Aux pieds des arguments

Publié le par imagiter.over-blog.com

Aux pieds des arguments

Nous possédons des moyens prodigieux pour mettre fin définitivement aux mascarades des pouvoirs. Démonstration ? Les logis de la logique sont innombrables et elle nous réserve de si surprenantes incursions. Tel se montre ici son dépliement. Oui, au départ, et seulement à partir de plusieurs angles de visions, nous allons nous trouver aux pieds de tous les arguments possible. Ce qui va nous permettre tout le périple qu’évitent les grandes désorganisées têtes capitalistes ! La grande aventure. Commençons déjà par modifier directement nos pratiques. Comme il reste difficile de tout faire en même temps, débutons par nos manières de lire. Innovons en tout plus que toutes innovations possibles. Ce qui nous ouvre à des raisonnements invisités, à des pans de la logique écartés depuis trop longtemps, etc. et autres etc. Ce qui nous forge, au final, des argumentaires qui vont pulvériser toutes les idées fausses au pouvoir !

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Lire autrement c’est très sûrement inventer la nouvelle civilisation ?...« C’est bizarre la vie quand on y pense, pense José (p. 127 – Pascale Gautier – La clef sous la porte, 2015). » Et il fait bien de penser puisque la suite de la page, mise à la page, remplit tout à fait les bienfaits de penser à la ligne…bon, « Comme le monde a bien changé ! Comment se fait-il qu’il se soit refermé à ce point ? Qu’il n’aime personne à ce point ? (p. 101 – ibidem). » A ce point oui d’interrogation que c’en est à ce point. Et point d’échappatoire.  Mais non ? Mais si : « ce sont des petits moments de rien du tout, comme de fines rayures sur le mur du temps. Ce sont des questions qui resteront sans réponse. Il s’en fiche du qu’en-dira-t-on, l’important pour lui, ce sont les questions (p. 68). » Excellent point virgule de vue : les qu’en-dira-t-on sont des quant-à-soi qui ne répondent jamais d’eux-mêmes. Des lâches qui fuient toujours. Ce manque de spontanéité (jamais d’élans sincères) se ligue même avec une débandade devant toutes les responsabilités (refuser d’endosser tous les résultats de ses actes). Dans ces conditions, la meilleure situation (sens spatio-géographique)  reste bien de poser les questions. Que venez-vous faire ? Je viens aux dépôts des questions, j’en dépose même plusieurs d’un coup. A peine posée la question se retourne d’ailleurs sur son sens.

Est-ce à point ? A point nominativement nommé ? Il semblerait «… puisque s’il faut toujours penser qu’il y a pire pour se dire que ça va bien, c’est que quelque chose cloche sérieusement (p. 74 – ibid.). » Et voilà la société retroussée de sa robe, dévoilant, inconsciemment, ce qu’il ne faut surtout pas tout en le persistant quand même (soit cette société est toujours plus délinquante et reste pérorant qu’elle poursuivrait les faux …délinquants. Qui le sont toujours bien moins qu’elle !)…L’ambiance sociale collective est, effectivement, lourdement plombée. Nous nageons dans l’irrationnel complet. La logique se loge ailleurs. Le sens se perd et nous en perdons le bon. « Il le sait. Et ce n’est pas parce qu’on sait qu’on change ! Au contraire ! Pour changer, pour agir, il faut être inconscient. Ce n’est pas le genre de phrase qui plaît autour d’un barbecue-barbie. Ah non ! (p. 85). » Alors que la pleine conscience amplifie l’ardeur et la densité de la vie – il faut (puisque les prétendus dirigeants remplissent surtout l’air collectif d’idées empoisonnées), il faut plutôt vivre si inconsciemment, soi en en perdant la plus grande partie du fil. En égarant le suivi, et l’existant vraiment décousu, en entamant le grand n’importe quoi. Donc avec une surface de vie plus réduite. Une voilure fripée et qui gêne aux entournures. Plus il y a de potentialités ; plus une majorité préfère se limiter à vivre dans un timbre poste. Timbre qui ne sera jamais poinçonné !

« A lui la vraie vie, celle qui dit merde à l’autre (p.173 – Pascale Gautier – La clef sous la porte, 2015). » Mais de  quoi, de quoi, se rebiffer ainsi ? Se biffer ne suffisait pas, il faut redoubler en plus ? « Ils voient bien que ce que voient leurs entourages n’a rien à voir avec ce qu’ils voient eux ! (p. 145 – ibidem). » C’est à voir, nous promettaient-ils et, puis, sans prévenir, ceci s’aigrit en cela n’a rien à voir. Rien à voir avec ce que nous voyons…quelles désorganisations par le haut entrechoquent tout. Une preuve ? « Il n’en revient pas [[ vous voyez bien ]] et, philosophant, se dit que beaucoup de gens ne perdront jamais la tête pour la bonne raison qu’ils n’en ont pas (p. 152). » Voici qui jette un froid. Un froid de veau. Et qui dure. Qui se tient et tout se tient… Et donc ? Et alors ? Et après ? « Et, comme depuis toujours, ils ne laisseront rien transparaître. Ils se tiendront. D’ailleurs ils se tiennent depuis si longtemps que ça tient tout seul ! Ils n’ont même pas à se forcer (p. 213 ). » Se bétonner ainsi, devenir du dur béton, être tout en béton –c’est bien ceci l’intelligence artificielle qui refuse de rester, une seconde de plus, naturelle. Qui se préfère inhumaine à humaine et va jusqu’à nous dire … « je vous ai abandonné, tous abandonnés, mais c’était pour mon bien (p. 153). » Carrément. Les aveux sinistres coulent du libéralisme liberticide total. Plus glacial que l’enfer des vikings. Sauf que… « Dans la vie, parfois, vous ne vous y attendez plus, vous êtes comme on est quand on n’est pas et, hop, une porte s’ouvre (p. 223)… »…Un porte ? Juste au bord du bord du monde. Là où ne nous n’arrêterons plus de ne pas vivre, que nous  vivons déjà plein flambeau. Finie la machine triste : « il sent en lui une armure d’acier de trois tonnes tomber et se briser en mille morceaux dans un grand vacarme silencieux (p 209). » Ben ça alors, mazette crêpes suzette – oui, vraiment vraiment cela ne mange pas de main que d’être un peu hupain ! Vraiment : ça vaut le coup de tout changer…. 

Des tous ces comptes-rendus non langue de bois qui restent, il demeure possible de les fondre dans un  argumentaire global – jamais fermement formulé, mais qui court dans toutes les têtes saines afin de se prémunir et de ne pas s’intoxiquer de ces pensées de dingues. Voici qui est fait – et de relire l’ensemble nous fait, effectivement, nous sentir du côté salubre des cœurs qui ne flancheront pas ! Toutes les médiocrités commencent par les cœurs – de l’avoir capté permet de diriger utilement ses vigilances. Et plus vers les sites antisociaux (le prétendu haut) particulièrement virulents. Ce qui fait d’une pierre plusieurs ères à la fois !  Allons c’est parti pour de bon…

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Un revenu seulement pour l’image ? C’est-à-dire un monde complètement à l’envers ; la soi-disant « transparence » (qui ne l’est pas puisqu’elle ne change rien des pratiques qui l’entoure, la rend si confuse et la renvoie illisible) voulait limiter la folie des très gros revenus et, à la place, les fait exploser hors toute raison ! L’effet contraire…ici : un déficit « collectif », de l’entreprise entière de 260 millions d’€ et, pour …l’aider, ce sera 3 fois plus de rémunérations des dirigeants qui PRENNENT bien TROP DE PLACE (dans tous les cas de figures – lorsque ce ne sont pas les trop basses rémunérations qui plombent les entreprises mais limpidement les trop délirants hautains salaires….). Poussés dans leurs retranchements, ils disent que c’est pour…l’image de l’entreprise, soit : très hauts revenus = image d’une entreprise qui gagne (même si elle ne gagne pas). Donc l’essentiel est sacrifié pour le superflu (l’image faussaire). Les aliénations gonflent et ne diminuent plus. Ces « professionnels » ont quitté route réalité rationnelle ! Ce sont les fous qui dont au pouvoir…

Donc…signes extérieurs de richesse, esbroufes, pubs, com’, marketing (toutes ces idioties que 3 mn de débat réduiraient à rien)…il faut Gonfler, Tricher, Doper L’IMAGE DE CES SALAIRES DE DINGUES (clairement identifiées…ils sont diiiinnngues !)… « C'est ce jeudi que le conseil d'administration d'Air France-KLM doit officialiser la nomination du canadien Benjamin Smith à la tête de l'entreprise de transport franco-hollandaise, en remplacement de Jean-Marc Janaillac, qui a choisi de démissionner en mai dernier après l’échec d’un référendum interne. Ce que la presse retient, au-delà de l’origine étrangère du nouveau patron, une première pour le groupe, et de son expérience, 16 ans à la tête d’Air Canada, c’est surtout la rémunération astronomique qui pourrait lui être accordée. Le Québécois toucherait un salaire annuel de 3,3 millions d’euros, soit 3 fois plus que son prédécesseur Jean-Marc Janaillac et 22% de plus que le salaire moyen des patrons du CAC40, de 2,7 millions d’euros en 2017.

Décalage : Comment expliquer un tel décalage, une telle inflation alors même que le groupe connaît une période difficile, avec une croissance en berne et des pertes, sur le premier semestre 2018, de 164 millions d’euros? Les grèves ont déjà coûté la bagatelle de 260 millions d’euros au printemps dernier, et l’avenir semble de plus en plus flou pour les 44.000 salariés. On prévoit pourtant étonnamment de multiplier par trois le salaire du nouveau patron ?

 

Lorsque-les-revenus-des-patrons-explosent-c'est l'Image-qui-est-en-train-de-perdre

L’explication est très simple et tient en un mot: la transparence. Celle imposée aux entreprises cotées en bourse, qui a provoqué une course à l’armement, une course aux enchères. Chacune cherche à apparaître plus riche et plus puissante que les autres, y compris au niveau de la rémunération de son PDG [[ tout dans la frime et les apparences – l’image qui tue la réalité. A quels esprits s’adressent-ils donc ? A des adultes responsables ? Vraiment pas ? A des enfants attardés qui ne voient plus que des images…faussées ? Ainsi le pont effondré de Gênes : en 2017 c’est 994 millions d’€ qui ont été déversés en dividendes. Ces porteurs décérébrés et sans cœur qui ne s’occupent plus de l’entretien des infrastructures. Tout pour le court terme de l’image de gros bénéfs et tout de suite. A n’importe quel prix. Et nous avons vu toute l’horreur de ce n’importe quel prix ! Devant trop d’argent généré par l’image – seule une responsabilisation  assurantielle de ces gains : mais (en cas de coup dur il faut tout rembourser) peut  dégriser ces cerveaux toujours ivres de leurs égoïsmes devenus monstrueux. Les autres et l’économie c’est ce que l’on pille et pont barre !, disent ces grands brabares…]].

Il faut comprendre que, depuis 2001, en France, avec la loi NRE pour la sécurité financière, les grandes sociétés ont l’obligation formelle de dévoiler aux actionnaires le montant des rémunérations. L’idée était très simple: en dévoilant ces paies, on espérait les contenir et éviter les scandales médiatiques [[ résultat de la …course en avant (c’est tout le système qu’il faut abolir, les réformisettes ne servent à RIEN qu’au pire !)…c’est que les scandales deviennent tellement plus énormes !]]. C’est en fait tout l’inverse qui s’est opéré. D’après Frédéric Fréry, professeur à l’ESCP, à partir du début des années 2000, l’écart de rémunération entre le patron et le salarié le moins bien payé a explosé, passant de «1 à 300 en 2000 à 1 à 373 en 2015». Rappelons tout de même qu’il n’était que de 1 à 30 en 1978 et 1 à 60 en 1990…Avec l’apparition de la loi NRE, la rémunération est devenue publique, une mesure de la valeur des dirigeants, et donc un enjeu.”…L’entreprise n’est plus qu’une image que l’on…retouche en bradant l’essentiel (la qualité des constructions et la sécurité des humains, entre autres) pour que humains détraqués, vraiment complètement déréglés (dérégulation qu’ils nomment) puissent continuer la folie collective de toucher des profits à 2 chiffres [[ coût de ces profits ? Trop anormal non ?]]. Ce qui est…impossible une fois, mais détruit tout si cela est si répété. Le pognon des dingues est là et surtout pas dans les vraiment trop minimas sociaux ! Leur monde est à l’envers. Ce pourquoi nous devons y mettre fin ! La logique sert de modèle ! Elle dit : capitalisme est passé au niveau de nuisance globale : il fait tout mal et ne peut plus générer que des catastrophes l Y mettre fin c’est sauver la société…

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L'union-n'a-pas-commencé-à-parler

L’union semble faire leur faiblesse – ils se sentent comme le centre des concentrations – auparavant si dispersées et trop faciles à avaler séparément !

>>> *** ---- Déjà nos manières saines « et » fermes de penser les mettent hors circuit. Depuis que la science est souillée par l’argent sale qui croit tout savoir, au point d’être le seul dieu …et cela par essence (sic) – nous sommes redescendus de plusieurs dizaines d’étages d’un coup. Oui la bêtise braillante a chassé la bonne monnaie….ainsi mises dehors les exigences de penser cohérent et congruent (ne jamais nuire), des méthodes bâclées. Ainsi du champ de savoir qu’il faut circonscrire avant de le parcourir et qui est toujours plus…minuscule (les experts « dits officiels »  ne parlent plus que de la surface de têtes d’épingle – donc leurs fake expertises, sans synthèses qui recadrent dans l’ensemble du savoir ces trop minimes apports - ne valent rien, que dalle, chou blanc ! Un exemple trivial qui les couvre de grand ridicule ? Tout charger en négatif d’un côté comme tout doper un ultra-éloges, de l’autre (doping prohibé dans la compétition ‘fairplay » donc surtout pas celle faussée du capitalisme, l’afairpasplay, y est celle de malfrats engoncés et toujours plus maladroits…? Qui balancent les aveux sans s’en rendre compte !)…Une enfance à la dure, maltraitée, dans les ghettos, sans justice éducative (mérites jamais reconnus), subissant toutes les censures (un peu que cela existe les censures surtout à la source, au départ, aux prémices :!), devant encaisser la tyrannie malsaine des adultes…n’apporte que du mauvais. Pas de bol cela apporte du bon, et du bon bon : par exemple, cela rend sagace et sagace ça agace. Oui prompt à détecter les menteurs et les tricheurs (tu fous un de ces gosses devant la télé il ne reste plus UN.E présentateur/trice au bout. On se demandera bien pourquoi …). Devenir très perspicaces cela perce les murailles que les bourgeois incultes et immatures (ce pourquoi ils/elles ne vivent que dans un monologue éternel, jamais un débat loyal, jamais la sincérité d’une conversation où l’on donne tout, jamais de partage véridique avec autrui ! Non, une vie…séparée de tout !) croyaient si…infranchissables. Tiens, c’est que la franchise (si persécutée par la perversité capitaliste à foutre en prison) oui la franchise franchit tout (sinon elle n’est pas assez franche !). Tous/ toutes eus les escrocs des pouvoirs : aucun n’échappera au sort d’indignités qui les attend. Normal ils auront tant indigné qu’ils en sont devenus indignes ! Et le récit de la réalité de la logique les surpasse tous : en effet, il est le seul qui démontre direct et en grand toutes les solutions à notre portée !

Une-enfance-dite-difficile-aide-t-elle-mieux-à-détecter-les-mensonges-?-Le-réponse-est-oui-!

« Les préjugés non rationnels étaient que d’avoir grandi dans la précarité, et notamment dans des environnements violents, impactait négativement et durablement les capacités cognitives des individus. Ce qui, par conséquent, prédisait aussi tout un tas de paramètres existentiels –mauvaise santé, pauvreté, durée de vie salement raccourcie, etc.– rognant fortement vos chances de réussite.

Sauf que depuis quelques années, de sacrées nuances apparaissent dans ce fake consensus et il semblerait qu'avoir passé une enfance riche en stress permettrait de développer des aptitudes et des capacités mentales particulièrement adaptées à la résolution de problèmes «écologiquement adaptés» à de tels contextes. En particulier, les enfants maltraités pourraient devenir des adultes particulièrement sagaces quand il s'agit de détecter des mensonges, des tromperies, des duperies et autres pièges tendus par des congénères pas très bien intentionnés. [[ dans d’autres temps nous nommions cela de « savoir de la rue», de science des routards, qui trouvait le respect devant tant …d’intelligences, comme ce qui permet de lire dans les autres ! Désormais, les puceaux sociaux en costards-cravates qui ne savent, au sens fort, rien, viennent désorganiser toute la société. Et nous en voyons les prompts résultats. Cependant, pas de bol pour eux, la logique, toute la logique EST CONTRE EUX. Retrouvons ce savoir de la rue et ils seront démasqués comme très nuisibles escrocs !]].

Leurs facultés cognitives sont boostées (ce sont eux les experts et pertes pour les autres ! Sans aucun vécu social, sans un ressenti collectif, sans rien à partager…) : « module de détection des tricheurs » cela s’appelle. Le sérum de vérité naturel en somme !

Il-ne-faut-jamais-tout-négativiser

Nous ouvrons cette rubrique contre toutes les profondeurs méconnues de ces faux maîtres de la société. Oui ? A chaque fois, nous plongeons dans leurs têtes et leurs cœurs avec tous les arguments rendus visibles (et que tout le monde peut donc revisiter par soi-même) parce que nous voulons qu’ils/elles soient vus pour ce qu’ils sont, des égarés perdus, de pauvres choses, des minables dépassés par les évènements, mais des monstres tout de même des monstres d’insensibilités aux autres et des monstres d’égoïsmes maladifs. Puisque nous voulons la responsabilisation intense de ces graves fauteurs de troubles !Il faut savoir que les gouvernements successifs ont « dépénalisé » tous les graves crimes économiques des trop riches. Soit, ils ne vont plus en prison. La justice du droit administratif ne le permet pas. Seulement des amendes trop dérisoires (jamais le dixièmes du montant des délits). Il faut pénaliser (retour eu Pénal et à la prison ferme) ces grands malfaiteurs antisociaux, les plus grands fauteurs de troubles de l’époque…

2 exemples pour finir …les avantages comparatifs de Ricardo n’existent plus depuis longtemps. Seules les succursales des multinationales s’en servent mais pour masquer les vrais bilans. Mais aucun bénéfices pour les…pays. L’intérêt d’une multinationale est donc devenu ennemi de celui des pays (absolument plus de coïncidence). Cela nous le démontrerons bientôt. Et ? Et les principales activités (sic) boursières ? Des fonds de pensions qui se rachètent passivement leurs propres actions…de « faux » mouvements qui ne peuvent plus cacher leur parasitisme aggravé de l’économie réelle (tout ira mieux lorsque la société fermera la Bourse comme avant…). Nous démontrerons ces « faux » mouvements qui sèment tant la confusion afin de comprendre ce qui se passe vraiment en Bourse. Car ? Au final, ce sont toujours les petits (vous, nous) qui paient tout. Faux ou vrais mouvements. Les trop riches parasites vivent complètement sur notre dos ; et cet abus illégal est passé de 30 en 1978 à plus de 300… 40 ans après…on peut dire que ces fous foutent le bordel dans nos vies…

……Mais que dès que nous en avons conscience ils ne le peuvent plus !

 

………(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : " Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est encore pire

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

l'Image es en train de les perdre...

l'Image es en train de les perdre...

Aux pieds des arguments
je préfère ma personnalité en personne…les pubs n'ont donc plus RIEN à proposer...

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Aux pieds des arguments
les maths servent à prouver les desseins cachés…

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Aux pieds des arguments
comportement et techniques : qui comporte l’autre ?

comportement et techniques : qui comporte l’autre ?

Aux pieds des arguments
Aux pieds des arguments
Aux pieds des arguments
qu’autant emporte le comportement ….

qu’autant emporte le comportement ….

2 - L'argumentaire sophistique et rhétorique fallacieux. -Partie 2

Aristote et Moi (1) : le triangle persuasif du discours (Béatrice Toulon)

à l’envers – rembobiner à l’envers…

aux pieds de la lettre...qui s'ouvre donc. Et ?

il rouspète les plombs, les années de plombs…

Franck Thilliez : "Je pars du principe que quand j'écris un roman, je...bluuup gloups huuummm heuuuu… "

Voyez le lien entre l'attitude et le comportement....

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