L’austérité européenne face à la dédollarisation ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’austérité européenne face à la dédollarisation ?

Vraiment de l’austérité à contre temps…Parée d’être un choix contra-cyclique, l’austérité serait une politique économique visant à réduire l’ensemble des revenus disponibles pour la consommation, par le recours à l’impôt, au blocage des salaires, à l’emprunt forcé, aux restrictions de crédit et au contrôle des investissements. Le but recherché est le retour aux grands équilibres (tels présentés dans le carré magique de Nicholas Kaldor). C’est une définition très keynésienne (l’économiste Nicholas Kaldor est une figure de cette école de pensée) qui part du principe que l’austérité doit s’appliquer en période d’accélération de la croissance et par extension de l’inflation. Or, voyons-nous une telle accélération de la croissance (à part au Portugal et timidement puisque le futur des entreprises n’est pas encore solide) ? C’est donc, par entêtement inculte, exactement faire ce qu’il ne faut pas faire au mauvais moment.

Contre-la-politique-d'austérité-en-Europe

Le second point qui n’existe que parce que sur-centralisme parisien met le bordel partout – c’est le déphasage schizophrénique des informations (qui relaie tel quelle les infos venant de Paris dessert clairement le pays entier). Ainsi, la dédollarisation n’est même pas formulée malgré la massivité des faits qui la dessine. Et Paris (encore cet abus de position) ne relaie, lui, que l’unilatéralité étasunienne, la version aveuglée qui ne peut que nous faire rien comprendre à l’état réel du monde entier. Aussi – dans nos habitudes (nous sommes la santé de la société !) de briser toutes les routines de pensées (nous voyons les désastres sociaux actuels non issus de penser et ressentir autrement mais bien de s’enfoncer dans les marécages de penser toujours pareil alors que tant a changé autour de nous – évident !)…oui, sans cette lutte de haute salubrité où nous tentons d’enlever les kystes de fixation nous proposons la juxtaposition des DEUX VERSIONS. Dédollarisation et pensée d’isolation qui fait comme si les autres n’existent pas. Nous verrons bien ce que cela donne !

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« La fiabilité des théories économiques que les technocrates nous obligent à subir est désastreuse. La réalité ne va pas tarder à venir le démontrer [[ les fact-checking, cette vérification par les faits et non cette liste de contrôle technique, ne sont jamais dirigés dans les bonnes directions !]]. Qui n’a pas été confronté, en tant qu’utilisateur basique, à un problème informatique dans sa vie ? En dehors de l’irritation, on peut profiter des temps de redémarrage pour réfléchir.

Lorsque-l'-informatique-prouve-que-les-économistes-sont-fous

L’informatique est une technique, une science, et pourtant, parfois, les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets. La matière première de l’informatique n’est pourtant que des 0 et des 1. Quelque chose de très simple : « oui » ou « non », « blanc » ou « noir ». Pas « environ 1 » ou « presque 0 », pas « peut-être », pas « gris ». Binaire. Des millions de ces couches binaires s’entassent jusqu’à l’utilisateur final qui appuie sur son clavier et regarde son écran. Et au bout du compte, ce même utilisateur qui fait exactement la même chose obtient un résultat différent.

En tant qu’ingénieur, j’ai vécu le début de l’informatique appliqué aux commandes de vol, ce qu’on a appelé la numérisation. Un ordinateur s’intercale entre le pilote et les gouvernes, les moteurs, etc.… J’ai demandé comment se calculait la fiabilité d’un logiciel. Dans l’aéronautique, tout équipement est caractérisé par un taux de fiabilité (ou de défaillance, si vous voulez, mais…fiabilité est plus vendeur). La fiabilité des anciens équipements électroniques analogiques était calculée avec des modèles statistiques. Cette fiabilité était ensuite contrôlée empiriquement avec des essais. Enfin, le cumul de l’expérience validait le tout : tel type d’équipement avait accumulé des milliards d’heures de vol sans panne, sans maintenance non-programmée. C’était le sésame qui convainquait le client. Mais un logiciel ? C’était nouveau. Qu’allions-nous annoncer au client ? L’expert de l’époque m’a répondu : « ne te prends pas le chou, tu comptes le nombre de boucles de décisions du programme ». Plus il y en a, moins c’est fiable. Une boucle de décision revient à programmer « s’il se passe ceci, alors tu fais cela ».

Quittons maintenant l’informatique et arrivons dans la « science économique ». Des banquiers centraux prétendent contrôler l’économie en s’appuyant sur des modèles théoriques. Dans son dernier discours, Jerome Powell [[ Président du Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale des États-Unis (FED) depuis Mars de cette année ]] émettait cependant quelques doutes sur les repères dont il se servait, et faisait presque preuve d’une ombre d’humilité : « Dans les modèles économiques conventionnels, les principales données économiques telles que l’inflation, le chômage et le taux de croissance du PIB fluctuent autour de valeurs qui sont considérées comme ‘normales’, ‘naturelles’ ou ‘souhaitables’. Le FOMC [[ Le Comité Fédéral du Marché Ouvert Federal - Open Market Committee (FOMC) de la Fed]], a choisi 2 % d’objectif d’inflation comme une valeur souhaitable. Les autres valeurs ne peuvent pas être observées directement, ni choisies par quiconque. En fait, ces valeurs résultent d’une myriade d’interactions au travers de l’économie.[et ne peuvent donc, logiquement, parvenir à une chiffre unique – ce qui reste le fondement de la grande tromperie des économistes orthodoxes : heureusement qu’il y a les autres…sinon nous aurions quitté tout réel depuis fort longtemps !]]]

La-FED-Jerome-Powell

Naviguer d’après la position des étoiles peut sembler simple. Toutefois, guider la politique d’après les étoiles, en pratique, a récemment été un défi car nos meilleures estimations de la position des étoiles ont significativement changé. » Au lieu de « 0 » et de « 1 », la matière de base de la science économique repose sur des milliards de décisions individuelles. Ces prises de décision ne sont pas binaires, elles s’appuient sur des sentiments, de l’expérience du vécu. « Peut-être », « plus tard », « c’est trop cher (pour moi) »… Une infinie palette non pas de gris, mais de couleurs… S’il se passe ceci, X fait cela, mais Y fait autre chose et Z une troisième. Et les économistes prétendent mettre tout ça en équation, ils prétendent mesurer ces nuances avec leurs statistiques bidons [[ tout factuellement, puisque c’est impossible à “réduire” en équations…]] Mon d’indice inflation, n’est pas celui de mon voisin [[ donc un seul non-choix va l’emporter arbitrairement mais ne va rien…signifier ni expliquer, juste occuper illégitimement la place !]] ; il serait utile d’expliquer aux statisticiens de l’INSEE qu’il est par exemple plus coûteux de se chauffer à Lille qu’à Nice. Ils doivent disposer de mesures de températures fiables. Les économistes ne font pas que nous donner de fausses informations en se drapant dans leur fausse science. Ils veulent délibérément fausser nos décisions pour agir conformément à leurs folles théories.

Fin-irrationnelle-du-système-1971

1973, aussi, en France la loi scélérate qui… empêche les gouvernements d’emprunter auprès de la Banque de France (puis, ensuite la BCE) et les CONTRAINT à emprunter au seul privé (ce qui est un clair putsch tellement illégal qu’il est toujours non puni !)

Cela fait plus de 5 000 ans que l’Humanité a découvert qu’il faut limiter le crédit, et plus de 3 000 ans qu’on sait que la multiplication de la monnaie qui ne correspond à aucune richesse réelle conduit à la catastrophe. [ Dans son dernier ouvrage, En marche vers la faillite, notre spécialiste de la politique américaine, Jim Rickards, nous explique comment le Deep State et la fausse élite mondiale [[ vue qu’elle ne « serait » qu’étasunienne !]] courent à la [[ la « leur » pas celle du monde entier !]] catastrophe [[et Rickards a fait remonter des données…mondiales trop souvent laissées dans l’ombre – voir l’iconographie !. ]. Cette fois ne sera pas différente. Sauf que l’ampleur des bêtises est démultipliée par la puissance informatique qui rend les crétins encore plus prétentieux. »…Voici la version « unique » étasunienne (qui semble inclure l’Europe ou, qu’en tout cas, certains prétendus dirigeants s’approprient comme si c’était « notre » réalité – d’où le ton si pessimiste de la vidéo de Rickards jointe…).

Comment-les-maths-prouvent-l'imposture-de-l'-économie

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Les folles politiques dites contracycliques – rendues possibles par le système monétaire et financier actuel – déboucheront-elles sur une débâcle similaire à celle du « système de Law » ? ….« La Bourse est cyclique : des hauts puis des bas… 1987, 2000, 2008. Plus la bourse monte, plus les gens s’y intéressent et donc plus les marchés montent. Même si la France compte (hélas) moins d’actionnaires en direct que les autres pays à niveau de vie comparable, en dix ans vous êtes nombreux à avoir retrouvé le chemin des marchés. D’ailleurs, le gouvernement vous y incite après neuf ans de hausse continue ! [[ mais les hausses ne peuvent être éternelles sauf dans les…qualités. Voir donc les courbes de changements de cycles…]]

Les-graves-illusions-contracycliques-!

Puis la correction [[ de dir-rection]] arrive, tout le monde prend peur, cherche à s’informer, à comprendre…[[ la métaphore file alors que…]] les cycles sont à l’activité économique ce que la respiration est à l’humain. Expansion, effervescence, surinvestissement puis récession et destruction des mauvais investissements dus à l’excès d’enthousiasme. Mais depuis Keynes, gouvernements et banques centrales s’efforcent d’empêcher les cycles de se produire. Ils prétendent pouvoir adoucir une correction, relancer l’économie. Ce faisant, ils empêchent l’économie de respirer, ils l’étouffent et la rendent asthmatique [[ toujours la métaphore qui ne semble fonctionner que parce que la capitalisme n’est ni rationnel ni matérialise mais bien un…idéalisme métaphysique que dieu voudrait, qu’il trusterait !]]. C’est le syndrome de la « croissance molle ».

Cela donne lieu à de jolies phrases comme celle-ci, des archives du journal Le Monde : « La récession a été évitée et le gouvernement revoit ses prévisions à la hausse, mais les perspectives restent moroses [[ ou bien un syllogisme dénucléé de toute vivacité…donc une impossibilité factuelle !]] ». Le poids de la dette augmente, les taux d’intérêt sont abaissés de force pour la rendre supportable mais d’autres acteurs profitent des taux bas pour s’endetter à leur tour. La crise du crédit subprime ou des « subprimes », comme disent les commentateurs, a été mal nommée. Les journalistes et experts français semblent d’ailleurs  ignorer que subprime est – dans la langue de Shakespeare – un adjectif et donc invariable. Plus grave, cette mauvaise dénomination implique que le mécanisme n’a toujours pas été compris. Il s’agit en fait d’une crise de surendettement généralisée rendue possible par le système monétaire et financier des laxismes délirants envers les trop riches [[ or les fraudes fiscales créent déforestations et surpêches. Or les désastreux enfers fiscaux ne connaissent que les flux de l’argent de destructions de la nature, etc. Et ? Juste faire payer, élégamment,  ce que ces trop riches DOIVENT enrayerait la crise actuelle. N’est ce pas assez simple pour que ces désordonnés non politiques que sont les politiciens compliquent tout…pour rien !]]. Ce n’est pas la première fois qu’une crise est mal nommée. Durant la Régence, entre 1716 et 1720, John Law avait développé et appliqué en France un « système ». Il est important de se souvenir qu’on parlait bien du « système de Law ».

Le régent, face à des caisses vides et un État surendetté par les guerres de Louis XIV, était confronté au problème classique du pouvoir :  comment avoir de l’argent contre rien ? La solution classique est l’avilissement de la monnaie métallique et l’endettement. Crésus, l’Empire romain, Philippe Le Bel, et bien d’autres en étaient passés par là avec toujours une issue désastreuse. John Law et son système pour dissoudre les dettes ? John Law a réellement inventé  la méthode moderne : monnaie papier, banque centrale, endettement, création monétaire et « assouplissement quantitatif » [[ ce dont les esprits qui trompent toujours « même dans les détails » ne s’avisent jamais de rappeler…normal, ce système a failli…à tous les sens du terme !]].

La Banque Royale était une banque centrale qui s’est livrée à de la création monétaire et a participé au rachat des créances du Trésor (contre des actions de la compagnie du Mississipi). Le « système » connut une telle faillite que, par la suite, la France traumatisée n’osait même plus appeler une banque « banque ». Après Law, les banques furent appelées « caisses » [[ plus facile, métaphoriquement à déménager !]]. A tort, la faillite du « système de Law » fut appelée « bulle du Mississipi » ; pourtant, cela n’avait rien à voir avec une bulle purement boursière comme celle de la tulipe. Le « système de Law » a été ressuscité depuis la fin des accords de Bretton Woods, qui a acté le décrochage de toutes les monnaies d’un repère réel (une contrepartie métallique en or ou argent) : « Si Law revenait parmi nous, 300 ans après son premier séjour terrestre, il aurait quelques motifs de satisfaction.  On retrouve en effet dans l’histoire économique et monétaire de l’après-guerre, en particulier depuis 1971, la plupart des ingrédients qui ont fait la réussite et l’échec de son système : la démonétisation de l’or, une bulle d’actifs entretenue par une politique de taux bas en totale déconnexion de l’économie réelle, des émissions d’actions et de billets qui, sans toujours atteindre la sophistications de nos produits dérivés, n’avaient de contrepartie que dans la titrisation [[ titriser est une démarche claire de vouloir voler les avoirs des autres !]] de dettes anciennes et nouvelles ». - Nicolas Buat, John Law, La dette ou comment s’en débarrasser - 20 Février 2015).

Le « système de 1971 » connaîtra-t-il la même faillite que le « système de Law ». L’immense tas de dettes publiques et privées accumulées par le délire des politiques contracycliques – rendues possibles par une orgie de monnaie adossée à rien – sera un jour déclaré sans valeur. Voltaire – qui avait vu le désastre de Law – ricanera dans sa tombe : « le peuple reçoit la religion, les lois, comme la monnaie : sans l’examiner ». Cette fois, ce n’est pas différent. »

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En conclusion : toutes ces fausses analyses occidentales ne parlent pas de la dédollarisation mais de la guerre économique sans toucher la terre des pieds. Elle flotterait sans conséquences aucunes, sans qu’il y ait besoin de savoir comment  réagissent qui la subissent. Etc. Et quelles sont leurs actions bien concrètes : Celles de la Chine et de la Russie et des autres BRICS – Russie qui retire le plus vite et au maximum tous ses avoirs aux États-Unis de peut que ce pays toujours plus égaré ne les saisissent – ne réorganisent le monde oui mais…sans ces États-Unis justement ! Ce qui change, effectivement, tout !

Oui nous en retiendrons la conclusion : « (…) la trappe à liquidités prend la forme d’une bulle d’actifs sans impact sur le secteur productif. Mais l’originalité de Law est d’avoir réussi à désendetter l’économie et le roi au péril de sa banque, selon un schéma inverse de celui qui prévaut aujourd’hui. Il existait au début du XVIIIe siècle des relais de croissance, mais le Système ne les a pas suscités. (…)  Les effets du progrès général qui se met en place entre 1715 et 1730 deviennent palpables à partir des années 1750, où le mouvement physiocrate accomplit une sorte de synthèse entre une révolution agricole et un libéralisme économique d’origine soit anti-spéculatif. (…) À l’issue d’une crise agricole séculaire, la principale contribution de Law est d’avoir facilité le désendettement initial de l’économie ».  Nicolas Buat  (pages 255-256).

Notre époque d’acéphalie au pouvoir, où qui ne savent pas penser décident pour les autres, où qui s’attachent plus à leurs narcissismes et leurs cupidités évitent tous les faits – et planent donc toujours plus dans l’idéalisme du capitalisme toujours plus irréaliste..

………sont toujours plus incapables de comprendre les leçons du passé

C’est pourquoi nous les offrons ici – afin que qui en prend connaissance conservent toujours des longueurs d’avance

……..…et aident, ainsi, les autres par sa sérénité bien adossée !   

 

…….. ……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste sérénité vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
1973, aussi, en France la loi scélérate qui… empêche les gouvernements d’emprunter auprès de la Banque de France (puis, ensuite la BCE) et les CONTRAINT à emprunter au privé (ce qui est un clair putsch tellement illégal qu’il est toujours non puni !)

1973, aussi, en France la loi scélérate qui… empêche les gouvernements d’emprunter auprès de la Banque de France (puis, ensuite la BCE) et les CONTRAINT à emprunter au privé (ce qui est un clair putsch tellement illégal qu’il est toujours non puni !)

L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
un exemple d’explications « historiques »  qui « évitent » de reconnaitre que tant d’années sans inflation n’ont pas « gagné » de l’activité pour tous…

un exemple d’explications « historiques » qui « évitent » de reconnaitre que tant d’années sans inflation n’ont pas « gagné » de l’activité pour tous…

L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
Seule l'économie dominante délire la mathématisation de tout...

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L’austérité n’a pas permis de renouer avec la croissance. (CNUCED - Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement)…elle est donc inutile et une vraie cruauté sociale

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La dette fédérale étasunienne intragouvernementale

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L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
L’austérité européenne face à la dédollarisation ?
Selon une étude publiée par le Forum économique mondial, l’écart entre l’épargne et le revenu de retraite pourrait dépasser les 400 000 milliards en 2050. L’écart le plus important est, évidemment, aux États-Unis, avec 137 000 milliards $. En 2015, le déficit américain n’était "que" de 28 000 milliards $, soit 150% du PIB [[ il a doublé depuis]]. Solution : responsabiliser d’urgence les gros possédants du privé (ils ne peuvent plus en faire qu’à leur tête : ils sont désormais contraints de participer aux astreintes globales ! Le « cavalier seul » des profits paraît si…archaïque soudain !

Selon une étude publiée par le Forum économique mondial, l’écart entre l’épargne et le revenu de retraite pourrait dépasser les 400 000 milliards en 2050. L’écart le plus important est, évidemment, aux États-Unis, avec 137 000 milliards $. En 2015, le déficit américain n’était "que" de 28 000 milliards $, soit 150% du PIB [[ il a doublé depuis]]. Solution : responsabiliser d’urgence les gros possédants du privé (ils ne peuvent plus en faire qu’à leur tête : ils sont désormais contraints de participer aux astreintes globales ! Le « cavalier seul » des profits paraît si…archaïque soudain !

donc…Faussetés des profits ? Extrait d’argumentaires…

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Ils sont à flux vraiment tendus : veuillez patienter, vos dollars sont en cours d’impression !

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L’inflation c’est un cycle long…donc dans le court-termisme qui empêche de penser, elle risque de rester…impensable !

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La Chine crée le plus gros fonds d’or physique du monde…Les U.s.a. sont donc définitivement largués…

La Chine crée le plus gros fonds d’or physique du monde…Les U.s.a. sont donc définitivement largués…

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2018

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2018

ce tableau omet, si étourdiment, la dédollarisation dans son opinion de retournement. Ah oui c’est l’opinion mondiale va enfin se retourner !

ce tableau omet, si étourdiment, la dédollarisation dans son opinion de retournement. Ah oui c’est l’opinion mondiale va enfin se retourner !

Interview: La crise planifiée par nos élites mondiales. Bill Bonner (Publications Agora) a interviewé James Rickards au sujet de son dernier livre "En marche vers la faillite : le plan secret de l'élite internationale."

Sauf que….RUSSIE : La Dédollarisation est en marche - La Russie est en train de se débarrasser massivement de ses obligations d’état américaines. Pourquoi ? Que fait la Russie de toutes ces sommes ? Ce mouvement de vente massif de bons du Trésor américain est-il de nature à déclencher des problèmes sur les marchés obligataires ?

Sauf que…La dé-dollarisation s'accélère depuis le début de la guerre commerciale (ce dont ne parlent jamais les médias inféodés aux lobbies fous)

Alors comprendre global ? La Politique Économique - "le carré magique" de Nicholas Kaldor…ou la facilité qui évite tout ce qui va contre son schématisme (pas de respect des faits !).

Bertrand Martinot, Xerfi Canal Transformer les dettes en monnaie : le génie de John Law

https://youtu.be/5lYUNQ65wEU John Law - La dette, ou comment s'en débarrasser de Nicolas Buat : On retiendra dans la conclusion : « (…) la trappe à liquidités prend la forme d’une bulle d’actifs sans impact sur le secteur productif. Mais l’originalité de Law est d’avoir réussi à désendetter l’économie et le roi au péril de sa banque, selon un schéma inverse de celui qui prévaut aujourd’hui. Il existait au début du XVIIIe siècle des relais de croissance, mais le Système ne les a pas suscités. (…)."

Jacques de Larosière, La fin de Bretton Woods le basculement monétaire et financier du monde. Résultats ? 50 ans de crises financières sans cesse reconduites !

Sommes-nous condamnés à l’austérité ? Condamnés, pourquoi condamnés, les faux dirigeants nous auraient tous et toutes mis en prison ? Et pour quel motif alors ? De n’être surtout pas comme eux (l’échec de vie flagrant) ?

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