La gratuité n'a pas de prix
Les trop riches ne savent absolument pas vivre – est le sous-titre. Découvrons ici le pourquoi ? Déjà, si tout le monde polluait autant que les riches il faudrait 99 planètes en plus- les 50 % plus pauvres ne comptent que 13 % de pollutions, eux. D’où l’implacable constat que gagner plus c’est polluer plus. Le circuit des réprobations fortes s’inverse donc et complètement. Mais il ne faut oublier personne et entrer dans les moindres détails du vivre ensemble afin de changer et à 100 % de système. Si, si c’est possible, plus que possible même : le tiers de la population mondiale, et sa part active croyez-nous, sont en cours de fin de…transition ! Plongeons-nous dans ces documents peu diffusés ( l’argent ne diffuse que ce qui n’a strictement aucune valeur collective, c’est bien connu !).
« Plus on est riche, plus on pollue. C’est ce que l’ONG britannique Oxfam a démontré dans un rapport intitulé « Inégalités extrêmes et émissions de CO2 » en 2015 [[ même qu’une chanson de 2009 Pas sérieux le chantait donc …après eux !]]. Pourtant, à l’heure où le gratin international multiplie les déclarations de bonnes intentions environnementales [[ mais sans changer à 100 % de style de vie !]] et les confessions larmoyantes, les gouvernements occidentaux, à commencer par le gouvernement français, s’entêtent à répéter qu’il est question de prise de conscience individuelle [[ voici qui est donc largement fait et sans jamais ATTENDRE leur top de départ ni leurs autorisations sans aucune validité morale…]]. Et tant que l’on continue de dénoncer la paille dans l’œil du voisin, on ne regarde pas la poutre dans le sien [[ perversion que les trop riches pratiquent au milletuple !]]. Habile. Mais les « petits gestes pour la planète » ne suffiront pas. C’est le pouvoir des très riches qu’il faut réduire. Fermement et très largement [[ en qui ce qui concerne les dérégulations ils auront prouvé, sans un millimètre de progrès, leurs irresponsabilités et leurs antisocialités extrêmes…disons que le cadre juridique à inventer pour ces si nuisibles inconscients c’est une forme nouvelle de mise sous tutelle juridique !]]. Et la neutralisation de leur pouvoir de nuire commence par comprendre comment ils nous enfoncent dans la crise écologique.[[ la crise écologique c’est eux – ce n’est donc pas eux qui pourrait nous en sortir…sinon en modifiant et à 100 % de style de vie : c’est que les trop riches ne savent absolument pas vivre ]].
Empêcher-les-riches-de-nuire-aux-pauvres- dès 2011 nous avons trouvé les moyens d’y parvenir
Idée reçue no 1 : « Les multinationales sont écolo-compatibles » : Les multinationales sont priées de se présenter au banc des accusés du changement climatique. Les 90 principales entreprises productrices de pétrole, gaz, charbon et ciment sont les premières incriminées. Les émissions de l’industrie, de l’extraction et de la combustion des énergies fossiles issues de 90 producteurs d’énergies fossiles et d’industries du ciment, parmi lesquels Exxon Mobil, Chevron, Royal Dutch Shell, BP et Total, ont contribué à près de la moitié de la hausse de la température moyenne du globe, et à 30 % de la montée des océans entre 1880 et 2010. Leurs émissions cumulées représentent 63 % du CO2 industriel mondial et du méthane émis entre 1751 et 2010. Le français Total arrive en 17e position des multinationales incriminées. Par ailleurs, depuis 2000, 70 % des investissements du secteur énergétique sont allés aux énergies fossiles, note le rapport 2016 de l’Agence internationale de l’énergie. Ainsi, en 2016, un montant estimé à 825 milliards [[ oui milliards ]] de dollars a été investi dans les énergies fossiles et les secteurs générant des émissions de gaz à effet de serre (GES) élevées [[disons que l’hastag #balancetonporc les concerne au premier chef parce que, pour cochonner et dégueulasser la planète, ils prennent trop de place. La leçon est claire ! plus tu gagnes, plus tu pollues. Eh bien, le porc, « pour le bien de tous, veuilles désormais gagner …bien moins ». Nous, cela nous fait trop…perdre !]
Idée reçue no 2 : « L’évasion fiscale, quel rapport avec la planète ? » : Ces riches, trop riches, ont bien souvent comme activité majeure celle d’avoir des actions, de l’argent placé dans des fonds d’investissements ou au capital de grosses multinationales qui leurs rapportent encore plus gros que ce qu’ils ont déjà. Actionnaires de celles-ci, ils sont en première ligne des décisions et donc responsables des agissements de ces multinationales.
L’année 2017 a également été l’année de la révélation des plus gros scandales d’évasion fiscale [[ ceux des lâches qui fuient devant les conséquences de leurs actes !]]. Pour pratiquer l’évasion fiscale – en d’autres termes la planque délibérée de gros sous pour ne pas payer d’impôts soit se monter comme antisocial si ennemi de la République – il faut avoir beaucoup d’argent à cacher. Quand le salaire médian français est à 1 797 euros nets par mois et que plus d’un a du mal à boucler ses fins de mois, inutile de dire que l’évasion fiscale ne concerne qu’un public réduit d’initiés (individus et multinationales) dont les visages et les adresses sont connus. L’évasion fiscale représente jusqu’à 80 milliards d’euros perdus chaque année pour la France [[ que les gouvernants fous vont tenter de récupérer en plumant les pauvres, les chômeurs, les vieux, bref ceux qui n’ont pas déjà assez …oui la pollution de l’argent est évidente !]]. Ces 80 milliards (jusqu’à 22 % des ressources fiscales brutes de la France) ne sont pas perdus pour tout le monde – en l’occurrence le 1 % le plus riche, qui s’affaire à éviter de donner le moindre centime de sa fortune. 80 milliards. Autant d’argent qui n’est pas investi dans la transition écologique, ou dans les objectifs onusiens d’accès aux droits fondamentaux ! Le mode de vie de ces très riches est, par ailleurs, extrêmement émetteur de gaz à effet de serre [[ plus t’es riche, plus tu pollues ]]. Car qui ne s’offrirait pas de petits voyages en jet privé et yacht de luxe s’il en avait les moyens, alors même que le transport est un des principaux secteurs mondiaux d’émissions de gaz à effet de serre ?
Comment-l'évasion-fiscale-contribue-tant-à-la-surpêche-et-à-la-déforestation
Mais quel est donc le lien entre évasion fiscale et changement climatique ? Prenons l’exemple de Total, 17e multinationale au classement des plus grands pollueurs mondiaux. En 2015, le chiffre d’affaires de Total s’élevait à 156 milliards d’euros, pour un bénéfice de 4,7 milliards. Cette même année, Total payait en impôts sur les sociétés l’astronomique somme de… zéro euro. Comment est-ce possible ? Total a pour cela recours à des montages financiers complexes, via par exemple des filiales aux Bermudes. Ces montages ont pour objectif de brouiller les pistes, de diluer les informations et de rendre le tout très opaque. Difficile de retrouver les responsables. Ainsi, les grandes entreprises du secteur sont-elles protégées des conséquences légales de leurs activités. Et de leurs impacts – climatiques, environnementaux, sanitaires et sociaux – cela va de soi.
L’industrie fossile [[ couper le fossile c’est donc couper les…corruptions. Moins de profits c’est…moins de pollutions !]] organise ensuite des flux financiers complexes, pour s’assurer que la richesse extraite ne bénéficie jamais aux pays et régions d’où elle provient. [[ ce qui ajoute tant de délits à la liste déjà trop longue de leurs délinquances !]] Ce qui prouve, jusqu’à la nausée, que le ruissellement n’existe surtout pas. Tout ce qui ruisselle sur les territoires concernés ce sont les conséquences si nuisibles des activités : impacts sur les écosystèmes, impacts sur l’appropriation des ressources au détriment des communautés locales, exploitation de la force de travail. C’est le cas dans de nombreux secteurs : exploitation des hydrocarbures, des métaux rares, déforestation…[[ je dégueulasse tout, je dévalise les populations et je me casse en laissant ces spoliés réparer mes si injustes dégâts – qu’il serait si facile de me faire rembourser – et après cela, il est continué de dégoiser que le capitalisme…n’est pas une porcherie ?]].
