Écrire* entre le rire ?
Pas de littérature en costume trois pièces ? Soit le débat y est proscrit, on y est dépolitisé au possible, on y fait de nous des enfants. De la politique nous n'en connaissons plus que les…images. Qui fait cela ? Les écrits en costards-cravates, comme nous allons le montrer et démontrer. C’est l’époque ignominieuse des concepts en costume trois pièces ! Les «sensitivity readers» en sont les chevaux de Troie. Après avoir rétréci la littérature à une bouffonnerie qui « passe à la télévision », ils veulent voler jusqu’à l’utilisation de l’écriture qui inspire. En l’instrumentalisant. Par de vains procédés de technocrates : ici de soi-disant expérimentés (un vrai écrivain est un foutu expérimenté, bien plus qu’eux)…qui vont enquêter fliquement sur « l’authenticité du témoignage ». Oui sur la véracité de votre vie, décrétant unilatéralement (jamais de droit de réponse dans ce monde devenu fou, donc proche de s’écrouler, de l’édition à sens unique – sauf que ces tyranneaux qui ne comprennent plus rien de rien à la réalité actuelle, peuvent causer beaucoup de dégâts…avant. Et qu’il faille les en empêcher !)…que vous n’auriez pas vécu ce que vous écrivez, que vous n’en avez pas stature, que vous n’avez « pas pu » expérimenter ce que vous dites. Au final, l’éditeur capitaliste va dicter le livre que l’écrivain réduit en esclavage «doit» écrire (format hyper comptabilité comptabilisé de chaque mot autorisé ou…interdit !)…sauf que erreur de taille : pour nôtre propre compte, jamais de jamais, nous n’avons ouvert un document « d’éditeur », un bouquin aux ordres - nous n‘aimons et ne nous nourrissons que ce qui passe à travers, qui n’obéit pas à ces fausses règles stupides où qui ne sait pas impose à qui sait dans sa « médiocratie » identifiée…et que, oui, nous sommes représentatifs/ves…et eux pas ! Puisque malgré le «talon de fer» que Jack London a su repérer lorsque que ces voleurs de vies des autres posent lourdement sur les cœurs – nous obtenons (plus qu’eux, sans doute) des témoignages de satisfactions…
Si-l'on-ne-fait-rien,-être-écrivain-va-cesser-d'exister
Puisque, au final, le but se profile d’expulser tout le peuple de la littérature affichée et de la monopoliser pour les seuls trop riches. Et leurs larbins. Ou la classe dite dirigeants. Et ces regardes de corps. C’est le même but poursuivi d’évictions des penseurs, inventeurs et vrais écrivains de la maîtrise de l’écrit depuis les années 1980. Sauf que, livrés à eux-mêmes, les imposteurs éditoriaux n’ont pas vraiment de succès…affectif. Leur ennui guindé n’attire pas les foules. Ils/elles ont besoin des transversaux, des transgressifs, des précurseurs et qu’ils en ont tari la source. C’est donc AILLEURS qu’est la vraie littérature. Mais cela entre dans le «n’instruisez jamais les salauds». Et donc ? Faut se démerder avec l’aide de « lire entre les lignes » que nous refilons, afin d’arriver au continent des gigantesques trésors…où tout « se » passe « sans » eux !...Passons, alors, aux vérifications et preuves :
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Alain-Mabanckou-je-ne-veux-pas-d'une-littérature-en-costume-trois-pièces
Alain Mabanckou : «Je ne veux pas d’une littérature en costume trois pièces». L’écrivain vient de publier Les cigognes sont immortelles, dont l’action se déroule au Congo-Brazzaville, son pays de naissance. Professeur de littérature, auteur récompensé par de nombreux prix, il a récemment pris position contre le plan Macron pour développer/saboter la francophonie. Il accorde un grand entretien à Mediapart, sur son œuvre et ses prises de positions dans l’espace public. »…Il en ressort, encore, cet amoncellement de règles unilatérales CONTRE les auteurs et l’absence arbitraire de toute règle pour les éditeurs. Trop proches du corvéables et taillables à merci d’un Ancien Régime-accusé réception que fait de la culture le lieu volcanique du lumpenprolétariat actuel ! Ce qui facilite tant la lecture puisque un des hauts lieux où commenceront les basculements !
>>>>>> **** Pas de littérature en costume trois pièces ? C’est, pourtant ce qui se passe…avec les si nuisibles concepts en costards-cravates tels que :
« Vous écrivez un roman sur un sujet qui ne vous concerne pas directement ? Halte-là ! Des consultants légitimés par leur vécu (sic) vont vous aiguiller et vous donner un gage d’authenticité [[ nous en sommes au post-marché des indulgences qui ont tant discrédité l’église…]]. Une pratique très courante aux États-Unis. Ces trois dernières années sont apparus aux États-Unis de nouveaux acteurs dans la chaîne du livre. Glissés entre auteurs et lecteurs, les «sensitivity readers» sont devenus les garde-fous des maisons d’édition américaines [[ comme c’est aisé un système supra-unilatéral qui se permet tout d’un côté, et ne permet absolument rien, de l’autre ]]. Ils et elles appartiennent, par leur origine, genre, religion ou condition physique, à une minorité. Une minorité dont ils proposent de s’assurer qu’elle est représentée avec exactitude dans les manuscrits de romans que leur confient éditeurs et auteurs avant publication, dans un souci croissant de n’offenser personne [[toujours les faux prétextes…alors que le capitalisme offense vraiment les majorités silencieuses, assez pour qu’il soit aboli et vite – suffit de se renseigner !]].
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Le titre « écrire entre le rire » appelle à ces précisions : comme écrire contient tant de mots il faut l’y faire entrer…entrer entre tout. Tu écris les cris, cris qui touchent à la rive où il faut qu’elle écrive. Comment est-ce possible ? Elle écrivait et y alla ; ils écrivirent et virent tout bien en face : écrivant donc rivant quoique tu écrivisses, etc.
L’ordinaire de «leur» art c’est d’écraser de trop d’ordinaire ! L’ordinaire devient alors l’occupation ennemie de la vie quotidienne, ce lieu de tous les prodiges. Et ceci se passe comme cela : « L'inculture comme pensée dominante assénée à coup de télé réalité, de sport et de jeu télévisé [[ donc c’est la barbarie, cette fausse monnaie, qui chasse la vraie civilisation et les inexcusables traîtres se nomment les « médiocrates » - par des moyens très déshonnêtes ils/elles sèment l’impératif d’être toujours plus médiocres qu’eux, ce qui frise l’impossible. Et donc le symétrique : ils interdisent l’intelligence, la beauté, la pensée, la verbe, la joie, la Fête, le talent, le génie, l’art d’écrire et de parler, etc. Comment, vous cabriolez- vous ? En censurant tout simplement à la source…ce pourquoi ce qui suit trouve ses vérifications à chaque coin de rue !]]. La seule histoire qu'on nous montre c'est celle des monarques et des grandes cours d'Europe. Vous ne verrez pas la révolte de Spartacus ou le revirement d'Ashoka ou encore la marche du sel, vous devrez vous contenter du terrible destin de Marie-Antoinette et des potins de Versailles [[ pas question nous sommes en réPublique et publiquement c’est de la République et de ses révolutions dont nous avons le droit républicain d’être cultivé.e.s. !]]. .
Et l'ordinaire reprend le dessus peu à peu on se soucie plus de la voisine qui veut faire une piscine que de la loi travail qui va impacter notre vie de façon conséquente et plus grave celle de nos enfants mais elle est bien trop complexe [[ et l’insignifiant et le dérisoire écrasent l’essentiel : les conformistes étant ces traitres qui collaborent, aigrement, à l’abrutissement général !]]. Fort de cette ignorance la plupart des gens sont lucides sur le fait que les choses ne tournent pas rond mais berné à souhait ils n'y voient pas de solution, ni ceux qu'ils pourraient y faire. Ils ne voient pas le lien entre leur dépolitisation de masse et le fait que la fausse politique abuse d'eux. L'ordinaire agit là comme une matraque invisible de l’anti-démocratie au pouvoir. » Puisque c’est dans la fausse culture de l’argent qu’il y a le plus de…flics. Facile de l’expérimenter : lorsque vous recevez des coups plus illégaux les uns que les autres c’est que vous êtes dans les limites de la « réserve si étroite » qu’ils réservent aux grandes majorités. Et que ? Afin d’avoir une vue d’ensemble et de les niquer faut…sortir du cercle et là ces indignes flics vous cognent cognitifs. Donc vous SAVEZ à coups de coups, et qu’on ne vienne plus vous les cassez !
Émilie-Kovacs-le-journalisme-d’impact-pour-passer-à-l’acte
« Effectivement, la presse traditionnelle se focalise majoritairement sur les catastrophes, les trains en retard plutôt que ceux qui arrivent à l’heure…Les grands titres de presse ont toujours appris à « porter la plume dans la plaie », selon la maxime d’Albert Londres. Dans ce milieu, dénoncer est perçu comme noble. J’ai moi-même fait une école de journalisme et j’ai été biberonnée à ça. Mais je ne suis pas d’accord, notre métier se réinvente ! Internet a révolutionné notre rapport à l’information [[sauf qu’Internet, abstraction, ne peut rien changer mais que certain-e-s précurseurs y transforment les…formes. Formes neuves qui reçoivent tout le nouveau. Et donc prérévolutionnent la révolution Mais comme dire merci écorche la gueule, il est préféré délirer dans les abstractions…]] et notre façon d’en consommer : nous ne voulons plus simplement la subir, les gens ont envie de s’engager davantage, de se responsabiliser, de devenir acteur de leur société… Finalement, l’arrivée du journalisme d’impact paraît très logique [[ puisqu’il a été précédé par une écriture ET une parole d’impact !]] : trouver des solutions est avant tout utile, constructif [[ c’est très précisément l’œuvre au long cours de ce blog, depuis combien d’années déjà, que de niquer « leurs » problèmes par l’impertinence des solutions qui leur…rient au nez !]. J’ai rencontré quelques grands journalistes qui m’ont dit que ça n’était pas notre rôle de chercher des solutions, qu’il fallait seulement s’en tenir au problème [[pro quoi ?]]. Mais pour moi, c’est génial de faire ce métier de cette façon. Si on peut aller plus loin dans le progrès de notre société [[ c’est surtout du social et sociable dont il est vibré…société c’est dans les bénitiers que ça dort !]], si les médias peuvent s’y engager, pourquoi ne pas le faire ?
Les lecteurs sont donc réceptifs au journalisme d’impact ? Selon une étude dont je parle dans mon livre, les informations dites de solutions augmenteraient la sensation de bien-être chez le lecteur. Cela pousse à l’engagement, à la responsabilisation, c’est hyperpositif. C’est aussi une belle manière pour les médias de renouer avec les citoyens et de se remettre de leur côté.[[ en prenant plus de risques encore, ce serait mieux …]]. Aujourd’hui, la presse est associée aux politiques, au pouvoir. Pourtant à l’origine, elle est du côté du peuple, alors je trouve que c’est une superbe opportunité de recréer la confiance entre le public et les médias. Cela permet de faire notre métier différemment. Mais c’est aussi un moyen de retrouver une meilleure situation économique pour les médias. Beaucoup choisissent le journalisme d’impact justement parce que c’est un modèle économique qui fonctionne. Tout cela forme un cercle vertueux.
Journalisme d’impact, journalisme de solutions ou encore journalisme constructif… Autant de noms pour désigner les médias qui s’inspirent des problèmes du monde pour rechercher des solutions innovantes et viables, pour l’environnement et la société. Encore méconnue, cette presse cherche à susciter l’engagement du lecteur en lui montrant ce qui marche, plutôt qu’en se focalisant uniquement sur ce qui ne fonctionne pas [[ là, on croirait lire du imagiter mais en direct !]]. Pour Émilie Kovacs, auteure de Journalisme de solutions ou la révolution de l’information, cette nouvelle façon de concevoir l’information réinvente le lien entre lecteurs et journalistes. »…écrivains ça va plus loin ! Puisque ?
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Cette phrase qui fait atrocement tiquer. Le Monde supra-impérial qui impose tout et partout en éternuant ses souhaits. Et nul-le ne peut trouver l’audace d’aller contre ce pouvoir…anti-républicain. «Qui aurait l’audace et l’autorité pour impulser un tel changement (vu que Le Monde ne le souhaite pas aujourd’hui)?»…lui qui tentait (en apparence ?) d’amoindrir l’autoritarisme de Macron, de lui faire changer de cap, de le rendre plus rationnel ne semble absolument pas suivre ces conseils en ce qui le concerne. Sa dictatée partout lui monte vraiment à la tête (je ne le souhaite pas et cela ne se fera pas…pourquoi ? Uniquement parce que je ne le souhaite pas.). Argument de peu de poids – sans la moindre once « d’autorité » mais que de l’acariâtre et amer autoritarisme. Cependant je ne le souhaite pas que ce tapuscrit soit édité et cela ne se fera pas…pourquoi ? Uniquement parce que je ne le souhaite pas, caprice. Pas d’explication je dictature : est-ce ainsi que cela se passe ? En raccourci…oui. Le pouvoir culturel reste INADMISSIBLE. Il sera brisé car il doit l’être ! Comment ? N’importe où, n’importe quand et par toutes les portes à la fois…
Horreur-le-renaudot-fricote-avec-amazon-!
Lorsque les fake prix littéraires sont devenus une insulte à tout, et que de les voir faire leur peu ragoutantes popotes ne mérite surtout plus la place publique…Horreur, le Renaudot fricote avec Amazon (prix prévu à l’avance pour un étasunien ?) ? « Non alors non vraiment c’en est trop ! Il y a des limites que les bornes ne doivent pas franchir ou sinon c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres ! Vraiment, on a ici un casus belli évident, véritable goutte d’eau qui met le feu aux poudres, qui déclenche le chaos dans lequel les chiens couchent avec les chats et les prix littéraires sont malencontreusement attribués à des grandes entreprises américaines ! Et ça, mes petits amis, non, vraiment, c’est impossible ! » Surtout si nous le rendons impossible…
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….voilà dans le registre de « toujours culpabiliser celles et ceux qui subissent » - qui contribuent contribuables, qui lisent et achètent « jusqu’à 7 fois plus cher que les trop riches » (trouvé dans « Cela devient toujours plus cher d’être pauvre »). Ceux qui pensent fermement que ce sont les réformateurs obsessionnels qu’il faut…réformer ! Que ce sont les trop riches qu’il faille réguler, et soumettre à des obligations, des contrôles , des garanties, des rendre des comptes…et surtout pas les pauvres, objets de trop d’insultes pour que les procès en diffamations ne pleuvent drus tout d’un coup (voir « Empêcher les riches de nuire aux pauvres »)…Oui, ici (dans l’escroquerie du pour le langage il y a des…experts, des professionnels qui « savent »)…et nous voici, encore, dévalorisé.e.s, insultés, dénigrés,calomniés, oui …culpabilisé.e.s (remarquons que le capitalisme ne survit QU’EN culpabilisant. Que donc nous avons déjà…gagné ! Qui dit ça ? Le très connu mouvement du « balance ta culpabilisation » mieux repéré ainsi : #balancetaculpablisation. Mais nul-le ne nous en avait averti, mais nul ne nous avait fait ressentir ce bouleversement complet des mentalités…et des places dans la nouvelle civilisation qui vient ? pas tout à fait exact…
Les-accents-dits-ploucs-par-la-plouctocratie-l'oligarchie-des-lourdauds-?
En effet, cette Révolution aura été menée, au départ, par de vrais écrivains qui ont décidé de faire le journalisme qui n’était plus fait (celui qui change la société). Le biofeedback ? Désormais, des journalistes rénovés entrent dans nos formes, nos formulations et donc dans la refondation complète de tous les concepts. Penser c’est pour agir. Et seul impacte ce qui fait passer à l’acte, c’est marqué dedans. Tant de nos textes sont une preuve que nous «réanimions» tout le corps, muscles et tendons compris, afin d’insurgir un humain bien debout et qui s’augmente… gratuitement et avec le maximum d’impact…
……….………………..pour que…enfin, vous ayez capté !
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste émerveillement nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Révolution menée, au départ, par de vrais écrivains qui ont décidé de faire le journalisme qui n’était plus fait (celui qui change la société). Le biofeedback ? Désormais, des journalistes rénovés entrent dans nos formes, nos formulations et donc dans la refondation complète de tous les concepts. Penser c’est pour agir. Et seul impacte ce qui fait passer à l’acte, c’est marqué dedans. Tant de nos textes sont une preuve que nous « réanimons » tout le corps, muscles et tendons compris, afin d’insurgir un humain bien debout et qui s’augmente…gratuitement et avec le maximum d’impact…pour que…enfin , vous ayez capté !
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les informations dites de solutions augmenteraient la sensation de bien-être chez le lecteur/ trice...
Le combat contre la sélection à l’entrée de l’université est peut-être le dernier avant la rupture définitive des frêles digues qui nous protègent encore de la lame de fond de la défonctionnarisation et de la libéralisation totale de l’éducation. Contre Parcoursup et son monde : 10 thèses pour rester lucide et résister à la politique de Macron.
La tyrannie de l'ordinaire qui voudrait qu’il n’y ait rien d’autre? Possédé par les objets qu'on possède, focalisé sur le futile - il est aujourd'hui très compliqué d'engager la conversation sur un sujet sensible ou même clivant. Ceci se nomme un gigantesque appauvrissement…collectif !
Réponse cinglante de l'écrivain Alain Mabanckou à Macron sur la Francophonie…sabotée !
EKOPO interview WENOW : tout ce qui nous permet de cavaler du système…
L'écrivain comme animal médiatique « apprivoisé », sommé de se mettre en scène, de se livrer, d'attester de son authenticité (que médiatique sic) et d'avoir un avis sur tout. Mais tout cela a-t-il changé les auteurs ? Comment les médias ont-ils immensément falsifié la littérature et les écrivains ? «Dernières nouvelles du spectacle. Ce que les médias font de mal à la littérature.»…L’impossibilité de symétriser qui prouve bien un blocage mental maladif complet omet le sommet du comique mais qu’a à faire la littérature de ce genre de… média en surplomb. Lorsqu’ils chutent enfin ?
Sensitivity reader, ce lecteur qui traque les offenses faites aux communautés : une littérature garantie…sans aucun.e écrivain.e.s. Mais pas sans argent sale ni lobbies si …offensants !
Le grand entretien avec Alain Mabanckou
Figure de proue d'Occupy Wall Street, l'agitateur anarchiste David Graeber a dû s'exiler au Royaume-Uni. Dans son dernier essai, il s'en prend à la bureaucratie, ce fléau du... capitalisme. Cet ...
le capitalisme pourrait déjà être fini...
"Vive la France" : la magnifique réponse de François Morel à Éric Zemmour.
François Morel est magique. Avec la fantaisie et la sincérité qui lui sont propres, il lui suffit de citer une liste de noms et de prénoms pour donner son opinion, pour clamer ses convictions, ...
Cette coliste est d’un antiracisme très joyeux et…sans autre parole !
Joann Sfar : "Si l'on ne fait rien, être auteur va cesser d'être un métier"
Dans une tribune publiée dans "Le Parisien", un collectif d'une quarantaine d'auteurs interpelle le gouvernement sur le sort de leur profession et font part de leur désarroi. Les auteurs demanden...
« Les pouvoirs publics sont absents, mais les éditeurs aussi. Cela fait des mois que l’on s’agite et pas un d’entre eux n’a levé le petit doigt [[ signe du syndrome de l’assiégé que l’inertie exagérée !]]. Ce que l’on remarque, c’est que prix de fabrication et d’impression des livres ont baissé énormément depuis une quinzaine d’années, la diffusion numérique coûte beaucoup moins d’argent que la diffusion en librairie. Les auteurs n’ont jamais bénéficié de ces nouvelles économies. » Pour CD, DVD, etc.il en va de même, les prix à la production (prés de 90 % de l’Humanité n’aurait que des avantages à la collectivisation de la production !) ont tous baissés. Mais que les prix de consommation n’ont pas changé du tout. Résultats concrets : les auteurs ET les humains-clients sont les grand escroqués de l’affaire. Ce système peut d’autant plus vite se transformer que toute Intelligence l’a quitté. Il ne sera plus qu’un balourd aveugle se tombant dans tous les pièges ! Comprendre c’est permettre les grands changements …
Le Système des objets, premier ouvrage théorique de Jean Baudrillard, paraît en 1968…c’est l’objet même des solutions en 2018 !