La résistance coOpérative ?

Notre individualisme est, en fait, une dépossession. Une grande dépossession. Une désocialisation plutôt suicidaire vu qu’elle se présente telle une perte d’initiatives, un amoindrissement de perspectives de vie, un dru rapetissement des vécus. Le poids serait-il trop lourd qu’il vaudrait mieux être toujours plus seuls (l’individualisme n’est pas l’isolement complet mais le resserrement auprès d’un petit groupe) ? Oui cet individualisme devient la pire des dépossessions. Puisqu’il ne peut plus que subir et recevoir des coups toujours plus injustes…sans jamais répondre – sauf à résister. Socialement résister justement.

C’est que le capitalisme n’est plus qu’une folie qui ne se cache plus : beaucoup trop de dividendes qui surpassent trop les investissements, qui, bien plus que tout migrant spolié, viennent voler l’argent du travail dans les poches des oeuvrants. Puisque ce sont les non-résidents qui nuisent le plus aux pays par leurs pillages financiers (et que les réfugiés, vrai nom des migrants, sont aussi des…résidents qui subissent, eux plusieurs fois, les spoliations de la finance internationale). Pour sa folie meurtrière du faux profit (puisque ce profit est un coût…caché !), il a quitté tout ce qui reste rationnel raisonné et raisonnable : c’est un frénétique égaré ! Le capitalisme en abandonne toutes les populations – s’entêter dans l’individualisme c’est beaucoup trop le seconder, l’épauler et l’aider dans ces actes inadmissibles. Abandons insensés de la santé des peuples (l’inaction contre la pollution de l’air des villes coûte des 3 fois le poids des minimas sociaux pour les pauvres, ce qui est vraiment une folie inexcusable – agir économiserait tant !)…les pesticides, comme le nom le souligne, sont les pestes de nos santés. Et nos corps et les sols méritent d’en être débarrassés et tout de suite. Lorsque la liste est immense des désastres du capitalisme : etc. Bon, l’individualisme est plus que malsain dans une telle situation globale. Il serait sain si, et seulement si le capitalisme était sain, sensé. Il ne l’est pas – l’individualisme dépossesseur est donc la pire des solutions…individuelles. Et, de ce fait, se défendre, ferme sur sa quille, et tout faire pour remplacer à 100 % le capitalisme ennemi de tous (oui même des capitalistes) demande d’abandonner une bonne partie de l’individualisme. Et de se regrouper volontairement. Ici, nous allons montrer et démontrer les vertus de l’esprit coopératif. Esprit qui remporte des victoires un peu partout dans le monde. Or ces victoires patentes appartiennent à ces plus de 80 % d’informations jamais citées, analysées ou reliées entre elles. Si nous voulons rester adultes et voir clair il nous faut faire ce véridique effort de nous faire accéder au maximum d’informations soit tellement plus que…20 %. 20 % réservés à l’impossible compréhension des individualistes…perdus (quels mépris de fond à leur égard des pouvoirs !) ! Donc ? Qui a la chance insolente de suivre ce blog, d’y avoir accès ou d’en être tenu.e au courant est, déjà, en partie sorti.e de l’ornière. S’il n’en faisait nul usage, ce serait vraiment trop con, n’est-ce pas ?

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Déjà, en ce qui concerne la transition énergétique, aucune hésitation, ce sont les…coopératives de citoyens qui semblent plus efficaces que les logiques (les illogismes plutôt) des marchés. Normal, si nous réfléchissons à ce que d’être obsédés uniquement par ses prétendus profits, ne permet pas de vraiment se préoccuper de rendre service à absolument tout le monde. Une coopérative le peut tout à fait, par contre :

Essor-des-énergies-renouvelables-:-coopératives-et-citoyens-semblent-plus-efficaces-que-les-prétendues-logiques-des-marchés

