Comment la conscience se rappelle à nous ?
La conscience comme la donner aux autres. Elle se montre bien telle la force impétueuse qui augmente la conscience des autres. Son expansion semble épouser l’épanouissement de la vie partout où elle passe. Simplement, il peut manquer la conscience de la conscience. Comme une eau de cristal troublée par le passage de diverses intrusions inappropriées. Il faut traverser « l’illusion groupale », la pensée comme magie qui aliène tellement plus le haut de la société que son bas (genre dire c‘est faire – et il suffit de m’obéir et tout se fait – alors que les résultats se démasquent bien comme je désorganise trop la société et que donc…je n’ai pas pleine conscience de ce que je fais !) et autres leurres…avant que de vivre de plein pied sa propre conscience. C’est un jour où nous rencontrons notre conscience comme l’alien de l’aliénation que nous quittons. Le teint si pâle de ce spectre ne restera pas longtemps en mémoire. Puisque c’est le big flash ! le satori, l’illumination, la fulguration, soit l’ensemble des co-Incidences qui se rencontrent en un dense instant en nous. Le message ? Tout ce qui est plus grand que nous désire nous amener à leurs immensités. Oui. D’où le côté mystère, merveilleux mystère, que conserve toujours la conscience. Les personnalités – uniques pour chacun-e-s – semblant un bon point fixe, le caractère qui caractérise excellemment, dans le flot ininterrompu des évènements de vie.
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L'évolution-de-la-conscience-avec-John-Perkins
L’évolution de la conscience avec John Perkins : « C’est en marge du Meltingpot Forum, où nous avons été tous les deux invités à donner une conférence, que j’ai rencontré John Perkins. Peu connu en France, cet ancien consultant est beaucoup plus renommé aux États-Unis, où il a été un lanceur d’alerte pionnier sur les malversations de grandes multinationales américaines et vendu plusieurs best-sellers. Souvent comparé à Naomi Klein ou à Edward Snowden, pour prendre des références mieux connues dans l’Hexagone, John Perkins est un personnage haut en couleur. Si on lui demande qui il est, Perkins se présente comme un « assassin économique ». Il a passé les années 1970 et une partie des années 1980 à travailler comme consultant international en conseil stratégique. Son vrai travail ? Faire des études d’impact bidonnées, avec des projections pour le moins enjolivées [[eh oui ! c’est comme cela que cela se passe…qui dit que la Bourse est truquée est encore en-dessous…le privé, accro aux profits insensés, c’est beaucoup de leurres pour vendre et vendre n’importe quoi – triste vie collective si régressée et figée à des mécanismes de simplets – rencontrent-ils un jour « leur » conscience ?]] autour de contrats de construction et d’infrastructure dans des pays en voie de développement. Caché derrière une façade de neutralité, Perkins aurait aidé à « convaincre » des décideurs de PVD à s’endetter considérablement et à accepter des contrats léonins avec des multinationales américaines [[ de tels comportements doivent rembourser toutes les sommes indûment touchées et ne plus être permis de toucher des intérêts d’une dette qui ne devrait pas exister !]]. Il aurait aussi vu récompenser des politiciens achetés avec des pots-de-vin et des escorts. Pour ceux qui ne se sont pas laissé acheter, la CIA s’en serait chargé [[ comme si c’était inéluctable et non pas que montent les répulsions toujours plus énormes que la politique puisse être entre les mains d’êtres si…dépourvus de conscience !]].
Toutefois, par la suite, John Perkins s’est repenti de sa participation à un système qu’il juge bien peu civilisé. Il a dénoncé ce à quoi il avait participé – ou assisté – dans plusieurs livres, notamment Confessions d’un assassin financier (traduit en français en 2005, réédité et retraduit en 2016) et Histoire secrète de l’empire américain (traduit en 2008). Ses ouvrages expliquent dans le détail comment des « assassins économiques » ou « assassins financiers » dorent des pilules empoisonnées, à coup de rapports malhonnêtes, de projections faussées et occasionnellement d’espionnage, et comment les pauvres et les classes moyennes de pays en développement en souffrent [[ puisque leurs consciences leur montrent que c’est de leur faute si leurs vies sont aussi…dépouillées. Oui dépouillées par qui. La conscience est donc la grande libératrice puisqu’elle nous offre les causalités. Non ce n’est point de notre faute si les dirigeants étasuniens sont la grande honte de l’Humanité et que la conscience honnête n’a rien à voir avec ces échecs flagrants de vies – voici qui ressource pur !]] tandis que quelques riches familles se remplissent les poches [[ mais de quoi se remplissent-elles les poches ? D’abstractions desséchées puisque l’argent est un rapport social et sans social une illusoire perdition de vie intérieure. Se remplissent de quoi ? Surtout pas de joies de vivre. C’est un tombeau glacial qu’elles offrent toutes à leurs vides vies !]]..
Lanceur d’alerte passionné, mêlant l’autobiographie à l’Histoire avec un grand H, Perkins s’est vu traiter de théoricien du complot [[ pour nous c’est qui dit complotisme le délinquant qui doit subir les coûts de se diffamations inacceptables : si ententes illicites il y a la causalité n’accuse pas qui fait connaître l’illicite de comploter (qui existe explicitement dans la loi, en plus) mais bien qui se mafiosisent afin de braquer la société. Dire complotisme c’est comme se montrer complices d’associations de malfaiteurs…]] par des membres de l’influent Council on Foreign Relations et du Département d’État Américain. Ses livres sont aussi repris dans les cours d’universités prestigieuses. Lui répond que ses confessions ne relèvent pas de la théorie. Son expérience touche à mes propres questionnements, les politiques prédatrices qu’il dénonce expliquant en bonne part selon lui l’instabilité du monde où nous vivons. »…Ce ne sont pas pauvres, toujours plus nombreux (puisque « la » pauvreté diminuerait oui dans des chiffres eux aussi très biaisés !) oui pas ces pauvres qui sont les volés et jamais les voleurs, qui déstabilisent le monde – mais les ennemis de la société sont bien les grands délinquants trop riches (qu’ils ne soient plus « normalement » riches mais « bien trop » riches avoue d’ailleurs cette haute délinquance qui représente 90 % de la « valeur » de toutes les délinquances du monde…autant dire que ce sont eux qui méritent la prison. Au point qu’ils devraient déjà y être. La conscience rend la Raison d’une justesse et d’une justice incroyables. Ce pourquoi nous devons…systématiquement nous méfier de tout ce qu’ils prétendent leurs pensées. Il ya des chances que ce soit des fraudes mentales et des escroqueries intellectuelles !
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Le-deep-learning-est-il-autre-chose-que-du-bricolage-?
« On a déjà mentionné dans un précédent article, un papier de la Technology Review comparant les recherches en Deep Learning a du « bricolage ». Nous avons également mentionné l’existence d’une crise de la réplication touchant l’IA. Cette fois, ce sont Ali Rahimi (@alirahimi0), chercheur chez Google, et Ben Recht (@beenwrekt), professeur à Berkeley, qui tirent à leur tour la sonnette d’alarme, en comparant l’ensemble de ce champ de recherche à de l’alchimie. C’est ce dont nous informe, dans le magazine Science, le journaliste scientifique Matthew Hutson (@silverjacket), qui, on le notera, aime se plonger dans les domaines où les frontières entre rationnel et irrationnel deviennent floues (il est l’auteur des 7 lois de la pensée magique que nous avons chroniqué). Pour Rahimi et Recht, la situation serait même encore plus grave qu’on ne le croyait.
Comme l’écrit Hutson : « Le problème est distinct de celui de la reproductibilité en IA, à cause duquel les chercheurs ne peuvent pas reproduire les résultats d’autrui en raison de pratiques expérimentales et de publication incorrectes. Il diffère également de celui de la «boîte noire» ou de l’«interprétabilité» de l’apprentissage automatique, c’est-à-dire la difficulté dans laquelle on se trouve d’expliquer comment une IA particulière est parvenue à ses conclusions. Comme le dit Rahimi, «j’essaie de faire la distinction entre un système d’apprentissage automatique qui est une boîte noire et un domaine entier qui est devenu une boîte noire [[ la traçabilité semble encore plus difficile que la conclusion a été posée avant même le point de départ : l’intelligence artificielle est bonne miam miam business, même son avatar miam miam, leurrons-tout s’il le faut, etc. Pour nous, nous n’y avons rencontré que la connerie même pas artificielle…rappelons AUCUNE conscience qui s’agrandit et s’illumine là-dedans !]]».
Pour résumer, les chercheurs en IA ne savent pas trop ce qu’ils font. Ils se reposent sur des recettes aux fondements peu solides, François Chollet (@fchollet), chercheur chez Google, allant jusqu’à parler de « pratiques dignes du culte du cargo, de folklore et de sortilèges ». Ainsi, chaque chercheur a ses méthodes favorites pour entraîner son programme, mais ne saurait souvent pas justifier pourquoi sa technique préférée serait meilleure que d’autres. La preuve ? Des chercheurs se sont emparés d’un algorithme complexe de traduction, puis en ont supprimé un certain nombre de parties [[ or, naturellement et sans technologie, la diction du dictionnaire a déjà résolu nombres de ces impasses. Evidemment, cette haute technique, non technocratique, nous sort de la nursery indigne des affaires…sauf que les bébés en costards-cravates veulent y reeeesteeer !à n’importe quel prix ! C’est donc eux qu’il faut soigner et vite !]]. Il s’est avéré que le système continuait à traduire l’anglais vers le français ou l’allemand, aussi bien, et parfois mieux, que dans sa version originale. Ce qui, note Hutson, signifie qu’on ignorait à quoi servaient exactement les parties supprimées [[ domaine donc où la…conscience est carrément aux abonnées absentes !]].
Dans ce cas, le cœur du programme était efficace, et c’étaient les ajouts périphériques qui s’avéraient inutiles, mais parfois, c’est le contraire. Il arrive, explique Hutson, que l’essentiel du programme soit vicié. Mais l’algorithme continue à donner de bonnes performances. Cette fois, c’est parce que certaines additions périphériques contribuent à corriger le résultat. Rahimi et Recht conseillent cependant quelques actions pour rendre le travail en IA plus scientifique. Par exemple, s’inspirer des exemples mentionnés pour « découper les programmes », et les exécuter étapes par étape, pour voir quelles sont les séquences desdits programmes véritablement indispensables et quelle est leur efficacité réelle. [[autre que des mots radotés en boucle pour ne s’occuper que des…ventes ! Ventes immérités alors…]]
Il faudrait aussi s’inspirer de l’expérimentation en physique. Les physiciens, dit Ben Recht, sont très forts pour « inventer des expériences simples susceptibles de révéler des explications à certains phénomènes. ». Pour Hutson, « certains chercheurs en IA adoptent déjà cette approche, testant des systèmes de reconnaissance d’images sur de petits caractères manuscrits en noir et blanc avant de s’attaquer à de grandes photos couleur, afin de mieux comprendre la mécanique interne des algorithmes [[ en gros commencer par le début et pas par la fin. Par le premier pas et pas par l’arrivée lointaine. C’est cela la médiocratie pour ces imposteurs l’intelligence ce sont « que » des résultats finaux, et pas toute la route qui permet d’y accéder. Aussi si nous les laissons tout souiller il n’y aura plus de résultats (devenus…incompréhensibles !) puisque plus personne de…capable de parcourir toute la route nécessaire. Afin d’inverser le rabaissement du monde par les fausses élites du prétendu haut, il s’agit énergiquement de « publier les génies » (ce qui regroupe tant d’actions dont ceux de faire une place « normale » aux originaux des origines, aux esprits transversaux, aux insolents du verbe, à tous les penseurs qui pulvérisent les frontières entre les disciplines mais aussi – concrets et pratiques en tout – de privilégier tout le temps la diffusion toute simple, décentralisée, sur le tas…chacun.e utilisant les photocopies, l’envois de liens, de paroles, tous les moyens « individuels » et non coûteux de diffuser la conscience afin de foutre K.O. la médiocratie (dont nous avons une description hallucinante en politique depuis trop d’années).» Un vecteur de conscience si défiguré par des snobs et leurs manies ridicules ?
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Se-perdre-dans-un-livre-est-carrément-bon-pour-la-santé
« La «transportation» est particulièrement accessible quand vient l'été. Les transats [[ c’est mieux l’herbe ou le sable – tellement plus sensuels !]] n'attendent que cela [[ nous pas !]], qu'on s'y prélasse avec un bon livre. En hiver aussi lire est tout à fait recommandé par les psychologues et scientifiques [[ ce n’est certainement pas leur opinion qui peut passionner sur le sujet, c’est, au mieux, que des secondes mains – seulement leurs recommandations de santé accusent directement qui ne publient pas les génies…depuis les années 1980 ! Ils/elles auront porté atteinte à la santé de toutes et tous…et ça se voit. Clair ?]].
Car lire procure joie et plaisir, en plus de sortir du stress [[ dû à « la prise en otage » de toute la parole publique par les médias privés et de l’ambiance collective si souillée par les turpitudes des non-classes supérieures, turpitudes dont nous n’avons bougrement rien à foutre sinon d’être sûr.e.s que ce ne pas eux/elles qui doivent diriger ( diriger de dire – de savoir dire). Du tout même !]]. C'est en tout cas ce la démonstration de la doctorante en communication Melanie Green, qui a travaillé sur les bienfaits de ce qu'elle la «transportation», à savoir ce qui peut se passer quand on se laisse transporter par une lecture [[ ce qui est omis c’est la puissance de la métaphore qui, bénéfiquement, fait échapper le langage aux imposteurs linguistes. Le langage n’est pas une simpliste abstraction indigne d’être apprise dans les universités mais bien une joie vibrante d’expression, d’ex-pressions, des sons d’une intelligence qui nous grandit sans cesse – oui comme des germes de conscience lové dans chaque mot – et l‘ensemble des mots qui font une super-atmosphère qu’il faut multiplier par un million afin de bien la…ressentir ! Métaphore c’est phorein transporter, le transport, et méta au-delà, donc transporter ailleurs. Ce qui est, limpidement, toutes les utopies rassemblées ici et maintenant. La langage est la plus vaste des utopies réussie puisque déjà réalisée (ancrée dans le concret)…c’est notre conscience (le réaliser – s’en rendre bien compte – en emplir la conscience en se tapant le front « mais c’est bien sûr ! ), oui notre conscience entière qui manque…qui manque pour le moment. Ce pourquoi la lecture qui se démontre par le dé-lecté lecteur fait VIVRE de tous les sens et les saveurs des saveurs – c’est un grand acte de santé. Ce n’est plus de la transportation mais du…ravissement. Ravi.e.s nous en sommes ravi.e.s. Chaque mot dit, au départ, tout son suc, toute la trajectoire, donc le trajet qu’il permet. Vivre la diction du dictionnaire amplifie tout cela puisque tant de trajets s’y ajoutent (donc transports avec trajets…on va bien…y arriver !)… Les snobs rigidifiés, eux, restent à la porte et disent juste des niaiseries (celles qui nient et je niais niais, n’est-ce pas ?]]. »
Les histoires font grandir : Lire nous permet de penser et ressentir les choses de façon différente, selon Keith Oatley, docteur en psychologie appliquée le jour et auteur de romans la nuit. «Vous abandonnez certaines de vos habitudes et pensées, et cela permet de se projeter dans une personne différente dans des circonstances que vous auriez pu ne jamais rencontrer [[ sauf que la vie quotidienne permet TOUTES les rencontre comme nous l’avons surtout pas romancé mais décrit comme…vécu dans « Nul n’est nul »- cette méconnue glorification de l’oral. A l’orée tout est oral, non ?]]»
Ces résultats prouvent l'importance de la lecture pour comprendre les autres, apprendre à se mettre à leur place et se comprendre soi-même [[ bon là on est carrément au caté’, y’a plus d’odeurs sauvages, mais il y a un tout petit peu de cela – soit, en tout, préférer les originaux pas les pales copies… ]], explique Oatley. Il est persuadé que plus d'importance devrait être accordée au pouvoir de l'art dans la construction de la personnalité et l'évolution de la maturité [[ en gros, il se goure de sens ; ce sont nos personnalités indomptables et nos maturations qui font accoucher de l’art – et non cet inverse lunatique et asexué…l’art prévu pour nous construire, mais une fois construit.e qu’est ce qu’on fout de l’art… ? Le monde à l’envers des instrumentalisées par tous les outils d’aliénation existe bien, nous le rencontrons à chaque détour de phrase, vrai ou faux ? Et comme nous nous sommes extraits depuis belle lurette, individualisme falsifié que se nomme cette pacotille, nous le voyons…tel qu’il est. En bref, rien à voir avec la vraie vie que nous nous permettons d’enfourcher au galop de chaque jour. Et vous ?]]. »
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Comment-l'idéologie-identitaire-fait-perdre-à-la-gauche-son-identité-collective
Le phénomène d’idéologie identitaire [[ ouais c’est une idéologie, donc rien de grand dedans – cela ne peut que rapetisser !]] qui se répand dans le monde occidental sert une stratégie politique d’atomisation sociale qui interdit l’émergence d’une véritable résistance aux classes dirigeantes [[ aux U.S.A. le gag c’est my identity trumps reality…l’identité trompe la réalité avec Trump comme exemple de faux et d’usage de faux – et donc la vérité est son ennemie puisqu’elle « prouve » ses faux, etc.…et retour à la bobine rembobinée…]]
Un principe fondamental du socialisme de départ est l’idée d’une solidarité globale rassemblant la classe ouvrière internationale et qui invalide tout facteur susceptible de la diviser, tel le nationalisme, la race la religion ou le genre. Les travailleurs de tous les pays y sont mobilisés sur des bases de solidarité, avec même valeur et même niveau de responsabilité [[ tout le monde aussi chef que les autres pour l’autonomie de…conscience !]] dans la lutte contre ceux qui exploitent [[ sans exploits mais seulement emplois…]] leurs capacités intellectuelles, leurs talents, et leurs efforts physiques.
Il demeure que le capitalisme, en particulier sous sa forme la plus blette, la plus exploiteuse et la plus cruelle – l’impérialisme – a accablés certains groupes humains plus que d’autres, au sein des classes laborieuses. Les empires coloniaux eurent tendance à réserver leur répression la plus brutale aux peuples indigènes des colonies [[ qui n’avait d’autres défauts que d’exister lorsque les détraqués indignes occidentaux voulaient juste tout piller et tout prendre…sans aucun droit…oui des monstres anti-civilisés qui prouvent que lorsque l’on a tort on commet encore plus de torts ; les tortures illégales imposées aux colonisé.e.s (innocents de ce qu’ils ont juste subis) doit mettre fin à cet occident avec effet immédiat – toute conscience est une prise et une prise de conscience !]], tandis que la classe ouvrière nationale de ces pays impérialistes, plus proche des miettes qui « ruisselaient » de la table impériale, pouvaient en espérer quelques unes [[ mais moins que rien il suffit de voir les tableaux de Brueghel où les miséreux sont sous les tables pour visualiser ce que c’est d’avoir…les miettes. Rien ou pareil c’est juste démontrer un manque absolument de conscience que de prétendre que cette barbarie inhumaine insultante et insensible serait de la…sociabilité. Clair que c’est de l’antisocial partout ]]. Mais la lutte de classe internationale vise à libérer tous les peuples du fardeau du capitalisme, quel que soit leur degré d’oppression passée ou présente. L’expression «blesser quelqu’un est une blessure pour tous» acculture cet état d’esprit et contredit l’idée de prioriser les intérêts d’une faction de la classe ouvrière sur l’ensemble du collectif. Depuis la fin du 20ème siècle, une tendance idéologique libérale s’est insinuée vénéneusement au sein de la gauche petite-bourgeoise (dits les sociaux-traitres) qui prétend abolir la conscience de classe au profit d’identités multiples basées sur le genre, la sexualité, la race, la religion ou tout autre facteur de division communautaire, étranger aux rapports sociaux de production subis par tous. Chaque sous-groupe, de plus en plus dissocié de tous les autres, se concentre sur la forme spécifique d’identité qu’il juge partager en propre, ne considère que les expériences individuelles [[ même l’anarchie se capitalise sur ce faux passé et ne se projette plus jamais galopante de nouveautés, d’insolentes innovations, devant, toujours loin devant la société qui ment : ce pourquoi les anti-conformismes « naturels » nous font reconnaitre ceux/celles qui ne sont plus surtout anars – cette vieillerie figée dans son musée – mais N.R.V., oui énervés car vibrants de vie et de bonheur sans cause. Dans Noir Rouge Vert, Noir c’est le 1/3 (tiers) et pas toute la place dissociée, séparée, séparatistes, identitaires, protectionnistes, traitres, plus solide-solidaire et en avance sur les luttes comme FURENT les libertaires mais n’aiment plus du tout l’être (conclusion mieux vaut rester NRV) de ses membres et donne la priorité à sa seule autonomisation. Toute personne extérieure à ce sous-groupe auto-centré est au mieux rétrogradée au rang « d’allié » [[ plus d’associé plus d’associé-té donc ! La conscience est une et ne pliera jamais ce sont les retraits régressifs des « fausses » identités qui doivent se plier, se ranger, faire leur bagages pour la route de REFAIRE L’UNITÉ PARTOUT ! Cela secoue les pruniers des ex-intranquillités, non ? Pas rangés et pas peinards c’est ça le futur – dégage donc de ta stalle canasson !]] . »
« Chaque sous-groupe a sa propre idéologie [[ beauârrrrkk ]] et ils en arrivent à consacrer l’essentiel de leur temps à se confronter entre eux, suscitant une forme d’émulation aliénée qui tourne principalement autour du degré d’oppression subi par chaque « communauté » et permet de disqualifier celles jugées les moins opprimées en leur enjoignant de «vérifier leurs privilèges», tandis que se rejoue continuellement le classement des «Olympiades de l’oppression [[ quels concours de médiocraties, qui sera le plus médiocre, qui éteint le plus le cœur d’autrui, qui macule les utopies réussies, qui n’a pas de futur pour les autres…remporte le non match…puisque match ça allume, rend conscients et là c’est l’inverse !]]».
Il est beaucoup plus facile de «lutter» contre un groupe également ou légèrement moins opprimé que de se mobiliser pour s’unir avec eux contre l’ennemi commun – le bourgeois capitaliste. Combattre l’oppression par une rhétorique identitaire est, au mieux, une forme paresseuse, perverse et fétichiste de la lutte de classe menée par des activistes par frustration, majoritairement libéraux, issus de la classe moyenne et de l’enseignement supérieur, dans une incompréhension et une totale extériorité à toute idéologie positivement révolutionnaire. Au pire, c’est un ressort idéologique de plus, instrumentalisé par le 1% dirigeant pour diviser les 99% restants en 99 ou 999 groupes distincts et concurrents, plus préoccupés par leur propre petit monde que de défier le statu quo politique et social. Il y a une idée stupide, mais méthodiquement construite et répandue parmi la petite bourgeoisie « éduquée [[ quelle mal apprise !]]» occidentale, qui est que la politique identitaire dériverait de la pensée marxiste. Elle a servi à populariser l’expression dénuée de sens de «marxisme culturel», qui a plus à faire avec la sous-culture libérale qu’avec Marx, mais qui est sollicitée pour mieux vendre cette idéologie nombriliste. Non seulement la politique identitaire n’a rien de commun avec le marxisme, le socialisme ou tout autre aspect de la pensée traditionnelle de gauche, mais elle en est l’antithèse parfaite.
» Une blessure à une personne est une blessure pour tous » a été remplacé par quelque chose comme » Une blessure pour moi, c’est tout ce qui compte » . Aucun pays socialiste, que ce soit dans la pratique ou de nom seulement, n’a favorisé la politique d’identité. Ni les nations africaines et asiatiques qui se sont libérées de l’oppression colonialiste, ni les États de l’URSS et du bloc de l’Est, ni les mouvements de gauche qui ont surgi en Amérique latine au début du 21ème siècle n’ont eu le temps de jouer à l’identité politique. L’idée (fausse) que l’idéologie identitaire est une composante spontanée de la pensée de gauche historique fut conçue et promue… par la droite, cherchant ainsi à disqualifier les mouvements progressistes de gauche, [[ progressistes c’est ce qui progresse donc refuse la guerre de positions pour la guerre de mouvement – donc hyper culturel (1er pouvoir en France), de ses censures à contourner, du langage, et de la conscience – tout se tient et nos trésors sont immenses et des solutions pour tous. Le langage, NRV, tout le développement dit personnel, la clef des sciences et de la logique ainsi que la Fête mondial, etc. Tout cela nous le vivons sans se gêner depuis toujours…grâce à la conscience qui VEUT devenir plus consciente, tout savoir, tout ressentir, tout comprendre…ceci couve une civilisation complète qui ne peut que naître…y a-t-il d’autres utopies (nous disons nous réalismes sensibles) aussi finales ?]] et exploitant des « innovations théoriques » de libéraux qui cherchent à infiltrer, diaboliser et annihiler les mouvements de transformation sociale progressiste, ou de jeunes radicaux chimériques sans la moindre culture ou théorie politique et qui n’ont ni la patience ni la discipline de l’acquérir. D’autres encore, cherchent les « cheap thrills » que leur procure l’auto-conviction d’avoir ébranlé les fondements de l’« establishment » bourgeois alors qu’en réalité ils en sont les collaborateurs les plus efficaces.
Cette idéologie identitaire est très majoritairement un phénomène « émergent » de classe moyenne, encouragé car apprécié de la classe dirigeante à qui il permet d’entretenir à moindre frais l’aliénation panurgique amplement relayée par ses massmédia. En Occident, vous êtes libre de choisir n’importe quel genre ou sexualité, de faire la transition de l’un à l’autre si ça vous chante, voire d’en créer un nouveau qui vous soit propre (dont idéalement vous seriez le seul et très remarquable représentant), mais vous n’êtes pas autorisé à remettre en question les fondements du capitalisme ou du libéralisme. {{ les enfants allez jouer, jouer seulement il vous est interdit d’être adultes ! Combien « obéissent » même chez les libertaires ? Bravo, trop !]]. » (Tomasz Pierscionek)
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Toute conscience est une prise et une…prise de conscience (comme de Bastille) ! Aussi, partout où il y avait prise nous avons agrandi nos consciences Afin de prendre au piège et au filet la barbarie inexcusable du capitalisme, chaque jour nous avons immensifier nos consciences..
Et ? A ce jour plus un thème, plus un sujet, plus un ressenti et une empathie ne nous « échappent ». La préhension (main) de la com-préhension enlève même toute les ap-préhensions. Oui, nous pouvons sans risque quitter le bouge antisocial des faux dirigeants. Notre monde (qui est une vraie civilisation) est un million de fois plus grand, plus abondant, plus social, plus honnête, plus tout, plus accueillant, plus « réussi» que le leur…
……………. Et nous en avons déjà PLEINE CONSCIENCE !
………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste civilisation nouvelle nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Jorion brosse au vitriol un portrait érudit et rigolo de l’idéologie politique et de l’organisation de l’humanité actuelle, qui s’acheminent vers leur extinction naturelle, et il propose quelques idées pour l’éviter. Cela commence avec le procès de monsieur x, trader et mercenaire zélé de la banque d'investissement Gloldman Sax, accusé d'avoir créé un produit financier à partir des créances les plus pourries du marché, qu'il a revendu sciemment à ses clients avant de parier sur l'effondrement de cette "camelote". Pourquoi ? Parce que ces clients étaient faibles, et que le système dit M.A.F. (Mort Aux Faibles) ! Bien sûr, cela nous rappelle quelque chose... Comment a-t-on bien pu en arriver là ? C est le postulat de départ des auteurs : comprendre. Jorion et Maklès expliquent pourquoi et comment. Ironiquement et avec beaucoup d'humour (noir), ils décortiquent l'invention falsifiée du travail, le partage stoppé des richesses, le management du Man, la Bourse ou encore l'ultra libéralisme – cette maladie mentale.
/https%3A%2F%2Fstatic.usbeketrica.com%2Fimages%2Fthumb_840xh%2F5b68264832068.jpg)
#BrightMirror, saison 2, chapitre 3 : Écologie
Bright Mirror est une initiative pensée par bluenove à l'occasion d'un débat réalisé avec The Future Society sur l'IA. Ce projet d'ateliers d'écriture collective, dont Usbek & Rica est parten...
https://usbeketrica.com/article/brightmirror-saison-2-chapitre-3-vegetalisation-et-ecologie
3 nouvelles écolos
Une blessure à l’un est une blessure à tous est une devise populairement utilisée par les travailleurs industriels du monde. Dans son autobiographie, Bill Haywood a crédité David C. Coates de proposer un slogan de travail pour les IWW: blesser quelqu’un est une blessure pour tous
Confessions d'un assassin économique : entretien avec John Perkins
Matthew Hutson - les 7 lois de la pensée magique...transversal
Comment décoller les étiquettes difficiles : une solution simple et écologique ! Sur les objets ceci parait facile mais sur les humains ? C’est tellement anti-écologique que d’encoller sa propre non perspicacité, son peu d’intuition, son manque d’ouverture, d’accueil sur le dos…tourné des autres…
L'illusion groupale - sa découverte
Qu'est-ce que la conscience ? Les Autres en ont-ils une ? Sont-ils juste des zombies ou des robots très bien foutus ?
Qu'est ce qu'un réseau de neurones ? La théorie du deep learning
/https%3A%2F%2Fmrcircuspoliticus.files.wordpress.com%2F2018%2F07%2Fstatue-justice-aveugle.jpg%3Fw%3D1200%26fit%3D440%2C330)
Matrix : Pourquoi les gens défendent-ils des systèmes injustes, incompétents et corrompus ?
Morpheus dans le film Matrix (1999) Comment se fait-il que les gens défendent et appuient des systèmes sociaux (gouvernements, institutions, entreprises...) qui s'avèrent injustes, incompétents...
Pourquoi les systèmes corrompus, incompétents et injustes sont tant défendus par les...conformistes ? Toute prise de conscience est nécessaire et il y en a de plus cruciales – au moment présent – puisque ces autres surviendront…après que les premières seront réalisées (pigées)
De quoi la gauche est-elle le nom? Pour acquis de…conscience. Ou la non-pensée des @lasses moyennes ?
Révélations sur la manipulation des économies du monde par les États-Unis (document complet)