Les multinationales salissent, les trop riches se gavent et ce sont les citoyens qui règlent la facture des dégâts et les coûts de l’adaptation[[ or qui paient sont ceux qui ont le plus à dire !]]. Les citoyens se retrouvent à devoir payer pour tous et à tous les étages, et sans en avoir le choix : impôts directs, TVA sur la consommation de produits énergétiques, facture des dégâts… tout repose sur l’individu [[ si insulté par les faux dirigeants même ]]. La plupart des secteurs polluants sont exonérés de taxe à la hauteur de leur impact environnemental, ou bien font de l’évasion fiscale. Pour le citoyen lambda, pas le choix que de faire le plein d’essence ou de consommer des énergies fossiles pour se chauffer si les pouvoirs publics ne proposent pas d’alternatives. L’impact est bien sûr moindre sur les bourses des plus aisés [[ la démonstration que les profits illégaux…polluent toute la société est désormais atteinte. Et le contribuable lambda qui CONTRIBUE le plus, donc peut parler haut et fort, dit « va faire tes sales profits ailleurs que dans « cette » société, celle où je paie tout et toi, le grave fainéant de trop riche, rien ! »]].
Idée reçue no 4 : « Dans les pays riches, on respecte l’environnement » : Raté. Les pauvres trinquent,[[ oui trinquant parce que les ivrogneries financières des trop riches augmentent sans cesse : pour le bien de tous, veillons à les placer en désintoxications !]] même dans les pays les plus riches. Les inégalités environnementales se cachent et se débusquent partout où règnent les inégalités sociales. Aux États-Unis, un rapport publié en novembre 2017 par la NAACP (la plus grande organisation noire américaine) et l’ONG Clean Air Task Force, montre qu’un Noir américain respire en moyenne un air 38 % plus pollué qu’un Blanc. Un Noir américain a également 75 % plus de « chances » de résider dans une « fence-line community », le nom donné aux quartiers longeant la clôture (« fence » en anglais) d’une zone industrielle. Ainsi, plus d’un million d’Afro-Américains vivent à moins de 800 mètres d’une installation liée aux gaz et huiles de schiste, qu’il s’agisse de leur transport, de leur raffinage, de leur stockage ou de leur distribution. Plus de 6,7 millions d’entre eux (soit 17 % de l’ensemble de la population noire) vivent dans l’un des 91 comtés des États-Unis où se trouve une raffinerie de pétrole [[ plus ils sont riches plus ils polluent les pauvres : l’acte premier devient donc d’empêcher LES RICHES DE NUIRE aux pauvres. C’est tout ce que ces fainéants savent faire, nuire !]]. »
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Alors gratuités rendues nobles afin de réduire savamment les pollutions ? L'argent-est-déjà-bien-là paradoxe : l’argent pour la gratuité est déjà bien là …
« Le poncif souvent poncé par certains tenants de la vente des relevés généalogiques : ce qui est gratuit n'a pas de valeur…Évidemment mon sang n'a fait qu'un tour. Car enfin au delà du jeu de mots sur "valeur" (la gratuité correspond effectivement à ne pas donner une valeur marchande à quelque chose) il y a aussi un jugement de valeur sur une chose ou un acte gratuit [[ bref un immense préJugé qui ramène chez les grands ringards qui l’exhibe !]]. Et c'est bien là que ça m'interpelle. Car enfin, un conseil proposé gratuitement chez FranceGenWeb se veut tout aussi sérieux [[ plus même ]] qu'un conseil proposé sur un forum accessible uniquement sur abonnement.
Ce-qui-est-gratuit-n'aurait-il-pas-de-valeur-?
En me baladant sur le net et en sortant du cadre généalogique j'ai trouvé ces quelques informations sur ce poncif. Tout d'abord même si certains l'attribuent à Freud, il s'agit plus probablement d'une adaptation de la phrase de Milton Friedman [[oui l’assassin de l’Amérique latine ]] There is no free lunch ou There's no such thing as a free lunch (il n'existe pas de repas gratuit).
En conclusion, s'il y a bien un poncif qui a la vie molle, c'est bien celui-ci et nous ne l'entendrons plus de cette oreille... Mais si quelques uns de ceux qui ont cette opinion pouvaient réviser leur position, ça aiderait à faire progresser la généalogie associative. Ces jugements à l'emporte pièce sont particulièrement pénibles à lire d'autant plus que l'attaque se fait toujours dans le même sens, nous respectons le choix de chacun de faire de la généalogie comme il l'entend en terme de monétisation mais nous entendons bien faire savoir que nous en faisons de manière gratuite et du mieux que nous sachions faire ! »…Et ils ne sont pas les seuls. Puisque le tiers (1/3) de l’Humanité et appartenant à sa partie active VEUT déjà [[elles/ils sont en avance…cela va donc suivre]] la gratuité la plus large possible. Des preuves ?
.... >>>>>>>>>>>>>>> ************ A l’occasion de ses dix ans d’existence, l’Observatoire International de la Gratuité et ses 5 000 coopérateurs lancent une grande campagne en faveur de la gratuité des services publics. Cette campagne, menée en trois temps, devrait permettre de mettre la gratuité au cœur des prochaines élections municipales : l’OIG publie, le 5 septembre, sous la signature de son directeur Paul Ariès, le livre-Manifeste Gratuité vs capitalisme, véritable bible des expériences de gratuité, une pétition nationale en faveur de la gratuité suivra en octobre, cette campagne débouchera sur la tenue à Lyon, début 2019, du IIe Forum international de la gratuité des services publics en présence de dirigeants des forces des gauches et de l’écologie, des collectifs luttant pour la gratuité et en partenariat avec des mouvements comme l’OMOS, l’ACU (Ensemble !) et notre journal militant d’information alternative préféré Le Grand soir. Défendre et étendre la sphère de la gratuité est au cœur d’une stratégie d’émancipation à la hauteur de la crise systémique, une façon de renouer avec la perspective éco-socialiste. Le Grand soir sera dans les prochains mois la principale tribune permettant de préparer cet événement. Nous publierons notamment une série de textes sur les expériences de gratuité donnant ainsi du grain à moudre à nos réflexions collectives, à nos espérances et à nos mobilisations ! Viv(r)e la gratuité !
Vers-une-vraie-civilisation-de-la-gratuité
Parler de crise systémique signifie que quelque chose fait lien entre toutes ses facettes (économique, financière, sociale, politique, écologique, anthropologique). Ce qui fait lien c’est que le modèle de marchandisation s’essouffle. Ce qui fait lien c’est que le système ne peut plus marchandiser de nouveaux domaines sans saper davantage encore les conditions de reproduction du vivant. Les alternatives proposées ne sont pas encore à la hauteur des enjeux [[ ne marchandons plus jamais avec les marchands !]]. Les débats autour d’un revenu universel [[ oui mais tout le monde à 2000 € par mois ! Et la Fête sociale permanente…]] sont de bons symptômes de ce qui se cherche.
Sauf que…le revenu universel pourrait permettre d’acheter des produits insoutenables écologiquement et ne romprait pas avec les logiques de marchandisation, de monétarisation et d’individualisme galopantes. La gratuité c’est le détour par la construction de communs, par l’intelligence collective. L’University College de Londres confirme les travaux de l’OIG en comparant le coût d’un revenu universel de base au Royaume-Uni à celui de la gratuité des services universels de base. Ces derniers coûteraient 42 milliards de livres contre 250 milliards pour le revenu universel, soit un dixième seulement de la somme. Ce coût représente 2,2 % du PIB britannique contre 13 % pour le revenu universel. La gratuité est donc beaucoup plus « réaliste » économiquement que le revenu universel.
Le Grand combat pour ce début du XXIe siècle reste donc la défense et l’extension de la sphère de la gratuité des services publics [[ l’Alimentation doit devenir d’urgence un service public à but non lucratif : nos santés n’ont pas de prix !]] et des biens communs, comme l’ont rappelé, dès 2009, nos amis poètes antillais en exigeant la gratuité des « produits de haute nécessité [[ soient ceux que les « nécessiteux » nécessitent…hey, faudrait apprendre à écouter, ça chasse les pollutions intellectuelles !]] ».
Parler de gratuité c’est, bien sûr, parler d’une gratuité construite. Économiquement construite, l’eau publique est gratuite mais payée par l’impôt. Socialement, culturellement, politiquement, juridiquement construite [[ fin des immenses censures de départ, à la source et levées de l’absurdité du « on ne publie pas les génies »…]]. La gratuité n’est pas le produit ou le service débarrassé du coût mais du prix. Le bilan des expériences est assez riche pour tirer, dès à présent, trois grands principes.
1) Premier principe : la gratuité n’a pas vocation à demeurer une exception face au marché. La gratuité ne relève pas de ce qui assure la survie et que le capitalisme n’assume pas. La gratuité de l’eau vitale, comme le propose la Fondation France-Libertés - Danielle Mitterrand est essentielle mais chaque collectivité peut décider de commencer sa longue marche vers une civilisation de la gratuité par d’autres choix. Nous appelons à constituer des îlots de gratuité qui deviendront des archipels puis des continents et enfin un nouveau monde accueillant bientôt dix milliards d’humains.
2) Deuxième principe : si tous les domaines de l’existence peuvent devenir gratuits, tout ne peut être gratuit dans chacun des domaines, c’est pourquoi nous proposons un nouveau paradigme « gratuité du bon usage face au renchérissement du mésusage ». Un exemple : pourquoi payer son eau le même prix pour faire son ménage et remplir sa piscine [[ les riches coûtent bien trop cher à la collectivité !]] ? Ce qui vaut pour l’eau vaut naturellement pour l’ensemble des services publics à buts non lucratifs et des biens communs !
3) Troisième principe : ce long chemin vers une civilisation de la gratuité ne consiste pas à rendre gratuits les services et produits existants mais à profiter du passage à la gratuité pour transformer ces produits et services et leur donner une valeur-ajoutée sociale, écologique et démocratique. La gratuité des cantines scolaires, comme en Suède, est ainsi la condition pour avancer vers une alimentation relocalisée, en harmonie avec les saisons, moins gourmande en eau, moins carnée, bio, etc.
La gratuité des médiathèques multiplie, certes, le nombre d’abonnés, notamment au sein des milieux populaires, mais se traduit par une diminution du nombre de livres/DVD empruntés. Cette mutation très rapide est le signe que les adhérents des médiathèques gratuites ne sont déjà plus des consommateurs (en voulant pour leur argent) mais des usagers davantage maîtres de leurs usages [[ ce qui réduit les mésusages donc les gaspillages, donc les pillages des plus faibles et démunis - démunis par qui les démunis ?]]
La gratuité, loin d’engendrer le gaspillage, comme le clame la fable de la « tragédie des communs » de Garnett Hardin et de tous les chiens de garde du système, contribue à responsabiliser [[ les riches braillent les dérégulations mais ne tiennent jamais parole, jamais ils ne s’autolimitent – le consumérisme est le système de tous les gaspillages, ce qui coûte d’autant pour la Terre – enfin (faire court) l’obsolescence programmée est un crime…d’irresponsables qui doit les conduire direct en prison !]] . Le Nobel d’économie Elinor Ostrom a depuis tordu le cou à cette légende en montrant que les Communs n’existent toujours qu’avec des règles collectives encadrant leurs usages, sauf, bien sûr, dans l’imagination des dévots du capitalisme.
La gratuité n’est pas une lubie de gosses de riches. Elle se développe autant dans les pays du Sud qu’au Nord. Offrir un repas gratuit à l’école, comme le recommande l’ONU, c’est re-scolariser des millions d’enfants, choisir des transports en commun gratuits c’est faciliter la transition écologique ! La gratuité n’est surtout pas un nouveau gadget par temps de crise. Elle peut être une chance pour commencer à desserrer l’étau de l’économisme (cette idée folle selon laquelle « plus » serait nécessairement égal à mieux), pour commencer à démarchandiser et à démonétariser nos sociétés, pour passer enfin d’une définition individualiste des besoins à une définition collective : que produit-on, comment et pour qui ?
La menace d’effondrement écologique oblige à passer d’une gratuité d’accompagnement du système (cette gratuité pour les seuls « naufragés » qui ne va jamais sans condescendance ni flicage) à une gratuité d’émancipation. Ce qui est beau avec l’école publique c’est qu’on ne demande pas à l’enfant s’il est gosse de pauvres ou de riches, pourquoi ce qui reste encore vrai pour l’école ou la santé ne pourrait-il pas l’être pour les autres piliers de l’existence comme le logement ou l’alimentation [[ donc en service public immédiat !]] ? L’ONU ne cesse de rappeler que la planète est déjà bien assez riche pour permettre à huit milliards d’humains de vivre bien : 30 milliards de dollars par an pendant 25 ans permettraient de régler le problème de la faim dans le monde, 70 milliards résoudraient la question de la grande pauvreté [[ la pauvreté ne nous coûte pas cher les détraqués trop riches, oui infiniment trop !]]. Les seuls gaspillages alimentaires [[ si évitables ]] nord-américains atteignent 100 milliards de dollars par an ! Nous sommes amoureux de la gratuité parce que nous ne voulons plus croire aux lendemains qui chantent et si nous ne croyons plus aux lendemains qui chantent, c’est parce que nous savons qu’il est possible de chanter au présent [[déjà fait ]] ! La gratuité est du côté du Grand désir de vivre (Gilles Deleuze). La gratuité n’est pas une machine à réprimer des besoins
……………………………………. mais à satisfaire des droits ! »
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Positif c’est se poser. Se poser dans la position de provoquer nombres de transformations bénéfiques et pour tout le monde. Le système est entièrement négatif – ce qui aboutit à ce qu’il se prenne à son propre piège (surtout si des dialecticien.ne.s. l’emberlificotent ). Et que les phrases de sa condamnation vont couler comme l’agilité à le clore définitivement :
Gagner plus c’est polluer plus – les profits ça polluent trop - la Nature détient (mine de rien) toutes les conditions de notre survie - donc suivre encore les riches c’est perdre très vite la santé ! – la maladie infantile du profit pour le petit nombre doit cesser tout de suite – le profit c’est ce qu’il y a de plus minable au monde, vu que c’est un coût caché (et que ce sont…les autres qui le paient !) – liste appelée à s’étoffer encore…Car ?
Le système si stupide des riches ne fonctionne pas du tout…
………nous sommes déjà dans celui qui le remplace…
….. et croyez-nous aucun regret pour la vieillerie minable du capitalisme !
……...…………(à suivre)
..>>> ***
Documents *** ---
Lorsque-les-clôtures-prouvent-que-l'Argent-ne-respecte-pas-du-tout-la-nature
Faire payer ne prouve pas de respect envers l’environnement…bien au contraire, ce sont les riches qui polluent le plus AVEC leur « sale » argent. La gratuité va ramener le grand respect envers la Nature, qui détient (mine de rien) toutes les conditions de notre survie (donc suivre les riches c’est perdre très vite la santé !).
Comment-empêcher-les-riches-de-nuire-aux-pauvres
Prendre modèle sur les pauvres…serait temps, en effet…
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste gratuité nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
L’Observatoire International de la Gratuité : publie dix ans après sa fondation le Manifeste Gratuité vs capitalisme , un livre rendant compte de toutes les formes de gratuité qui se développent dans le monde et notamment en France : gratuité de l’eau et de l’énergie élémentaires, gratuité des transports en commun urbains et notamment des TER, gratuité de la restauration scolaire, gratuité des services culturels et funéraires, gratuité de l’accès aux données publiques, gratuité des services juridiques, gratuité de la participation politique, gratuité du beau, etc.
Ne rien comprendre au sens de la vie – donc entendre tous les mots de travers. Juré c’est ce qui leur arrive de plus en plus ! Le langage ne va plus leur être que des millions de chasses-trappes…rien d’enviable donc dans leur vie de trop d’argent... immérité…
L’OIC – Observatoire International des Crises - a pour principales activités : • Publication de documents électroniques et du Magazine de la Communication de Crise et Sensible. • Intervention de ses membres en conférence, colloques et séminaire ou formation sur la communication de crise, la communication sensible, la gestion de crise et les évolutions de la société. Etc.
L'OBSERVATOIRE INTERNATIONAL DE LA GRATUITE - POIESIS 1
Vers une civilisation de la gratuité ! -- Observatoire International de la Gratuité- Alvinet
Le Grand Soir : A l'occasion de ses dix ans, l'Observatoire International de la Gratuité et ses 5000 coopérateurs lancent une... Actualités similaires
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La préservation de la planète passe par la lutte contre l'évasion fiscale
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Est-ce une bonne chose de rendre les transports gratuits ?
Chateauroux, Niort, Aubagne et aujourdhui Dunkerque. Depuis les années 70, une vingtaine de villes ont décidé de rendre leurs transports publics gratuits. L'objectif : les rendre plus attractifs...
Est-ce une bonne chose de rendre les transports gratuits ? Pas de bol, la réponse est oui…de quoi ! « obligé.e.s » d’aller dans des transports que gratuits !
La gratuité ça n'a pas de prix ! Offrir une deuxième vie aux objets dont nous n'avons plus l'utilité. Un système simple anti-gaspillage pour faire rimer chercher, trouver et gratuité. www.keepinuse.be votre allié nettoyage du printemps! Offrir et recevoir toute l'année, ce n'est pas compliqué.