« Où en est la France dans le développement de ses énergies renouvelables ? La loi adoptée en 2015, censée donner l’impulsion, fixe un objectif de 40 % dans la production d’électricité d’ici 2030. Nous en sommes encore loin ! Seulement 20 % de l’électricité hexagonale est actuellement issue des « renouvelables ». D’autres pays européens font pourtant bien mieux, grâce à des politiques volontaristes ou à l’encouragement d’une plus forte participation citoyenne, via des coopératives notamment. Ce modèle est pourtant mis à mal par l’idéologie du marché [[…idéologie qui, de toutes façons, se montre très déclinante, sa crédibilité est en chute libre. Les classes qui se prétendent dominantes, en ne se comportant jamais selon les devoirs inclus dans cette autoproclamée supériorité, auront beaucoup fait pour disqualifier cette si irrationnelle idéologie des marchés ! ]].

« Make our planet great again » : du slogan présidentiel à la réalité, il reste encore un vaste monde. Car la France reste vraiment à la traîne dans la mise en œuvre d’une véritable transition énergétique. À ce jour, seulement 16 % de la production énergétique française provient des énergies renouvelables, une proportion qui monte à 20 % en ce qui concerne l’électricité. Les quelques mesures annoncées ce 29 juin en faveur du photovoltaïque ne suffiront pas à rattraper l’immense…écart qui se creuse avec nos voisins européens.

La moyenne européenne est bien au-dessus, à 30 % d’énergies renouvelables. Dans le détail, la France n’est que le quatrième pays d’Europe en matière d’éoliennes (plus de 10 000 mégawatts de puissance installée), derrière l’Allemagne (44 000 MW), l’Espagne (23 000 MW), et la Grande Bretagne (13 000 MW). En matière d’électricité photovoltaïque, la France arrive aussi quatrième du continent. En Allemagne, plus de 36 % de l’électricité consommée en 2017 provenait des énergies renouvelables, un taux qui dépasse les 50 % au Danemark, le champion européen de l’énergie éolienne qui vise le 100 % renouvelable pour l’électricité en 2035. Le Portugal, quant à lui, vient d’atteindre les 66 % d’électricité issue des renouvelables. En Autriche, ce taux atteignait les 70 % dès 2013, notamment grâce à l’hydroélectrique. »…Alors pourquoi un tel retard concret qui se prend les pieds dans des déclarations fracassantes…donc fracassées ?

« Pourtant, coopératives et projets citoyens peuvent jouer un rôle moteur dans la transition énergétique. L’Allemagne, où plus d’un tiers de l’électricité produite en 2017 vient des énergies renouvelables, compte près d’un millier de coopératives citoyennes, qui regroupent 200 000 coopérateurs (...) [[Le meilleur modèle actuel demeure le Danemark, où les installations éoliennes sont obligatoirement « participatives » ]] L’exemple le plus intéressant serait-il à rechercher du côté du Danemark ? Dans le royaume scandinave, les coopératives citoyennes font aussi partie intégrante du modèle de transition vers une électricité sans charbon et sans nucléaire. Déjà en 1996, le pays comptait plus de 2000 coopératives citoyennes d’énergies renouvelables. Une loi adoptée en 2008 oblige même à ouvrir au moins 20 % des parts des installations éoliennes en priorité aux citoyens habitant à moins de 4,5 kilomètres des turbines. » Ce qui rend vraiment inséparables la participation citoyenne à travers les coopératives et l’urgente transition énergétique. Sinon, tout démontre que la technocratie européenne ne sait que tout saboter, détruire notre futur commun. Contre ces irréalistes définitifs, il ne nous reste qu’à nous grouper et regrouper…

La coop de la Terre n’est toujours pas inventée… ? Vivre sans payant sans intermédiaire sans parasites déloyaux juste en responsabilisant les humains ?  Opération de coOpérations partout. Tout le monde fait la même opération nous sommes multipliés infiniment des autres…la puissance collective ne peut qu’abattre tous les intérêts séparés, et inexplicablement, uniquement égoïstes : quel serait donc l’intérêt de rouler pour la cupidité sans altruisme d’humain régressifs, qui font le chemin si à l’envers ? Nous voici bien dans un nœud d’interrogations jamais posées…donc ça brûle de transformations hardies et qui vont passer à travers toutes les murailles des égoïsmes devenus vraiment fous…Ayant déjà perdu mais ne voulant pas le savoir !

