Comment foutre une tête au carré à des ronds de jambe ?

La gentillesse ouvre. Ce pourquoi, nous paraissons mener puisque surgissent les courses retardataires aux paradoxes…lorsque que, nous, nous vivons la plus gigantesque synthèse. Avec le sens du monde qui change de bases et nous sommes comme ses meilleurs traducteurs/ trices. Pour nous, cela signifie actuel et transitoire et guère plus – faut pas se cabrer comme cela…L’époque, elle, se nomme « arracher TOUTE la culture aux viles mains des crétins capitalistes ». C’est qu’ils ne pigent plus rien, les pigeons ? Non, ce n’est point un paradoxe ni une provocation…mais surtout une nouvelle formulation. Admettant une réalité très « augmentée » mais sans la technocratie, surtout pas, elle qui diminue tout…Alors comment se déroule ce qui roule ?  

....ces-règles-plouctocrates-qui-dérèglent

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2ème « évènement » (afin de bien distinguer, dans l’actualité, l’écume de l’inertie bavarde des mouvements de fond) –  nous entrons dans l’évènement où le corps NOUS PARLE. Qu’est-ce à dire ? Toutes ces années, il aura vécu avec CONTINUITE nos chaos, nos gesticulations et gâchis –mais, lui, en gardant le fil. Ce pourquoi il nous parle fort ces temps-ci. Bien sûr les impeccables anticonformistes auront conservé la discipline intérieure d’écouter leurs corps, aussi, ne parlons-nous que de ces faux dominants qui sont en train de commencer à « tomber ». Ayant perdu tout contact vital avec la nature (centre de nos équilibres) comme avec leur moi profond : disons qu’ils/qu’elles sont comme les caillasses complètement ballotées, les ballots, et ayant bien moins de contrôle tangible qu’ils pensent (une preuve est : peuvent-ils donc faire surgir des textes ou actes comme les nôtres ?). Si nos corps viennent en ce moment à la rescousse (grâce à leur mémoire continue donc objective) c’est qu’il est devenu urgent que nous guérissions, et en masse, de la très grave maladie capitaliste. Et que le manque de cohérence (donc de conscience globale et continue) ne le permet pas tant que cela…sauf par nos chers anticonformistes (ces pulseurs incroyables qui nous font tant tenir). Et que toutes nos ressources (inconscientes, rationnelles, imaginatives, émotionnelles, oui…affectives) doivent se rassembler (en nos corps justement) afin d’y parvenir.

Un moyen de s’aveugler est, alors, de porter trop d’attention aux fausses élites, aux faux dirigeants, à tous ces égaré.e.s médiatiques qui prennent trop de place mais n’ont rien derrière. Leur chute est proche et elle n’est pas la nôtre (sauf que notre seul but, dans ce cas, reste de les empêcher d’entrainer trop d’humains dans leur déchéance – il n’y en pas d’autre. Nos cœurs sont entièrement fermés à ces salauds déshonorés de partout !)…Et donc ? Nos regards libérés de croire qu’ils ont « quelque chose à dire», qu’ils détiendraient un savoir dont nous aurions besoin (puisque tel n’est pas le cas !) embrassent l’immensité des transformations en cours, en cœurs-cours, de ces 80 % d’actualités complètement délaissées et abandonnées alors que c’est là que sont les pépites. Là que sont ces événements qui vont faire étincelles pour allumer un mouvement mouvementé tel N.R.V. (Noir Rouge Vert). Et que donc nous n’avons plus à faire gare aux crétins capitalistes mais bien à installer passionnément et quotidiennement la nouvelle civilisation (la post-barbarie capitaliste) : nous avons un but clair, qui rend super heureux et nous ne vivons pas la dépression des…désœuvrés (celles et ceux qui n’ont pas une œuvre pour tout ouvrir en eux). Voyons comment nous allons les prendre aux filets de nos formulations, sans jamais participer à leur folie si amère : bien autre chose à foutre que ces enfantillages de minables qui s’autoproclament dominants…dominos, plutôt !

C'est-quand-notre-esprit-est-libre-que-l'on-peut-faire-de-la-place-à-la-vraie-nouveauté

Méthode déjà (et comme nous l’avons démontré hier nous avons vraiment la méthode)…Ici, pas de liberté = pas d’accueil de nouveauté, de fraîcheur, de spontanéité possibles. Le lien le dit. Nous y préférons les paroles brèves et ramassées de la chanson qui suit…

Chanson-indiscutable-(silence)

Il n'y a plus rien d'ouvert en toi
Aucun endroit de libre
Où peux-tu encore recevoir du nouveau
Aucune chambre d'écho
Plus rien où résonne l'avenir

Apprendre-à-apprendre-mot-d'ordre-sulfureux-ou-banal-?

Ensuite (chacun.e y ayant fait son miel) comment les miteux et piteux des pouvoirs se rendent grotesques à tenter de voler nos valeureuses valeurs (les traitres disent « récupérer » comme si c’était un acte prodigieux alors que c’est juste aussi puant que de fouiller les fonds de poubelles. Dont justement nous ne voulons pas puisque ce sont des …miettes dont se contentent ces ratés faux jetons !)…voici donc leurs grands grotesques : « Lors de son audition par la commission « Thélot » le 10 décembre 2004, le philosophe Marcel Gauchet a fait à ce sujet une intervention tout à fait significative : « Cette formule, “apprendre à apprendre” a ses premières racines chez Pestalozzi (l’une des références majeures de Jules Ferry lui-même]). C’est effectivement une idée de la modernité […]. Ce n’est pas la peine de polémiquer contre. Il faut éclairer le sens qu’elle a […]. D’une certaine manière, c’est un idéal pour nous tous, et ça ne peut que l’être dès lors qu’on a compris les raisons pour lesquelles il exerce une telle séduction. C’est un idéal épistémique, qui relève des conditions les plus profondes de ce que veut dire la connaissance pour les Modernes – sujet de raison. Mais on peut aussi éclairer sa praticabilité, parce qu’en fait, si on veut efficacement agir avec une telle idée, il faut à la fois montrer aux acteurs les bonnes raisons qu’ils ont de penser comme cela, et le rapport ambigu que cette proposition entretient avec la réalité [[ est-ce que cela a été fait, même une seconde ? Quenouille que non !]]. Parce que ça n’est pas un programme pratique [[à ce point de déraison ?]], c’est un idéal de la modernité […]. Personne n’apprend à apprendre. En apprenant, on apprend à apprendre. »

La formule déboucherait-elle sur une impasse ? »…Fort évidement le bourgeois est corrompu jusqu’à l’os, cupide jusqu’aux nasaux,  bouffi de son importance…  censitaire et ne comprend rien de rien à l’éducation. Alors agiter un idéal qu’il ne peut surtout pas avoir en croyant couper l’herbe sous les pieds des esprits libres c’est bien, au contraire, nous fournir plus d’herbe encore ! Raté là aussi…

Comment-dire-pourquoi-a-moins-de-résultats-pourquoi-dire-comment-a-plus-de-résultats

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L'humanité-vit-actuellement-une-période-glaciaire-affective

3^ème trophée, ils/elles  n’ont plus de cœur. Et nous tant (puisque la méthode dit un cœur brûlant avec une tête froide et non l’inverse). Donc ce qui suit nous en avons déjà fait largement le constat, nous qui aimons pour qui n’aimeront plus jamais, comme dit la chanson. Les solutions ? La spontanéité toujours. Rien à foutre de leurs fausses règles moisies et mensongères. Une vie intense mais bien ancrée dans la vie quotidienne. Et dans aucun Spectacle (spectacle qui n’est surtout pas un complot mais l’aveu d’une vie intérieure de grande misère – ce qui file la nausée lorsque  devant une de ces loques de trop riches ? Par exemple. Bon exemplons alors !... « Bien souvent, nous croyons qu’il vaut mieux être battant, égoïste et sans état d’âme pour sortir son épingle du jeu. Bon sang, sommes-nous condamnés [[comme des forçats, mais qui nous « force » alors ?]] à devoir « jouer des coudes » pour se faire respecter ? [[ alors qu’il n’y a aucun respect là-dedans et donc personne n’y « respecte » personne…]]

« J’ai peur de cette société axée sur la compétition et la concurrence, cette société qui ose nous dire : vous devez être des gagnants ! Mais qu’est-ce qu’un gagnant sinon un fabricant de perdants ? Je n’ai pas le droit de fabriquer des perdants… » revendique Albert Jacquard. Dans ce contexte social anxiogène et déséquilibré, la gentillesse est Illégalement [[ oui illégalement – sus aux esprits flicards ! ]] malmenée. Elle est souvent interprétée comme une forme de soumission, et fatalement associée à l’image du perdant [[ de voir la réalité ainsi se nomme …perversions ! C’est absolument dégueux et nous gerbons sur ces gerbes !]]. Aujourd’hui, le « gentil » est devenu, malgré lui [[ fantasme de vrais…perdants, pas plus – rien n’est « malgré lui », ce sont des compulsions maniaques qui ne peuvent pas obliger la réalité à être autre chose que…pro gentille ! Ils l’ont dans l’os…]], le manipulable et le simple d’esprit. « Tu seras bien gentil de faire ceci » est une formule de politesse déguisée derrière un sourire dédaigneux [[ le dédain est un don de dindon – tel est niqué qui croyait baiser !]]. Dans le liste des qualités requises, « gentil » n’est plus consenti, mais équivaut à confesser : « je n’ai rien trouvé de mieux à son sujet [[ Très faux, très faut pas ducon ! Qui est tombé aussi bas ne récoltera que des rires frais, oui du jour ! R-i-d-i-c-u-l-e, seulement ridicule que de cracher sur la gentillesse comme su tue la jouais gros dur, voyou auto-bloqué…bref, marginal capitaliste. C’est ça t’es fou à ce point ?]]».

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Nous nous trouvons aujourd’hui au milieu d’un refroidissement généralisé [[ faut pas généraliser : pas ‘ «nous»…eux seulement , ces eux qui ne veulent justement pas qu’un NOUS existe !]]. Les rapports humains sont moins chaleureux [[ t’as qu’à chercher du côté des anticonformistes, ils vont te foutre le feu au cœur !]], les occasions de se rencontrer moins nombreuses, les contacts plus hâtifs et plus impersonnels. On accorde moins d’importance à la chaleur humaine et à la simple présence » Piero Ferrucci. Ceci décrit UNIQUEMENT  les loques capitalistes, cette honte de l’Humanité, ces graves insurgés antisociaux – et personne d’autre ! qui les suivent, malgré tout, ne font que polluer leur vie. Alors que…spontanéités = rien qui ne reste à pourrir en toi. Tout reste toujours à l’air…libre !]].

Pourtant, la gentillesse permet de s’ouvrir [[ ah, c’est donc pour cela qu’on dit qu’il a une gueule comme une porte de prison ? C’est parce qu’il/elle te la claque au nez ! Bingo go…]] aux autres et de tisser un idéal social, celui de la paix. Bien entendu, il n’est pas question de se plier en quatre pour exaucer les désirs du monde entier. « Pour être librement gentil, il faut avoir le choix de ne pas l’être » explique le psychiatre et psychothérapeute Frédéric Fanget.  Autrement dit, la gentillesse est un choix comportemental [[ encore plus simple, les lourdauds, c’est un CADEAU , cadeau gratuit et qui n’attend rien en retour, cadeau royal que nous faisons aux autres. Oui, gentil jusque partout, c’est vivre en prince sur le toit de ce monde. Y créer les événements les plus somptueux  ceux qui ouvrent les bras pour…accueillir. Quoi de plus gentil que d’accueillir, Hey les encrassés des sentiments…humains, vous vous auto-niqués ?]]. Au contraire, la gentillesse est indispensable à l’harmonie sociale [[ et donc très antisociaux que ces obstiné.e.s à la méchanceté, tous ces émeutiers libéraux-capitalistes que plus grand monde tolère…]] et nous pouvons compter sur elle pour préserver notre écosystème relationnel [[ tandis que nous ne pouvons pas compter sur les pervers des pouvoirs : aucune parole, aucun engagement, aucune attention aux autres…bref des échecs lamentables de la sociabilité. C’est à ces ploucs qui ne savent pas danser légèrement le social de CHANGER et vite – ras le bol de leurs comportements qui se portent si mal ! La preuve : nous ne « pouvons compter » que sur qui nous insultons de gentillesse. Qui s’auto-entube désespérément ainsi ?]].

« Les gens me demandent souvent quelle est la technique la plus efficace pour améliorer sa vie. Il est un peu embarrassant qu’après des années de recherche et d’expérimentation je doive conclure que la meilleure réponse à cette question est : Soyez juste un peu plus gentil. » Aldous Huxley…Mais quelle modestie, face aux forcené.e.s de la cupidité, aux excès si peu reluisants des inégalités (toutes illégales en droit), des braillements des arriérés médiatiques et de tant de débordements affreux des fausses élites que ce… « un peu plus » gentils…quelles gentillesse dans la modestie ! En fois encore – niqués en plein les pervers narcissiques des pouvoirs. Ils sont bien dans les pièges et ils se débattent inutilement : puisqu‘ils/elles sont leur propres geôliers ! L’égoïsme perdant se nomme la prison…

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« C’est précisément parce que le pouvoir réside dans les structures et l’idéologie, plutôt que dans les individus, qu’il est si difficile à voir [[ difficile mais pas impossible--- du seul fait que plus nous respectons les autres, plus nous savons que résister pour soi et tout le monde…c’est comprendre au maximum ce système afin de le foutre à la  poubelle- ce qui, pour nous, est déjà très entamé. Ce pourquoi nous ne croyons jamais aux blablas de découragements : ils ne peuvent venir que de qui ne sont pas en…premières lignes !]]] Et les structures de pouvoir elles-mêmes sont rendues encore plus difficiles à identifier parce que les récits créés au sujet de nos sociétés sont conçus pour dissimuler ces structures et ces idéologies – où réside le vrai pouvoir – en se concentrant plutôt sur les individus.

C’est pourquoi nos [[ leurs ]] journaux et nos émissions de télévision sont pleins d’histoires sur des personnalités sans vraie…personnalités – célébrités, rois, criminels, politiciens. Ils sont rendus visibles, de sorte que nous ne… remarquons pas les structures idéologiques à l’intérieur desquelles nous vivons, qui sont censées rester invisibles [[ une fois de plus, il est indigne de généraliser…les conformistes adorent se faire niquer au point d’être insupportables à vouloir y entraîner tout le monde, mais ils/elles vont devenir les…minorités. Ceci s’appelle un vrai mouvement mondial !]].

Se-cacher-la-tête-dans-le-sable-:-pourquoi-sommes-nous-incapables-de-voir-que-le-système-est-en-train-de-nous-détruire-?

Rien de tout cela ne devrait nous surprendre non plus. Parce que le pouvoir – pas seulement les gens du système, mais le système lui-même – utilisera tous les outils dont il dispose pour se protéger. Il est plus facile de tourner les critiques en dérision, surtout lorsqu’on contrôle les médias, les politiciens et le système éducatif, que de fournir un contre-argument  [[ ce pourquoi ils…perdent actuellement. Ils sont dans les cordes, acculés : d’où ces postures immatures. Au lieu de répondre sur le fond, ils s’agitent en guignols contre qui ils n’arrivent pas à la cheville. C’est d’évidence ! Ils se discréditent d’eux-mêmes : ce qui est une infinie victoire de tous les arts martiaux, ils font tomber les imposteurs à distance et sans y toucher…du seul poids de leurs…corruptions venant du verbe rompre…Rompus les corrompus, mais rompus par eux-mêmes ! C’est beau l’art, hein ?]]

En fait, il est essentiel d’empêcher toute discussion ou tout débat réel. [[ d’où ils sont foutus –aucune civilisation ne peut « durer » sans les auto-élucidations des débats. Aucune. Donc le blocus va exploser en …nous forgeant plus forts qu’avant. Et donc ? Il n’y a aucun Stratège chez ces pouvoirs, que des ratés à courtes vues !]]. Parce qu’au moment où nous réfléchissons aux arguments, les pesons, utilisons nos facultés critiques, il y a un réel danger que nos œillères tombent. Il y a une menace réelle que nous reculions de l’écran et que nous voyions l’image dans son ensemble [[ ceci avoue un échec systémique très proche – qui censure frontalement tout débat – les crée en rhizomes et les rhizomes décentralisent tout…donc rendent puissantes les décentralisations, celle qui ouvrent le champagne des…révolutions. Ici, des mentalités, le plus grand torrent jamais vu !]].

Et à cause de cela, il est structurellement tenu [[ le pauvre minable : ainsi coincé à tomber – Oui ce qui paraissait comme de mauvaises nouvelles sont excellentes, au contraire. Dans le fait que tout pouvoir qui va perdre…devient policier. Mais policier dans la stupidité qui cogne n’importe comment. Toute l’Histoire est là pour le confirmer : c’est perdre que de trop réprimer, puisque c’est s’auto-coincer dans la mauvaise posture, le mauvais rôle, oui  les niqués vraiment trop cons, dans les…pas gentils (comme quoi, dans la globalité, gentil c’est un superbe ferment révolutionnaire qui, en plus, se paye gratos le plus agréable des paysages…intérieurs. Alors con.ne le/la gentil.le ? Plutôt carrément con qui ne l’est pas : tu rends amer ton paysage intérieur, tu ne ris jamais de «bon» cœur, tu ne fais jamais la Fête dans ta tête, tu aigris tout et l’alchimie des transformations ne peut entrer dans ton blockhaus de vrai crétin ! ]] de discréditer [[ sauf que ce sont ces censeurs et répressifs qui se…discréditent étourdiment ]] quiconque, tout groupe, tout État qui s’oppose à la réalisation de sa domination absolue [[ dans leurs rêves rances uniquement, puisque la réalité ne veut pas de cela et nous le montre !]]. »

…Sauf que de trop le dire, de ne pas montrer les lézardes, le peu d’avancées concrètes de ces prurits d’intentions, décrit trop comme une réussite unifiée et…imparable, ce qui ne l’est pas du tout. Surtout lorsque l’ensemble des analyses (ne plus se laisser berner par l’écran qui fait tant loucher – mais embrasser d’un regard circulaire qui enchante) nous démontrent que ce sont faiblesses, échecs, capilotades et déculottées que ramassent ces détraqués du cervelet. Leur pouvoir mondial, fort heureusement, n’y parvient pas. Les surestimer nous dessert : et croyez que nous ne les sous-estimons pas…

La preuve ? Après 4 victoires tranquilles issues de la Dialectique plus puissante que jamais, dialectique qui nous démontre que les fausses mauvaises nouvelles sont…

…en fait, de foutues vraies bonnes nouvelles. Ils commencent de perdre dru.

……………………………………………. Et nous gagnons plus encore.

………………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste victoire nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu