Multinationales si nuisibles : enfin la contre-offensive ?
Les États ne sont donc plus maîtres de leurs décisions fondamentales à cause des…multinationales ! Impossible d’être plus clair ! Pourtant l’aveuglement collectif qui minore tant leur impact réel, qui peut être tellement plus nuisible que celui des états, peut nous ligoter d’impuissances. Au point où ce serait les gentilles multinationales (préférés au confus transnationales) qui seraient (parce que oui si anarchistes d’esprit, ces multinationales) harcelées par les énormes états. Alors que c’est exactement l’inverse ! Elles ont tellement plus de poids financiers que les états rabougris – ce qui découle de source que ce sont elles les vrais flics de nos vies ! Et que ce sont elles qui pourrissent les politiques que nous subissons. Donc ce sont elles qui nous nuisent en plus direct. Les médias vendus nous font toute un minable film pour faire gober l’inverse : n’agitant que les états 24 h sur 24 et dissimulant (24 h sur 24) les multinationales (qui ont donc TOUT à cacher !). Cependant, les chiffres et les faits prouvent tout l’inverse. Ces médias ont infiniment tort et nous égarent donc. Quittons donc les drogues dures des médias dealers et…revenons au réel. Qui est ?
« Les vrais assistés de la société française ne sont pas forcément ceux qui sont le plus souvent montrés du doigt. [[ par qui, sinon les médias truqueurs qui devraient, pour cela, gouter de la prison !]] Les gouvernements successifs ont fait de la préservation de la « compétitivité » des grandes entreprises françaises leur mantra [[ et la pensée complexe du sinistre Macron n’est que « cela » la vieille rengaine frauduleuse de l’enrichissement dérégulé des grandes entreprises assujetties, en symétrie légale, à aucune garantie rationnelle !]]. « Compétitivité » qui s’est traduite [[ trop d’anglais ]] par des allègements de cotisations sociales, par une précarisation de l’emploi [[ si aider la compétitivité des entreprises est réel ce ne peut être en fragilisant le droit légal des travailleurs : ce fait désordonné avoue donc que le concept compétitivité des entreprises est une escroquerie ! Puisqu’il ne vise par réellement son but qui se démontrer comme un travail…d’équipe. Si l’équipe est détruite se dénude juste l’enrichissement abusif et unilatéral. C’est ainsi. Penser c’est peser !]], par des cadeaux fiscaux toujours plus importants, et qui a également servi à justifier l’absence d’action ambitieuse pour s’attaquer à la pollution de l’air [[ qui…coûte dingue puisque c’est 3 fois les minimas peu sociaux pour les pauvres – donc les contribuables vont payer une fortune pour le sur-assistanat des multinationales. Et pas pour les pauvres – les sous-dotés !]] ou réduire nos émissions de gaz à effet de serre [[ les multinationales polluent tellement plus que les particuliers mais qui le dit ?]].
Une étude publiée par le Basic et l’Observatoire des multinationales à l’occasion de la parution du « Véritable bilan annuel des grandes entreprises françaises » essaie pour la première fois de mettre un prix sur ces politiques (à télécharger ici). Elle examine les « coûts sociétaux » imposés à la collectivité (État, collectivités locales et sécurité sociale) par cinq grandes multinationales françaises — Total, Michelin, Renault, EDF et Sanofi — du fait des mesures de moins-disant social, fiscal et environnemental destinées à préserver leur « compétitivité » [[ fake concept ]]. Résultat : le fardeau financier imposé chaque année aux budgets publics par ces entreprises s’échelonne entre 165 et 460 millions d’euros par an.
C’est davantage que le montant des impôts que ces entreprises versent chaque année en France. Or, l’impôt sur les sociétés n’est pas tant destiné à compenser les coûts sociétaux qu’à financer les infrastructures [[ qu’elles sur-utilisent tellement plus que les particuliers !]], le système éducatif [[ inféodé illégalement à leurs besoins]] ou judiciaire [[ là scandale complet des euphémisations : puisque un particulier irait en prison pour des délits de très faible intensité et elles n’y vont pas pour des délits de haute intensité…mais sont traitées…administrativement seulement, sans passer par le Pénal qui…pénalise (eh oui !)]], dont ces entreprises ont aussi besoin pour fonctionner. Et encore, cette estimation ne prend en compte que les coûts réels et tangibles [[ et les coûts cachés, dans ce système du tout-irrationnel, sont toujours bien plus forts !]] déjà encourus par la collectivité. Si l’on incluait les coûts subis par les particuliers sur le long terme, ou des coûts intangibles calculés par certains économistes, comme le prix d’une vie humaine en bonne santé, le fardeau imposé [[ mais fardeau fardé ]] par ces multinationales à la société atteindrait rapidement des hauteurs stratosphériques, effaçant les bénéfices qu’elles réalisent chaque année .[[ elles ne devraient pas accéder à leurs…faux bénéfices, tant qu’elles n’ont pas réglé leurs dus : ce qui rendrait l’économie des peuplas très…compétitive !]]
Admettons que les politiques de soutien à la compétitivité de nos entreprises soient coûteuses. Sont-elles au moins efficaces ? Les chiffres que nous avons collectés pour le « véritable bilan annuel » suggèrent que non. [[ c’est le plus gros Gaspillage du budget vu qu’il admet que toutes les fraudes demeurent possibles !]]. Toutes les entreprises de notre échantillon, à l’exception d’EDF, ont vu leur effectif en France diminuer depuis 2010 [[ suite au krach mondial causé par…les multinationales ]], alors même que leur effectif mondial et leur chiffre d’affaires cumulé croissaient de plus de 10 % sur la même période [[ c’est parce que « leur » croissance prend bien trop que le PIB ne sert à rien. Avant même que le PIB ne soit effectif 52 % est « pris en otage », oui « pris en otage », séquestré par 500 multinationales. Cela sont les vrais chiffres qui structurent la fraude structurelle effectuée sur nos vraies vies avec des mystères tels : plus il y a de crise et…de fausse austérité…plus s’enrichissent fortement ces multinationales. Le concept de vases communicants et de cause à effet répond aux questions ! Dont c’est parce qu’elles « nous » fraudent qu’elles s’enrichissent tant : qui voit une autre explication ?]]. Une tendance que l’on retrouve à l’échelle de tout le CAC40, qui a vu ses effectifs en France baisser de 20 % depuis 2010, malgré un chiffre d’affaires en hausse [[en termes rationnels c’est un…refus irrationnel du partage des plus-values créées par la productivité du travail. Soit je prends le prix de ton rendement et je ne partage pas ! pas moyen de faire semblant de comprendre de travers !]]. Sur la même période, les dividendes ont bondi de 44 %. Soit une privatisation des bénéfices, et une socialisation des coûts [[ la fausse austérité c’est : puisqu’ils volent tous les bénéfices…collectifs (créés par toute la société)…nous sommes coincés à payer les…coûts cachés que représentent ces bénéfices plus qu’immérités…et qui, par exemple, ne remboursent jamais la sur-utilisation des infrastructures. Et autres…]].
Une-multinationale-coûte-en-moyenne-300-millions-deuros-par-an-à-la-collectivité
En matière d’économie, la gestion doit être rigoureuse, ce qui est loin d’être le cas. Alors que le « paroi des riches » peste contre le « pognon de dingue » que coûtent les prestations sociales, les cadeaux fiscaux aux multinationales, coûtent la bagatelle de 300 millions par an à la collectivité. Millions qui font défaut aux services de santé, retraites, chômeurs et autres laissés pour compte. Et en septembre, le banquier élyséen doit proposer son plan anti-pauvreté, on peut s’attendre à tout. Ce qui est dingue, c’est qu’il va continuer ses œuvres néfastes contre le peuple qui râle mais subit (faute de comprendre la réalité : comprendre c’est résister à fond !]]. Si sa côte de popularité est en chute libre, il reste comme les berniques sur leur rocher, accroché à ses idées plus que vieillottes et déjà archi rabâchées de réformes [[ donc déjà réformées ]] contestées. Gouverner c’est prévoir, et il ne prévoit qu’avec belles paroles et promesses rassurantes [[ en clair il ne prévoit rien du tout : aucune pensée complexe n’est derrière. C’est, clairement, ce qu’il y a de plus obsolète dans le grenier des…conservatismes. Donc pire que la droite, eh oui]]. Le banquier gère le pays comme une succursale de banque, tout pour la « fausse » compétitivité [[ si elle était vraie, depuis le temps – 1983 désinflation compétitive pour trahison complète de socialistes, c’est dire - que nous en sommes matraquée, la pauvreté aurait sacrément reculée : si elle ne l’a pas été et que compétitivité est le prête-nom de pillage des biens publics. Là cela tient la route et affronte tous les chiffres et faits existants. Pas de compétitivité qsui compète ! ]], sans se préoccuper des inégalités. À noter: Dans le graphique, rien sur la pollution de l’air par Sanofi, alors que : Sanofi annonce l’arrêt immédiat de la production sur son site responsable de rejets toxiques hors norme.
L’enquête sur le fardeau financier que les multinationales (et les politiques de compétitivité/austérité qu’elles inspirent) imposent à la société, va plus loin. Nous sommes constamment incités à considérer les grandes entreprises françaises sous un jour positif, comme sources de richesse économique, créatrices d’emploi, symboles et garantes du prestige de la France [[alors que les multinationales…appauvrissent les pays. Les classes moyennes, spoliées de plus de 40 % de leur patrimoine en si peu d »années, sont là comme preuves. Pas de compétitivité en acte c’est pomper les richesses des autres l’acte qui reste en cours]]. Lorsque les grands groupes tricolores se portent bien, c’est toute la société française qui irait bien du même coup [[ la symétrie montre à la place un : plus elles vont bien plus nous allons mal : qui PREND donc à qui ?]]. Après tout, ne représentent-elles pas des centaines de milliers d’emplois en France et des dizaines de millions de taxes et impôts versés ?
Ces faux bienfaits nos apportés par « nos » multinationales [[ nos que pour pour les coûts car si elles étaient notre, comme le football des hallucinés graves, il y aurait…partage des bénéfices, « nôtres » aussi !]], « nos » multinationales justifieraient qu’il faille baisser les impôts et les cotisations sociales pour préserver leur « compétitivité » [[ qui n’est que de l’enfumage ces compétitivités : une œuvre « en équipe » serai tellement plus…compétitive – à savoir le foot ce n’est pas « que » le gardien de but. Le gardien des buts de la société ? ]] . Mais aussi qu’il vaille mieux éviter des mesures trop contraignantes pour réduire les pollutions occasionnées par leurs activités [[ ce qui est la pire des conneries : la prévention coûte toujours moins cher que de réparer les dégâts après – non, si inclure dans la privatisation bestiale des bénéfices les dépenses « astreintes et obligatoires » de la protection de la Nature, pour une fois ne coûterait pas de l’argent illégal et injuste à la société. Pollueurs = payeurs et pas non-pollueurs = payeurs pour les gros pollueurs. Ce à quoi se résume l’écologie pour les non civilisés soudards qui se prétendent financiers internationaux. Au point que tu vires tous les « faux-noms » attribués par les médias vendus et…purée qu’est-ce que tu vois clair d’un coup !]]. Et qu’elles continuent à bénéficier d’un soutien sans faille de l’État français [[ dirigés par des personnages qui ne visent qu’à la destruction de l’état, en fait !]] pour les aider à rester compétitives [[ fake concept ]] face à la concurrence internationale et étendre leurs activités à l’étranger [[ que tour ces phrases semblent lisses…les analyser mot par mot c’est retrouver la …réalité. Où toutes ces phrases qui semblent logiques se hérissent et se barbèlent de tant d’impossibilités logiques. Les athlètes de la pensée battent tous les footballeurs de l’aliénation collective !]].
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Le « véritable bilan annuel des grandes entreprises françaises » publié par l’Observatoire des multinationales montre de page en page le revers de la médaille [[ les vainqueurs, comme au foot, ne sont jamais ceux que la fausse image voudrait nous monter ]]. Derrière les faux « bienfaits » allégués [[ dont nous avions été allégés !]] de nos [[ leurs ]] grandes entreprises françaises, il y a d’innombrables questions sur le partage des richesses qu’elles créent (et notamment sur leur générosité exorbitante envers les actionnaires, qui explique en partie leurs problèmes de « compétitivité » [[eh oui, si les dividendes c’est 2,6 fois plus que les investissements – clair que t’es en train de tuer la compétitivité du futur. Donc, t’es aidé pour protéger la compétitivité et c’est…toi, toi seul, qui la tues. Parce que dans cette folie aux sommets ne t’es jamais demandé de comptes, de garanties, de résultats – ce qui reste contraire à toutes les lois de la raison comme de la comptabilité – le système du tout-pour la compétitivité est donc trop dingue pour être pris…au sérieux. Au point qu’il ne doit exister que dans…les mots ! N’en reste que le fonctionnement réel d’une spoliation collective cachée derrière ce mot !]]) ; sur la compatibilité de leurs modèles commerciaux et de leur stratégie de développement avec la sauvegarde du climat ; sur la situation faite aux travailleurs et travailleuses en France et, plus encore, à l’étranger ; sur leurs chaînes d’approvisionnement internationalisées qui contribuent à l’épuisement des ressources [[ rappelons que l’économie circulaire un milliard de fois supérieure à l’enfantillage régressif du capitalisme, du tout simpliste et de la non culture avérée, c’est l’économie du zéro gaspillage. Donc zéro gaspillage c’est…plus de capitalisme, cette grave forfaiture du...Tout-Gaspillage !]] à la destruction d’environnements naturels préservés [[ nouvelles preuves d’infantilisme : pour une pulsion débile de court-terme saccager le long terme c’est avouer son incapacité à gérer, à penser aux autres, à décider rationnellement donc à diriger…concrètement ]], et favorisent d’innombrables atteintes aux droits fondamentaux [[ l’adulte c’est celui qui se considère comme responsable des autres et qui donc, naturellement, respecte sans y penser les droits essentiels – ne pas les respecter avoue une immaturité trop prolongée …]] ; et ainsi de suite. »…Qui peut prendre encore au SÉRIEUX ces multinationales lorsque le roi est nu ? ********************************
Une mesure hallucinante du poids réel des multiantionales ? Une amende prétendue « si lourde » qui se voit réglée en 5 mn 30 de chiffre d’affaires. Trop dérisoire ! Et quasiment plus aucun état ne peut faire barrage aux anarchistes des multinationales – anarchistes que pour pour eux seuls, mais si régressifs, répressifs et rétrogrades envers leurs…prétendus clients !]]. Alors qui ? Déjà qui va argumenter en commençant par un à bas les multinationales qui font tellement pire que les états (lobbyings, coûts cachés, refus de participer à la communauté humaine, rapports toujours très dissymétriques, antisocialités, enrichissements abusifs et répressions en sous-mains, etc.). Par exemple : « Dans le cadre de l’affaire Cambridge Analytica, “en 2014 et en 2015, la plateforme Facebook a accepté une appli […] qui a fini par récupérer 87 millions de profils d’utilisateurs dans le monde entier, profils qui ont ensuite été utilisés par Cambridge Analytica lors de la présidentielle de 2016 et du référendum”, rappelle Elizabeth Denham, citée par le quotidien The Guardian.
Si l’amende – qui doit encore être confirmée et peut être contestée sous 28 jours par la société – correspond au maximum prévu par le Data Protection Act, le montant est dérisoire pour une entreprise de la taille de Facebook. “Au premier trimestre de 2018, Facebook a engrangé 500 000 livres de chiffre d’affaires [565 000 euros] toutes les 5 minutes et demie, contextualise le quotidien. Vu le moment où se sont produites les infractions, l’ICO s’est dit dans l’incapacité d’appliquer les pénalités prévues dans le cadre du Règlement général sur la protection des données (RGPD), dispositif de l’UE qui limite les amendes à 20 millions d’euros ou à 4 % du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise – dans le cas de Facebook, 1,9 milliard de dollars (1,6 milliard d’euros).”… Bon le dispositif intellectuel d’auto-défense doit encore inscrire cela :
Le-cynisme-défaitiste-du-lobby-des-alcooliers
« Alors que les agences sanitaires (Santé publique France et l’Institut national du cancer) ont publié en mai 2017 leur expertise sur les mesures à prendre pour réduire les dommages [[ décidément, les mutinationales n’apparaissent toujours que sous l’angle des…dommages causés !]] liés à la consommation d’alcool, alors que les différents experts ou leaders d’opinion en santé publique et en addictologie ont fait publiquement des propositions pour mener enfin une politique énergique face à l’hécatombe (135 morts par jour dus à l’alcool), alors que toutes les autorités sanitaires internationales rappellent que l’alcool est, juste après le tabac, la deuxième cause de mortalité évitable, le lobby alcoolier met…en scène sa trop déplacée désinvolture dans une « contribution » où il propose essentiellement…1) **- de se charger de la politique de santé [[ carrément, donc plus tu nuis à la santé plus tu peux de charger de ne plus y nuire ?]]…2)** - pourvu (en très maniéré !) qu’il n’ait aucune contrainte, aucune obligation et aucun objectif de résultat »… Sommes nous dans un asile de fous ou au cœur de leurs fantasmes ordinairement inavouables ? Alors que pour les pauvres (qui sont, rappelons-le sans cesse, les fraudés et non les fraudeurs), symétriquement, il y a toujours plus de contraintes, des abus d’obligations et des objectifs martelés de résultats. Un monde à l’envers : ce sont ces multinationales qui doivent connaître plus de régulations, de nombreuses obligations (puisque si elles prennent la place des états elles fuient toujours les devoirs qui vont avec cette fonction)…et plus que clairement des objectifs de résultats. Puisque nous ne pouvons pas leur faire confiance, que la société doive s’armer de fermes garanties et donc de retour sur ces …sur-assistanats exagérés. Le fond argumentaire est : au niveau financier, les multinationales sont ce qui est plus sur-assisté de la planète. Seule une offensive contre leurs abus peut inverser cette situation si dommageable à tous les peuples ! n’empêche que les claires bouffées délirantes apparaissant dans ce « aucune contrainte, aucune obligation et aucun objectif de résultat »…,ne peut que nous faire parvenir à mettre sous curatelle ces incapables majeurs. Reconnus incapables de gérer rationnellement, ils doivent être encadrés et aidés. Car qui peut encore les prendre au sérieux ?
Comment-les-professionnels-de-l'évasion-fiscale-noyautent-les-institutions-européennes
Et tous les Panamas’ papers du monde ne servent pas à grand-chose : preuves ? Aucune condamnation à prison ferme contre ces très graves délinquants fraudant tant…les pauvres (si les états pouvaient prélever ces « recettes légales » fraudées…la pauvreté effective diminuerait immédiatement – tout est donc limpide !). Ce pourquoi le RN ne lutte pas contre les vrais qui enlèvent le pain de la bouche des français…non ce ne sont pas les immigrés et migrants mais bien tous ces grands fraudeurs ayant trop accès aux institutions européennes.
La-guerre-commerciale-de-Trump-soit-un-nouveau-chapitre-du-déclin-des-Usa
Ou l’art de se punir, de se tirer dans le pied, de perdre à tous les coups ? Ne jamais croire aux fausses analyses des médias prétendus dominants…A force de simplismes ils se plantent tout le temps et égarent qui suit leurs déraisons. Les guerres économiques de Trump sont, ainsi, une faute politique grave. Le protectionnisme aveugle a toujours perdre les pays. Bref, y lire une posture de frllosité extrême, un refus paresseux de connaitre les autres points de vue, un repli de grand-mère sur soi …non, tout ceci décrit le début du déclin des U.S.A. C’est une terrible info. Bref, pire que toute opposition, Trump fait tout le boulot pour détruire son pays (comme Macron pour saboter la France ?). Le basculement des faits qui, objectivement, démontrent la fausseté de telles postures change en fait toute les lignes mondiales. Par exemple, le parcours si méconnu de l’ONU…
Bataille-à-l'Onu-pour-un-traité-sanctionnant-les-manquements-des-multinationales du 5 Juillet 2018...
« Depuis quelques années se mène une bataille cruciale au sein de l’ONU au sujet des multinationales. Ces firmes, dont la richesse pour certaines dépasse le PIB de plusieurs États, sont devenues des acteurs majeurs [[mais se conduisant en mineurs irresponsables ]] de l’économie mondiale. Elles sont depuis longtemps critiquées par les ONG et les syndicats pour leurs atteintes aux peuples et à l’environnement [[ peuples inconséquents qui semblent, parfois, adorer ces vrais flics de leurs vies parce qu’elles de déguiserairent – si mal, si mal – en libertaires !]]. Sont dans leur collimateur, entre autres, la firme américaine Chevron Texaco en Équateur, Michelin en Inde, Bolloré au Cameroun ou encore Areva au Niger. Sans parler des conditions de travail des travailleurs en Asie, dont le drame de l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, bâtiment qui n’était pas aux normes de sécurité, en est un exemple, drame qui a provoqué plus de 1100 morts, employés de sous-traitants de firmes textiles occidentales.
Déjà en 1972, Salvador Allende, alors président du Chili, déplorait, dans un discours à l’ONU, le fait que « les États […] ne sont plus maîtres de leurs décisions fondamentales à cause des multinationales, qui ne dépendent d’aucun État ».
À l’ONU, et en particulier au sein de son agence spécialisée l’OIT (organisation internationale du travail), depuis les années 1970, des représentants de syndicats ou d’ONG ont effectué des tentatives pour réglementer l’action des multinationales de façon à pouvoir les sanctionner [[ donc, pour le moment nous n’y sommes pas…lorsques, grandes délinquanres, certaines multinationales sont félicitées et non pas…mises direct en prison !]] le cas échéant. Mais tous les efforts pour établir une telle réglementation contraignante ont jusqu’à présent échoué. Ils ont été bloqués par les acteurs privés [[ c’est donc à bas le privé et non à bas l’état qu’il faudrait dire ! Le mouvement majoritaire mondial N.R.V. Noir Rouge Vert continue à l’affirmer]]. Et dans les années 1990, par Kofi Annan lui-même, alors Secrétaire général de l’ONU, qui a au contraire leur a offert une place d’interlocuteurs privilégiés avec son projet Global Compact.
La France est en pointe dans ce projet : elle a adopté en mars 2017 une loi sur le devoir de vigilance des multinationales, portée par une coalition de gauche. « Cette loi française est le premier acte régulateur des multinationales vis-à-vis des droits humains au niveau mondial », rappelle Marthe Corpet [[ contre les dérégulations si démentes de la contre-révolution conservatrice de Reagan ]]..
En effet, cette loi française, une des dernières du quinquennat Hollande, est la première loi au monde à inscrire dans le droit dur (hard law) une réglementation concernant les multinationales. Plusieurs associations et ONG, qui ont poussé pour l’adoption de cette loi, comme le CCFD ou Sherpa, ainsi que des syndicats et des experts, ont créé un « forum citoyen pour la RSE » [responsabilité sociale des entreprises]. Puis, comme nous l’explique Carole Peychaud, jusqu’à récemment chargée du plaidoyer Régulation des Entreprises multinationales au CCFD–Terre Solidaire, par ailleurs militante à ATTAC, une « coalition française pour un traité à l’ONU » a été créée. Celle-ci organise des réunions fréquentes, auxquelles participent des groupes comme ATTAC, la FIDH, le CCFD ou France-Amérique latine. La bataille législative se passe au niveau mondial
Le traité en préparation à l’ONU entend réglementer l’action des multinationales, et leur imposer des sanctions concrètes en cas de manquement aux droits de l’homme ou en cas d’atteintes à l’environnement ou aux droits des peuples. Ce traité, une fois élaboré par le groupe, sera soumis au vote à l’Assemblée générale de l’ONU. Cependant, rien n’est gagné. Le projet est régulièrement bloqué, car des États noyautés par des ennemis de l’état ou des représentants des multinationales lui mettent des bâtons dans les roues. En décembre 2017, l’Union européenne a voulu mettre fin au financement de ce groupe de négociation, afin d’obtenir la suppression pure et simple du groupe. [[ c’est ainsi que le sommet de l’Europe s’enfonce toujours plus dans les illégalités…mais – bonne nouvelle – commence à se prendre les pieds dans les tapis tapis là…et à s’effondrer…comme nous le reverrons très bientôt]].
Voici qui se différencie carrément des rengaines habituelles mais repose sur une analyse très serrée et très rationnelle de tous les faits existants…
Ce dont ne semblent plus se préoccuper ces médias devenant chaque jour plus…
……puérils, superficiels et incapables d’informer que la veille.
Et voici une question pour eux :
Les-possibilités-existantes-pour-que-l'argent-sème-de-la-justice
Oui ? Depuis plus de 50 ans que ces médias ennemis des majorités nous imposent l’IMMOBILISME le plus complet (faire semblant de changer des futilités afin que rien ne bouge dans le concret figé)…
………………nous dirions bien qu’ils sont pris de vitesse !
………..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Salvador Allende - L'étonnante actualité d'une politique étrangère.
Salvador Allende - L'étonnante actualité d'une politique étrangère. Par Jorge Magasich Lorsque Salvador Allende prend ses fonctions, en novembre 1970, le Chili est aligné sur les Etats-Unis. P...
« Nous sommes devant un véritable conflit frontal entre les corporations multinationales et les Etats. En effet, leurs décisions fondamentales — politiques, économiques et militaires — sont influencées par des organisations globales qui ne dépendent d’aucun Etat et dont l’ensemble des activités ne rend de compte à aucun parlement » (Allende - décembre 1972). « Les États ne sont donc plus maîtres de leurs décisions fondamentales à cause des…multinationales »…Impossible d’être plus clair !
le double face si hypocrite des dites transnationales…Sauver « leur » capitalisme en faisant du communisme mais empêcher le communisme (une fois ces escrocs sauvés) pour qu’ils continuent la…même rengaine !
Versión en castellano más abajo / version francaise ci-dessous] PDF VERSION Global Campaign to Reclaim Peoples Sovereignty, Dismantle Corporate Power and Stop Impunity Public Statement Attempt at...
Contre « l’architecture de l’impunité » : Le projet de traité en cours d’élaboration à l’ONU est un pas en avant historique, et s’il aboutit, serait une première mondiale : les multinationales seraient alors redevables devant une instance internationale, avec un risque de sanctions concrètes. Enfin !.
Hier, jeudi 8 mars, le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU a examiné le rapport de la 3ème session du groupe intergouvernemental de travail (GTIG) chargé d'établir un instrument internationa...
https://www.ldh-france.org/dossier-presse-traite-onu-les-multinationales-les-droits-humains/
Bataille à l'ONU autour des multinationales
Chloé Maurel Historienne, spécialiste des Nations unies, chercheuse associée à l'Iris
https://www.humanite.fr/bataille-lonu-autour-des-multinationales-655960
Depuis quelques années se mène une bataille cruciale au sein de l’Organisation des Nations unies (ONU) au sujet des multinationales. Ces firmes, dont la richesse pour certaines dépasse le produit intérieur brut (PIB) de plusieurs États, sont devenues des actrices majeures de l’économie mondiale. Elles sont depuis longtemps critiquées par les organisations non gouvernementales (ONG) et les syndicats pour leurs atteintes aux peuples et à l’environnement. Citons par exemple les agissements de la firme américaine Chevron Texaco en Équateur, de Michelin en Inde, de Bolloré au Cameroun ou encore d’Areva au Niger.
Certes, nous dira-ton, mais ne s’agit-il pas du prix indispensable à payer pour maintenir nos entreprises en bonne santé financière, leur permettre de créer (ou plutôt de ne pas trop supprimer) des emplois ? En moyenne 300 millions d’euros de coûts annuels pour la collectivité. trop, c'est bien trop dingue...
LE POUVOIR DE CENSURE DES MULTINATIONALES...Comme ?
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ou bien comme...
Nous sommes constamment incités à considérer les grandes entreprises françaises sous un jour positif, comme sources de richesse économique, créatrices d'emploi, symboles et garantes du presti...
De l’Observatoire des multinationales
Bureau d’analyse sociétalpour une information citoyenne
Observatoire des multinationales
L'Observatoire des multinationales publie le premier " véritable bilan annuel " des multinationales françaises. Cet exercice inédit permet à tout un chacun d'aller au-delà de la comm' et du ja...
En réalité, les politiques publiques menées depuis des décennies pour soutenir nos multinationales ont bien un coût de dingue, y compris en France même. Et il est possible de mettre un chiffre au moins indicatif sur ce coût vraiment de dingue.
Le graphique qui prouve que les U.S.A sont en train de devenir un pays du tiersmonde - et que la France ne doit surtout pas suivre ce pire des modèles possibles.
Les États-Unis ne pourront pas gagner la guerre commerciale qu'ils s'imposent - Le Saker Francophone
Le chaos du monde ne naît pas de l'âme des peuples, des races ou des religions, mais de l'insatiable appétit des puissants. Les humbles veillent.
Ils se punissent…preuve de l’incurvation réussie : ils sont quasiment encerclés !