La coop de la Terre n’est toujours pas inventée…Travail & environnement : « Il n’y a pas d’activités sur une planète morte ». Comme l’explique Bert De Wel, représentant de la CSC à la Coalition pour le climat, une base sociale solide est indispensable pour réaliser les grands changements nécessaires à la transition climatique.

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Entrons encore mieux dans tout ce tissu régénératif…« Pueblo a Pueblo » est une initiative qui combat la guerre économique qui continue d’affecter les Vénézuéliens et leur accès aux denrées alimentaires. L’idée est de mettre en place les différentes étapes du processus (production, distribution et consommation) afin d’éliminer les intermédiaires et ainsi apporter les aliments du pueblo au pueblo de la ville. Nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec Martha Lía Grajales et Ana Graciela Barrios, membres de la coopérative Unidos San Agustín Convive où cette expérience est actuellement à l’œuvre, et d’assister par la suite à une assemblée de la coopérative ainsi qu’à une journée de consommation.

Pueblo-a-Pueblo-tout-se-fait-avec-amour

San Agustín est une paroisse civile dont le territoire débute près du centre de Caracas et s’étend jusque dans les collines. De majorité afro-descendante, elle est réputée pour sa musique et sa richesse culturelle, et plus récemment pour son téléphérique qui relie le quartier au centre de la ville. Cependant, notre visite à San Agustín est motivée par une autre « tradition » : l’organisation populaire. Au milieu d’une guerre économique qui frappe durement l’accès aux aliments, la communauté de San Agustín s’est intégrée au programme Pueblo a Pueblo à travers la coopérative Unidos San Agustín Convive. Cette initiative est née des paysans de l’ouest du pays, et Martha la décrit de la façon suivante : « L’idée est de créer des processus organisationnels et politisants dans une logique alternative au capitalisme. Des processus autour des paysans, qui puissent intégrer une logique de classe, au sein desquels les problèmes communs relatifs à la production puissent être abordés et qui permettent de trouver des solutions dans une logique, elle aussi, commune [[ soit de ne plus permettre à la non-pensée capitaliste de semer sa corruption conceptuelle partout. Disons, qu’ils ont vraiment commencé par le bon bout…]]. »

Certains de ces problèmes ont à voir avec la dépendance en semences importées, accentuée en cette période où le gouvernement se voit obligé de réduire les importations. Ainsi, les paysans ont développé un processus de sauvetage des semences locales. Dans l’idéal, c’est une agriculture plus responsable envers la terre qui est recherchée, avec des cultures moins toxiques. Ce qui est particulièrement important, souligne Martha, c’est la planification de la récolte, afin que les paysans ne soient pas si vulnérables aux variations du marché [[en fait, ce sont les marchés qui sont…parasitaires, donc sur le fond dépendants – ce qui rend tellement plus facile de s’en passer !]]

En plus de l’organisation au niveau de la production, il est nécessaire de faire la même chose du point de vue de la distribution et de la consommation, afin d’éliminer les intermédiaires de la chaîne productive, comme l’explique Martha : « Ce que nous avons fait c’est générer le dernier maillon de la chaîne productive, la consommation, de manière organisée,[[ le capitalisme c’est foutre le désordre partout, semer des crises et désorganiser la société : faire tout le contraire c’(est entrer dans son éviction réussie ]] en mettant l’accent sur le fait que ceci doit être la mise en pratique d’une expérience socialiste. Nous pouvons ainsi assister à la mise en valeur des processus démocratiques, des assemblées horizontales, de la distribution équitable des aliments et des processus publics définissant les responsabilités et les évaluations des journées. En cas d’excédent concernant une journée, celui-ci est réinvesti dans la coopérative [[aucun bénéfice…séparé ne peut donc s’immiscer dans ce cercle vertueux]]. »

