Ce que peut nous offrir le biomimétisme social ?
Le biomimétisme (imiter la vie dans ses meilleures fonctions) devait trouver son symétrique – le fantastique biomimétisme social (prendre la qualité la plus haute de ce qui fait de mieux). Or, là, nous rencontrons de nombreuses inversions. Une bonne partie des humains vivant dans un monde à l’envers qui ne peut donc…pas fonctionner. Et que, seule la présence de conformistes, de flatteurs, d’escrocs leur mentant tout ce qu’ils/elles veulent afin de leur extorquer un max – peuvent donner l’illusion d’une consistance. Donc le biomimétisme social dans son resplendissement reste très possible mais est sous-employée et mal utilisé. Voire aux abonnés absents. Trop étrange non, que tout « vrai » progrès soit interdit depuis 30-40 ans ? Des exemples ?
Tout ce qui demande un effort (même petit) semble rejeté sans même examen préalable. Oui, un effort du cœur, de la tête, de la volonté, du changement, de l’attention aux autres, de la responsabilité, de la fin des égoïsmes. Mais pas rejeté qui cumule éloges sur éloges que, pour de tels dieux sur Terre que nous, tout se passe toujours sans effort. Tout reste à notre service conservatiste (univers, Nature et même humains) – nous sommes (si corrompus par la société de consommation ce crime contre l’Humanité) devenus plus rois que les rois. Reines que les reines. Où est notre sens démocratique ? Ce monde à l’envers tire tout vers le bas et ceci se retrouve dans le moindre aspect du social (si scandaleusement expulsé par les dirigeants et sans social y a-t-il encore société ?). Oui, nous sentons bien, là, l’énorme hiatus : déjà la tromperie basique, puisque sans effort comment porter le plus succulent des mets à la bouche ? Le grotesque est même atteint lorsqu’il est fait plus d’efforts pour soi-disant n’en fournir aucun qu’en laissant simplement couler la rivière des choses. Et notre expérience qu’apporte-t-elle là-dedans ? Nous « savons » que qui ne précise jamais qu’il faille du labeur de chaque individu, afin d’aboutir à mieux, est un(e) imposteur/(se) grave. Et, en plus, nous pratiquons le…gratuit. Ce pourquoi nous sommes de ceux/celles qui fournissons le plus d’efforts (donc savons le mesurer !)… ne serait-ce que pour amener, le plus complètement et simplement possible, l’ensemble des connaissances et informations à la portée de tous (mais en respectant l’effort personnel qui permet à chacun-e de s’approprier vraiment les découvertes). Et ?
L’ensemble de la société pâtit du MANQUE de biomimétisme social (ce goût indomptable d’aller vers le meilleur). Laisser allers et inerties destructrices vont trop ensemble. Sur quelque thème que ce soit beaucoup sont privés (ou se privent eux-mêmes) d’au moins 80 % de la QUALITÉ, du summum et du meilleur. La société n’est pas du tout tirée par le haut. Elle stagne et même…recule. En effet, prenez n’importe élément essentiel de la vie commune, et les mécanismes de fermetures (donc sans même examen exploratoire) vont se montrer 10 000 plus abondants que ceux d’ouvertures. Revisitez la propriété très incomprise et rendue (pour cela) inefficace voire nuisible – il ne sera pas poursuivi plus loin l’écoute du raisonnement que de la seule présence de ce…mot. La folle dissuasion est telle que même certains mots font tout effacer autour d’eux (il parait, toutefois, que ce n’est pas là de la censure. C’est quoi alors ? Pire ?). Le tabou de la société qui régresse et qui ne progresse plus depuis longtemps (et n’est donc pas du tout apte à détecter et évaluer les nouveaux concepts !) tourne à plein. Et il en a d’autres (dont le pire est ce commerce qui a tous les droits au point d’assécher les autres droits et… d’empêcher tous les états de parler, mais sans censure évidemment – et donc perd là le droit d’avoir trop de droits). D’autres tabous de cette société pro-ténèbres qui fait tout pour se rendre la vie plus invivable (pas le droit de dire que les dividendes doivent rester inférieurs et derrière les investissements - sinon comment assurer le futur ?). Les profits qui ne peuvent naître de générations spontanées mais viennent bien de quelque part : soit d’un coût…imposé aux autres, etc. ( la liste des tabous régressifs est interminable…ils sont tus, violemment tus sans aucune raison valable mais ce ne sont point là censures…). Alors que la simplicité d’admettre que la société a plein d’idées fausses, qu’il faille les abandonner et se transformer abondamment (et surtout pas se réformer – cette gigantesque fumisterie capitaliste que la…réforme qui ne sert qu’à rien …changer. Rien changer de fondamental, sur tous les fonds !).
Et après ? Après ce sont les censures…actées – censures effectives qui sont aussi un immense tabou – Cela dépend où on se place. Si c’est avant dans les prémices il y en a des ravages – le biomimétisme social est brutalement piétiné. Comme ceci. « Comment va manquer quelqu’un que l’on ne connait pas ? ». Ou, plus cynique : « comment trouver l’œuvre qui n’existe pas ? » (puisque, très basiquement, il a été fait qu’elle n’existe pas …publiquement, par tant d’abus du privé !). Or c’est là que le cens ( ce cens-ure), par l’argent censitaire, le cens qui « fait » la censure, que cela se passe…dans le réel. Barrages, blocus, blocages partout …ensuite, dans les circulations publiques évident qu’il n’y pas de grosses censures (tout a été fait avant). Mais l’hypocrisie devient insoutenable lorsqu’elle veut généraliser et ignorer (ne pas vouloir connaitre c’est ignorer - de dédains insensibles gonflés). Donc la censure-cens touche moins l’humain mis au cens-censure que les autres. Qui sont, ainsi, si arbitrairement, si paternalistement, si abusivement soumis à ne connaitre, souvent (pas toujours, un petit…effort permet d’accéder à tellement plus), que 20 % de la réalité SOCIALE. Les censures ne cognent pas là où nous les croyons : la preuve ? Les impétrants-e-s aux « nouveaux » médias repeints (mais à savoir s’ils ne vont pas être pires que les dits anciens) ont une vidéo…d’embauche/ adoubement, où les questions et leurs réponses sont ensuite, tronquées et découpées…Bref, le résultat recherché est qu’ils /elles doivent prononcer explicitement « il n’y pas de censure » …hors contexte. Qui se méfierait ? Oui cela dépend où : ici et là, par exemple, il y en a toujours autant sinon bien plus qu’avant. Alors qui sont les grands délinquants planqués derrière ces sordides manips ? Bingo, le pouvoir culturel (le…premier pouvoir en France) dont nous parlerons en grand un de ces quatre !
Parler du social alors que tout est fait pour l’ignorer, l’expulser, n’en rien savoir, le supprimer des consciences et des cœurs, a quelque chose de plus qu’indécent. Qui cherche ses Modèles chez les génies, les penseurs exigeants, les écrivains faussement réputés difficiles (donc qui tous demandent des…efforts, mais récompensent ces « petits » efforts d’une gigantesque générosité rare…) – soit chez les vrais MEILLEURS…n’est pas si suivi que cela. Comment il n’y aurait pas de censures et pas de grands esprits, de plumes fertiles, d’originalités indéniables, d’effusions de talents n’apparaissent ? Impossible il y a bien censures aux sources cela coule de source. Il y a trop de médiocres sur scène, d’ex-humains sans cœurs et sans réflexions globales. Donc il y a concrètement ce que Shakespeare nommait la « conjuration des imbéciles » qui sert à «repérer » (comme pour les trous noirs – qui, au bout de nos compréhensions, ne vont pas paraitre si noirs !) oui…les génies (c’est lui qui le dit !). Donc tarissements des surdouances visibles = trop de censures effectives (à tous les sens et cens du mot même psychanalytique). Ceci devient DÉFINITIVEMENT établi (oui, une bonne fois !), nous pouvons, alors, sculpter tous les avantages du biomimétisme social (prendre modèle sur ce qu’il y a de meilleur en tout) en plusieurs…textes. Commençons juste par un mince préambule :
……………………..***************************************************
Aujourd’hui nous avons du mal à imaginer notre futur, car tous les clignotants climatiques sont au rouge et conduisent plutôt à penser l’effondrement qu’à voir les opportunités de résilience. Une fois de mieux, nous devons donc nous charger de…comprendre plus loin !
Dijon-quand-la-ville-intelligente-réinvente-le-service-public
« Osons la coopération pour penser ensemble le monde de demain-Aujourd'hui, nombreux sont les auteurs qui référencent leurs recherches pour prouver que nous sommes plongés dans un bain de représentations qui biaisent une partie de la réalité. La complexité de notre monde nous oblige à co-élaborer les solutions de notre futur commun. Nous avons besoin de réapprendre les modalités de coopération, ce que nous avons oublié dans notre société privilégiant individualisme et compétition. En partant du fait que la coopération est une disposition naturelle, avec le biomimétisme social, nous ouvrons les possibles de méthodes, outils et approches pour nous réapproprier ce savoir-faire. Nous redécouvrons des pratiques ancestrales et nous utilisons notre créativité pour co-élaborer une grande variété de manières de tisser ensemble les fils pérennes de notre futur. »
Coopérer-c'est-accepter-de-laisser-de-la-place-à-autrui-pour-co-créer
Coopérer : accepter de laisser de la place à autrui afin de co-créer : Avec Alter'Coop, nous insistons sur la difficulté de réussir la coopération car nous sommes issus d'une nocive culture individualiste et que si nous avons l'élan de cœur ou conceptuel à coopérer, nous avons de grosses difficultés à y parvenir car nous devons composer avec nos egos [[ le mieux reste d’avoir procéder à l’extinction de son propre égo entre parenthèses]]... Laisser de la place à l'autre, pour qu'elle ou lui s'installe, trouve sa place et qu'ensemble, nous puissions rayonner.
Les spiritualités nous ont pourtant enseigné que la création n'a pu se réaliser que parce que le divin, quel que soit le nom que chacun lui donne (Univers, Vie, Grand Tout, Grand Esprit...) a laissé de l'espace pour que la création advienne. C'est le message du Tsimtsoum [[Protégeons ces espaces de libertés…pour les autres comme dans cette chanson…]]
Chanson-Indiscutable-avec-Silence les paroles s’allient bien au texte – elles sont incluses dans le lien !
[[Oui laisser de la place aux autres est urgent ]]…Ceci d'autant qu'il y a des urgences climatiques, économiques, politiques, auxquelles nous devons apporter des réponses, ensemble [[ et que la régression des anti-élites politico-financières-médiatiques semblent plus qu’incapables, d’assumer, de prendre en charge et de …résoudre. A nous d’assurer ces responsabilités même si nous ne le désirons pas !]]. Qu'est-ce que le Tsimtsoum ?... « Comment Dieu créa-t-il le monde ? – Comme un homme qui se concentre et contracte sa respiration, de sorte que le plus petit peut contenir le plus grand. Il a ainsi concentré sa lumière dans une main, à sa mesure, et le monde fut laissé dans les ténèbres, et dans ces ténèbres il tailla les rochers et sculpta la pierre », explique Isaac Louria2. Louria conçoit ainsi la première manifestation de Dieu. Nahmanide, un kabbaliste du xiiie siècle, imaginait un mouvement de contraction originelle.
« La principale originalité de l'hypothèse lourianique tient au fait que le premier acte de la divinité transcendante – ce que les kabbalistes appellent le En Sof (l’Infini) – n’est pas « un acte de révélation et d’émanation, mais, au contraire, un acte de dissimulation et de restriction». Pour aller plus loin : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tsimtsoum
Préférer mourir ou oser renaître : Et malheureusement certains préfèrent "mourir" [[ ne serait-ce qu’intellectuellement et affectivement s’érodant sous des routines sans routes…]] que se repenser, se recréer, s'ouvrir à de nouveaux possibles. Et nous sommes dans le choix du vivant : est-ce que nous choisissons l'apoptose (suicide de la cellule lorsqu'elle n'est plus en lien avec le système et/ou lorsque ses fonctions ne sont plus utiles) ou faisons-nous le pari de la résilience (renaître de ses cendres, oser se recomposer, oser accueillir l'autre dans sa différence et la remise en question qu'il nous apporte) pour renaître et co-créer, tout autrement. »…En effet, même si la coloration religieuse nous déplait (mais la Kabbale est si peu religieuse), le sens de la rencontre des formes avec les forces (qui explique si limpidement l’univers et la vie, comme la pensée et la sensibilité…) nous semble, elle, très…biomimétique. Vraiment éclairante pour nos survies !
………………….....*****************************************************
Pourtant, la biologie nous dit que c’est principalement en période difficile que le vivant coopère et c’est lors de phases d’abondance que la compétition est la plus fréquente. Et si nous nous inspirions du vivant pour nous réinventer ? [[ce qui est le biomimétisme à carrément développer et répandre !]]
Biomimétisme-social-et-coopération-une-résilience-à-portée-de-main
« Nos excès de fake performance pourraient conduire à l’effondrement de notre modèle de société : Pris dans nos fake impératifs de performance et nos priorités d’excellence [[ de fausse excellence puisque celle-ci repose sur une expulsion suicidaire du…social – le social comme le grand cœur et le système circulatoire inexpulsables de la société – allons de la jugeote, voyons !]] est dans notre société de « progrès » technologique continu, nous oublions à chaque grande révolution technologique (Internet, robot, IA), un peu plus l’être humain [[ sans qui pas de…révolution possible !]]. Celui-ci est alors de plus en plus en souffrance. Ce qui conduit aux burn-out et aux autres souffrances au travail. Le paradigme de la compétition comme voie d’excellence [[ mensongère]] est en sérieuse perte de vitesse. Chaque année, salariés, cadres et départements des resSources Humaines privilégient le bien-être et le bonheur au travail, qui passe notamment par trouver du sens dans son travail [[ le seul Sens sensuel et…sensé c’est de transformer toute la société, ne pas la laisser crever dans son immobilisme congelé d’insensibilités depuis trop de décennies – l’imposture politico-économique est devenue complète !]]. Sens qui s’est dissous dans les illusoires recherches continues de performances financières.
Par ailleurs, pourquoi est-ce si urgent de retrouver la voie de la coopération ? Faire face aux défis que notre civilisation a créé les compétences et les expertises de tous sont devenues préférables pour coconstruire les solutions de demain. Les progrès technologiques issus de l’industrialisation reposent sur les stupides prélèvements continus des ressources de la planète et fragilisent la biodiversité par la pollution massive que constituent nos déchets. [[ eux-même évitables dès que nous chassons la bestialité des gaspillages insensés de la structure de la société – la moitié de toute la production collective, si nous incluons l’obsolescence programmée qui n’a pas reculée mais sort toujours ses crocs illégaux, n’est que…gaspillages !]]. Alors face à un proche « effondrement » de notre modèle de société, nous sommes invités à nous repenser. C’est ce que font certains pionniers avec le biomimétisme [[ mais d’autres en réensemençant toute la culture et les…sensibilités, descendant donc jusqu’au plus intime pour la nouvelle civilisation…qu’ils vivent déjà !]]. Qu’est-ce que le biomimétisme ? S’inspirer du vivant et de ses lois pour trouver des propriétés et des matériaux que nous pouvons utiliser dans notre quotidien et limiter les extractions, les pollutions dont les déchets que nous avons causés en nous éloignant des apprentissages de la nature (…). et aujourd’hui, au point de rupture écologique où nous sommes de notre modèle de « démente croissance infinie » nous retrouvons l’humilité d’aller apprendre de ceux qui ont plusieurs millénaires d’existence et pour certains, sans guerre. Ils ont trouvé les ressorts de la pérennité, notamment par le soin qu’ils apportent dans les relations [[ attention aux…attentions…et…en boucle…]]. Ils ont compris que le tissage entre les personnes est premier. C’est le fondement de toute composante humaine.
