Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !

L’absurde est une partie du réel, est une facette du langage mais n’englobe pas la totalité du vivant. Ce qui change tout : c’est la conception de la réalité et du langage de l’absurde qui est faussée, se montrant de trop de gloutonnerie immense par rapport à ses minces démonstrations. Et ? Ni la réalité ni la langue ne traite l’absurde de la manière désinvolte et supérieure dont, lui, la traite ! Conséquences ? N’est-ce pas un faux problème, attaché à une mauvaise posture qui, par rapport aux mots, ne sait découvrir l’humilité de simplement écouter sans intervenir, de ne prendre les vocables que tels qu’ils sont et de se dire «ils ont plus de contenus plurimillénaires que moi, si je sais entendre je vais m’amplifier la conscience » ? Au lieu de décréter (sans un regard ni une écoute) que ce n’est qu’une quincaillerie sommaire qui ne mérite pas les majestés si supersoniques que sont ces humains…si incapables de grandeur !

 

Rebroussons l’historique qui permet de tels constats …L’absurde a sidéré – donc stoppé – nombre de sensibilités. Le pouvoir culturel français qui, depuis trop de décennies, empêche le mouvement « naturel » de la culture, bloque (absurdement) toutes les évolutions évolutionnaires des idées – afin de tout figer et d’imposer (puisque, là, ce n’est certainement pas la république des idées mais bien son inverse !)…oui, son inculture. Les  dégâts causés par ce si désastreux pouvoir culturel sont bien gigantesques. Nous qui, depuis nos plus jeunes âges, baignons dans la vraie culture en savons quelque chose. En gros, la majorité des humains reste en évitable retard sur les précurseurs. Sûr, qu’ils/elles peuvent jongler avec des expressions-gadgets, se faire scintiller par des modes modus operandi, se croire voir en « mouvement » - mais manquent toujours la vue d’ensemble, les raisonnements qui remontent aux sources, aux causes et conséquences, le ressenti des trajectoires de chaque idée – bref, le sens du futur vraiment vécu et incarné de la culture. Soit ressentir, dans les corps, le CHEMINEMENT de chaque concept. Soit se déPLOYER sur tout l’espace des champs de savoirs et, puis, les relier entre eux…etc. le tout en trop triste jachère. Les facultés sont facultatives si nous ne les…utilisons pas ! C’est ainsi…N’être jamais en direct, en phase, en aventure, avec les vrais grands esprits de l’époque, ne peut qu’être préjudiciable à la société et à ses sociaux !

Et l’exemple de l’absurde (rien n’a de sens, l’humain n’existe pas) va rendre tellement plus concret la brève esquisse entamée…Normalement, c’est daté. C’est un quiproquo existentiel – comment prendre le sens par le mauvais bout. Comme une erreur de parcours. En plus ? Avec une étymologie clairvoyante, du latin « absurdus » : ce qui est dissonant (qui sonne mal), discordant, discordial. Puisqu’il ne fait aucun effort afin de changer de registre ! En fait de fait !

 

Or ? A cause de la sidération qui congèle et dévie les reconnaissances instinctives, trop de sensibilités regardent vers le passé. N’imaginant même pas qu’un futur culturel existe. Et se vive intensément aujourd’hui. Et trop de sensibilités (ce qui veut dire qu’un certain nombre n’a jamais obéi à ces ordres…absurdes !) n’ont pas emprunté les sentiers escarpés de savoirs de PLEIN AIR (comme il y a la pleine conscience !). Et notre texte va tenter de les sortir de l’ornière. De leur prouver (faire éProuver) qu’ils se sont planté.e.s. à suivre un chemin qui s’était déjà planté, au départ. Les mots ont du sens. Et le sens de la vie n’est pas…l’absurde. La surdité de l’absurdité peut même esquisser une mauvaise écoute du langage (à savoir le langage complet et non un mot isolé, séparé, que l’on porte à l’apex, puis un autre, un autre, un autre identique que l’on croit avoir capté. Et jamais l’inter-dit – ce qui reste entre les dits, ce qui n’a jamais été dit. Ce qui est ENTRE les mots et qui y « entre » dans chacun d’eux. Chaque mot donc ne sera plus séparé et qui (pour cela) ne peut plus « servir » une quelconque idéologie. Les mots tous ensembles c’est, par exemple, la diction du dictionnnaire. La justesse de la justice. Le précieux du précis. Le penser comme peser. L’inFormation, l’informe qui prend forme et qui offre, en même temps, toute la formation afin de tout comprendre de ce qui inForme. Et tant d’autres dons que nous avons abordé dans d’autres textes…Il n’y pas de divorce du mot et de la chose ! Tout le contraire, au contraire. Soit (de manière ingénue…)….

 « Jean Tardieu est hanté par le divorce du mot et de la chose, il dit " les mots dont je rêve n'existe pas". Le langage empêche de voir ; "nous donnons des noms qui ne veulent rien dire à des choses dont on ne peut rien dire. Hanté par l'infiniment grand, si je me laissais hanter aussi par l'infiniment petit…" Ionesco.1973. Le Solitaire.

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Théâtredequoisagitil

 

Ce qui définit la création poétique et littéraire des Jean Tardieu, Ionesco, Beckett (…), c'est le sentiment obsédant que le langage ne peut, à lui seul, dire le réel [[si nous le prenons tout entier – chaque mot amplifiant tous les autres, les augmentant tous des autres…dans une gigantesque métaphore spatiale - cela semble devenir bien plus possible ! Ils se sont trompés faute d’avoir…expérimenté toutes les facettes du langage !]] : La parole est une île dans le langage, elle le met en défaut.  Au théâtre la parole est un enjeu essentiel tout comme dans un tribunal. La parole se manifeste par un TROU au point de convergence de la réalité, du moi, du langage à la fois déficit du langage, déficit ontologique et déficit à dire la réalité, elle devient au théâtre un enjeu scénique de premier ordre.

 

Il s'agit de comprendre ce qui est en jeu dans l'usage du langage, la part d'inconnu qui l'habite et qui détermine le rapport de l'individu au monde et du poète au langage. "Donc la vérité est le langage individuel. Supprimons les derniers risques d'erreurs. Construisons la LANGUE MOI ! La seule qui soit universelle ! La seule qui ne serve pas à déguiser la pensée, la seule qui soit pure effusion…" Tardieu, Le Professeur Froeppel. Tardieu affirme, "Les mots n'ont par eux mêmes, d'autres sens que ce qu'il nous plait de leur donner" comme dans De quoi s'agit-il? Les protagonistes notamment, Le Juge, il ne donne d'autres sens aux mots que ce qu'il lui plait de leur donner, cherchant à tout prix un coupable.

 

Ce qui est en jeu derrière le divorce du mot et de la chose, ce sont nos représentations du réel. Ce questionnement sur le langage se transforme en questionnement sur le réel. Selon Tardieu, il n'y a rien de plus irréel que le réel, en effet il affirme, "Il n'est pas de figure mythique plus insaisissable et protéiforme que le réel" [[ Là, nous changeons complètement de registre et l’arbitraire de la formulation gratuite saute aux yeux et aux oreilles. Réel irréel et langage insuffisant : les désirs du proférateur sont si disproportionnés qu’il se prend carrément pour le dieu du monde. Jugeant en grand surplomb mais, aussi, en grand capricieux ! ]].

 

La-réalité-est-toujours-au-bout-de-la-question 

La notion de trou au théâtre :

LE TROU = Contradiction du raisonnement entre dire et voir. (-->indication de jeu possible ; à chaque quiproquo tourner autour du trou/pot) Voir Quad de Beckett pièce essentiellement conçu autour de la notion de trou à voir --> ICI            Dans le théâtre de Tardieu, le trou est le lieu de la coïncidence mystérieuse des contraires [[ donc il y a du bien et qui lui convient !]]. Il cherche ce qui se résout dans sa contradiction "la couleur dans le noir et blanc, le visible dans illisible, les concepts dans le concret, la musique dans les mots désertés, le sens dans le non sens, la lumière dans l'obscurité…". Il met alors en œuvre les théories sur le langage du philosophe et égyptologue allemand Carl Abel dans ouvrage Les Sens Opposés dans les mots primitifs. Selon Carl Abel, à la naissance du langage même le son à l'origine embrassait des termes contraires du même concept, tous deux se présentaient simultanément, en vertu de la loi d'association. 

 

Dans la poésie de Tardieu, l'oxymore règne en maître. En effet, il remet en cause la place du sujet et de l'objet ; Madame Poutre dans De quoi s'agit-il? possède le regard naïf de l'illumination qui TROUE le consensus autour des représentations du réel, qu'on trouve chez de nombreux personnages de Tardieu, elle découvre l'irruption du soleil sur les humbles objets de la cuisine, expérience qui ne parvient à se dire, sinon sur le mode de la stupeur. (--> indication de jeu possible ; accentuer la naïveté et l'innocence des paysans).

 

Tardieu convoque sur la scène du théâtre l'irreprésentable [[ ce qui reste théâtral !]]. Le trou n'est pas seulement l'aporie du dire et du voir, mais du mystère et de l'acte constitutif de la parole telle qu'elle se sacralise sur la scène du théâtre. Il écrivait : "mon langage regarde que le langage regarde le langage !" Le défaut des langues est devenu ce qui se joue sur la scène. Il s'agit de fonder le théâtre sur un vide de théâtre, d'interroger sur scène le représentable et l'irreprésentable, de confronter le spectateur à la question des limites de l'incarnation, mais aussi des perceptions. [[ sauf qu’après ces limites, il y a d’autres manières de ressentir, de voir et d’écouter…]]. Chacun à leur manière et avec les obsessions qui leur sont propres, Tardieu et Beckett, et à leur suite Novarina, s'absorbent dans un travail concret sur les rapports entre l'être, le réel et le langage, et semblent ne pouvoir penser l'écriture, penser le théâtre sans entrer dans un acte de dépossession ou d'humilité [[ en fait le prétendu divorce entre le mot et la chose ressemble bien à une mise en scène théâtrale ! C’est une approche qui prouve sa fécondité mais il y en bien d’autres et ses conclusions ne sont pas généralisables…]]. »

 

Comment-nommer-sans-nom-?

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L’attitude d’aborder le langage d’une manière complètement autre dénoue les fausses problématiques et les rapporte à des comportements inadéquats (tout simplement). Ce qui juxtapose « Le sens : un rapport que les sujets entretiennent avec eux‑mêmes » ET « La signification : un rapport que les sujets entretiennent avec les autres ». Pourquoi faire compliqué lorsque le simple existe ?

Usage-sens-et-signification-!

« On constate, d’abord, l’utilisation de la terminologie du sens et de la signification lorsqu’il s’agit de désigner les rapports-en-acte que les sujets entretiennent avec leur(s) environnement(s) d’activité, c’est « ce qu’ils en font ». La « Théorie de la signification » en donne de nombreux exemples suggestifs [[ ne tardons plus à les découvrir ! Déjà apparaît, par rapport à toutes les corruptions que la fausseté des valeurs d’échanges ont pu répandre, toute l’importance « significative » du concept d’usage ; comme ceci…]]

Le réseau sémantique auquel appartient ce concept d’usage est probablement constitué aussi du concept d’objet, défini comme une entité du monde dotée d’une unité d’usage dans l’activité d’un sujet. La perception est une intériorisation par les sujets des rapports d’usage qu’ils entretiennent avec leur(s) environnement(s). Selon Nuttin (édition de 1984, 157) l’objet est « perçu directement dans sa signification fonctionnelle ».

Nous définirons le concept d’usage comme le rapport singulier [[ non manipulable ]] qu’entretient un sujet avec les composantes de son environnement d’activité par et dans la transformation-en-acte spécifique que constitue cette activité [[ veiller à la significtion fait partie des activités puisque l’usage nous écarte de tout unilatéralisme des cupidités antisociales !]]. Les rapports d’usage supposent de la part des sujets une performation, c’est-à-dire un accomplissement d’activité englobant un ensemble d’éléments mutuellement inter-dépendants, et entretenant entre eux des relations d’« implication signifiante » [[ l’usage fait que nous n’oublions plus les autres, que nous n’avons plus l’amnésie des conséquences de nos actes sur les interdépendances, que nous élargissons nos consciences à ressentir nos impacts et à les diminuer au mieux de la globalité – le langage épouse ce collectif collecté avec une incroyable prescience ! Il est bien adapté à toutes les transformations et nous y adapte…]].

Les rapports d’usage ont un statut pré-sémantique et pré-linguistique. Souvent ils ne font l’objet ni de représentations ni d’énoncés, mais peuvent l’être. Quand ils font l’objet de représentations ou de discours, on a pu parler de représentations fonctionnelles (Leplat, Psychologie française, 1985, 30/4, 269-275), ou de représentations pour l’action (Weill-Fassina, Dubois, Rabardel). On a pu parler aussi d’« images opératives »[[ à notre avis, et avec de nombreux exemples, nous pensons que le langage contient plus d’images et encore plus attrayantes que toutes les images que nous connaissons…]] décrites comme sélectives, fonctionnelles, déformées (Ochanine). Représentations fonctionnelles et images opératives présentent quelques analogies avec les dichotomies, périmées aujourd’hui, opérées par l’école primaire traditionnelle entre animaux « utiles » et animaux « nuisibles » (au regard de l’activité humaine) [[ point de vue qui est en train de pivoter massivement dans l’acte actif qu’est l’actuel...]].

On assiste quelquefois à des déplacements dans l’identification des rapports entre les sujets, leurs activités et leurs environnements. Le philosophe Gibson a ainsi pu parler d’affordance [[avoir les moyens de…l’offrir]] pour désigner les « offres de l’environnement » (« ce que disent les objets ») en fonction des caractéristiques de l’activité. Pour éviter les paradigmes classiques d’analyse des causalités, on peut parler de transformations conjointes des activités, des sujets et des environnements. L’accès aux rapports d’usage peut être favorisé par l’observation, mais tout particulièrement par des méthodes de type éthologique ne distinguant pas l’activité des êtres vivants de leurs environnements, ou mettant en valeur les « mondes » des êtres vivants. On a pu parler aussi de marquage de l’environnement, et privilégier l’analyse des traces d’activité. Un autre voie peut être encore être trouvée dans la non-distinction entre transformer et comprendre, comme dans nombre de perspectives cliniques (Thievenaz, Barbier, Saussez, Peter Lang, à paraître)[[ c’est transformer comprendre qui permet l’amplification de comprendre transformer !]]. »…Ainsi l’intimité des mots, l’appropriation charnelle du langage permet de vivre le versant collectif de la parole (sa signification par rapport au sens plus personnel que nous avons formulé comme un Sens sensitif, sensible, sensationnel, sensuel ET sensé – ce qui place le ne pas ressentir comme insensé (inSensé). Et insensible comme vraiment le contraire de l’intelligence !

Je-donne-ma-langue-au-langage

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L’absurde est une partie du réel, est une facette du langage mais n’englobe pas la totalité du vivant. Ce qui change tout : c’est la conception de la réalité et du langage de l’absurde qui est faussée…Or, des transversaux et anticonformistes (soit la grande santé prosociale) ont déjà traversé ces …matérialités : mauvaises sensations, goûts amers, sons discordants, enfermements dans des pièces closes, aucun contact jamais avec la Nature, ressassement non distancié des mots, corps jamais exubérants, etc. qui constituent le socle créatif de l’absurde… Alors que ces précurseurs vivent, actuellement, que les diverses  voix vers la Nature (donc sans métaphysique) se vivent comme le retour des extases simples, de l’infini des grands espaces (intérieurs), du sensuel ET du sensé, des saveurs des savoirs, des lectures dé-lectées, des corps non-transhumanistes qui parviennent à s’auto-amplifier sans barda technologique, etc. Or ? Ainsi est contournée toute la vulgarité du capitalisme libéral qui « achète » une fausse culture, frelatée et desséchée – subsumée par sa FOLIE obsessionnelle mortelle du profit. Cette niaiserie complète où l’argent « enfante » des petits, s’auto-multiplie tout seul, s’auto-féconde-faconde, s’immacule la conception hermaphrodite sans bouillon de culture (et autres claires impossibilités). Or les FAUX profits participent des circuits des Coûts mais « se fraudent » comme des sorties en solitaires qui laissent ces coûts réels aux…autres. Et brament, toujours plus stupides, qu’ils ont « fait » des prooofiiiiits. Niaiseries destructrices (ils n’ont pas fait des profits qui coûtent trop chers mais ils n’ont fait que des conneries !). Et cette folie intense SÉPARE à 100 % (oui 100 % !) de la Nature.

 

D’où la…désolation complète qui tourne autour de ce néant affectif (qu’un seul homme pleure et le disruptif…n’est plus !). De ce vide émotionnel (les réflexes ne seront  jamais des réflexions sensuellement vécues). Le sage restant celui qui croit ce qu’il ressent et pas ce qu’il voit. Les cupidités (absurdes) du capitalisme sont pour les « fausses » richesses. La vraie richesse existentielle comme de vivre la nature dans une joie intense lui est fermée. Il s’auto-prive des meilleurs qui, tous, se situent dans les…gratuités. Toutes les qualités sont durables et renouvelables pour l’éternité, les quantités non : l’apprentissage de la richesse intérieure « investit » donc dans ce qui va nous rapporter toute la vie. Et hors toute volatilité ! Que du sérieux solide donc ! Aussi, la stupidité unique du capitalisme ne peut avoir qu’une…unique issue ; sa propre ruine et la ruine de tout ce qui n’aura pas su quitter sa non-pensée de haute folie. Oui ?

 

………S’il y a une seule absurdité sur cette Terre….

 

………………………..…………   c’est que le capitalisme y existe encore !

 

 

..…..………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste signification nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

en couverture Max Ernst

en couverture Max Ernst

Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !
Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !
Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !
une claire absurdité toujours pas dénoncée…

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Une étymologie clairvoyante, du latin « absurdus » : ce qui est mal sonnant, discordant oui discordial. Puisqu’il ne fait aucun effort afin de changer de registre !

Une étymologie clairvoyante, du latin « absurdus » : ce qui est mal sonnant, discordant oui discordial. Puisqu’il ne fait aucun effort afin de changer de registre !

L’anticommunication c’est le refus si puéril qu’il y ait quelque chose en COMMUN.

L’anticommunication c’est le refus si puéril qu’il y ait quelque chose en COMMUN.

Dans cette scène, le seul qui devrait parler c’est…l’arbre. Mais il est faux !

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L’absurdité c’est le trop d’importance donnée aux regards des autres. Para Noïa…(l’éternelle absente).

L’absurdité c’est le trop d’importance donnée aux regards des autres. Para Noïa…(l’éternelle absente).

La réalité, elle, au moins, déploie tellement plus d’humour ! Oui ce qui hume l’humain…Ainsi que de vraie sagesse : « la voie du juste milieu est bien à gauche »…Après 40 ans d’épreuves par des politiciens corrompus, donc tous de dérives droitières, la France l’a clairement compris…

La réalité, elle, au moins, déploie tellement plus d’humour ! Oui ce qui hume l’humain…Ainsi que de vraie sagesse : « la voie du juste milieu est bien à gauche »…Après 40 ans d’épreuves par des politiciens corrompus, donc tous de dérives droitières, la France l’a clairement compris…

au théâtre de l’absUrde

au théâtre de l’absUrde

Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !
Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !
motsatortdus

motsatortdus

Jean Tardieu : son oeuvre dramatique est à rapprocher de Beckett et Ionesco. On y voit des personnages égarés, ne sachant plus communiquer entre eux

Jean Tardieu : son oeuvre dramatique est à rapprocher de Beckett et Ionesco. On y voit des personnages égarés, ne sachant plus communiquer entre eux

Il n’y a pas divorce du mot et de la chose !

Le théâtre de l'absurde - Quand naissait le théâtre d'aujourd'hui à Paris

Jean Tardieu - Les feux faut les - La comédie du langage

Finissez vos phrases...mais, cela ne se fait pas chez les bourgeois, les champions toutes catégories des hypocrisies !

Les caractéristiques du théâtre de l'Absurde

Samuel Beckett: Quad I+II (play for TV)

Le patrimoine sonore de la poésie (Michel Murat). Patrimoine qui n’est pas de la patrie de qui crée : comment faire que le spectateur ait tous les droits – les créateurs aucun ? Ce prétendu patrimoine va donc se vider. Complètement. Une fois pour toutes, ce n’est pas l’éditeur qui compte mais bien le penseur et l’écrivant. Cette imposture dramatique est bien en train de finir !

Nous sommes l'Humanité, le documentaire avec les jarawas : Habiter le monde conjointement par l’usage, par la construction de sens et par l’offre de signification…soit ajouter, amplifier et ne pas retirer, restreindre, amoindrir !

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