Le capitalisme ne serait plus qu’une abstraction égarée dans ses abstractions ?
Tout comme la diction du dictionnaire se déclenche simplement en rendant (de nouveau) tous les mots physiques. Incarnés, vécus par les corps, sonifiés. Soit les aliénations ne sont plus que des jambons suspendus en l’air tout abstraits de nos sociétés. Le défaut de s’abstraire c’est que nous ne participons plus à rien, nous nous mettons en retrait de retraites fuyardes, hors du coup, hors sol et hors des processus de…concrétisations. Oui les concrétions du concret, vous connaissez ? Et les essences des abstractions, avec indiscrétions, comment vous les nommez ? Ah oui des riens vaporeux, nous riait le camarade Shakespeare. Nous voici, bien maitre du processus, du work in progress qui va expulser de nos vies si assoiffées d’être saines…la putréfaction insalubre du capitalisme. En 2018, il n’est plus représenté que par des « abstractions mortes » : comment pourrions-nous vivre avec cela ? Comme nous l’avons déroulé, dès le début du blog, nous nous attachons à un récit fidèle de ce qui se passe « concrètement », sur le terrain terre, et surtout pas dans les idéologies. Nous aimons tant la raison et le réel, eh oui ! Tout le monde peut vérifier nos assertions et démonstrations. Et tenter de démontrer qu’elles sont fausses ! Tiens, sauf que dès que c’est très difficile, il n’y a plus foule de candidats. Aucun des faussaires des médias ne tient donc la route ? On le dirait bien – donc nous le disons…oui comme ceci…
Nous parlons d’un monde sans esprit et sans issue : « La « dynamique d’accumulation » capitaliste suit sa pente vorace, métabolisant tout ce qui lui résiste, recyclant à l’infini ce qui le conteste – et nous coupant toujours davantage du monde comme de notre réalité en nous maintenant sous le joug de ses « abstractions mortes ». Que nous est-il arrivé ? Comment nous sommes-nous retrouvés incarcérés à ciel ouvert dans cet « univers aplati de l’abstraction économique » ? D’abord, l’industrie et la mécanisation ont défait « travailleurs », artisans, éleveurs et paysans de leur savoir-faire de métier. Depuis la « révolution industrielle », les « vrais gens » font tourner la totalité de leur vie « autour du travail abstrait et de la marchandise » [[ et toujours sans jamais rien de sérieux en échange, sans jamais de compensations à la taille des lourds sacrifices, sans jamais rien…en donnant-donnant. Alors, qu’une position de refus simple et net, gaînée de colère froide (celle qui ne nuit pas au corps), avec un dégoût tel pour les défenseurs si effondrés de ce système de mort – ce qui dissuade d’endosser la moindre de leurs pensées perverses ou de leurs comportements insensés – oui cela c’est du tangible, de la joie de vivre au ras des pâquerettes, de se payer sur le dos de la bête, les pieds bien sur terre et si nous rouspétons ce n’est que pour l’acte salubre de péter, le cul bien tranquille…qui se soumet en perd beaucoup d’excuses !]]. L’ «expansion insensée» du « travail abstrait » au service de « l’abstraction économique » a organisé « le saccage des conditions de vie » d’une multitude de travailleurs aliénés - sans oublier les exclus de l’emploi salarié. Combien d’emplois zombies privés d’âme (bullshit jobs) vident le temps de vie de chacun de tout sens, produisant burn out et désespérance ? « Si un métier absorbe davantage de valeur sociale qu’il n’en produit pour la collectivité », sa nocivité est avérée…[[Plus de nocivités sociales du tout, oui, des civilités !]].
Privation-de-monde-privatisation-du-monde concernant de Renaud Garcia, « Le sens des limites – contre l’abstraction capitaliste », mars 2018.
Le monde se porterait-il plus mal sans conseillers en défiscalisation, lobbyistes, experts en télémarketing, créateurs de start-up, traders ou concepteurs de gadgets aussi addictifs que toxiques [[ c’est cela le monde des « sans », celui de la salubrité publique enfin retrouvée…notons que, dans nos têtes et dans nos cœurs, nous avons mis, depuis si longtemps à la poubelle, ces…déchets déchus. La répulsion déterminée de personnages comme nous portera un jour ces fruits, c’est logique. C’est impossible autrement. Au sens métaphorique fort, nous « vomissons » ce système d’avilissement illégaux !]] ? Et nous voilà soumis à un « projet de recomposition intégrale du monde par l’ingénierie » - à la monstrueuse chimère d’un « monde humain hors nature, dont le symbole « écologiquement pur » est « l’agriculture verticale », la tour urbaine où seraient produits, en circuit fermé, à la fois la viande in vitro et les végétaux en culture hors sol »…
Professeur dans un lycée aux prises avec le « réel », Renaud Garcia rappelle toute la contradiction entre « richesse matérielle, que produit n’importe que cultivateur engagé dans une activité autonome et orientée vers la subsistance, et la richesse abstraite, évaluée par l’argent, évaluée par l’argent, qui seule importe [[ mais n’exporte jamais rien d’humain, jamais – il suffit d’entendre « son » slogan si bien formulé par Adam Smith, soit « Tout pour moi et rien pour les autres »…pour bien appréhender que nous avons affaire à un monstre de perversion narcissique. Bref, le système abstrait est si loin des humains que plus aucun humain ne doit permettre que ce pire des systèmes pose encore sa main invisible (visible elle soulèverait bien trop de répulsions, c’est limpide ! Il faut qu’elle se planque dans la plus touffue des métaphysiques…) sur qui que ce soit. Oui, il faut protéger même les capitalistes perdus du capitalisme !]] dans le cadre d’une économie de croissance ». La puissance vitale des individus se retrouve stérilisée, la condition humaine est humiliée et confrontée à un code de d’anti-santé physique et mentale définissant celle-ci comme « dépassement de la norme et performance individuelle extrême » [[ cequi, à seule relecture, ne veut…strictement rien dire...]]. Chacun serait-il réductible au fonctionnement d’une « petite machine de gestion de plusieurs capitaux agencés, dont le « capital santé » constituerait la pierre angulaire » [[ si ridicule – ses abstractions piteuses et miteuses face à qui aime la vie, ne font que susciter le franc rire…comment peut-on rester aussi minables ?, transportent ces rires sains ! Assez de ces bouffonneries extraites-abstraites !]]?
L’ardente « nécessité ( ?) d’élargir toujours davantage la « base matérielle de l’expansion de la valeur [[ et pourquoi pas de la vapeur, l’araignée au plafond ?]] » creuse la fosse commune d’une espèce écartelée entre « faim nue » et une insatiable « faim repue » - et nous « prive de monde »…[[Seul le privé peut nous priver (c’est sonifié dedans !)…le privé nous vole nos vies – nous sommes dans notre absolue légitimité de l’expulser des espaces…publics. Sa liberté ne s’est pas arrêtée où commencent les nôtres, ce sont donc eux (les incontrôlés dérégulés) qui doivent être…arrêtés, oui mis en prison, foutus en cellules, stoppés net. La liste de leurs délits occupera plusieurs années ! Pendant lesquelles ils/elles ne pourront plus nuire…]].
Aliénation technologique et simulacre machinique : Cette « accumulation de valeur » s’appuie sur l’accélération technologique avec ses promesses d’ « augmentation » généralisée et sur une ubérisation sans frein dont les « nouveaux jobs » (consultants en mobilité, coursiers connectés, etc.) mènent à un « approfondissement particulièrement insidieux de l’exploitation sous une forme à la fois consentie et permanente, brouillant définitivement la limite entre travail et non-travail ». Bref, le « capitalisme postindustriel reconduit et élargit, par sa fusion avec les technologies numériques, la mobilisation de la vie au travail requise par l’impératif d’exploitation » [[ ce qui se présente tel un délire monomaniaque que l’exploité doive faire le plus gros du labeur de sa propre exploitation, les hurluberlus en face n’ayant plus la force de l’exploiter en direct…c’est ceci leur infini point faible : NE PLUS CROIRE à leurs paroles, considérer leurs ordres comme désordres, les examiner comme de graves malades et changer la société sans plus jamais leur demander leur avis. Ou n’en point tenir compte s’ils/ si elles l’émettent : ils ont assez prouvé qu’ils avaient perdu toute raison. Raison raisonnante comme raison raisonnable. Reprenons de leurs mains malsaines toutes les manettes. Et fin festive de leur règne pire qu’absurde (aucun héritage ne peut être aperçu dans ce flot de délires…enfantins !)…]] .
L’addiction à des « objets-système » comme le « smartphone » confronte sans cesse les individus à des « forces objectives et neutres : objectifs chiffrés, algorithmes, tableaux [[oui mais qui ne…concernent pas, qui ne peuvent nous concerner et rien ne peut modifier les trajets de ceux qui sont sûrs de ne pas être…concernés]]» - et ce, dans une surenchère [[ à toute surenchère tu surenchéris, faisant retrouver au mot son élan viral, tu sur en chéris, enchérir c’est en chérir, dans ce, contexte et les sentiments foutent K.O. les affaires trop mélangées…]] sans limites leur faisant produire du travail gratuit [[ tant que nous rions, nous ne travaillons plus : c’est ainsi, il n’y pas l’exemple d’une tyrannie sans fondement qui ne s’écroule sous les rires de bons cœurs…pour ce système piteux et miteux, il en ira exactement de même !]] et donc de « la valeur » au seul profit de multinationales prédatrices. C’est ainsi qu’à la « croisée de l’exploitation et de l’aliénation, ce qui est mort se substitue peu à peu à ce qui reste en nous de vivant »… Bien évidemment, le « travail abstrait et la croissance économique qui lui est liée ne sont en rien des formes nécessaires de l’existence humaine [[ en conséquence, nous nous en passons…il faut bien commencer par le premier pas…donc nous venons de franchir tous les premiers pas…ces non-nécessités sont en train de disparaitre de nos cœurs…ces chimères ne peuvent que…s’évaporer ! Pas tchao, pantin…]] »…
D’autres rapports aux autres et à soi sont possibles voire souhaitables ainsi bien évidemment que d’autres conditions d’existence, délivrées de la mortifère chape d’algorithmes et de procédures standardisées…S’il n’y a pas de solutions « clés en mains » au désarroi contemporain, compte tenu de la « prégnance du modèle cybernétique », le philosophe n’en invite pas moins à nous désengluer [[ Fait, déjà fait…voir « L’ardeur sociale – Techniques pour se désincarcérer de l’individualisme ? ». L’accident que fut l’individualisme ne peut plus refermer ses griffes dualistes (indivis dualiste) sur nous…tchao, le divisé contre soi-même !]] de « l’abstraction économique et de la fausse vie », du fétichisme de la croissance et de l’asservissement au « travail abstrait » qui affectent notre rapport au monde, tout en se défiant du « prêt à penser [[ ne pas recevoir les idées reçues, simplifiait Jacques Prévert ]] » et de « fausses bonnes solutions » comme, par exemple, l’attribution d’un revenu universel aux laissés-pour-compte de la compétition économique.
L’insoutenable et l’incalculable : S’appuyant sur un corpus de textes littéraires (Jean Giono, Kafka, William Moris, William Gibson, Jaime Semprun, Juli Zeh, etc.), le philosophe nous rappelle à cette part d’incalculable en nous [[ « incalculable » qui peut rire interminablement, d’ailleurs, puisque les mathématiques ne sont pas le bastion de perfection pure qui nous est présenté. Ainsi, à la simple question « combien sont les nombres ? »…vous pouvez les entendre bafouiller, s’emmêler, entrer en confusion, fort obligées de répondre « les nombres sont…nombreux !». Super scoop, nous voilà bien informé.e.s. C’est avec du solide comme cela que l’on prétend nous mener…que les dirigeants faussaires aillent se coucher. Tiens, il parait que c’est déjà fait…un mur de rires sans cesse réapprovisionnés risque de leur devenir carrément infranchissable. Vrai ou faux ?]] oui incalculable, irréductible aux flux numérisés et hypersurveillés, qui doit être préservée envers et contre tout par une vigilance de tous les instants - et par un véritable art de faire... Son livre ouvre d’autres possibilités d’existence, au large de cette « normalisation mathématique du réel », et éveille à la « puissance critique » du sens des limites. Jusqu’à quand [[ nous répétons, que c’est fini, il n’y plus de jusqu’à quand, ce quand n’existe plus…ces fait des pré-curseurs ont fait passer tous le curseurs au vert, et donc ont ouvert les portes de l’émancipation pour tous. Ce n’est plus à refaire c’est fait…]] les êtres humains se laisseront-ils réduire à l’état de « porteurs concrets d’abstractions mortes » au seul profit de la « croissance de l’économie » – et gober par le trou noir d’un univers algorithmique sans profondeur ni bienveillance ?
Jusqu’à ce qu’ils arrivent à ressentir enfin cette « perte de contact avec le monde », orchestré par un système de pillage dont les intérêts font écran avec le réel qui nous constitue ? Jusqu’à ce qu’ils arrivent à comprendre que la richesse véritable se crée non par « le haut » mais par « en bas », à réaliser ce qui les spécifie comme « peuple » ou « civilisation » [[ sauf que cette manière d’écrire que nous analysons à fond regarde « de haut ce bas », ne vient pas du bas, n’y participe pas du tout et ne semble pas du tout informée de tout ce qui se passe en bas…et si elle l’est, elle n’en tient absolument pas compte. Faisant passer pour un futur (faudrait le faire) ce qui est déjà accompli (et est donc un vrai acquis pour toutes et tous). Nous avons tourné la page, leur règne est fini puisqu’ils n’ont…aucune plus aucune consistance. Leur insistance si anachronique ne peut que les rendre ridicules et toujours plus ridicules jusqu’à en avaler leurs propres « abstractions mortes » !]] - et à se figurer enfin tout le désirable et l’accomplissable du monde ?
Quand ces évidences seront partagées [[ déjà fortement entamé…nous pouvons donc parler au présent bien présent !]] et relieront les consciences pour devenir « norme » ou « loi », alors de nouveaux fondements d’une économie à venir produiront peut-être un enrichissement véritable par la joie de tous [[ pourquoi attendre ? La joie n’attend pas ! Pour nous, en tout cas, elle demeure le moteur de nos résistances…]] le long des lignes de faille d’une nouvelle tectonique mondiale.
Après tout, il n’est pas interdit de rêver d’une révolution anthropologique qui déplacerait les frontières du possible, serait-ce au cœur du non-lieu d’un monde « globalisé », non loin de nulle part – mais si près, peut-être, d’un nouveau territoire de vie inappropriable, donc habitable enfin…[[ le local, lui, est localisé, tel que le mot le sonifie…]]. Si l’homme n’est plus le bienvenu dans sa maison, il ne tient qu’à lui de se réorienter à la lumière d’une conscience élargie de ses limites [[ donc pas transhumain mais du très humain !]].»…Ce qui reste de très notable, en conclusion, reste l’étrange ressemblance entre les argumentaires des pouvoirs,et de leurs critiques « introduites ». Quoi donc ? Démontrons. Pour les dirigeants c’est repousser toujours à plus tard, dans des années, les décisions très…urgentes à prendre pour protéger la vie et le nid de la vie (la nature). Tout en arguant que les pollutions sont très toxiques et dangereuses (donc à stopper net à la seconde !) mais que (clins d’œil…complices des psychotiques qui croient que nous pouvons entrer dans leurs folies) il y a…la liberté d’entreprendre. Le mot de passe qui ferait…taire. Sauf que…entreprendre quoi alors ? La destruction systématique de la vie et de la société ? Les limites à poser comme en tout ne semblent même pas…envisageables pour ces être trop immatures. Plus irresponsables que l’irresponsabilité. Nul-le qui songerait à leur laisser diriger quoi que ce soit. Oui ?
Et, parallèlement, les critiques sans solutions pour tous du système vont s’embringuer dans : nous avons tout compris, nous encerclons le système mais nous allons concrétiser ceci…plus tard. Pas tout de suite, mais lorsque la conscientisation sera plus grande. Or c’est en marchant que nous connaissons le chemin, en forgeant que nous pouvons devenir forgerons…c’est à mettre, patiemment mais sans cesse, en avant (comme ce blog) tous les exemples si réussis de sorties du système. De joies de vivre exponentielles sans lui, de prodigieux débuts de réalisations sans grands moyens (ce blog critique avec de nombreux arguments ET, sans cesse (les 2 !), met autre chose à la place. A déjà débuté la nouvelle civilisation depuis des années…Détruire n’est jamais sain, remplacer et surpasser bien mieux !), etc. Donc qu’est-ce qui retiendrait, en très grand, de ne pas commencer la nouvelle civilisation hier ou même avant-hier ? Pourquoi repousser encore ? Sillonner les piteux arguments pour cette inertie suicidaire comme solution, nous ne trouverons rien à la hauteur des enjeux collectifs… Alors l’excès de manques d’esprits pratiques de ces être trop immatures ? Plus irresponsables que l’irresponsabilité. Nul-le qui songerait à leur laisser critiquer et proposer quoi que ce soit. Oui ?,
C’est un peu comment avec un "même" produit des entreprises vendent plus cher et gagne plus de chiffres d'affaires (voir la vidéo jointe au texte) ? Tout simplement en jouant sur la valeur perçue et sur le packaging ! Soit uniquement sur les …apparences. Si trompeuses apparences. En ne s’occupant jamais des vrais contenus. Acheter devient alors pratiquer un…simulacre :
……….............…se tromper soi-même pour croire ne pas se tromper !
…………(à suivre)
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> -- ANNEXE --- <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
Paradoxe du système actuel, prétendu le moins pire de tous ? Le système actuel est martelé comme le meilleur des systèmes possibles. Pourtant ce meilleur des systèmes possibles « s’est « globalisé » jusqu’à fabriquer des humains désormais « superflus » sur une planète surexploitée et ravagée par l’exacerbation des passions destructrices [[ c’est donc le meilleur des systèmes possibles qui supprime tous les êtres pour qui il resterait le meilleur des systèmes possibles ? Il ne semble pas y avoir la moindre logique là-dedans !]]. Depuis que la fiction, oui fiction d’un Homo oeconomicus « asservi à ses besoins standardisés » a supplanté la figure de l’Homo habilis et que la « représentation cybernétique de soi » s’est substituée à la « compréhension incarnée du monde », le résident postmoderne et technozombifié de nos cités mécanisées ne parvient plus à « se désengluer » de ces « représentations économiques de la vie ». Celles qui tiennent d’une « entreprise d’aplatissement économique de la réalité vécue » et d’une véritable « guerre contre la subsistance » »…Ce système vient de nous prouver en peu d’images et de concept qu’il est l’illogisme maximal en personne. Soit la folie complète d’un système qui veut se rendre hégémonique et indépendant de tous ceux/celles pour qui il représente un véritable système. Et donc ? Qui défend ce système ahumain, hors humain, très anti-humain est bien un…ennemi des humains !
Paradoxe du système actuel prétendu le moins pire de tous ? C’est qu’il en devient (à cause de son langage trop performatif !)…
………………………………….. le pire de tous, vraiment le pire des pires !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste élan collectif nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
la déréalisation des zombis qui prétendent nous diriger : ils ne voient plus rien du monde CONCRET !
Et donc ? Nulle personnalisation possible dans un monde impersonnel – une machine insensée donc insensible…SANS nous !
voilà où mènent les durs rêveurs de l’effondrement systémique qu’est le complètement fou capitalisme
pas de plus grande abstraction que de filmer sa vie de l’extérieur sans la vivre…devenus étrangers à tout !
Vivons-nous dans une simulation ? – avec La simulation par Baudrillard - SOCA #3
Les objets-système
Chaine de manutention et d'accumulation SCAM
La croissance économique pourrait ainsi s'auto-entretenir ? Donc complètement sans les humains ? Lucas, Barro et Romer formeront les théories de la croissance endogène.
Loïc Wacquant - Attention Danger Travail – comment s’installe l’aliénation au travail (panneau de contamination à apposer) ?
…et en 3) --- "Homo Economicus" Interview Daniel Cohen…alors qu’il a bien assez pour rester heureux, l’homo économicus fait tout, mais tout pour saccager sa vie ? Le problème c’est lorsqu’il veut user du même tropisme pour la vie des autres… Est-il possible d’être PLUS fous que ces malades de conformismes ? Sûr que non, impossible !
A télécharger « L'homme économique, Essai sur les racines du néolibéralisme » de Christian Laval, mars 2007…Depuis que la fiction, oui fiction d’un Homo oeconomicus « asservi à ses besoins standardisés » a supplanté la figure de l’Homo habilis et que la « représentation cybernétique de soi » s’est substituée à la « compréhension incarnée du monde », le résident postmoderne et technozombifié de nos cités mécanisées ne parvient plus à « se désengluer » de ces « représentations économiques de la vie ». Nous oui. Preuve que ce n’est pas trop difficile, pas surhumain en tout cas…
Comment avec un "même" produit des entreprises vendent plus cher et gagne plus de Chiffres d'affaires ? Tout simplement en jouant sur la valeur perçue et sur le packaging ! Soit uniquement sur les…apparences. En ne s’occupant jamais des vrais contenus. Acheter devient alors pratiquer un…simulacre : se tromper soi-même pour croire ne pas se tromper !
La crise de 29 ( partie 1) : L'homme qui RUINA le monde. Ses émules recommenceraient-ils ?