L’assemblée préparatoire de la consommation est conduite par Martha, qui maintient un équilibre a priori impossible entre permettre à tous de s’exprimer et de se sentir à l’aise, et avancer en même temps dans l’agenda afin que la réunion ne dure pas des heures. Parmi les 35 participants, seulement quatre sont des hommes et Martha s’adresse au groupe en appelant les participants « les filles » ou « compañeras » [camarades au féminin] sans que cela ne dérange personne. » Voici qui nous parle puissamment : reprenant tout le processus productif et s’attachant à « organiser » la consommation, l’éviction de toute corruption capitaliste (ces ennemis clairs de la société) s’en montre largement facilitée. Pour la France, nous préconisons un grand service public de l’Alimentation avec le point de départ : « la nourriture est sacrée et nul ne doit en tirer des bénéfices »…ensuite la qualité et réintroduite et l’émolution (évolution par émulation de tout le monde) s’y trouve structurellement facilitée…

Autre accélérateur de mutations ? Mutualiser les bonnes idées… « Patrick Baronnet en est convaincu : pour vivre heureux et s’accomplir, l’homme n’a pas besoin de grand chose. Il lui suffit juste de renoncer à certaines tentations pour se concentrer sur ses réels besoins en toute autonomie. Un exemple (voir aussi la seconde vidéo) ? L’eau. Plutôt que de raccorder sa maison au réseau de distribution, il a opté voici 37 ans pour l’eau de pluie. Un petit investissement qu’il ne regrette pour rien au monde.

Sous-les-pavés-la-Terre-Patrick-Baronnet-et-l'eau-de-pluie

La citerne qu’il a installée à l’époque lui a coûté 1 500 €. Et, depuis, il n’a plus dépensé le moindre centime : son installation lui permet d’alimenter six personnes. Regardez (vidéo extraite du documentaire Sous les pavés, la terre.).

>>> - La coop de la Terre n’est toujours pas inventée…cela ne saurait plus tarder… « Depuis 22 ans, Philippe Frutier, pilote professionnel, photographie la terre des Hauts-de-France vue du ciel. Suite aux orages et aux pluies torrentielles de ces derniers jours, il s’est envolé dans son avion pour documenter l’état des champs, et le constat est amer : d’immenses coulées de boue. Du « jamais vu » selon lui. Il nous en dit plus dans un entretien qu’il nous a accordé. C’est le constat d’un désastre. Grand amoureux de la nature, Philippe Frutier, originaire de Boiry-Saint-Martin, dans le Pas-de-Calais, ne peut cacher son désarroi. S’il s’inquiète des observations aériennes qui suivent, il ne cherche pas à pointer du doigt mais souhaite alerter le grand public et les élus grâce à ses clichés.    

Philippe-Frutier-pilote-photographe-:-dangereuses-coulées-de-boue 

***********Avec-Crispr-cas9-comprendre-et-agir-?

L'équipe menée par Jian-Kang Zhu, professeur à Purdue et directeur du Centre de Shanghai pour la Biologie du Stress chez les Plantes, a utilisé la technologie d'édition des gènes CRISPR/Cas9 pour introduire des mutations dans 13 gènes associés à une phytohormone, l'acide abscissique, connue pour jouer un rôle dans la tolérance des plantes au stress et l'inhibition de la croissance.

Rappelons que CRISPR/Cas9 est une technologie [[ qui évite tous les OGM ]] dont la mise au point doit beaucoup à l'Américaine Jennifer Doudna et la Française Emmanuelle Charpentier (expatriée... l'atmosphère n'étant pas propice à cette forme de recherche en France…trop lobbyiste). Elle permet notamment d'introduire une mutation ponctuelle, ciblée, dans un gène. »

