Les inappropriées propriétés ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les inappropriées propriétés ?

Ceci appartient « au droit des autres » qui n’existe pas vraiment. Et le devrait. Nous dirons que c’est la « salepriété » afin de la distinguer de la bonne propriété qui démontre d’être « appropriée » par son usage même !  Il existe, alors, la propriété dévoyée qui souille et sabote tout ? Ce pourquoi, sans pouvoir bien le formuler, la plupart des humains ressentent une grande gêne émotionnelle auprès des bourgeois. C’est que nous ressentons qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout dans leurs cœurs, leurs sentiments et leurs sens des…proportions. Il y a quelque chose qui a explosé en eux. Ils ne savent mesure garder, comme disait l’autre. Et ?  

 

Comme la pierre d’angle, le moyeu central de la roue ou l’alchimie d’équiLibre qui déclenche toutes les harmonies (ou non) notre thèse est : que le sens aliéné, mais complètement détérioré des propriétés, de la « possession » propriétaire des bourgeoise, est la cause essentielle, première et principale de TOUS les malheurs du monde. Cette cause déclenche les malheurs mais (aussi) enraye, empêche, stoppe toutes les solutions imaginables…par l’inertie bornée de ces têtes qui se gonflent à se croire follement propriétaires de…tout  mais absolument tout. Et qui ne cherchent donc jamais à s’amender, à s’améliorer. Ce sont les autres qui « doivent » se sacrifier et se jeter dans leur «spirale psychotique» (qui ne l’a pas rencontrée ne peut ressentir ce qu’est l’inhumaine anti-communication bornée de ces psychotiques qui ne voient le monde que…comme tout le monde doit leur céder. Comme cela sans nulle raison !)…Et alors ? Revenons à une propriété sensée et un sens équitable des proportions (chacun.e sa portion et c’est l’équilibre juxtaposé des portions non conflictuelles –y’a que l’aigre bourgeois pour s’y opposer !).  Oui ? Car si « j’a tous les droits parce que je suis chez moi », les autres, tous les autres en ont autant à mon service etc.…et que cette haute folie bourgeoise c’est bien le chaos inhumain du monde. Par exemple ? Chacun-e peut faire n’importe quoi et de « chez soi » tirer au bazooka chez les autres (ah ! mais je n’ai pas quitté ma propriété, j’ai le droit !). Il y bien quelque chose de dramatiquement inapproprié dans ce non-sens de propriété. La bourgeoisie est affreusement malade de quelque chose dont elle doit guérir. L’ Évolution ne peut plus attendre.

 

Là le bazooka sert « d’argument légal » afin de ramener de la raison et et la mesure dans l’extrême confusion mentale des bourgeois. Tout le monde se lève avec « mais il doit y avoir des limites à la propriété qui peut ainsi tourner folle »  En effet – tous les génies du passé mais aussi ceux actuels l’ont toujours dit – l’homme n’est pas le dieu créateur de l’univers mais il « emprunte » la Terre qu’il doit « remettre en aussi bon état » qu’au départ. Il a bien plus de devoirs que de droits ! Et ce même ontologiquement - soit là où la métaphysique peut admettre une forme de « surhumanité » dans l’humain. Oui mais à condition qu’il ne se conduise pas que bassement et, ensuite, « exige » (acariâtrement) qu’il soit dit appartenir à une classe « supérieure ». Là métaphysiquement, il est dit…inférieur. Et il n’y pas de marchandage « d’indulgences » possible. S’il est un salaud rien ne peut effacer ses actes inacceptables... D’autant plus que toutes les preuves appuient que, non et non, l’humain n’est possesseur et propriétaire –maître de rien du tout – même pas des propriétés de la Nature. Ces caractéristiques que son biomimétisme pourra imiter mais jamais…supplanter. Donc ? Il faut d’urgence faire réatterrir le bourgeois complètement égaré : il s’enivre (et ce 24 h sur 24 !) bien trop à sa délirante folie propriétaire et il faut le placer en désintoxication énergique. La bourgeoisie aura fait bien trop de mal – actuellement c’est même la pire plaie de l‘Humanité stoppée dans son évolution par ses trop sordides mesquineries. Toute sa mentalité est infectée d’idées plus que fausses et de comportements désIntégrés. Vérifions, alors, comment cette « salepriété » (et non propriété – « en propre » et qui ne peut salir donc personne ! La « salepriété » étant tout l’inverse, elle ne fait que DÉTRUIRE le monde !), oui comment la salepriété s’inscrit dans la réalité quotidienne ?

 

Comment-commence-la-salepriété-?

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La salepriété se dénonce par ses comportements qui, examinés froidement, ne sont qu’inhumains, répugnants et sans aucuns arguments sains qui puissent les justifier. Oui ? Ce qui ramène la fausse science de l’économie à une tromperie pour grands voleurs ce sont bien les «externalités» (écouter la vidéo mise en 1) : écarter si lâchement de leur théorie tout ce qui gêne leurs petits calculs c’est clairement antiscientifique. Ne pas internaliser ces externalités est vraiment très antiscientifique et veut le rester. La salepriété est mêlée à cette affaire.

 

Trois-banques-françaises-qui-n'ont-pas-honte-de-spéculer-pour-plus-de-faim-dans-le-monde

L'économie et les "externalités" (destruction de la nature et des biens sociaux qui nous sont extrêmement cachés) qu’elle ne veut surtout pas reconnaître pratiquement : ce qui la place au rang d’une gigantesque escroquerie avec préméditation - Tant que les externalités ne seront pas admises et….remboursées – le « droit » de propriété ne pourra être prétendu établi. En effet, il lui manque trop les devoirs et le sens des devoirs ! Le droit bourgeois se montre donc très bâclé, vraiment brouillon : les droits des autres sont à peine évoqués. C’est que leur philosophie sommaire est « Tout pour moi et rien pour les autres » (Adam Smith – 1750),  soit la propriété dès le départ qui est complètement…folle. Pour le moins très dévoyée. Sans cela les destructions massives de la Nature-mère et nourricière ne seraient pas possibles. Alliées aux aliénations du profitisme, la perversion bourgeoise est à son maximum : affameurs, accaparateurs illégaux (selon le droit des autres) des terres pour des usages non admissibles, spéculateurs, pollueurs cupides des sols ex-fertiles par des chimies nuisibles à la santé humaine, extractions abusives de produits fossiles, enterrements de déchets toxiques, non-restitutions à la Terre de suffisamment de sols, fleuves, etc. afin qu’elle puisse réparer le climat (détraqué par ce trop de propriétés…de mésusages !), pillages des océans (comme si Tout est à eux et non à la vie sur terre !), et la liste est siiiiiiiii longue- inutile d’insister le droit des autres est un manque qui hurle ! Le droit des autres est la limite à toutes les formes de mésusages antisociaux des propriétés. A tout ce qui reste inapproprié dans toute propriété.

>>> - Une externalité nait d'une définition imparfaite des droits de propriété. Les externalités (ces vrais coûts jamais prélevés dans les prétendus profits) proviennent bien de défaillance de la notion de droits de propriété : elle exclut tous les devoirs et nous aveugle par sa « jouissance » - très séparée des autres, qui ne peut être que solitaire. Et à qui il manque étourdiment…le droit des autres. Le droit opposable des autres. Ce pourquoi la propriété abusive ne peut être le sommet de la société : au-dessus d’elle pour tempérer…sa furie barbare, il y a d’autres valeurs. Dont celle de ne pas nuire aux autres. De privatiser illégalement ce qui appartient à toutes et tous. Ainsi - la propriété peut nuire gravement (il faudrait de la législation à ce sujet) : ces dénis du réel créent trop de catastrophes. Le coût marginal privé peut être très supérieur au coût marginal social : donc il n’y a aucun profit de possible mais bien une dette envers la société. Dettes sociales jamais réclamées – pour le moment ! Pire – nous sommes là au cœur des perversions insalubres bourgeoises – ils transforment « leurs » dettes en dettes de la…société. Et maintiennent, violemment (la violence des riches est reconnue)  leurs profits toujours plus illégitimes !

Sortir de ces graves insalubrités mentales c’est retrouver une souplesse de propriété (qui se montrent si cruels envers la flexibilité des autres, se démontrent, eux, si incapables des flexibilités de base par leur  trop extrême psychorigidité mentale. Ne pas savoir progresser dans ses concepts n’est pas « normal ». la propriété ne peut être ENTÉRINE (et pour nous, elle ne l’est pas !) que par un ordre de priorités : ---1) – elle ne doit pas nuire à la Nature, ne pas se montrer préjudiciable à la biodiversité (fini le c’est chez moi – je fais ce que je veux- Cet enfantillage de voyou doit admettre que la Nature pour « nous » faire survivre a bien plus de droits que nous d’entrer dans « cette » propriété qui n’est que d’usage, de droit locatif et non souverain. Ce qui implique de modifier les formes sociales – l’imposture capitaliste et son effondrement immoral à faire passer la propriété pour une forme de magie noire. Face à laquelle il vaut mieux ne pas aller voir (ce misérable tas de secrets comme disait Georges Bataille des pouvoirs) et, mieux, ne pas contrarier ce fauve incontrôlable. De toutes les bassesses. Leur inappropriée propriété ne les aura jamais …amélioré, magnifié, resplendi, humanisée et agrandi en rien. C’est la pire des passions tristes !

 

---2) – Donc l’organisation sociale se transforme afin de faire tomber les graves délires de propriétés. La nourriture est un bien commun, l‘alimentation un service public à but non lucratif. La répartition des aliments ne rencontre plus l’obstacle dément de la propriété-dictature-absolue : c’est à moi DONC je détruis la nourriture, la gaspille, la fout à la poubelle et nul n’aurait rien  à dire. Sauf que l’Évolution reprend son discours : mais ces aliments viennent d’où sinon de la gratuité abondante de la Terre ? Vous ne l’avez pas inventé à 100 %, vos droits sont limités d’autant. Sa « propriété » de par sa superpuissance de gratuité est donc bien au-dessus de vous. Vous perdez tout droit de jeter ce qu’elle donne. S’il n’y pas d’autres solutions, il s’agit de remettre très vite dans le pot commun. De ne pas jeter ce qui est à toutes et tous. Bref, de redonner et donner si ce n’est pas possible autrement. Zéro gaspillage c’est la preuve de civilisation.

 

Vers-zéro-gsapillage    Pour Quoi Faire ? pQf…tHierry (@lagaleriePQF)

 

Dans certains cas, il faut admettre de donner pour ne pas gaspiller. Propriété devient synonyme de responsabilités (conserver, protéger, répartir et, en tout premier, ne jamais gaspiller soit piller). ---3) –  Innover partout c’est pulvériser l’immobilisme si fainéant des prétendus dirigeants (ne rien changer de la désorganisation sociale qui produit tous les gaspillages, donc les déficits, qui leur fait commettre les actes illégaux des-austérités-pas-pour-tous. Ils sont devenus trop lents, trop crétins, pas réactifs, pas implantés dans le réel, pas à l’écoute de tous, non flexibles et si incapables de participer au moindre débat…constructif…toutes les problématiques ne doivent plus être vues du regard d’un seul, d’un pouvoir trop centralisé, bétonné dans l’autoritarisme sans issue. L’auto-élucidation permanente de la société par elle-même doit reprendre à pleins pots. Donc les censures illégales contres les vrais écrivains et les penseurs authentiques doivent cesser et se voir même réprimées. Eux/elles seules peuvent élucider que carrières politiques et besoins collectifs d’urgences ne vont pas ensemble. Donner du sens passe avant les politiciens : ils ne doivent plus avoir entre leurs mains les possibilités d’empêcher les changements. Les débats de fond sont la garantie qu’ils ne le feront plus, etc. Oui un monde où la propriété folle est enfin domptée ressemble à un monde qui peut devenir…vivable !

 

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Mais, il nous faut dompter conjointement le profitisme : cette grave soûlographie qui veut effacer que c’est, en réalité,  un coût caché, que ses dégâts « externalisés » dépassent son montant et que, décemment, de tels profits ne peuvent être…permis. Ce que nous avons commencé de concrétiser dans le lien

.................................tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

Contre-les-gaspillages-donner

 

Nous y avons démontré, par de multiples exemples, que la place du commerce dans la réalité globale est très SURÉVALUÉE, que ceci est dû à la surexposition si illégale aux médias vendus à l’effondrement publicitaire (c’est quoi cette manière vénéneuse d’oser flanquer à la gueule des humains des « je vous prends pour des cons, mais je vous mens sur toute chose et je ne vous laisse aucun choix, vous devez juste acheter et acheter » ? Le refus maladif par le commerce (tout DOIT se vendre, tout le monde est à vendre, sans acheter vous n’êtes rien…ne peut plus masquer ses postures dérisoires, faiblardes et si confuses…prendre leurs délires cupides pour la réalité, non mais, cela va une seconde, surtout pas deux !). En effet, aucune sonde spatiale n’a jamais détecté du commercial dans l’univers comme dans la Nature, ni le minéral ni le végétal ni l’animal ne se laissent aller à cette déchéance humaine. L’univers reste entièrement gratuit et son gigantisme fait tourner les têtes. La Vie est gratuite et sa beauté coupe le souffle. La Terre est gratuite et, sur elle, tout demeure gratuit, air, eau, arbres, ressources d’abondance, tout offre sa gratuité même et surtout si des personnages plus que louches s’interposent mais sans jamais produire un acte de vente signé par la Terre leur attribuant nommément la fin de la gratuité sur tel segment de ses dons. Puisque, oui, toutes les merveilles de l’existence (penser, ressentir, user des dons de l’amour, les émotions, les empathies, les intuitions, les illuminations, les extases, la danse, la joie etc. liste surabondante !) sont immensément gratuites. Entièrement. Le gratuit l’emporte partout sur le commercial. Et la…propriété s’en trouve d’autant limitée. Comme ceci :

 

La propriété rationnelle ne peut qu’être que d’usage, comme l’esquissait Marx – ce qui fait ressortir le mésusage possible de cet usage. Toute propriété n’est pas d’essence mais seulement de pratique ! Toute propriété « raisonnable » doit être limitée par les nuisances sur autrui. Le droit à propriété s’arrête là où commence celui des autres, et comme dit la Commission européenne tout « monopole » doit être pourchassé (la délirante propriété bourgeoise est un monopole massif qui ne doit plus être toléré comme nuisance maximale. Ses excès doivent se voir régulés (plus jamais autorégulés – impossible de faire confiance à ces grands déréglés !). Parce que ces déviances morales qui aboutissent à des propriétés ne reposant sur aucun fondement solide causent plus que le maximum de gaspillages. Dit autrement, c’est parce que ces propriétés sont tordues qu’il y a autant de dilapidations et de déprédations par les grands émeutiers de l’argent fou. Et qu’il faille sortir de ces aberrations antisociales pour en extraire les solutions pour toutes et tous.  Qu’entre 1/3 (tiers) à la ½ (moitié) des produits OFFERTS PAR LA TERRE soient gaspillées est une inexcusable incompétence qui contraint à retirer des mains si incapables toutes gestions des ressources collectives. Zéro gaspillage c’est le but de la nouvelle civilisation et il faut commencer par le début (soit commencer très fermement). Le diagnostic sur les idées plus que folles de la société marchande : nier la prépondérance universelle du Gratuit c’est méconnaitre que le gratuit reste une bonne solution. S’accrocher à des propriétés trop nocives c’est perdre la raison – prouve à quel point les sorties des crises ne peuvent s’opérer qu’en quittant cette mentalité sans issue. Le règne bourgeois n’aura juste prouvé que ces cœurs insalubres cumulent toutes les perversions (dont les pires sont leur « salepriété » et leurs profits que les…autres doivent payer pour qu’ils fassent semblant d’en avoir…).

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Nous avons fait le tour des réponses et les questions peuvent être posées au grand jour. L’obsession trop maladive de propriété illimitée qui est une déviance très malsaine des propriétés caractéristiques de la matière – d’un état extérieur, leurs transes veulent faire un étant intérieur : la propriété hallucinée existe comme mon appartenance parce que je la crois ainsi ! Aucune preuve réaliste ne vient, d’ailleurs, appuyer ce trompe-l’œil ! L’obsession maladive de propriété qui ne se limite pas à l’usage (donc à la possibilité reconnaissable du mésusage) est bien un gaspillage. Gaspillage que nous ne pouvons plus nous permettre. Les beuveries immondes du capitalisme sont bien finies ; ces addictifs sont partout reconnaissables – aucun.e ne tiendra face à nos gigantesques indignations Cette vision alitée fait tant obstacle à toute répartition collective des ressources. A la possibilité d’aboutir à zéro gaspillage, comme au parfait donc à faire «personne n’est et ne sera oublié».

 

L’incorporation démente de la propriété par appartenance à mon propre corps (ma propriété est accrochée à mon corps et la métaphysique serait pour !)...

 

………..…………………………………vient de finir en ce jour !

 

…Un énorme soulagement danse sur Terre – le fardeau n’existe plus !

 

. essayez de prouver l’inverse mais sans prothèses techniques, juste à mains nues !

  

 

 

…….…………(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste justice nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

institutions-peu-instituantes    :   comme certaines le paraissent et le sont !

institutions-peu-instituantes : comme certaines le paraissent et le sont !

Toujours les têtus totaux- si défavorables à l’idéalisme capitaliste. Ces courbes viennent direct de la folie inappropriée des fake propriétés dites illimitées !

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Les inappropriées propriétés ?
Les inappropriées propriétés ?
Les inappropriées propriétés ?
défense d’en… sortir de ce monologue de sourdingue (voir les externalités que fuient tant les propriétés abusives – aucune propriété ne devrait, par exemple, « couvrir » une destruction de la nature qui appartient à toutes et tous !)

défense d’en… sortir de ce monologue de sourdingue (voir les externalités que fuient tant les propriétés abusives – aucune propriété ne devrait, par exemple, « couvrir » une destruction de la nature qui appartient à toutes et tous !)

Les inappropriées propriétés ?
Les inappropriées propriétés ?
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tout ce qui nous divise bestialement et nous éloigne de nos vrais mois...

tout ce qui nous divise bestialement et nous éloigne de nos vrais mois...

Les inappropriées propriétés ?

Vidéo importante : Une externalité nait d'une définition imparfaite des droits de propriété. Les externalités (ces vrais coûts jamais prélevés dans les prétendus profits) proviennent sont bien de défaillance de la notion de droits de propriété : elle exclut tous les devoirs et nous aveugle par sa « jouissance » - très séparée des autres, qui ne peut être que solitaire sauf qu’elle n’admet pas de nuire aux autres. La propriété peut nuire (il faudrait de la législation çà ce sujet) : ce déni du réel crée trop de catastrophes. Le coût marginal privé peut être très supérieur au coût marginal social : donc il n’y a aucun profit mais bien une dette envers la société. Dettes sociales jamais réclamées – pour le moment !

Cons des rues - La chronique de Noémie De Lattre…ou les dérives insupportables de se croire… propriétaire de tout…ici, des meufs !

Fragments du livre de Pierre-Joseph Proudhon, "Qu'est-ce que la propriété" (1840) animés par la vie…de tous les jours !

La propriété c’est ce qui s’approprie ce qui est gratuit et appartient à tout le monde, et se permet de le vendre « comme si » c’était à soi. Bref, cela commence par une si minable imposture !

L'origine de la famille, de la propriété et de l'état selon Engels

Propriété Privée ou Bien Commun ? | Arthur Dahl - ancien sous-directeur exécutif adjoint du Programme des Nations-unies pour l'Environnement

L'économie et les "externalités"(destruction de la nature et des biens sociaux qui nous sont cachés) qu’elle ne surtout pas reconnaître : ce qui la place au rang d’une gigantesque escroquerie avec préméditation - David Suzuki

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