En effet, Jared Diamond, dans son essai « Effondrement », avait noté que les civilisations, bâties QUE sur les composantes QUE matérielles, techniques du progrès [[sans progresser dans le progressisme social !]], quelles que soient les cultures, sont toutes mortelles et elles s’effondrent. Ce qui tend à prouver que le socle de relations humaines sur lequel elles sont construites n’est pas pérenne, conquérant, mais pas durable [[ que du vent du faiblard guerrier qui a besoin de s’exhiber, pour se « faire croire » fort, alors que le pacifiste tranquille n’a rien à prouver et ne symétrise donc jamais les guerres – une guerre à un seul ne peut que…s’effondrer :]].
La compétition : un conditionnement - Dans les différentes stratégies que la nature utilise pour se développer, la principale est la coopération et la compétition est en fait marginale [[ les marginaux capitaliste sont là pour le prouver – impossible d’intégrer ces antisociaux nihilistes, ennemis du genre humain où que ce soit. A bas ces marginaux capitalistes !]]. Nous avons été conditionnés à croire [[ beauââârk !]] le contraire, notamment à la suite du fake darwinisme social [[ Darwin a dit tout le contraire, c’est juste une trahison des médiocrates – le darwinislme antisocial n’existe donc plus !]], qui est la détermination la plus récente. Comme le démontre Jacques Lecomte sur son livre sur la bonté, ce sont les ouvrages qui présentent l’être humain comme essentiellement féroce qui ont eu aux États-Unis les ventes les plus importantes. Pourtant ces best-sellers qui valorisent le mythe du Grand singe tueur dont nous descendrions sont plus qu’erronés. Oui très mal intentionnés ! Et les dizaines, voire les centaines de travaux qui prouvent le contraire sont éludés par les grands médias. [[ donc sans censures vont bafouiller les drogué.e.s aux illusions ]] King Kong est plus spectaculaire et offre une garantie de ventes [[ la vente est une corruption dans ce cas – ne dit-on pas… « vendus » pour décrire les bassesses des gens des sommets ?]] supérieure à tout ce qui prouve que la nature humaine est fondamentalement bonne ou en tout cas que l’équilibre entre bonté et violence existe dans la majorité des sociétés et plus de 520 peuples ont choisi de se développer en sociétés pacifiques et nombre d’entre elles sont toujours vivantes après plusieurs dizaines de milliers d’années d’existence.
…………………..%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
La réalisation de la ville intelligente passe aussi par une transformation "de l'intérieur", par la réinvention de ses services publics [[ la ville est…intelligente parce qu’elle préfère les services publics à but non lucratifs garants de montée des…qualités. Sociales aussi !]]. C'est ce que prône François Rebsamen, maire de Dijon, président de Dijon Métropole, dans une note pour l'Observatoire de l'expérimentation et de l'innovation locales où il analyse OnDijon, une démarche inédite de métropole intelligente. Un exemple pour développer cette initiative sur tout le territoire, au service de l'intérêt général.
Dijon-quand-la-ville-intelligente-réinvente-enfin-le-service-public
Nous rêvons tous des promesses faites par la ville intelligente : une ville connectée mais ancrée dans la réalité, flexible mais résiliente, technologique mais humaine. Demain, la gestion des données nous permettra de mieux relever les grands défis auxquels les villes sont confrontées : en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, [[ dont les villes ont franchement le monopole !]], en améliorant la mobilité urbaine ou encore en redynamisant la démocratie locale et directe [[ qui va réparer le centralisme fou !]]. Mais si, au fond, l’essentiel était ailleurs ? Il me semble que parfois la ville intelligente passe à côté de l’essentiel : la transformation de la ville doit aussi se faire « de l’intérieur », en modernisant nos administrations et en réinventant le service au public. Je suis convaincu que la ville intelligente ne pourra se construire qu’en transformant sa propre structure, son squelette et en devenant plus agile [[ le fardeau pesant et immobilisateur du privé, ce corporatisme du «corporate» si crispé sur ses faux acquis si archaïques empêche l’évolution naturelle de fonctionner. Le privé est devenu un facteur d’arriération…sociale !]]. » Partout, les analyses exigeantes se jettent dans la même embouchure : c’est l’humain qui compte le plus (et pas l’abstraction de l’homme économique et autres fadaises de la com’ - non l’humain qui vive le SENTIMENT d’humanité !)…oui l’humain compte le plus et le capitalisme libéral veut son effacement complet (il n’est que de voir et d’entendre la vulgarité agressive de ses valets politiques, médiatiques ou lobbyistes financiers pour enfin l’admettre !]]. »
…………………….....**********************************************
Oui ? Nous nous évertuons à rassembler toutes les solutions pour tous, pour l’immense intérêt général. Oui mais de les établir une bonne fois, sur du solide, du solidaire de roc, donc en allant au fond des choses, en restant exigeant.e.s,, en ne fuyant aucune difficulté, afin que les osais resplendissantes de solutions pour tous (et pas que pour un caste sordide comme le lamentable libéralisme de toutes les trahisons), oui ces biomimétiques pensées ne puissent être mises bas par nos étourderies ou nos manques d’efforts constructeurs. Et alors ? Ce qui manque le plus en 2018 ? C’est la sociabilité, toutes les sociabilités. Donc les bienveillances fermes mais ouvertes (le contraire donc des laxismes pourris des corrupteurs), les gentillesses généreuses, le sens indomptable des gratuités, des empathies, de créer, enfin la plus grande Fête mondiale celle où tous les peuples vont faire une marche autour du monde. Afin de rencontrer 1) - la naissance de l’Humanité--- 2) *** – la réalité irremplaçable de chaque peuple qui, chacun, ayant un morceau de la clé de la Liberté, vont nous ouvrir la porte de la nouvelle civilisation (à 100 % tout le contraire de la fake civilisation actuelle…3)--- de se sentir soulevé.e.s. par la plus grande Fête n’ayant jamais eu lieu sur Terre !
Il y a trop de mentalités découragées, superficielles, protectionnistes, qui manquent d’amour gratuit et d’ouverture pour autrui – ce qui nous enlise dans l’immobilisme suicidaire (et ce quelque soit le niveau social de départ ou bien qui le dit, et ce qui est dit)…ce n’est donc pas un problème de contenu de pensée mais bien de MAUVAISES VOLONTÉS : zéro effort et un million d’exigences tel est l’enfant attardé qui braille sa domination au monde ! Aucun biomimétisme social (prendre le meilleur en tout)…mais une piteuse rivalité mimétique qui ne quitte jamais le niveau de cour de récréation !
…Voici le défi que ce 1er texte autour du biomimétisme
……………………………………………. social aura tenté de vaincre !
………..…………(à suivre)
………………………………………************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste justice nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
la nature est infiniment plus grande que la robotique – ce n’est pas une stigmatisation mais juste remettre chaque chose à sa juste taille.
mettre de la vie dans le social ? par le biomimétisme social. Fin de l'infantile rivalité mimétique !
Biomimétisme social et coopération
Aujourd'hui nous avons du mal à imaginer notre futur, car tous les clignotants climatiques sont au rouge et conduisent plutôt à penser l'effondrement qu'à voir les opportunités de ...
https://www.altercoop.org/blog/biomimetisme-social-et-cooperation
S’inspirer du vivant, retrouver les voies de la résilience : Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui voient dans cette piste du biomimétisme des pistes d’espoir pour le futur. De l’économie circulaire (1) à l’économie symbiotique (2), en passant par la permaculture humaine (3), le vivant devient la source d’inspiration principale pour nous recréer. Le biomimétisme social consiste à s’inspirer du vivant pour retrouver les principes (4), ses lois et notamment grâce aux peuples racine qui étant les plus proches d’une vie naturelle savent observer ses principes. Face à la modernité, ils ont fait le choix LE PLUS INTELLIGENT POSSIBLE de rester en harmonie avec le vivant. Eux.
Réchauffement climatique : on peut changer les choses en agissant au niveau des villes
Freiner le réchauffement climatique ressemble parfois à une mission impossible, surtout lorsque certains dirigeants, comme Donald Trump, ne semblent pas prêts à prendre les mesures indispensabl...
Nous pouvons lutter contre les bouleversements climatiques par les villes...Franchement évident – vu l’effet de serre « monopolisé par les…villes !
Pour une société moins normée et plus créative
La pression imposée aux individus aujourd'hui atteint peut-être ses limites. Sans doute le moment est-il venu de tenir davantage compte des personnes vulnérables, d'apprécier leur surprenante ...
https://www.letemps.ch/opinions/une-societe-normee-plus-creative
Ces réactions apparaissent plus facilement chez des personnes vulnérables qui souffrent de ne pas savoir apporter leurs contributions au monde. Voici les observations du directeur d’une institution d’aide psychosociale : « Pour une société moins normée et plus créative »
…par, aussi, l’intelligence du langage : « Les Mystères de l'Égo » avec Siriliel - NURÉA TV
Comment faire la guerre à la guerre? | Idriss Aberkane | TEDxLiège
Si l'on n'agit pas, il n'y aura plus de poissons en 2050, alerte Claire Nouvian. Connue pour ses films sur la faune marine, la militante écologiste a créé l'association Bloom. Elle est surtout bien
Nous pouvons techniquement vider tous les océans de tous les poissons ! Nous allons donc le faire ? Il y a trop de mentalités découragées, superficielles, protectionnistes, qui manquent d’amour et d’ouverture pour autrui – ce qui nous enlise dans l’immoblisme suicidaire (et ce quelque soit le niveau social de départ ou bien qui le dit et ce qui est dit)…ce n’est donc pas un problème de contenu de pensée mais bien de MAUVAISES VOLONTÉS : zéro effort et un million d’exigences tel est l’enfant attardé qui braille sa domination au monde ! Aucun biomimétidsme social (prendre le meilleur en tout)…mais une piteuse rivalité mimétique qui ne quitte jamais le niveau de cour de récréation !
300 ans de combustibles fossiles en 300 secondes
L'histoire humaine des 300 dernières années dont le développement repose sur les énergies fossiles. A la déplétion des ressources pétrolières s'ajoute la destruction de l'environnement, ce ...
http://www.informaction.info/video-environnement-300-ans-de-combustibles-fossiles-en-300-secondes
« On peut éteindre peu à peu le caractère authentiquement démocratique d'un système d'information sans toucher aux apparences. C'est la situation que vit la France, où le CAC 40 a massivement racheté les médias, imposant une idéologie de la " neutralité " mortifère, propulsant sur le devant de la scène ses valets intellectuels, dévastant l'esprit public. Toutes sortes de mensonges, de pseudo-évidences et de mythes consolateurs empêchent les gens de prendre conscience de la gravité de ces manoeuvres. Il est urgent de démasquer celles-ci pour que tous s'emparent enfin de la situation."
écologie humaine… Le mépris des foules n´est pas ajusté du tout au personnalisme ... Il est bon de savoir vibrer en communauté.
c'est de tout ceci dont nous pouvons sortir...tout de suite :