Le secret de la guerre sociale ?
Oui cette guerre que la société fait aux pauvres, de façon silencieuse C'est en regardant de leur côté que nous comprenons l'iniquité gigantesque du désordre de la société, l’oppression générale absolument non fondée (ce sont les trop riches la classe dangereuse absolument pas les pauvres !). Quoi ? Les conflits de classe, aux regards autres, sont très anormalement sous-médiatisés. Le prolétariat contemporain pris dans la tourmente, les suicides au travail, la vie ordinaire des classes populaires, ces trois phénomènes ne sont peut-être pas assez « spectaculaires » aux yeux du monde, alors que, souvent, l'accumulation de micro-événements quotidiens peut aboutir à de véritables tragédies. Ainsi qu’à une véridique compréhension du vrai film…
« Marianne : Votre roman porte le même titre que le film de Stéphane Brizé, En guerre, et évoque aussi un salarié licencié qui s'immole par le feu, même si les ressorts sont très différents. S'agit-il d'un livre de combat ? François Bégaudeau : L'expression « en guerre » a été beaucoup utilisée ces dernières années pour d'autres sujets, et notamment pour évoquer les attentats. J'avais envie de réorienter le regard vers une guerre plus permanente, la guerre sociale. Il me semble que les conflits de classe, au regard d'autres, sont sous-médiatisés. Le prolétariat contemporain pris dans la tourmente n’est peut-être pas assez « spectaculaire » aux yeux du monde, alors que, trop souvent, l'accumulation de micro-événements quotidiens peut aboutir à de véritables tragédies. J'ai un goût pour les vies ordinaires, par histoire personnelle et fibre politique. J'avais envie de les remettre dans la lumière. C'est en regardant de leur côté qu'on comprend l'iniquité de la société. Le roman est là pour raconter des vies et se pencher sur les individus pour évoquer la trop masquée oppression générale. Alors, je ne sais pas si c'est une forme de combat, mais, oui, la littérature apporte sa pierre au débat en montrant cette guerre que la société fait aux pauvres, de façon silencieuse. »
Nuissante et inclusive : Un témoignage rare à nous confié : « Adolescent, j’étais lardé de poèmes qui prenaient tout le jabot, me gonflaient la gorge d’extases d’émotions. Chaque mot étant un tour du monde. Des sentiments de plénitudes dans la bouche et le cou, des respirations aussi grandes que l’univers. Des étoiles plein le sang et le corps en immenses prairies où ne coulaient que fraicheurs…en très résumé. Et ? Au faîte de cette silencieuse réussite, j’ai décidé qu’il fallait faufiler de la poésie en tout. La moindre démonstration économique, le discours politique à cours, les descriptions méticuleuses des moindres techniques, les formules et formulations. Tout absolument tout devait recevoir de la poésie. Je devais prendre toute la merde de ce monde dont je me trouvais si à l’opposé, en sécurité dans le règne des plénitudes, ne refuser aucune tâche prétendue humble, tirer tous les fardeaux, multiplier les dons, me donner sans compter, etc. (bien trop long à tout dire). Tout absolument tout devait recevoir de la poésie. Tout ce hideux du monde bouffi d’arrogances vénéneuses. Tout. Le tout innervé et la sève Ève qui monte. Tout. Et, depuis, des milliers d’assauts contre les mots truqués de la société dominante, la sensation très précise que – de ne pas avoir agi ainsi aurait fait que la civilisation aurait disparue, que la société sans les sociaux incarnés se serait déjà effondrée. DON DE POÉSIE aura été la condition de sa survie ! »...Voici, sans hésitation, une vie intérieure de grand responsable, une stature sociale qui semble disparaitre dans les corruptions des sommets. Et ? Comparons donc avec les éducations ratées de ceux que les médias d’argent nous imposent pour surtout ne pas nous…diriger. Mais bien saloper illégitimement nos vies.
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Nous avons laissé, ainsi, proliférer les pires ? Le jargon des énarques leur permet de se mettre à l’écart du commun des mortels. Et de ne strictement rien assumer des conséquences de leurs paroles comme des résultats de leurs actes. Ce qui ne peut surtout pas se voir assimilés aux comportements d’une élite…et qui peut, vraiment, dans certaines circonstances aboutir aux catastrophes intellectuelles…« En tant qu’«entomologiste», vous mettez bien en évidence l’existence d’une langue particulière à l’administration et à la technocratie, notamment à travers des échanges de courriers savoureux. Quelles sont pour vous les caractéristiques de cette langue ?
David Brunat dans « Ena circus » : Il y a effectivement un jargon, une novlangue. Le trait est un peu forcé dans le livre, vous ne verrez jamais dans la vraie vie de l’énarchie des lettres écrites exactement de cette façon. Mais dans ces environnements (l’ENA, Sciences Po, les cabinets ministériels…), il y a une façon de s’exprimer particulière, avec des tournures très lourdes ou des mots savants. C’est une langue un peu à la Diafoirus, sauf qu’il ne s’agit pas de médecins mais de technocrates [[ qui, eux, insufflent les maladies…]]. Il y a aussi des mots obligés : à une époque, tout était « structurel », c’était une sorte de fétiche sémantique [[ de grigris normaux pour « oublier » de rester humain !]]. On parlait d’une réforme structurelle, d’un fonds structurel [[ d’une insensibilité structurelle]]…
David-Brunat-énarques-ena-circus
C’est à la fois amusant et un peu effrayant parce que cette langue technocratique… déteint sur la langue de la politique [[ ou la fuite sempiternelle devant les responsabilités des…responsabilités – ils veulent bien se taper l’image glorifiante mais pas les causalités peu reluisantes qui vont avec !]], voire sur la langue de la loi [[ et là nous ne l’admettons pas, la loi est trop universelle pour être laissée à des mains si maladroitement sectaires !]]. On sait que les lois sont aujourd’hui mal écrites, confuses, imprécises, bavardes, contrairement au Code civil. Stendhal lisait le Code civil tous les matins, ça m’étonnerait qu’il lise aujourd’hui les dernières réformes du Code de procédure pénale avec le même plaisir. Et on peut dire que les énarques en sont en partie responsables [[ le manque d’apprentissage du feedback – le retour neutre sur ses actions, ce que nous nommons mieux que les journalistes, « la vérification par les faits » - ne laisse plus place qu’à des délires narcissiques qu’un vrai politique ne se permet pas !]].
L’emploi d’une telle langue a-t-elle des objectifs cachés ou inconscients ? Bien sûr [[et cette « intention de tromper » doit être sanctionnée. Aujourd’hui, ce qui manque le plus c’est que soient sanctionnés celles/ceux qui se permettent de tant sanctionner les autres et de vouloir encore en rajouter – une vrai élite ne se permet pas de privilèges et veut se prouver sans coups de pouce, juste par la puissance de sa maturité !]]. Jargonner comme ils le font, c’est une façon de se reconnaître entre eux, et de se mettre à l’écart du commun des mortels en employant des mots, des expressions, des constructions grammaticales qui ne sont pas celles de l’homme de la rue [[ ce qui aboutit, pour la majorité des cas, à ce qu’ils soient entièrement coupés du réel, n’aient plus du tout les pieds sur Terre. Et cela c’est inexcusable. Leur éducation (pour nous) est complètement ratée !]]. C’est un peu comme les médecins qui écrivent très mal pour que le brave patient qui n’appartient pas à la corporation ne puisse pas par lui-même comprendre les prescriptions médicales. C’est en partie fait exprès [[ aveu de nullité que de faire exprès !]]. Il y a aussi une forme de snobisme dans la façon de parler de la haute administration [[ ras le bol de ces jeux de cour lorsqu’ils ne sont plus à la hauteur des enjeux. La santé et l’éducation sont dites « cruciales » pour l’avenir de l’Afrique et pas pour eux ? Leurs fuites anormales devant l’écologie (plus « cruciale » que les cours de l’Ena) prouvent qu’ils ne sont plus à la hauteur…l’Ena n’est pas un filtre suffisant : il ne faut plus croire sans vérifier que les personnages qui en sortent soient dignes de mener les autres ! Leur éducation prouve trop qu’elle en manque …]].
On peut se demander si ça ne va pas plus loin que le snobisme. Certains auteurs affirment que la complication linguistique est une stratégie, volontaire ou inconsciente, pour s’assurer le pouvoir [[ procédé de perdant – comme la loyauté ne permet pas de triompher normalement, il va être utilisé tous les procédés déloyaux. Plus accuser les autres que soi-même déchoie à cela en braillant que ces autres seraient déloyaux…Non mais, l’immaturité générale de qui sort de l’Ena a assez durée. Qu’ils apprennent d’abord à vivre en société...]]. Effectivement, il y a quelque chose de trop crypté dans ces mœurs langagières de l’ENA. Il y a une opacité volontaire [[ donc avec une préméditation malsaine puisque l’affaire est entendue il n’y a jamais complots, donc préméditations et calculs à l’avance ! ]] dans la façon de parler qui reflète sans doute un retranchement, un secret dans la conduite des affaires [[ une inaptitude à rester simple et naturel…]]. Quand on parle un français qui n’est pas celui de tout le monde, il est plus facile de ne pas rendre des comptes à nos mandants, le peuple français [[ ce qui se traduit par la vue d’une fuite perpétuelle devant les conséquences de décisions dont ils ne semblent pas…sûrs du tout !]]. Mais je ne suis pas totalement convaincu par cette thèse de la complication, je pense qu’on règne bien mieux sur les esprits par des mots simples, par un appel aux passions [[ faux, on ne règne sur les cœurs et les esprits que si l’on n’a pas besoin de répressions, de pressions anormales et de…censures – en France la scandaleux pouvoir culturel censure tout à l’entrée ( ces parisianistes se vantent ainsi : « il suffit de 2 personnes pour bloquer tous les manuscrits entrants »). Or ces 2 personnages n’ont jamais eu la stature de réflexion pour se permettre de saccager ce qu’ils ne comprennent pas. Une grande partie de la crise actuelle vient donc de ces censures qui se lisent ainsi : c’est l’ensemble de la population à qui il est interdit d’accéder à des arguments et des expériences existentielles qui les émanciperaient et les élèveraient. Ce n’est jamais un auteur qui est censuré, mais les droits des humains à pouvoir le connaître – ce qui est le pire des abus de pouvoir, oui ou non ?]].
Y a-t-il une « noblesse d’État » issue des grands corps ? Bien sûr [[ faux qui dit noblesse le dit de comportements or qui augmentent les inégalités, qui relaient les calomnies envers les pauvres, qui appuient les censures destructrices, etc. ne montre jamais cette noblesse de comportement. En gros, si l’on prend tout l’argent au lieu de se mettre en retrait (rien pour soi) et de partager équitablement, l’on n’est pas les meilleurs, les plus emplis de bontés, mais les corrompus, ceux qui ne servent jamais mais se servent – le mythe de la noblesse d’état ne fonctionne plus du tout : sinon, et avec pertes et fracas, ils auraient mis tous les lobbies à la porte, montré publiquement leur pratiques antidémocratiques et affirmé que l’intérêt général et le public prime sur les cupidités, souvent inavouables, du privé !]]. Mais cette noblesse ne se contente pas de naître comme sous l’Ancien Régime, il faut quand même travailler, et beaucoup [[ faux, bloquer l’ascenseur censeur social, et faire du séparatisme de trop riches c’est ramener très illégalement l’Ancien Régime en 2018 ]] .
Reste cependant un privilège [[ où est l’égal traitement de la loi envers tous, qui sert d’un côté à l’antirépublicanisme des privatisations et de l’autre à ne pas être appliqué ? En France, les pauvres paient tout plus que les autres ; cela « coûte toujours plus cher » d’être pauvres lorsque l’argent gratuit c’est que pour les riches – pas de discriminations ni de privilèges c’est cela la réPublique que l’ENA semble trahir chaque seconde !]] de cette fausse noblesse d’État qui gêne : c’est celui de l’emploi à vie. J’ai été fonctionnaire et j’ai démarré ma carrière dans l’Education nationale, même si j’en ai démissionné très vite. Mais je crois que dans un monde mobile, où on changera de plus en plus d’activité dans ses métiers successifs, il est problématique qu’on puisse bénéficier quoi qu’il arrive d’un emploi à vie quand on a réussi un concours à vingt ans. Vous savez, l’ENA, c’est peut-être la noblesse d’Etat, mais il y a une noblesse dans la noblesse [[ toujours plus introuvable !]], et il y a aussi un prolétariat à l’ENA !
En avril 2017, vous affirmiez dans Le Figaro : « C’est encore l’ENA qui a gagné l’élection présidentielle » avec la victoire d’Emmanuel Macron. Est-ce que vous iriez jusqu’à dire, comme certains, que c’était la victoire d’une classe, de la technocratie « en marche » ? Oui, il y a une forme d’idéologie [[or l’universel et la vraie politique sont ennemis de l’idéologie. Donc pas ici, c’est donc de la « plouctocratie » du trop régional par rapport au global réel ?]], c’est évident. Mais ça n’est pas nouveau. Par exemple, si on se reporte aux velléités de réforme en 1995, Chirac était énarque, son Premier ministre était énarque, son gouvernement était peuplé d’énarques, dans les cabinets il y avait énormément d’énarques… En fait, ce qu’il faut voir, au-delà de la partie visible des hommes politiques énarques, c’est qu’en réalité il y en a très peu qui font de la politique. Aussi bizarre que ça puisse paraître, c’est 10% d’une promotion, pas plus. La plupart d’entre eux sont dans l’administration. Ils bossent à la Mairie de Paris, à l’instruction des affaires sociales, à Bercy… On ne les voit jamais, on ne les entend pas. Mais ils sont très puissants. En tant que force collective, ce sont eux qui font les lois [[ or l’Esprit des lois c’est qu’elles vous font, vous font gardiens de l’intérêt général ]], qui entourent les ministres, etc. Et ça a toujours été le cas. »…Fin, de ce fait, des noblesses d’état, les mafias irresponsables ne peuvent en tenir lieu. Ce qui nous plonge dans des réflexions de Charles Sannat…
« Être responsable est une bonne chose, mais de quoi le système médiatique est-il responsable désormais ? D'une chose simple. De la stabilité du système en place. [[ du système des places qui n’a donc plus rien à voir avec la démocratie – mais en est son inverse hyper sectaire !]]….Fallait-il avoir peur de dénoncer certains errements de ce système économique avant qu'il ne provoque un effondrement mondial avec son cortège de malheurs humains ? Facile d'invoquer la « responsabilité » à la fin quand on a été irresponsable tout au long de la montée d'un processus qui nous menait à une catastrophe prévisible. La fausse «responsabilité» [[ que pour empêcher les analyses sérieuses ]] est le cache-sexe de l'irresponsabilité et de la complaisance. Le mieux c'est de ne pas être irresponsable en camouflant tant qu'il en est encore temps plutôt que d'attendre de devoir être « responsable » quand les conséquences de la vérité pourraient être désagréables. Ce type de problèmes et de dilemmes moraux ne devraient pas se produire [[ et l’Ena en tant que site de corruption morale par le haut ne devrait plus avoir lieu]]. »…ces non élites ne nous permettent pas de savoir Où cela SE passe ? Où la guerre antisociale des faux dirigeants a lieu. La réponse est (en partie)…
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Les écrivains sont en colère et le font savoir: pétitions, tribunes, manifestations, autant de signes d'exaspération et de colère d'une profession dont tout le monde se fout royalement et qui continue à creuser sa tombe dans l'indifférence la plus générale. Il faut le savoir, un écrivain de nos jours qui entendrait vivre de son art crève généralement de faim. Payé au lance-pierre, bien souvent sans protection sociale digne de son nom, sans droit à la retraite, sans filet auquel se raccrocher, il vit dans une misère crasse et jongle avec des finances plus qu'incertaines pour boucler ses fins de mois. La vie d'écrivain n'a jamais été de tout repos; elle est désormais devenue impossible. On ne compte plus les chats d'écrivain qui errent dans des chambres de bonnes insalubres à la recherche d'une miette de croquette et, malingres, se laissent mourir sous le regard désolé de leurs maîtres qui n'ont à leur offrir que leur cœur en bandoulière. Un cœur malade et fatigué, épuisé de vivre une existence faite de privations et de renoncements.
Je ne suis pas le plus à plaindre des écrivains: pour me nourrir et me vêtir, je peux compter sur l'aide de ma compagne dont je pompe allègrement les finances au point de l'appauvrir et de la contraindre à mener une vie marquée du sceau de l’infamie et du déshonneur, quand elle n'ose dire à ses amies que ma contribution au budget familial ne dépasse jamais la déclaration de principe maintes fois répétée, maintes fois démentie. C'est que mes droits d'auteurs sont si insignifiants que lorsque je les touche, je dois m'armer d'une loupe afin d'en saisir l'exact montant qui généralement couvre à peine les frais de litière de mon chat. Et encore. Bien souvent, je dois ramener à la maison du gravier volé dans un bac à sable, sous le regard apeuré d'enfants à qui on a appris de se méfier de monsieur l'écrivain qui n'a pas un vrai travail comme Papa et passe ses journées, enfermé chez lui, à jouer à la marelle avec son désespoir.
….Mais est-ce de ma faute si sur chaque exemplaire d'un de mes romans acheté, je ne touche que dix pour cent [[et, encire, il a de la chance, cela peut « descendre » bien plus bas : Tant les parasites fous se crient tout permis…puisque sans la source de leurs parasitages ils ne pourraient plus…parasiter ¡]] de la vente, dix malheureux pour cent? Est-ce ma faute si dans ce bas-monde, on demande à l'écrivain de composer des romans qui servent à nourrir une palanquée de personnes à l'exception de lui-même? Est-ce de ma faute si on abuse de ma position de faiblesse pour s'enrichir sur mon dos et me rendre l'existence impossible? Est-ce de ma faute si personne n'achète mes livres, noyés qu'ils sont dans une production si nombreuse que moi-même, quand je me rends dans une librairie, j'en ressors le plus souvent désespéré, impuissant à comprendre comment autant de romans peuvent prétendre à être publiés alors que le budget consacré à l'achat de livres, de vrais livres j'entends, stagne quand il ne chute pas? [[ la lecture augmente par contre…]] Est-ce de ma faute si les gens sont assez ahuris pour garnir leurs bibliothèques d'ouvrages uniquement couronnés de prix littéraires dont, par discrimination envers les écrivains chauves ou par antisémitisme dévoyé, je ne suis jamais le lauréat ? Est-ce de ma faute s'il me faut trois, quatre années pour achever un roman là où il en faut dix jours pour certains? Est-ce de ma faute si je vis loin de Paris, là où tout se décide et le plus mal possible ? Est-ce de ma faute si quand je demande un à-valoir à mon éditeur il me prend pour un vaurien? Est-ce de ma faute si...
Désargenté, pauvre comme Job, condamné à vivre aux crochets de sa bien-aimée qui finira bien un jour par le quitter pour un expert-comptable fortuné, l'écrivain contemporain n'a même plus pour se consoler le prestige de sa fonction. » Sauf un début de retournement venant des racines est déjà bien entamé !
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Nelly Kaprièlian, responsable des pages littéraires des « Inrockuptibles » - Qu’apporte en propre la voix de l’écrivain dans les médias ? « Cela paraît relever de l’évidence de le dire, mais les écrivains savent écrire, et ça change tout ! Ils sont à l’aise dans des formats un peu plus longs que l’article classique, ils savent construire et articuler un propos. Le style est également important. Confier un texte à un écrivain, c’est d’abord se dire que le résultat sera beau. »
Un des rares moments de vérité dans les fake médias d’argent qui faussent tout (fausser c’est le verbe qui agit le faux)…c’est sous cet angle que nous allons donner le pourquoi de la guerre antisociale ! Donc déclarée unilatéralement par le haut de la société, qui (d’après la logique) ne devrait en avoir nul besoin. Ce qui signifie que « sans » cette guerre antisociale ce haut ne pourrait survivre ? Que leur peu de légitimité est si réduit qu’il ne tient qu’à ce fil ? Exact mais il faut encore étoffer les arguments : le secret nous parvient, plus vite, par la lecture de « Légalité de l’égalité » [[ nous avons relu en groupe ce document pas très long mais dense et n’en sommes pas encore revenu.e.s. : le style y atteint une simplicité très puissante. Et la rigueur de la pensée la rend plus vigoureuse que quasiment tout ce qui «se» passe actuellement : un livre vraiment incontournable pour notre futur commun !). Et que prouve-t-il qui change tout ? Tant de choses mais, pour notre propos, que le Droit ne fait nulle part apparaitre une incitation aux inégalités, jamais il ne dit que l’inégalité est un droit et que qui que ce soit y a droit…non, partout, le droit affirme que l’universalité c’est la « légalité de l’égalité ». Et donc son symétrique de l’illégalité des inégalités. Et ? Pour les très illégitimes inégalitaristes la PREUVE VISIBLE de leur…illégalité d’inégalités ce sont les pauvres. Masquons donc ces pauvres et il n’apparaitra plus la trace de nos inégalités illégales. Pire – (et là pullulent les délires métaphysiques des dirigeants étasuniens vraiment très…égarés !) il faut supprimer « la » pauvreté…en faisant une guerre inique aux pauvres. Guerre, en général, c’est lorsqu’il y a front de combats avec 2 parties. Ici, ce dont des innocents qui ne nuisent à personne…seule leur IMAGE nuit aux trop riches. Ils/elles, pour cela, reçoivent des coups désordonnés, éparpillés, dépourvus de sens et subissent donc…l’antisocialité des trop riches (antisociaux au point de se mettre déjà en…prison, oui la prison de leurs villes séparatistes où ils s’enferment avec exactement l’environnement d’une…prison. La justice immanente serait qu’ils ne puissent plus en sortir qu’en changeant à 100 % de…mentalité)…
Oui la guerre antisociale qui se dit sociale c’est parce que couve tant la honte secrète de leurs méfaits et de leurs postures infondées (non le riche n’est pas l’élu de dieu, non rien dans le droit ne permet les profits « séparés » qui externalisent leurs coûts sur les autres , non rien dans l’Histoire ne permet de déguiser ces barbaries en universalité, modèle collectif, ordre « social » (sic) et rôle de guides de la société puisque ce sont des…anti-modèles qui foutent le désordre et la désorganisation partout, etc.). Et ? Alors que ce blog diffuse des méthodes de pensée qui pourraient faire naître l’Humanité et une nouvelle civilisation globale, RIEN de ces méthodes n’est enseigné à l’ENA (au grave détriment de l’intérêt du pays). Au contraire, croire que « la » pauvreté et le nombre précis de pauvres n’ont rien à voir (et ils vont agir superficiellement sur les chiffres de « la » pauvreté en manipulant les seuils, bref en travestissant le réel qui , lui, montre que le « nombre » de pauvres augmente et que « la » pauvreté n’existe que dans des esprits si immatures (cacher ce réel que je refuse de regarder))…tout comme « le » chômage déconnecté du …nombre réel de chômeurs. Et ? Rien que cette aporie grave prouve que cette éducation des apparences est mauvaise…Ici, il est fait anormales et antirépublicaines pressions sur les chômeurs concrets pour que le chiffre illusoire « du » chômage s’abaisse. Mais sans connexion avec les réalités. Les pauvres concrets demeurent la mauvaise conscience permanente la société d’injustices. La preuve juridique de son manque de fondement ontologique. Et les indices imparables que leurs esprits de voyous à ces faux dirigeants ont bien assez duré !
Et que ces fausses élites n’ont absolument aucun droit de déclarer une guerre sociale…
…………………………….lorsque les nuisibles antisociaux ce sont eux !
…….……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la compréhension collective nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
« leur » guerre antisociale n’est pas la nôtre – donc s’émanciper de toutes les perversions qu’ils y glissent en lâches…
la guerre sociale, toujours unilatérale par ses moyens énormes, se démasque par ses assauts de censures…la réalité qui est contre eux ne leur convenant pas !
David Brunat et sa réflexion très intelligente où nous découvrons que l’ENA peut conduire aux pires…en effet, il leur est appris non l’universalité et la République mais la guerre sociale et un droit farfelu à…l’arrogance. Nous sommes sacrément arrosé.e.s par ces défauts de l’institution et avons le droit de nous en défendre !
Illustrations directes des méfaits de certains ENA ? Notre modèle social est en cours de destruction et tout est fait pour nous empêcher de réagir
François Bégaudeau : L’occultation maximale est la littérature et l'argent vu que c’est une effroyable exploitation AVEC censures inimaginables…eh bien imaginons…
Les clichés selon François Bégaudeau : l’Image démasque qui se voue à cette anti-qualité…
Les États généraux du livre. Réflexion/Action sur l'avenir du statut social de l'auteur et les modèles économiques dans le secteur du livre organisé par le Conseil Permanent des Écrivains.
Pas d’auteurs, pas de livres…et pourtant complètement pressurés, les vaches à lait du système de parasites : ces oeuvrants ne récupèrent quasiment rien de leur labeur. Et le libéralisme veut encore empirer la guerre sociale…sauf qu’ils se montrent si incapables de REMPLACER, de prendre la place intellectuelle, affective et morale de ces talents...Pétition à lire en entier (en cliquant sur l'article - le logiciel refuse de la mettre en direct) : nous pouvons tout remettre à l’endroit, à l’endroit de notre droit ! https://www.auteursencolere.fr/#texte-petition....
Joann Sfar : "Si l'on ne fait rien, être auteur va cesser d'être un métier"
Dans une tribune publiée dans "Le Parisien", un collectif d'une quarantaine d'auteurs interpelle le gouvernement sur le sort de leur profession et font part de leur désarroi. Les auteurs demanden...
Joann Sfar : “Si l’on ne fait rien, être auteur va cesser d’être un métier”…remarquons que c’est déjà très entamé (les irresponsables inconscients saccagent tout !)…la culture qui n’a plus rien de républicain mais ressemble affreusement à l’Ancien Régime rassemble les nouveaux prolétaires
ce sont les politiciens et leurs financiers et médias qui ont déclaré la guerre. Très unilatéralement. Et nous n’allons pas suivre ces puérilités infantiles : s’ils ont tout à cacher, ce n’est pas notre cas. Nous et l’Image c’est donc zéro rapport. La com’ c’est que pour mentir or sans la com’ ils ne seraient plus rien ?