne, et il est membre du conseil d’administration de l’association Adrastia, qui travaille sur l’anticipation du déclin de la civilisation thermo-industrielle.

Conférence de Michka Mélo : Un biomimétisme engagé.

Aux générations futures : nous voulons au moins pouvoir leur dire que nous avons fait de notre mieux.

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