Pas s’excuser de ce que nous subissons…
Comme les pouvoirs n’ont aucunes excuses, comme le système reste inexcusable, comme ils /ont commis, avec préméditations, toutes les destructions de la société, des nobles humains et de la nature–mère…nous n’allons pas nous excuser de leurs turpitudes en plus. Non plus jamais s’excuser, accuser à la place. Les pouvoirs sont accusés, ils l’ont sacrément cherché. Et après accuser c’est condamner, n’est-ce pas ? Nous ne nous excuserons pas, non plus, de les condamner justement fort justement…Puisque ? « Je n’ai pas l’intention de m’excuser de ce qui m’est imposé, ni de prétendre trouver cela formidable (p.138– Virginie Despentes – King Kong théorie, octobre 2007). » En effet, c’est en plein cela, en plein dedans…. « Je veux défier « leurs » lois. Frontalement. Pas de biais, pas en m’excusant. Je veux obtenir plus que ce qui m’était promis au départ. Je ne veux pas que l’on me fasse taire. Je ne veux pas qu’on m’explique ce que je peux faire. Je ne veux pas qu’on m’ouvre les chairs pour me gonfler la poitrine. Je ne veux pas avoir un corps de fillette longiligne alors que j’approche de la quarantaine. Je ne veux pas fuir le conflit pour ne pas dévoiler ma force et risquer de perdre ma féminité (p 140 – ibidem). » L’ordre moral est sous-jacent, les interdits sont plus nombreux que nous croyons ; il n’est que d’exercer sa liberté pour en être tout écorchés. Ce qui prouve à quel point les illégaux dirigeants se permettent de diminuer, unilatéralement, l’autonomie individuelle (incluse dans la vraie réPublique) à mesure qu’ils gonflent et dopent les leurs. Mais toujours sans but, sans plan, autre que l’effondrement puéril des avidités. Injustifiables.
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Faire taire, diminuer l’expression, dissuader de tout, élargir la surface de la bêtise bruyante et confuse, etc. tels se montrent les pratiques d’arrières gardes des faux pouvoirs ? La diffamation inexcusable est l’invention nieuse calomnieuse de la « culture de l’excuse » - avec les venins mal famés des « comprendre c’est excuser », expliquer quoi que ce soit c’est « excuser » les sans défenses, sans moyens, sans paroles, les pauvres, les spoliés, ceux d’autres pays, d’autres contrées (les excusés d’avance ce sont les si basses classes supérieures, ça bas de soie ! Monopoles absolus sur les excuses tous terrains…). Et puis se…taire c’est mieux…les intimidations sont massives. Le message cingle : il faut se montrer infiniment content.e de ce que nous subissons…Ben voyons !…Sauf que « Bernard Lahire rappelle que comprendre les déterminismes sociaux et les formes de domination permet de rompre avec cette vieille philosophie de la fake responsabilité qui a souvent pour effet de légitimer les vainqueurs de la compétition sociale et de reconduire certains mythes véreux comme celui du self made man, celui de la « méritocratie » ou celui du « génie de l’argent » individuel. Plus que la morale ou l’éducation civique, les sciences sociales devraient se trouver au cœur de la formation du citoyen, dès le plus jeune âge[[ ce pourquoi tout ceci est si précipitamment évité : qu’ont donc tant à cacher ces dirigeants ?]]. En développant la prise de distance à l’égard du monde social, elles pourraient contribuer à former des citoyens qui seraient un peu plus sujets de leurs actions. » C’est exactement ce que font les anticonformistes, n’écoutant jamais les faux jetons dirigeants qui nous prêchent de jouer le jeu alors qu’ils ne le respectent jamais, se montrent les plus mauvais joueurs jamais vus. Même pas une fois fair play : d’où le descriptif de fake jetons. Tout y est faux même les jetons. Leurs fausses excuses ne passeront plus jamais…
Pour-la-sociologie-et-pour-en-finir-avec-une-prétendue-culture-de-l'excuse
Atlantico : Comment cette [[ prétendue]] culture de l’excuse développée ces dernières décennies en France a-t-elle été intégrée par les populations immigrées ? Dans quelle mesure a-t-elle contribué à entretenir chez elles l’idée qu’elles n’étaient que des victimes et non pas des acteurs de leur histoire, et à créer le terreau favorable au développement du terrorisme ?
Eric Verhaeghe [[ dirigeant des cadres ]] : On pourrait ici parler de ruse du colonialisme, et comprendre que la culture de l’excuse permet de perpétuer le rapport colonial tout en semblant l’inverser. En apparence, les descendants des colonisés sont devenus des sujets de droit, des réhabilités, et même des égaux. En vérité, leur statut de victime maintient pour tous la fiction selon laquelle ils ne sont pas les égaux des anciens colons. Ainsi, quand l’ancienne puissance coloniale discrimine négativement un ancien colonisé, celui-ci peut invoquer la culpabilité générale des colons pour se plaindre de sa position et obtenir réparation. Mais lorsque l’ancien colonisé devient à son tour oppresseur, il n’est pas analysé comme une personne responsable qui doit assumer ses actes. Il est analysé comme une victime qui se fait bourreau par excès de « victimité ». Vous avez tellement souffert que vous commettez le mal malgré vous, et il doit donc vous être pardonné. A de nombreux égards, vous, l’ancien colonisé, commettez le mal parce que le descendant du colon vous y a poussé. Vous ne pouvez donc être tenu pour responsable. Bref, le colonisé et sa descendance sont nimbés d’un voile de déresponsabilisation générale et absolue [[ bien, ces analyses biaisées sont courantes…sauf que la mesure des déresponsabilisations ne regarde pas là où il faut…ce sont les prétendus dirigeants qui se montrent en 2018 déresponsabilisés à grande vitesse. Les taux d’impunités est en train de battre ses records. Alors ne jamais voir « toute » la réalité ne permet jamais en effet de la…comprendre !]].
Pour l’ancien colon, cette logique de déresponsabilisation de l’ancien colonisé est une terrible ruse qui permet de préserver la relation de domination sans le dire. Le colon est, lui, un humain à part entière puisqu’il est responsable de ses actes. Le colonisé ne l’est pas ou l’est moins. Il n’appartient donc pas à la même espèce. Il n’a pas atteint le même degré de profondeur existentielle. La question est de savoir pourquoi les anciens colonisés se complaisent volontiers dans cette perpétuation discrète du racisme. Pourquoi préfèrent-ils souvent le statut de victimes au statut d’humain responsable de ses actes ? L’une des explications tient incontestablement au confort né de la déresponsabilisation. Finalement, quels que soient les choix individuels des anciens colonisés, ils sont validés implicitement par le « système » de valeurs qui dédouane les coupables de leur faute. Nous sommes tous bien d’accord pour dire que ce système est terriblement hypocrite, dans la mesure où le dédouanement est aussi une forme d’infériorisation. Mais le choix est simple : se contenter d’un statut inférieur sans responsabilité, ou jouer le jeu de l’égalité au risque de fournir des efforts extrêmement lourds pour jouer le jeu de la concurrence.
Jean-Paul Brighelli [[ droite dure ]] : Chose étrange, ce ne sont pas toutes les populations immigrées originaires des anciennes colonies qui ont réagi ainsi. Les Asiatiques, par exemple, originaires de l’ancienne Cochinchine (le Vietnam principalement), ne présentent aucun symptôme d’une culture de l’excuse : ils travaillent dur, réussissent souvent brillamment et se font une place dans la société française – y compris en prenant territorialement la place (à Belleville par exemple, ou dans le centre de Marseille – pour ne pas parler de l’implantation de Chinois à Alger même) de populations venues du Maghreb. Pourtant, les Indochinois ont été sacrément exploités par le colonisateur ! Que l’on pense, par exemple, à la culture importée de l’hévéa et au travail forcé qui en a résulté – ou à l’importation de travailleurs indochinois dans les rizières camarguaises pendant la Seconde Guerre mondiale, sans rémunération ni reconnaissance… Et c’est par une guerre aussi qu’ils se sont libérés des Français – une guerre gagnée sur le terrain, alors que le FLN a gagné la sienne à Evian. Il y a quelque chose de spécifique aux anciens colonisés d’Afrique du Nord qui tient peut-être à la façon dont on leur a raconté leur histoire – et il y a là une double responsabilité : celle de la famille et celle de l’école, qui tient aussi peut-être à l’islam, à la certitude d’être dans le vrai – et d’être rejetés alors même qu’ils devraient être au sommet – et au fatalisme quelque peu contemplatif de cette religion où « c’est écrit », et où par conséquent l’effort personnel n’est pas survalorisé. D’où cette culture de l’excuse [[ entendre l’excuse par la sociologie ]], le discrédit jeté a priori sur le travail scolaire (les travaux de Jean-Louis Auduc sur la « fracture sexuée » à l’école ont prouvé que les garçons sont bien plus mauvais élèves que les filles, et les garçons maghrébins particulièrement), et un sentiment de frustration que la religion peut compenser – ou la violence, qu’elle s’exprime à travers la délinquance ou à travers le terrorisme – et, de plus en plus souvent, à travers les deux. »
Affaires-publiques..........................du personnel……au collectif…
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L’incitation à la bêtise bat son plein - Sur «l’excuse sociologique»…ou toutes les occasions pour empêcher de parler, de s’exprimer, de démêler l’écheveau :
« Un peuple est d’autant plus démocratique que la délibération, que la réflexion, que l’esprit critique jouent un rôle plus considérable dans la marche des affaires publiques. Il l’est d’autant moins que l’inconscience, les habitudes inavouées, les sentiments obscurs, les préjugés en un mot soustraits à l’examen, y sont au contraire prépondérants (p. 123-124 - Émile Durkheim, Leçons de sociologie, 1950). » Et ce sont les médias d’argent fou qui introduisent de force cet anti-démocratie basique partout. En gros, sans ces médias d’argent et les faux dirigeants tout irait bien mieux. Les peuples apprendraient à se connaitre et reconnaitre. Non pas à s’excuser mais à comprendre leurs trajets respectifs…
A-propos-de-la-sociologie-des-sciences-sociales-en-général-et-de-leur-utilité-sociale
« La sociologie est largement décriée ou à tout le moins mal comprise ou méconnue. Peut-être avant tout méconnue. En France il y a eu beaucoup de débats sur la culture de l’excuse qu’induirait la sociologie par sa prétention à vouloir expliquer les phénomènes sociaux. Expliquer serait déjà excuser. On a, aussi, souvent dit que la psychologie et en particulier la criminologie et le profilage des criminels et délinquants permettraient de les excuser plutôt que de les condamner. Pourtant il appartient aux juges de condamner et non pas aux chercheurs en sciences sociales.
L’intention de ces disciplines scientifiques est de tenter de, non pas juger d’actes de personnes ou le fonctionnement social, mais bien de mettre en évidence les mécanismes sociaux (ou psychologiques) qui conduisent à des comportements collectifs ou individuels souvent inconscients. L’intérêt de cette connaissance n’est pas d’apporter de l’eau au moulin des défenseurs de personnes incriminées, quoi qu’il soit légitime pour eux d’aussi argumenter à partir de ces connaissances. Il s’agit par cette connaissance de développer la compréhension COLLECTIVE des mécanismes sociaux (ou psychologiques) et des outils pour permettre d’anticiper au mieux les phénomènes, et mener des actions correctement ciblées et de manière efficace pour éviter ou corriger des comportements jugés non désirables [[actuellement très concentrés dans la sphère dirigeante ]] ou favoriser, à l’inverse, des comportements jugés appropriés. Ce choix découlant de la politique et non des scientifiques. Les scientifiques fournissant aux politiques ; mises en exergue, analyses, compréhension des mécanismes et outils d’action. Si comprendre est l’ambition première des sciences, c’est aussi l’exigence libératrice nécessaire à l’exercice de la démocratie. » Si les faux dirigeants ne veulent plus que nous comprenions quoi que ce soi, qu’ils en augmentent les confusions partout et insultent insalubrement les esprits critiques et objectifs (comprendre les mécanismes globaux reste le moyen le plus honnête pour trouver les solutions d’intérêt général)…c’est que ce sont eux qui ne vont pas bien du tout…ainsi que leurs fausses excuses à sens uniquement unique !
« Ce qui explose, quant explosent les censures imposées par les dirigeants, c’est un ordre moral fondé sur l’exploitation de tous. Toutes les fausses valeurs traditionnelles visent à assigner chaque sexe à son rôle. Les hommes en cadavres gratuits pour l’État, les femmes, en esclaves des hommes. Au final, tous asservis, nos sexualités confisquées, fliquées, normées. Il y a toujours une classe sociale qui a intérêt à ce que les choses restent comme elles sont, et qui ne dit pas la vérité sur ses motivations profondes (p. 108 - – Virginie Despentes – King Kong théorie). » Faites excuse, voici qui est rondement fait ! L’inertie démente sévit depuis des décennies. La société pourrit sur pied. Les processus évolutifs y sont démentiellement entravés…et qu’on ne vienne pas la ramener avec tout ça serait de la faute de qui les subissent. Jamais de qui les provoquent, de qui amplifient la pandémie de l’immobilisme destructeur !
Récapitulons ; aux départs, ce sont les prétendus dirigeants qui n’ont aucune excuse de mal faire, de ne pas respecter l’intérêt du plus grand nombre (message facile à mémomiriser même pour leurs têtes de linotes !). Quant aux humains comme nous ils/elles ne veulent pas s’excuser de subir…tout cela. Refusent de se laisser croire dupes…Et - avec des glissements de comportements (couper la parole, faire perdre tout contexte intelligible aux montages, isoler des morceaux de mots pour faire dire l’inverse de ce qui est vraiment formulé, etc.) – cela revient et devient de tenter de nous accuser sournoisement – sans accuser clairement mais en « inventant » des faux et usages de faux, comme à l’habitude de ces pouvoirs qui ne débordent que de malhonnêtetés ! Le défaut c’est la difficulté de ne pas être repérés lorsque la majorité a vu quelques spécimens de ces tripatouillages magouilles et autres manigances - Résultats ? Ces faux dominants ont toujours moins d’excuses ! Le pot aux roses c’est que la diffamation nommée « culture de l’excuse » leur sert qu’à ne jamais S’EXPLIQUER. Rendre des comptes. Admettre les limites de leur non dictature (si nous ne sommes pas en dictature pourquoi agir comme si nous y étions ?). Ainsi le expliquer c’est excuser ne masquait que leur pas question de s’expliquer…le langage contient toutes les dialectiques et résout et dénoue absolument tout !
En effet, dès qu’ils font semblant de s’excuser, nous savons qu’ils vont faire encore pire. C’est qu’ils sont sur la très mauvaise pente. Et nous pas. Mais le seuil de tolérance (comme ils osent dire) est largement dépassé. Leur style d’arrogances et d’autoritarismes ne PASSE PLUS du tout. Va falloir s’expliquer en long et en large, désormais. Tout traverser et pas de travers ni en désorientés. Clair et séparé, comme dit le cartésianisme (on ne confuse plus, on ne trouble rien mais on utilise la progression rationnelle des arguments partout – et on ne peut se carapater avec des fake explications. le modèle standard est complètement requis !). Et donc ? Avec aisance et une grande économie de mots et de concepts nous avons…
…….…circonscrites leurs habituelles épidémies.
Et refoutus dans les cordes leurs double, triple ou centuple langage d’hypocrisies :
……Autant dire qu’ils commencent à être coincé.e.s (dans un coin souffle le mot) !
………………… .ils/elles n’ont plus la main. Faut s’y faire !
…………….…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Lorsque le pas d’excuses ne s’exerce que du haut vers le bas et pèse si illégalement…l’accusation de perversions insalubres est la bonne remarque à faire !
le style cru - facile c’est comme ça qu’on est cru…
parcours dedans et pas sup : toujours trop court les parapets…
Pourquoi CHERCHER des excuses ? Elles se cacheraient si âprement alors ? Qu’elles seraient introuvables ? Elles ne désirent pas se montrer ? Elles ne veulent pas débattre ? Elles ne…c’est quoi le pataquès ?… Ainsi le « expliquer c’est excuser » ne masque que leur pas question de s’expliquer …le langage contient toutes les dialectiques et résout et dénoue absolument tout !
Le prétendu pas d’excuses qui, comme l’austérité, n’est réservé qu’aux pauvres et aux faibles – est donc une gigantesque arnaque…ce sont les faux dirigeants qui n’ont AUCUNE excuse. Vu que c’est toujours avec préméditation…
David Gilmour BBC Interview How he gets his sound..Gilmour explains how it is very difficult to get a stage sound from a small amp in a small room…Il y a donc des talents qui n’ont pas le matos, l’espace et l’ampleur…que de gachis énooormeeees cette anti-civilisation provoque ! Il y a des musiques à s’envoler qui ne seront jamais faites parce les minables qui se prétendent dominants sont si SORDIDES et MESQUINS ? Peu de chance qu’ils en soient excusés !
Michaël Foessel sur la culture de l'excuse : "Juger sans savoir mène aux préjugés" - CSOJ - 15/01/16… sauf que le « expliquer c’est excuser » masque surtout leur pas question de s’expliquer, eux…le vrai pot aux roses !
Bernard Lahire - "C'est toujours pour des raisons sociales qu'on réussit"…Les intellectuels organiques du pouvoir et de la réaction ont de toute façon lâché l'affaire depuis un bon bout de temps et ont ajouté leurs voix au concert de celles des habituels producteurs de consentement, dès lors qui écouter pour se construire un regard critique ?
Expliquer n'est surtout pas excuser : Gérald Bronner, sociologue, auteur de «La pensée extrême : comment des hommes ordinaires deviennent fanatiques» en démontre les prémices.
Le capitalisme veut toujours te voler ce que tu ne veux pas donner…Virginie Despentes: «El capitalismo siempre quiere coger cosas de ti que tú no quieres dar»