Lobbyisme toujours aussi illégal ? Plus encore…Donc, puisque les dominants néolibéraux vont dans le sens diamétralement opposé et peuvent s’appuyer sur une démocratie déséquilibrée et captée pour perpétuer la fuite en avant productiviste qui menace les équilibres sociaux, environnementaux et même moraux (voir la claire folie transhumaniste, nouvel esclavage par le haut..), les partisans de la sobriété et de l’égalité pourraient être quelque peu désespérés. Ceci n’est pas sans lien avec le développement, en grande partie justifié, des craintes d’effondrement civilisationnel incarné dans les thèses de la collapsologie [[ c’est faire passer l’effondrement des autoproclamés supérieurs, mais qui agissent toujours inférieurement, pour l’effondrement global. S’organiser justement c’est arracher de leurs griffes irresponsable le maximum d’humains…ce qui ne ressemble assurément pas à un effondrement !]].

A-la-conquête-des-esprits-du-plus-grand-nombre

Ce n’est pas, comme le disent les collapsologues les plus motivés, une raison pour ne pas se battre et agir, pour retarder/atténuer/empêcher le malheur qui vient (et a commencé à se manifester). C’est le choix fait depuis une décennie par les membres du mpOC et qui porte peu à peu ses fruits. Alors que nous étions isolés et incompris il y a 10 ans, nous sommes aujourd’hui acceptés et parfois même relayés. Nous poursuivons donc cette « croisade » anti-illimitation et pensons que le plus urgent est de convaincre au-delà du petit quart de la société qui accepte la lucidité et ose le courage. Osons les grands mots : nous et tous ceux qui sont de ’’bonne volonté’’ voulons reconquérir l’hégémonie culturelle aujourd’hui aux mains des puissances d’argent [[ plus facile que l’on croit : afin de le vérifier, il suffit de…commencer !]] Pour ce faire, nous sans nier l’utilité de limiter les dégâts en choisissant les moins mauvais au plan de la politique institutionnelle, le mpOC continue à privilégier 2 axes : la contagion dans les esprits grâce à des médias libres et indépendants du capital et les mobilisations citoyennes heureusement toujours plus nombreuses et qui commencent à se mettre en des réseaux transversaux. »…en des mots très normaux qui choisissent les décentralisations à fond au lieu du centralisme auto-étouffeur donc suicidaire ! Voici qu’en peu de mots, avec des images conceptuelles qui s’agitent bien, et une synthèse limpidement menée – nous voyons un futur commun clair, où nous sommes immensément présents. Et ayant tout repris en main. Essayez de prouver et faire éprouver l’inverse !

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Bougeons bourgeons…Les prétendues utopies serait ce qui fonctionne, actuellement, le mieux ? Normal, puisqu’elles ne sont pas atteintes de la grave folie de l’inertie partout : ne faisons absolument rien, repoussons tout à plus tard et tout ira bien mieux, chuchotent les grands corrompus. Alors que cela rend tout bien pire. Ces déloyautés de faux libertaires se voit donc pulvérisées…soyons utopistes : oui faisons-le tout de suite ! « Ardelaine est une filature coopérative née en Ardèche dans le sillage de mai 1968. Autogestion, polyvalence et « ménagement » [[ménagement c’est ne pas faire de l’Aménagement du territoire un déménagement de celui-ci ]] sont les principes qui ont fait son succès. C’est désormais une référence dans le secteur de l’économie sociale et solidaire [[ disons que les faux labels des médias d’argent sale sont exactement les inverses de la résistance coOpérative ! Et cette résistance commence de mener le vrai monde…]].

Autogérée-et-coopérative-Ardelaine-tisse-des-liens-depuis-50-ans

Sur la façade de la filature, une pancarte : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Comme un étendard brandi par une poignée d’idéalistes réalistes qui ont su créer, au fil des années, un modèle économique, écologique, social, convivial. Bienvenue à Ardelaine, une entreprise, mais bien plus que cela. La filature est installée à Saint-Pierreville, un village de l’Ardèche perché au-dessus de la vallée de l’Eyrieux, à une heure de route de la Voulte. La vue est spectaculaire. Organisée en société coopérative (Scop), l’entreprise compte cinquante salariés dont la moitié habite dans le village de 530 habitants. Tous les salariés sont payés au Smic et se partagent une vingtaine de métiers différents. Le travail se fait à la main dans les ateliers. Ici, on fabrique de la literie en laine, des matelas, des couettes, des coussins, des surmatelas mais aussi des vêtements. Ardelaine, contraction d’« Ardèche » et de « laine » mais aussi d’« art de la laine », travaille avec 200 éleveurs de moutons. Soixante-dix tonnes de laine sont utilisées chaque année pour un chiffre d’affaires de deux millions d’euros par an. Alors bien sûr, un matelas Ardelaine ne coûte pas le même prix qu’un synthétique de chez Monsieur Meuble. Mais on peut le garder à vie, le faire recarder tous les dix ans, et les couettes restent douces et chaudes pendant vingt ans ! »…C’est que la Qualité donne vraiment envie, le désir s’allume devant de sacrés bons objets qui pourront nous accompagne si longtemps. La vulgarité de la quantité nauséeuse (comme si nous étions des indigènes qui se peuvent gruger par du brillant de pacotille) n’intéresse plus du tout. Tout mais tout parait donc bien…se rassembler afin de se lancer dans une nouvelle civilisation. Tenez donc de prouver l’inverse !

Autre exemple de super résistance réussie ? « Unilever voulait fermer l’usine de thé “Lipton” du sud de la France. C’est alors que ses salariés l’ont occupée. Après 1336 jours de lutte, ils ont gagné. Depuis 2014, ce sont les ouvriers qui dirigent l’entreprise de façon autonome.

Le-temps-des-utopies-1336-jours-de-lutte-!

Extrait du film allemand “Le temps des utopies”, des Scop-ti (coopérative française de thés et infusions). Il a fallu quatre ans de lutte contre la multinationale Unilever avant que les ouvriers de Fralib n’arrivent à sauver leur usine et leurs emplois. Dans le contexte actuel d’économie financiarisée, les Fralibs, 40 ans après les LIP, se lancent dans l’aventure d’une nouvelle expérience d’autogestion. Pour que l’humain soit au centre de l’entreprise. Ils fabriquaient les sachets de thé et infusions Eléphant, ils créent désormais leur propre marque: “1336”; soit le nombre de jours de lutte, entre la fermeture de leur usine en septembre 2010 et la signature de l’accord de fin de conflit en mai 2014, qui leur a permis de lancer la coopérative.3…Nous ajoutons la vidéo «Les coopératives, un succès français ! Panorama des entreprises coopératives, 2018 » (vidéo que s’empressent de ne pas faire connaître les médias vendus afin de…décourager et démotiver tout le monde – ce qui démontre à quel point ils se préoccupent de…l’intérêt général, oui du bien-être de tous)….plus notre propre bilan sur les réussites des décentralisations dont il n’est jamais parlées dans la presse antinationale (subventionnée par tout le pays pour n’être que…parisienne)    Relocaliser-l'économie-le-bilan.         pour nous regonfler à 10 000 % de courage et de lucidité…

…c’est que nous sommes bien en train de les mettre tous dans les cordes !

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> ---- ANNEXES  ---- <<<<<<<<<<<<<<<

Ces-lobbys-qui-tuent-la-planète      Ce qui ne se fait pas du tout. Or ?....

La-Commission-européenne-passe-90-%-de-son-temps-avec-les-lobbys-industriels

Bougeons bourgeons….

COOPÉRATIVES-CONTRE-CAPITALISME-des-utopies-concrètes

La bureaucratie est le seul système où les individus sont coupés des conséquences de leurs actes. Or la bureaucratie c’est le privé. Et le privé rendu fou par le lobbying – ce grave interventionnisme qui fausse toutes les élections, qui vole le vote des lois afin d’enlever tout risque à qui fait tous les bénéfices mais en reportant ces risques sur qui va devoir payer la note (donc double risque comme double peine, seulement pour les pauvres et les moyens, les seuls contribuables du pays) et qui ne participe jamais à aucune décision de « recels »…qui leur fourgue tous les risques réels. En fait, le capitalisme c’est les fonctionnaires privés qui ne prennent plus aucun risque. Et qui exhibent un anarchisme pervers : seul une puissance publique qui pourrait demander Justice se voit expulsée du Droit (et ce grâce aux courants libertaires qui ne veulent pas aller voir ce qui est fait de certaines de leurs justes visions : inversées et utilisées comme matraques contre la société). Mais dès que ces sans état falsificateurs ont du pouvoir politique direct c’est matraques et Crs répression et censures mensonges et calomnies (tout leur pratiques…angéliques)…soit du Sur État, faut arrêter de déconner !

Une seule preuve mais massive de tout ceci. Le lobbying est intense afin d’éviter tout CONTACT AVEC LA JUSTICE pour quelque motif que ce soit. Entrisme, légalité, légitimité, véracité des faits, etc.…c’est donc le « choix unique » des injustices partout et surtout pour les pauvres.  Et qui agit en général ainsi ? Les GANGSTERS qui fuient sans cesse la justice. Les capitalistes Cac 40 agissent bien en les plus grands truands de l’époque. Ils sont justiciables de milliers d’années de prison. Tout nous y contraint à les y placer en…otages de leurs propres mentalités d’hyper perversités…ils changent cette mentalité la prison s’ouvre : pour une fois ils feront du délobbying…

Alors qu’internet relie au monde entier, faut encore des preuves mais dans un cube d’un mètre sur 1. Là où se croisent les 2 yeux. Seulement voir n’est pas savoir. Nous parlions d’interactivités ? Ce qui excède toutes les limites réductionnistes, surtout « ces » limites falsifiées : impossible de montrer quoi que ce soit de « significatif » (sauf comme traces qui trouvent leur sens dans plusieurs « ailleurs » réunis) dans un espace aussi restreint. Mais nous ne fuyons sûrement pas la nécessité de prouver : nous avons agi autrement, voilà tout. Oui chaque texte, dans sa confection, relie des multiconversations (plusieurs conversations à la fois). Soit traces de mails, liens à ouvrir, discussions en cours, textes commencés à être rédigés et, parfois, renContres. Intervectés ici ? Entendu un humain rajuster ceci : « si vous voulez vous voir vieux, suffit de se reporter aux décideurs, politiques ou autres »…Bon, très bien vu…ils sont plus out que nous pensions, des poussières de greniers, jamais rien d’actuel, jamais…ceci germe, pousse et rencontre la réflexion…oui, effectivement ils parlent vieux, leurs concepts se démontrent archi passéistes, dépasséistes dépassés, ils ne disent que du vieux, se comportent en vieux, ont des émotions si anciennes. Oui ils ne peuvent que nous rendre vieux (même s’ils/si elles ont 20 ans…même 30 ans). Si vieux et unidimensionnels !

Et donc ? Par contrastes rafraichissant, les valeurs « traditionnelles » (qui ont tellement de siècles) nous rajeunissent car elles RESTENT inaltérables. Jeunes. Solidarités ou coOpérations tiennent la route face au capitalisme toujours plus flétri, pitoyable, qui aura menti et triché sur tout, qui aura prouvé qu’il ne résoudra rien mais ne fera qu’accumuler les problèmes. Puisqu’il le fait déjà et à fond et que sa mono-maniaquerie se durcit dans le tout-chronique. Un portrait de Dorian Gray encore plus insulté par les traces hideuses de leurs corruptions quotidiennes. Le coOpératif est jeune, toujours aussi jeune. Tous associés, associés qui font associé-té, société d’associé.e.s forgée pour durer sans besoin de vanteries…rajeunissons nos cœurs et nos esprits…soyons mutuels, donc mutualisés (des autres mutualisés, soit visiblement multipliés des autres…)…

……………………Bref mutons. Mutuels c’est muter ensemble, ensemblables…

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que le si vaste encouragement nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu