Déprofiter comme une guérison ?

Le mot mondialisation est un grand malentendu. Il s’agit, en fait, de la seule globalisation financière sans et contre les peuples. C’est-à dire le système le plus centralisé et hiérarchique possible. Trop centralisé, il suffit de se rappeler qu’en 2007 la ruine d’une seule grande banque a déclenché la crise…systémique (de l’entier système bien trop centralisé). Et très hiérarchique avec rien « d’horizontal », d’égalitaire comme la propagande sur internet nous dessinait un monde vraiment décentralisé – celui qui mériterait bien le nom de  « mondialisation ». C’est que ce capitalisme des avidités rampe tellement qu’il ne s’affuble que des noms les plus contraires à ce qu’il est à ce qu’il fait. Pourquoi dire ceci ? C’est que la « démondialisation » sera cette perte de verticalité opaque, ces décentralisations avec les pays que le mot ne le laissait prévoir.

Les faits ? En 2 000, l’occident centralisé aux U.S.A. et hyper hiérarchisé par lui (d’aucuns parlaient de « l’américanisation du monde » derrière le masque trompeur d’une mondialisation  inexistante), oui cette globalisation financière, qui inverse tous les mots, c’était, en 2 000, 68 % du Pib mondial à lui tout seul. Moins de 20 ans après c’est…47 %. La rétractation se poursuit à grandes enjambées. Les BRICS, dont les médias mainstream s’entêtent à nier la puissance, et ne les font donc pas entrer dans aucune de leurs fake analyses. Ce sont eux, les BRICS, qui démondialisent. Soit qui aident le monde à se…mondialiser vraiment. Multipolarités, décentration des enjeux, méthodes neuves pour contourner l’ennemi planétaire : les États-Unis et ses alliés (qui ont, désormais, tout à perdre à demeurer dans son sillage de complètes irrationalités). Sa « guerre économique » c’est contre lui-même qu’il l’a déclaré et il ne peut que la perdre. Tout bêtement parce que le monde peut se passer d’eux et que les étasuniens, eux, ont besoin du monde. La pseudo mondialisation c’est juste la rétraction accélérée de l’Occident. Ce qui devient très crucial si démondialisation = déprofitation !

Déprofiter (mot que nous trouvons encore dans nos campagnes comme plus répandu au Moyen Age) est un concept complexe trop neuf pour ne pas prendre, dès le départ, des précautions. C’est que la lutte contre l’argent fou est desservie par le gigantisme de ses flots, oui sa taille si énorme. Inimaginables, incommensurables et donc très difficiles à « traduire » en sensations et en…représentations. Il faut apprendre à nos corps le sens des grandeurs, des proportions, l’habituer à comparer l’immensité des sommes avec nos vécus quotidiens, dompter véritablement ces représentations. Les imagiter. Déjà nous ressentons la rétraction de l’ex-grande richesse occidentale de…30 % en moins de 20 ans). Et nous imaginons que jamais il n’y a eu autant de cash flow sur Terre ce qui permettrait de résoudre TOUS les problèmes et très vite. Et que les cœurs très malades et les cerveaux corrompus qui titrisent et abstraient ces réalités fortes, plongent tout dans l’inertie malsaine de multiplier…des signes abstraits, des illusions de pouvoir (le vrai pouvoir sera de résoudre tous les problèmes à la fois, non ?) et…donc l’usage irrationnel de l’argent fou ne résout aucun problème mais les multiplie tous. L’inefficacité qui razzie tout ! La barbarie qui chasse la civilisation que nous défendons parce qu’eux l’attaquent…

Ainsi face aux richesses incroyables (les vraies richesses) de la Nature et ses irremplaçables fonctions et services gratuits, ces cerveaux gravement endommagés (que nous démettre de toute fonction de décision) vont…abstraire, extraire en des symboles plus que puérils, si débiles, pour se fasciner sur du…vent. Ce trop d’argent (dont jamais il ne « profitent » sensiblement ni sensuellement) c’est la destruction de la nature pour en retirer, avec de monstrueux gaspillages, une soi-disant « valeur ». Et que le profit est la tête folle qui tire ces comportements barbares. Barbares d’antisocialités puisque cette abstraction inhumaine massacre les rapports sociaux et humains, la sociabilité et les talents incroyables tous piétinés. Etc. (les dégâts des faux profits dépassent tant leur chiffre). Qu’il y ait déprofit devient une bonne nouvelle. Déjà, il faut savoir que la capitalisme est une métaphysique, oui un très toxique idéalisme, qui vit dans des chimères plus que hors réel. Oui l’argent ferait des petits en dormant : ce qu’il implique qu’il soit sexué ou hermaphrodite. Ce que ces billets glacés ne peuvent se permettre. Oui la théorie néoclassique et son dogme dément du « tout retourne à l’équilibre » présuppose donc une génération spontanée qui ne nait que d’elle-même. Le profit ne ferait pas partie de l’économie réelle mais…extraterrestre et il s’empêche d’aller le vérifier. Il est donc issu de l’immaculée conception, du génie de l’affairiste qui croise, en route,  le réel. Ce pourquoi ces hypocrisies aberrantes place…hors bilan toutes les « externalités ». Externalités ? Oui tous ces coûts cachés que le profit ramené sur terre ne veut pas endosser. Et qu’il doit pourtant. Le profit – matériellement et pragmatiquement – est un immense coût caché. Que – grands escrocs – certains ramassent en faisant payer ces…coûts par d’autres. Donc d’internaliser ces coûts externalisés (comme une comptabilité triple – avec dettes envers la nature et les ressources – le permettrait) fait que…le profiteur (mot si répulsif, si négatif, comme d’un mac...maquereau) doivent réparer les dégâts causés à la nature et ceux causés à la société avant d’envisager le moindre « bénéfice ». Bénéfice mot issu de bénéfique et que ces pervers insalubres ont inversé en les « maléfiques » qui font que du mal. Par leurs coûts cachés qui surpassent trop souvent le montant du fake profit. Une civilisation du profit et celles des croyances religieuses les plus folles (non l’argent abstrait et non naturel ne fait…pas des petits- ces prétendus petits sont des vols indignes commis contre l’argent public et les humains normaux !). Déprofiter sonne comme une guérison. Vérifions l‘ampleur de cette guérison.

Natixis.:.constat-professionnel-que-la-globalisation-financière-tue-tout-social

Nous assistons à une régression évitable - "La globalisation économique et financière fait disparaître les politiques redistributives" : Natixis du 3 juillet 2018  En cause, le fait que pour attirer (déplorablement) les investisseurs, les différents pays, mis en concurrence entre eux, nivellent par le bas les salaires et les impôts sur les entreprises, et par le haut les taux de rémunération des actionnaires. Autrement dit, la vieille règle du « mieux-disant, moins-coûtant ». Tout ceci NUIT énormément à 90 % de l'Humanité, en fait. Oui ?

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Commençons par visiter toutes les matérialités où déprofiter fait densément sens – « Fouilla mes belets ! : - Ya un rapporte-paquet qu’a dit au poste qu’au Pont-d’Arc, oussequ’ya des pleines bourouettes de pagnots ki prennent leurs congés en plein cagnard, à saluer les australopithèqyes bataves ki kayakisent le gouillat ardéchois, ben y paraît qu’y a 4 0000 ans, yavait déjà des hominidés « castanéiculteurs » avec des dents encore plus pourrites que celles du…X. Comment ça c’est quoi des castanéiculteurs ? (etc. …) Alors il a soupiré cette phrase historique :
« Mes amis, parfois y vaut mieux être un spéléologue sans grotte qu’un homme sans profondeur. »

La-grotte-Chauvet-inscrite-au-patrimoine-mondial

La recherche économique (sic), après avoir attribué les inégalités à des facteurs tels que l’éducation, constate maintenant que le génome jouerait un rôle clé. Il ne définit pas le niveau mais la façon dont l’individu va épargner…son patrimoine génétique = inégalités des richesses. Faux et plus que faux. Si nous avions un génétisme supérieur ce serait spécifiquement pour aider les autres non pour les enfoncer. Oser brandir un prétendu patrimoine génétique semble bien  prouver qu’il n’en existe point. De la bonne sorte.

Trois-banques-françaises-accusées-de-spéculer-sur-la-faim-dans-le-monde

« Deux ans après un premier rapport pointant du doigt quatre banques françaises qui spéculaient sur la faim dans le monde, l'ONG dresse un nouveau bilan. Le Crédit Agricole s'est retiré de ce genre de fonds mais BNP Paribas, BPCE et la Société générale, non. L'Oxfam France vient de publier la seconde édition de son rapport lancé en 2013 sur les établissements bancaires français qui spéculent sur la faim dans le monde à travers des fonds de placement spécialisés dans le secteur des matières premières agricoles. Parmi les quatre établissements financiers pointés du doigt en 2013, le Crédit Agricole «semble bien avoir respecté ses engagements et cessé toute activité spéculative sur les marchés agricoles, mais refuse toujours de prendre des engagements fermes dans la durée», note Oxfam dans son dernier rapport sur ce sujet.  En revanche, «trois groupes bancaires français proposent toujours à leurs clients des outils permettant de spéculer sur les prix des matières premières agricoles [[ donc d’être des… « affameurs », selon ce mot si précis du 18 ème siècle : BNP Paribas, Société Générale et BPCE via Natixis, toujours selon Oxfam. Le montant total des fonds gérés par celles-ci s'élève aujourd'hui à au moins 3,561 milliards d'euros», contre 2,58 milliards en 2013. Un montant en augmentation de 38 % en 2 ans malgré le retrait du Crédit Agricole. En France, la Société Générale «est aujourd'hui la banque française qui spécule le plus sur la faim» et ce malgré «un important effort de transparence», a indiqué Clara Jamart, d'Oxfam France ce lundi matin sur France Info. L'établissement gère selon elle un montant total de fonds actifs dans ce domaine estimé à 1,359 milliard d'euros.

Spéculation trop galopante : Oxfam dénonce le fait que ces «activités toxiques mettent en péril le droit à l'alimentation de centaines de millions de personnes» et que «la spéculation galopante aggrave la volatilité des prix alimentaires» rappelant qu'une personne sur neuf dans le monde ne mange pas à sa faim. Un rapport qui n'est pas du goût des spécialistes des matières premières agricoles [[ il faut inverser les priorités : ce sont leurs comportements qui ne sont pas du goût de tant de vrais humains…ils devront en changer et vite, vu que, nous, nous ne changerons pas d’indignations ni de répulsions..]]. «L'argument il n'y a que 3% des denrées agricoles qui correspondent effectivement à des livraisons physiques, les 97% restants étant liées à des opérations de couverture et d'arbitrage sur les marchés à terme, ne tient pas la route. L'agriculteur ne va pas à aller livrer son blé à la bourse, s'insurge Michel Portier, gérant du cabinet Agritel, spécialisé dans la gestion du risque des prix des matières premières agricoles. La volatilité est du au fait que l'on a des produits météo sensibles, il faudrait réduire les accidents climatiques et éventuel géopolitiques. Il n'y aurait plus de spéculation»…La spéculation est une déchéance morale qui nuit aux autres, une concurrence complètement faussée et non libre qui doit être virée de partout ! Déprofiter à fond va permettre aux vrais humains…de profiter (sens positif enfin du mot – soit profiter gratuitement) de toutes les gratuités si généreuses de la nature et de la vie....******

Démondialisation-et-déprofitation-soit-la-baisse-des-marches-l'édito-de-Charles-Sannat

« La mondialisation, ça ne rapporte qu’aux sociétés cotées en Bourse ! [[ ce pourquoi mondialisation est un fake mot !]] : N’y allons pas par 4 chemins. Ceux qui pourfendent comme moi le totalitarisme marchand, l’optimisation fiscale qui n’est qu’une grande fraude légalisée, ou encore ces multinationales sans morale ni éthique, ne peuvent pas se satisfaire de la mondialisation telle qu’elle est [[ surtout telle qu’elle n’est…pas !]]. Y mettre fin nécessite de s’attaquer de front à des profits monstrueux et plantureux. Il y a de quoi se faire beaucoup d’ennemis évidemment, et ceux qui détiennent et gagnent beaucoup d’argent sont ces grandes multinationales qui profitent [[ verbe hideux qui va avec profits !]] à plein de cette globalisation et de l’absence de contre-pouvoir et d’entraves. La Bourse, sans pour autant s’effondrer, réagit nettement plus aux risques de guerre commerciale et donc de démondialisation, ce qui implique une immense « déprofitation»  pour les grosses entreprises cotées sur les grands marchés financiers mondiaux.

L’ère de la «déprofitation». Je sais, ce mot n’existe pas [[ quoique dans nos Régions et au Moyen Age, des traces en sont restées…]], mais j’invente les mots que je veux inventer, enfin pas tout à fait, nos amis antillais comprendront encore plus vite, eux qui parlent de «profitation» ils m’ont inspiré ce terme ! Et vous allez très vite piger, j’en suis certain ! La déprofitation est un phénomène économique qui correspond à une baisse structurelle et de très longue durée des profits des entreprises. La déprofitation est la petite sœur de la démondialisation. Si vous démondialisez, vous allez déprofiter et les dividendes du CAC 40 risquent d’être moins plantureux [[ pour l’intérêt général et le long terme, donc les générations futures, il vaut mieux…investir que de dividender !]]. Vous allez baisser les marges de production, inciter à la relocalisation, vous pouvez même déclencher une inflation sur les salaires si l’emploi repart. Pourquoi avons-nous de la déflation ? Parce que les salaires ne peuvent pas progresser depuis plus de 20 ans. Sans progression des salaires et de l’emploi, c’est tout le système qui s’effondre. Remettre les choses dans le bon sens est une bonne chose [[ dès 1903, le mécanisme double de la surproduction et de la sous-consommation due à la faiblesses des revenus ont très bien été compris : l’aveuglement répété des idéalistes capitalistes aboutit à ce qu’ils ne connaissent toujours rien aux vraies affaires. Les véridiques affaires c’est collectif, holiste, global (englobant, dans le vrai sens du mot) et demande du…désintéressement. Soit qui sait déprofiter engrangera des bénéfices bénéfiques pour toutes et tous !]]. Les Chinois vont couiner, les grandes entreprises, aussi. Au bout du compte, on se rendra compte d’une chose :

La primauté va au pouvoir politique. L’économie n’est que de l’intendance : Nous avons juste laissé aux affaires des politiciens affairistes [[ donc qui ne connaissent rien aux affaires collectives ]] et plus ou moins vendus ou achetés, y compris les syndicats, d’ailleurs vous avez dans cette édition un article consacré aux nouvelles fonctions de l’ancien patron du syndicat FO. Stupéfiant. Le véritable pouvoir est le pouvoir régalien. Encore faut-il avoir le courage, la volonté et l’indépendance de l’exercer pour le bien des nations et des peuples. En attendant, si la démondialisation se poursuit, il y aura un mouvement concomitant de déprofitation. S’il y a moins de profits, de rendement et de dividendes, le cours action chutera et prendra en considération les nouvelles perspectives économiques. L’ajustement se fera à la baisse sur les actions, mais si c’est bien fait, les États ne tomberont pas dans l’insolvabilité, et mieux vaut un énorme krach boursier que des faillites d’États en chaîne. »…L’idéologie crasse de la métaphysique boursière des profits extraterrestres, obtenus par générations spontanées dues aux génies d’humains dénaturés – et non par des pillages camouflés de l’économie réelle – volera seule en éclat. La fin du PARASITISME boursier qui n’a jamais servi à trouver les meilleurs allocations pour les ressources toutes…collectives – sera donc un excellent bien pour toute l’Humanité. Elle en fera même une Fête mondiale !]]. »

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La-privatisation-des-barrages-menace-jusqu'à-la-gestion-de-l'eau

La folie hystérique est à la base des privatisations des biens communs. Par rapport aux lois de la réPublique, les services publics seuls répondent à toutes leurs exigences. Privatiser peut se démasquer carrément antirépublicain…« Privatiser l’eau : un risque pour la souveraineté énergétique et la maîtrise de la production ».  En fragmentant le réseau, il existe un risque de « désoptimisation » des chaînes de production hydraulique existantes [[ le privé aveuglé par son seul profit n’est pas apte du tout à se charger de réseaux qui doivent servir tout le monde équitablement – c’est une aberration que de refuser de s’en rendre compte !]]. Disposées au gré des rivières et des fleuves, les centrales composent de véritables vallées hydrauliques en interface avec les collectivités territoriales pour la gestion du débit et des sédiments. Ouvrir à la concurrence les barrages imposerait d’écrire des cahiers des charges, prévoyant les usages futurs de la ressource en eau dans un contexte de changements climatiques. Or cet exercice semble difficile. Par ailleurs, pour s’assurer que les contrats de concession seront bien respectés, [[ le privé cupide étant trop connu pour ne pas respecter les contrats !]] les pouvoirs publics devront se doter d’un outil de contrôle inexistant à ce jour [[ c’est le privé avide et sans respect qu’il faut contrôler afin d’engranger de substantielles recettes et sûrement pas les chômeurs !]]. L’enjeu est de taille : assurer une qualité de service [[ mot d’ordre des services publics de plus grande qualité que le privé puisque…à but non lucratif !]] équivalente à celle des exploitants historiques, garantir la sûreté des barrages et prévenir les risques naturels.

L’autre pierre d’achoppement est la question de l’ouverture des marchés. Comme le martèle Marie-Noëlle Battistel, « elle introduit un risque pour la souveraineté énergétique et la maîtrise de la production [[ c’est au niveau du Secret Défense donc sans intrusion du…privé !]]». Si des entreprises étrangères venaient à exploiter les grands ouvrages hydrauliques français, l’État pourrait ne plus être en mesure de garantir l’indépendance énergétique du pays. La mise en concurrence ne pourrait-elle pas pourtant permettre de réduire les coûts de l’électricité [[ légende urbaine sans fondement…]] ? Rien n’est moins sûr. « Le consommateur, pour sa part, ne souffre en aucune manière de l’absence de concurrence. » Pour Marie-Noëlle Battistel, « la situation actuelle permet à l’usager français de bénéficier de tarifs acceptables et parfois plus accessibles que dans les pays ouverts à la concurrence [[ normal, les services publics sont à buts non lucratifs, donc se préoccupant de la qualité des services avant…tout !]]». Il faut admettre que les Français sont plutôt bien lotis au regard de leurs voisins européens et en particulier allemands, qui ont payé en moyenne, sur l’année 2017, deux fois plus cher leur électricité [[où est donc la…réduction mensongère des coûts ?]] ! À ce jour, aucune étude n’a été menée pour prouver les effets potentiellement positifs sur les tarifs d’une mise en concurrence des barrages. »… Étant donné que ce n’est que…négatif. Aucun partage de réduction des coûts s’il y en avait. C’est uniment augmentation des tarifs partout…dès qu’illégitime main mise sur les biens de tous…en réPublique les biens Publics ne peuvent être privatisés. Cela bas de soie !

L'Irlande-premier-pays-à-se-désinvestir-des-énergies-fossiles       Il n’y a plus d’excuses – depuis 50 ans d’immobilismes criminels des fake dirigeants qui ne font pas ce qu’il faut absolument faire mais ne font que ce qu’il ne faut surtout pas faire – plus d’excuses…C’est donc très possible que de quitter les ressources fossiles (celles justement qui permettent à la Terre de mieux gérer le climat mondial puisqu’il n’y a pas de climat …local, un par pays. Mais qu’un seul et unique système global et que ces énergie fossiles servent à stabiliser non à faire…partir en fumées comme si nous étions dans une kermesse de gaspillages pour attardés irresponsables !

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Quel-rôle-de-la-mondialisation-dans-le-démantèlement-de-l'état-social-?

La fake « mondialisation » c’est le barbare démantèlement de l’État social …soit une régression inadmissible, un retour en arrière si évitable : « Le lien entre mondialisation et remise en cause des protections sociales, tracé d’ordinaire par les critiques hétérodoxes du capitalisme, fait irruption de façon surprenante dans la « pensée dominante »: « La globalisation économique et financière fait disparaître les politiques redistributives. », écrit sans détour Patrick Artus, économiste de la banque d’affaires Natixis, dans une note publiée début juillet. En cause, le fait que pour attirer les investisseurs, les différents pays, mis en concurrence entre eux, nivellent par le bas les salaires et les impôts sur les entreprises, et par le haut les taux de rémunération des actionnaires. [[ comportements trop stupides qui ne peuvent conduite qu’à la…déflation ]]. Autrement dit, la vieille règle du «mieux-disant, moins-coûtant». La vision libérale traditionnelle, au contraire, veut que la libre circulation des capitaux et des marchandises crée une division des tâches à l’échelle internationale, qui développe chaque pays en renforçant ses domaines de spécialité [[ mais cette politique de l’offre qui « étouffe » toute demande se tire des balles dans les pieds et ne peut donc fonctionner. Ponctionner n’est pas fonctionner !]]. L’État social est-il mis en péril par le fonctionnement même de l’économie métaphysique ? L’Union européenne peut-elle être une protection contre ce phénomène, ou n’en est-elle qu’un rouage ? »

Un toute nouvelle saine mentalité donc que celle de déprofiter ?

........notons que ce blog la pratique depuis le début mais pas sous ce nom !

.........……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu